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 Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia

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Ozkun le Magnifique
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MessageSujet: Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia   Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia I_icon_minitimeVen 10 Mai 2024 - 13:21

Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia Pg0sxn
7ème jours de la 3ème ennéade de Verimios d’Hiver, an 21 du XIème cycle
Bibliothèque des Savoirs Anciens Immuables et Insolubles, les Soieries, Cité de Thaar



Le Maître était mort, vive le Maître.

Voici bien belle maxime que le Magnifique avait choisit d’honorer dans la plus pure des traditions. Durant sa longue existence, on lui avait accordé bien des adjectifs durant ses différentes pérégrinations nocturnes et autres liesses orgiaques ;  mais timoré et retenu n’avait jamais fait parti du lot, véritable avatar vivant du surnom qui lui collait maintenant au cuir, plus que son réel nominant. Alors, bien que l’heure pour certains fussent au deuil, Ozkun lui avait décidé qu’il serait de bon ton de rendre un dernier hommage à feu Marzaban en écumant les lieux les plus mondains de son carnet d’adresse personnel. Ainsi, il y narra  l’héroïque comportement que son prédécesseur eu jusqu’à son dernier soupir avant que, tout aussi fastueusement, il se targua d’être l’unique héritier de ce titanesque empire troglodyte que représentait les Mille-Caves. Fidèle à lui-même et à sa réputation, la dépense se fit sans compter ; dans son sillage on aurait pu croire que les fontaines tiraient du miel et que les bouses des Païms se transformaient en or. Rien n’était trop beau pour le Maître des Caves quand il s’agissait d’éblouir par le faste et le luxe. Doté d’un certain sens du panache, il avait fait distribuer dès son entré à Thaar, pains et bières aux nécessiteux croisés avant de les chasser à coup de trique quand s’approchait enfin les bâtiments des Soieries.

Dans la haute-ville qui ne l’était que par le nom, le cortège du Magnifique avait rivalisé de pompeuse démonstration, lesté d’une compagnie frivole et fantasque de baladins et autres saltimbanques soigneusement triés sur le volet pour leurs excentriques talents. Voila maintenant trois jours et trois nuits que le convoi resplendissant arpentait la mégalopole marchande en laissant des traces partout ou il se posait. Une déferlante bruyante et indomptable qui eut le parfait effet escompté : on parlerait de cette fameuse ennéade encore dans un siècle, tant elle put toucher les simples et les argentés.

Tenir la cadence ne fut pas mince affaire, mais une existence d’excès avait fait d’Ozkun un être qui approchait le parfait quand il s’agissait d’encaisser éthylène, hallucinogène et graisses sucrées. Autant dire qu’à lui seul, il avait engloutit en ce même laps de temps, autant d’ingrédient qu’un manant sur une année complète. Le sommeil en était devenu anecdotique, profitant à peine pour fermer de la mire entre deux de ces rendez vous prestigieux en fameuse compagnie. La nuit qui venait de se dérouler était en elle-même la preuve de toute la décadence d’on il était capable : lui et ses mignons avaient fait irruption chez un riche marchand de tissus pour s’y adonner à quelques folies. Après avoir honteuse acheté son droit de passage en ces lieux, la bâtisse avait résonné des sonorités mirifiques de sa troupe qui s’était laissé allez dans la plus belle des débauches, en corrompant allègrement toutes les étoffes qui avaient le malheur d’être à porté.  Le Magnifique lui, s’était contenté de tenir la gouaille au maître des lieux en lui promettant que chacune de ses soies seraient acheté rubis sur l’ongle. Ensemble ils avaient alors débattu du tout et de rien, le longuet s’étant passablement laissé aller une fois la certitude de son magot sauf. La conversation, bien qu’anecdotique avait plongé Ozkun dans une curiosité maladive et pour cause, le coquin était entrain de lui narrer la possible existence d’un culte triphallique, antique rescapé d’une ancienne croyance plus ancienne et toujours, belle et bien active à Thaar.

Une fois l’information partagé à ses ouailles, la compagnie des bienheureux plia tourna rapidement des babouches en quête de savoir. Ils laissaient derrière eux une masure sinistrée qui mettrait plusieurs mois à reprendre de sa superbe.

