La marche puis le repos

Brakt marchait sur les chemins que lui offrait la forêt, le vent était doux, le soleil ne tapait pas trop fort et ses rayons était agréable sur la peau. Le chant des oiseaux commençait a bercer Brakt qui voyageait seul, ses yeux se fermaient tous seul. Il regarda a sa gauche puis a sa droite et vit un grand arbre avec les rayons du soleil qui passait a travers le feuillage. Il s'avança vers l'arbre, détacha le fourreau de son épée et le garda dans sa main droite. Il s'allongea, en tenant toujours son épée, l'autre mains complètement libre qu'il posa contre son torse. Ses yeux rivaient vers le ciel bleu et complètement dégageait, il regarda un arbre en face de lui et vit un écureuil qui passait dans les feuillages. Des oiseaux s'envolaient de l'arbre, d'autre arrivaient chaque instant le fatiguait de plus en plus.

* La région n'est pas sûr, je dois me méfier un danger pourrait arriver. Mais j'ai tellement sommeil.*

Ses paupières se fermèrent toutes seuls, il était seul dans cet forêt sans protection. Seul les dieux le protégeront de tous dangers. Un simple bruit, pourrait le réveillé ou bien dormait-il trop profondément.

[ HJ : Désolé ce poste est très court mais je n'ai pas beaucoup d'inspirations et je n'aime pas démarré des postes.]

Et la belle marchant de son plein pied arriva bientôt en ce triste chemin, lui faisant autant d'honneur qu'un tapis rouge, de sa démarche élégante naissait milles désirs aux embruns saisissants. Mais si Aurore, en réalité était sur un cheval, transportant ses affaires, c'est qu'elle rentrait des marais, et que de par ce fait extraordinaire, elle allait et venait dans différentes directions afin de compléter les cartes qui faisait son métier.

Ainsi elle parcourait ce petit chemin depuis quelques heures déjà, bravant la fatigue à un rythme plus que doux. Le trot du cheval sans nom se faisait avec autant de grâce que la posture d'Aurore en son sein. Même en tant que cartographienne, une lance était accroché à la selle de l'animal, tandis que son arbalète pendait d'une manière misérable sur son dos. Celui du cheval, naturellement. Habillée de sa douce et protégeante armure de cuir noir, Aurore s'avançait dans la forêt. Et cette avancée se conclut par la rencontre d'un jeune homme. Si sa beauté était indéniable, son charme s'était éteint le temps d'un sommeil. Cependant, il attira la belle, qui intriguée s'avança vers lui au risque de perdre un peu de son temps. Mais Aurore n'avait que faire de tout ce temps... Elle vivait selon ses envies, sans aucun principes ni aucun idéaux. Les cartes, seuls possessions matérielles qui l'affectait était en soit la dernière preuve d'humanité dont Aurore pouvait jouir et apprécier.

Malgré cela, c'est donc grâce à cette impression de liberté qu'elle décida de quitter le sentier pour rejoindre le sommeil charmant du garçon.
Elle posa pied à terre, sans un bruit, dans le murmure causé par l'effacement de l'herbe sous le poids de ses pas. Elle s'approcha sans prendre sa lance, et animé d'une curiosité purement féminine, elle s'assit sans un mot à coté de l'homme, qui dormait encore peut être... Car malgré le silence et la grâce déposé par Aurore, si le sommeil de cet homme se faisait léger, il était certain qu'il fut aujourd'hui réveillé.

Cependant, la belle n'en avait cure, assise comme elle l'était, le sourire aux lèvres, la tête sur les genoux replié. Elle écoutait le doux ronronnement de l'âme, qui repu, se reposait tranquillement sous le feuillage touffu de l'arbre offrant de sa grandeur un peu d'ombre aux insectes tenus sur ses pieds.

Ainsi à coté de l'homme, elle regarda le ciel, et se dit combien sa vie ne pouvait qu'être admiré et admirable...