Ce fut les cracheurs de feux qui en premiers, dégotèrent l’endroit rêvé pour s’instruire : la Bibliothèque des des Savoirs Anciens Immuables et Insolubles. Une ancienne institution, célèbre pour le prestige des ses ouvrages et qui, se voulait être le parfait lieu d’érudition. Le Prince Marchand y fit pénétrer en prime sa garde qui fut chargé de délester l’endroit de ses derniers rats. Bien qu’en pleine nuit, il existait encore des fouilleurs de vélins zélés  et leurs présences, n’étaient en réalité pas conviés. L’exercice fut rapidement plié, les gratte-papiers n’étant généralement pas très farouche quand on leurs présentaient quelques bons aciers. Mais alors que la harde joyeuse s’engouffrait dans leur prochain terrier, le chef de ses janissaires vint à sa rencontre.

« Maître, nous rencontrons un problème. »
«  Parle mon bon Taskyr, parle, il n’existe aucuns problèmes qui ne seraient être résolus sous une telle lune. Déride-toi donc un peu, nous sommes en bonne compagnie. »
« Ce n’est pas le mot qui me vient à l’encontre des sangsues qui nous accompagnent, Maître. Une occupante refuse de quitter les lieux, elle se dit dans son bon droit. »
« Que voici donc. Une donze qui fait résistance, serait-elle prêt à se joindre à nous ? »
« Cela m’étonnerait fort, Maître. Elle semble plutôt, pudibonde. »
« Et cette prude dame sait-elle présentée ? »
« Non, mais ses sicaires portent la livrée des Ypsilantis. »
« Ô, eh bien mon cher, nous ne serions chasser si auguste compagne, que nos troubadours festoient, j’irais à la rencontre de notre hôte. »

Le janissaire opina du chef avant de disparaitre à l’avant. Il fallut en suite à Ozkun, plusieurs longues minutes pour se frayer un chemin parmi son hôtel particulier. Partout on jouait de la lyre et du saz, du kaval et du duduk, véritable cacophonie qui aurait aisément réveiller les morts. Les plus avides s’étaient mit en quête, farfouillant dans les antiques ouvrages. Le Prince Marchand lui, était enfin arrivé à destination, se tenant à quelques pas de l’étude ou évoluait une femme filiforme qu’il n’eut pas besoin de demander pour reconnaitre.

«  Dame Adonia, veuillez excuser le trouble qu’à put vous engendrer mon escorte, ils sont bruyant mais loin d’être dangereux, telle une cohorte canine agitant la queue à la poursuite des caravanes qui passent. C’est grand honneur pour moi, de vous rencontrer enfin, je doute d’ailleurs que cet endroit aurait été à la convenance votre prestigieux frère. Puis je me joindre à vous ? »

Il y avait mit toutes les formes, mais le Grand Nabab des Dunes se trouvait déjà pleinement assis avant même d’avoir finit sa tirade. D’instinct, poussé par les effluves des litres d’alcools, il se mit à chercher du regard, les mires de celle qui ne pouvait pleinement l’apercevoir.
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Adonia Ypsilantis
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MessageSujet: Re: Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia   Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia I_icon_minitimeVen 10 Mai 2024 - 18:22