Brakt qui venait de s'endormir ne tarda pas a rejoindre le pays des rêves, ou disons plutôt celui des cauchemars. Depuis sa défaite contre cette homme il ne pouvait se libérer de se rêve horrible. Il voyait se combat au ralenti, en accéléré, sous toute forme que l'on peut imaginer, il revoyait le jours où sa vie a risquer de s'éteindre sans l'aide qu'il a eu et surtout la chance.

Il pouvait tout faire dans se rêve, il le mettait souvent sur pause pour voir les traits des visages des gens présents ce jours là. Son adversaire avait les traits gâchés par la colère, le front plissé, les veines qui ressortaient sur son crane rasé et au niveau de ses tempes. Les files de bave qui attachaient les deux partis de la mâchoire, ses narines écarter qui montrer a quelle point sa respiration étaient difficile, ses yeux près a explosé avec les veines rouges prononçaient par la colère. Brakt quand ta lui calme serein, les yeux bien ouvert pour analyser, il ne les ouvriraient pas autant si le combat n'était pas si difficile. Au ralenti on pouvait voir le recule après chaque coups donné par son adversaire. Le vent coupait par les lames affûtaient était magnifique a observé, ce courant crée par les lames des deux combattants ainsi que les éclats que pouvait donner certain coups était tous simplement majestueux.

Mais son rêve devenait de plus en plus trouble, il entendait des bruits de froissement, comme si quelqu'un posé le pied sur de l'herbe a coté de lui, suivis d'un bruit comme si quelqu'un venait de s'asseoir et un autre de cuir en train de se tendre. Il avait bien compris d'où venait ses bruits, pour preuve le rêves n'était plus et ses yeux s'ouvraient lentement, il essayait de ne pas trop bouger pour ne pas montrer son réveil, la personne a ses côtés n'avait pas l'air hostile sinon il aurait surtout entendu des bruit de lame ou autre qui arrivait sur lui.

" C'est un temps idéal pour s'allonger dans l'herbe et contemplé la nature n'est ce pas?"

Assise au beau milieu de nulle part, Aurore ne réfléchissait pas. Ses pensées s'était tut et elle profitait de ce doux moment de repos pour ne rien faire. Alors le ciel prenait une tournure étrange, si bleu et si clair, il en venait à devenir merveilleux. Et en ce jour heureux, la belle regardait le paysage, sans lui trouver moindre défauts, sans penser l'ombre d'un instant aux cartes qu'elle pourrait tirer de cette terre. Non, car le repos est une chose qui ne doit pas être refoulé, Aurore en prenait l'exacte définition pour ressentir pleinement le doux vent souffler le long de son visage et emporter légèrement ses cheveux noirs vers l'arrière.

Son regard était animée de désirs, et ses bras se replièrent vers ses deux genoux, dans un élégance digne des princesse. Mais personne n'était là pour admirer cela, et Aurore s'en fichait. Elle le faisait pour l'impression de liberté que cela pouvait lui offrir et non pas pour le désir d'être regardée. Puis son regard changea de position, il se pointa vers le sol, et sa main caressa doucement l'herbe tendu à ses pieds, tandis qu'à quelques centimètres de là se tenait le bassin pour le moins musclée de l'homme. Aurore n'osait, ou ne voulait regarder l'enveloppe charnel qui pouvait satisfaire ses envies à coté d'elle. Seul sa respiration, la chaleur dégagé naturellement par le corps humain suffisait à remplir de bonheur la femme.

Mais cette impression fut vite coupé par des mots sortît de cette bouche. Aurore ne changea pas la direction de son regard, mais elle se prît à sourire. Gentillement, comme par politesse, bien qu'en vérité, ces douces paroles qui apparaissait comme un enchantement provoquait un réel plaisir à le belle. Elle répondit alors, de sa voix douce et calme

Aurore- Oui... Peu d'homme sont capable de comprendre la beauté et l'utilité de ce geste.

Ces quelques mots appelaient à la sérénité. Bien qu'au fond d'elle, Aurore avait juste envie de s'allonger à coté de l'homme et de se sentir en sécurité entre ses bras musclés.

Comme ses pensées se précisaient, elle retira délicatement son armure, qui bien qu'offrant une certaine beauté, n'était pas très élégante. Ainsi, le froissement causé par cette action délivra Aurore. Et maintenant, la belle se retrouvait en habit noir et ample, son pantalon avait gardé la même forme, celle d'une certaine largesse au niveau des jambes qui se retrouvait rétrécit au niveau des chaussures, et le haut, d'une matière aussi belle à regarder qu'elle était douce à toucher cachait la poitrine de la belle et dévoiler presque entièrement son dos, tandis que le bas de son ventre était lui aussi à mis à nus.

Puis ne voulant aller plus loin, elle posa l'armure de cuir à ses cotés et resta dans sa chaste position.

Brakt venait de se réveille de son long sommeil, sa lame toujours dans sa main il décida de la posé à côté de lui. Ses yeux avaient un peu de mal a sourire avec ce soleil qui venait d'apparaître en plein sur lui, puis il réussit a les ouvrir pleinement. Il se tourna et vit une belle femme a côtés de lui, il la bouche de la femme qui commençait a bouger pour répondre a ses mots. Sa voix était douce, calme et apaisante. Elle reflétait sa beauté ainsi que sa douceur.

Il contempla la jeune femme, qui commença à retiré son armure de cuir qui la gêné sûrement. Elle enlevait cette armure avec élégance et volupté, en dessous elle portait une robe qui lui allait a la perfection. Sa robe était ouverte dans son dos, ce qui montrait la peau sûrement douce de la belle femme.

"Oui peu d'homme en son capable c'est ce pourquoi il y a des guerres qui ravage la nature. Mais il faut respecter cette douce nature, elle qui nous permet de nous reposer et de vivre."

Le ciel était de plus en plus dégageait, et le soleil tapait plus fort d'heure en heure, la température avait grimpé depuis le moment où il c'était endormi. Il commençait a étouffé dans sa tenue, il tira sur son col pour laissé passé un peu d'air pour rafraîchir son torse. En faisant cela son biceps droit ce contracta et se colla a la tenue, ce qui était très désagréable, malheureusement il ne pouvait retiré son haut qui l'étouffait tant. Il ne pouvait que resté émerveillé par la beauté de cette femme, ses cheveux volait avec le vent avec grâce. Le soleil illuminé son visage qui brillait avec le soleil, ce même soleil qui faisait brillé ses yeux jaunes. Il ne pouvait dire qu'une chose sur cette belle femme, c'est qu'elle était magnifique.

Alors son regard se posa sur le corps musclée de l'homme, et se faisant, elle arrêta de sourire, comme perdue dans ses pensées les plus obscures... Aurore avait une philosophie de la vie qu'aucun autre être n'était capable de partager sans au préalable y avoir été invité. Son esprit n'avait aucune limite à la curiosité et son âme se voulait maîtresse de tous les sentiments. Elle n'avait aucun idéaux à protéger, aucun réel amis et ses amants n'étaient là que pour la douceur du moment.

Entre autre, Aurore était une femme libre, bien qu'aucun être digne et moral ne pu le qualifier ainsi. Elle remarqua alors que l'homme le regardait, ne trouvant en cela rien de gênant, l'herbe atterrît en son champ de vision. Aurore se mît à réfléchir quelques instants, et de cette réflexion naquit le rêve utopique dont elle allait faire part à cet homme... Et même si cette pensée presque immoral chassa toutes les autres au sein de son esprit, Aurore la garda en tête et se promît de ne point l'oublier. Même si pour cela, le regard admiratif qu'on lui portait devait disparaître. Puis de nouvelles paroles se firent entendre, elle provoquèrent une sorte de tressaillement incroyable, les yeux d'Aurore s'émerveillèrent et elle s'allongea doucement sur l'herbe verte, alors que les rayons du soleil se faisaient absorber par la magnificence noir d'Aurore.