Le silence est d’or, précieux, sans être de mort ni ennuyeux. Elle l’aime et le chérirait, presque plus que l’affligeante tranquillité régnant continuellement à son antre céladonne ou résonne, inexorablement, les échos fantômes de sa parentèle trépassée. Ici, en cette terre de la connaissance, délaissée par la nescience et pourvue d’esprits habités par la soif et l’appétence, elle se sent en royaume connu, conquis tant et tant de fois qu’il ne lui est plus utile de tâter de sa canne pour se frayer un chemin au cœur de ces dédales. Se rappelant alors d’une maxime employée par l’un de ses anciens précepteurs, elle songe soudainement, tandis que se tête approche de la pierre de verre, aux doux mots sonnant encore comme une profession de foi. Un îlot de savoir dans un océan d’ignorance, telle était donc la définition apportée pour lui donner l’envie d’y échouer de son plein gré. Mais dès lors, la belle image s’efface de son esprit lorsque les lettres, suffisamment agrandies, surgissent les unes après les autres jusqu’à former des circonlocutions frôlant l’indigeste. Trop curieuse pour s’arrêter, elle poursuit la lecture sans même prêter attention au tintamarre lointain irritant ses oreilles au point de contourner ses pensées.
   « La théorie selon laquelle la lignée souillée de la race eldéenne, plus communément connue sous le nom Drow, ou Daedhel, ou bien même Ilythiiri par eux même, puise sa vilainie naturelle par la faute des émanations gazeuses et toxiques de son habitat volcanique, est ce jour d’hui en passe d’être réfutée par de nouveaux postulats démontrant d’autres théories.  Ainsi, nous, membres honorables du très saint collège de Mestrie de Diantra, abhorrons cette hypothèse grotesque et souhaitons établir l’axiome en soumettant une nouvelle position. Adonc, nous, éminents érudits du très saint collège, avons pu bénéficier de l’opportunité d’approfondir notre connaissance de cette lignée véreuse, grâce à l’embastillement de plusieurs d’entre eux, réduits à l’état de captivité. Dès lors, par l’échange oral, physique, ainsi que par la dissection anatomique, avons-nous pu constater que cette peuplade pourrait être pourvue, et ce, dès naissance, d’une tare psychique tendant à les rapprocher de la phénoménologie observée chez l’animal doté de cette infection rageuse. Il n’est, ce jour d’hui, guère possible d’envisager l’abstraction de cette altération psychique, si ce n’est par l’action d’une décapitation comme il est préconisé de le faire en présence d'une bête enragée incapable d'abdication. Néanmoins, nous tâcherons, par la suite de notre raisonnement, d’apporter de plus amples préconisations et hypothèses. Car s’il est un mystère encore plus grand que celui de savoir si le Drow est de nature mauvais, nous essaierons d’expliquer pour quelle raison ce dernier, pourtant doté d’une diahtèse jugée « cruelle et vilaine » est si habituée à échouer dans ses ambitions »
   Le tapage extérieur est trop bruyant. Sa bulle éclate, et avec elle, les mots effrayants du mestre Boniface, trouvés dans un ouvrage intitulé « Le Mal du Monde ». Elle aimerait finir cette lecture, observer d’autres points de vus, abjects et inquiétants, mais il n’y a plus que ce capharnaeum désopilant l’empêchant d’y replonger. Levant la tête et quittant sa pierre, la vue se brouille à nouveau et il n’y a plus que les silhouettes alertes des hommes de son escorte, flairant l’embûche. Là bientôt, de plus petites ombres comme pourraient l’être celles d’enfants bien dodus parviennent au bout de sa table. Que disent-ils ? Le bruit est trop fort ! Mais les voix, graves et non aussi aigues que celles d’enfançons, parviennent jusqu’à ses oreilles. Partir ! Dégager ! Faire place ! Que les Dieux viennent en aide à ces pauvres sbires venus pour la déloger de son repère. Sans même avoir besoin de l’ouvrir, l’un de ses hommes renvoie le maudit dans ses pénates. Mais… Ô oui mais, un nouveau finit par venir à la charge, plus entreprenant, insistant et dérangeant. Qui est cet odieux personnage à l’haleine fétide et à la foulée minime ? Nulle présentation. Seule l’évocation de son frère titille son esprit, jusqu’à lui faire déplorer les fréquentations de ce dernier…
   « Ainsi vous permettez-vous de prendre place à ma table, sous prétexte que vous connaissez mon aîné ? lui demande-t-elle en conservant un visage calme. Messire, Sayyid, où je ne sais comment vous nommer puisque vous n’avez eu l’affabilité de vous présenter, que faites  vous donc avec une telle escorte plus habituée au désert zuurthan qu’à cet océan de vélins et de connaissance ? Vous semblez en tout cas me connaître et m’appeler,- comme ma propre gente -, par mon prénom. Ne pouvant discerner votre visage, je puis pourtant vous assurer que votre voix m’est aussi étrangère que cette nouvelle mœurs ayant pour but de troubler la quiétude d’un tel lieu ».
   Doit-elle ajouter que, contrairement à elle, son frère Héracle connaît presque l’entiéreté de la cité, le tout-venant comme les « meilleurs » gens ? Doit-elle, par ailleurs, ajouter que cela ne laisse pas le droit à cette entièreté de l’importuner ou de l’interpeller comme une vulgaire putain des bas-quartiers ?
   « Nenni, messire, ajoute-t-elle. J’ai beau puiser dans ma mémoire, je ne saurai vous retourner la pareille et vous partager l’honneur que vous me fîtes, plus tôt. N’y voyez guère de l’impolitesse, mais seulement de l’ignorance dans l’endroit où je n’ai pourtant jamais éprouvé tel sentiment ».

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MessageSujet: Re: Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia   Le bréviaire perdu de Saint Coloscopus - Adonia I_icon_minitimeMer 15 Mai 2024 - 12:58


Si on pouvait sans grand doute, juger de son incapacité à lorgner plus loin que l’arrête de son tarin, il était en revanche certain que de la gouaille et de la saillie, la donze n’en avait perdu point une once. Comme cosse de pistache oubliée dans l’appareil trop vite préparé d’une fourrure de baklava, Ozkun se retrouva l’espace d’un instant à mâchonner sa propre salive, tiraillé entre différents sentiments. Devait-il recracher aussi sec le gâteau avant même d’en avoir apprécié toutes les saveurs ? Ou au contraire, prendrait-il le temps d’en extraire le miel et le sucre en faisant fit de la gêne ? Car Adonia des Ypsilantis était manifestement la noble dame que lui avait dépeint et vanté le vacarme silencieux des venelles ; aussi frêle et chétive qu’une aurore naissance, aussi vive et piquante qu’un hallier de rose et de ronces. Dans ses traits juvéniles, il distinguait avec aisance la parenté de son ainé et de ses aïeux trépassés. De succulents et opportunistes parasites d’on on pouvait accorder au crédit d’avoir engendré fameuse descendance. En brillant physionomiste, il devinait d’instinct, qu’aussi batailleur en fût le mâle, la femelle portait en elle la force de relever autant de combats, fussent-ils échangés dans d’autres sphères. Soit.

Aggloméré dans son strapontin qui grinçait dangereusement à chacun des mouvements de son bas-ventre, il se feignit d’une courbette de l’échine marquée et pleine de pardon. Nécessaire pour le fond, même si de forme elle n’en avait sûrement rien admiré.

« Ô noble dame, veuillez pardonner ma fougue et ma frustre, j’en écume notre belle cité depuis trop de jours d’affilé maintenant, sans avoir eu le luxe de goûter à un repos méritant. Me voici me présentant devant vous comme fieffé manant, s’incrustant dans votre intime contemplation avec la délicatesse du terreux mal dégrossi. Vraiment inadmissible, acceptez donc mes excuses qui, sont pleines et sincères. »

Autour du réduit à murs ouverts, le tintamarre de la joyeuse confrérie se fit crescendo ; les bardes et autres agitateurs aux doigts lestes s’étaient mis à l’exercice, se mettant au duel dans un enchainement de ritournelles des plus exotiques. Des jongleurs et artistes en tout genre, passablement aussi pleins qu’une bosse de chameau après abreuvement à l’oasis, se défiaient eux aussi dans un ordonné chaos colorée. Seul les cracheurs de feux avaient dût être calmé prestement pour des raisons manifestes – et autant dire, qu’ils tiraient une mouille jusqu’aux genoux. Ozkun agita sèchement et rapidement son moignon de gras qui lui servait de main pour qu’une armée de petites gens à ses ordres et désirs se mette en branle dans un ballet coordonné. Mets et liqueurs furent présentés sur quelques petits guéridons avant que ne finissent le dernier sonnet entamé. Se contentant d’une simple tasse de thé noir et fumant, le Magnifique se remit à jacter la voix pleine de miel.

« Nous nous connaissons pourtant Dame Ypsilantis, du moins, indirectement. J’ai eu effectivement à faire à votre ainé et j’avoue, avoir grandement apprécié sa compagnie. Voyez donc dans mes familiarités, quelques brides de mes précédentes entrevues qui ont nourris à l’encontre de votre famille, une certaine sympathie la concernant. Mon nom est Ozkun Ozzisson, Maître des Caves et accessoirement, Prince Marchand du phare rayonnant qu’est Thaar. »

Une lumière d’on elle était manifestement privée, mais était-ce vraiment une tare à Thaar ? Même les plus pouilleux des mangeurs de sables avaient le droit à leur moments de soleil quotidien, pouvait-on donc théoriser que, l’obscurité en était un raffinement réservé aux fortunés ? Adonia faisait alors figure de reine dans cette catégorie, elle qui vivait au grand jour comme en pleine nuit.
Lorgnant sur l’intitulé du feuillet de la jeune femme, il s’en rappela sa première mission, l’origine même de sa venue en se lieu camphré et stagnant dans lequel il apporté anarchie éphémère.

« Maintenant que le bris est fait, permettez-moi de partager un moment votre air en vous détournant un instant du pamphlet attrayant que vous consultez. J’irais donc jusqu’à solliciter votre bonne connaissance des lieux qui, j’en imagine, vous sont plus familier qu’à moi. Avez-vous entendu parler du bréviaire de Saint-Coloscopus ? Mes mignons m’ont susurré quelques fables qu’il m’est difficile de croire, mais ils assurent de la véracité de leurs dires. Cet ouvrage religieux, serait le recueil d’un culte toujours actif entre nos murs et d’on les fidèles voueraient adorations, à une divinité dit « Dieu aux Trois Verges ». Mais avant de m'éclairer de vos lumières, servez vous donc, un peu de thé ? »
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