Désormais à coté de l'homme, elle prît la parole, afin sans nul doute de délivrer la réflexion qui avait germé de son bizarre esprit.

Aurore- J'ai une idée... Elle te paraîtra sans doute étrange, peut être un peu trop utopique pour être complètement réalisable mais je crois qu'elle peut être réalisable.
Notre situation actuelle n'est pas critique, mais nous nous battons sans cesse. Les Drowns sont des êtres impitoyable certes, mais ils ne sont que le vice humain entre la puissance des elfes. Je ne crois pas qu'au fond, ils soient obligé de se tenir comme cela. Et puis leur présence n'est qu'une excuse à la guerre, même si eux disparaissent, d'autres ouvriront les hostilités et nous n'en finirons pas. Je ne sais si les soldats se complaisent à se faire tuer, mais une chose est sure, la noblesse et plus généralement les dirigeants, eux doivent en tirer quelconque plaisir.
Aussi, voilà ce que je te propose, je ne connais pas ton métier ni ton nom, mais à mon humble avis, il n'y a pas besoin des préliminaires social pour partager ses idées. Un jour, peu importe l'endroit où tu es, il te suffira de siffler cet air, ou encore de le jouer pour qu'une personne vienne t'aider. Cet esprit de solidarité n'est pas encore développée, et tu n'es qu'un humain, aussi tu ne sera peut être qu'une partie du mouvement que je voudrai monter. Mais si tu es en accord avec ça, j'aimerai que tu en parle aux personnes dignes de recevoir cette information.

Elle soupira et se tourna vers l'homme, maintenant tenu juste à coté de lui avant de reprendre un court instant la parole

Aurore- Le but étant bien évidemment qu'à terme ce petit air est un tel impact qu'une personne la chantera au champ de bataille, et qu'alors des milliers de personnes lâchent leurs armes...

Cette impulsion, cette idée en elle même ne pouvait que jaillir de l'esprit féminin, mais au fond, Aurore avait encore beaucoup d'années à vivre, et ne pouvant rester en ce monde sans vouloir le changer, elle avait bien vite compris que individuellement, nous n'étions rien, et que seul la foule et le peuple pouvait changer quelque chose.
Ainsi, cette preuve d'humanité, ce petit air de musique, si naïf et pourtant si doux à entendre pouvait peut être fonctionner à petite échelle.

Aurore regarda l'homme un peu plus grand qu'elle et attendit de voir sa réaction afin de préciser son idée ou de l'abandonner.

Brakt admirait la femme quand il entendit son explication sur son rêve complètement utopique et surtout irréalisable. De faire en sorte que tous les peuples vives en paix grâce a un chant qui les rassembleraient tous, mais si ceci est son rêve elle a raison d'y croire. Mais au même moment Brakt tourna son regard vers le cheval de la femme et vit des armes accrochées à celui-ci, chose contradictoire a son rêve de paix.

" Tu dis vouloir que les peuples vivent en paix et ne se battent plus, mais pourtant tu possède bien des armes et tu ne dois pas hésiter à t'en servir je pense. De toute façon je ne partage pas ton rêve, bien que je le respect je ne le partage pas car je suis un duelliste, mon métier réside dans la guerre, le combat et la mort. J'ai consacré ma vie au combat, si la paix revient et que la guerre est arrêté à quoi auront servis toute ces années d'entraînement? Surtout que les gens bon, ou qui ne son pas pour la guerre où qui ne trouve aucun profit dans celle-ci te rejoindrons sûrement mais les gens qui se nourrissent de la guerre, et qui aime apporté le chaos crois tu vraiment qu'ils voudront accepter ton rêve? "

Brakt était toujours calme, mais son regard était devenu perçant comme si il était concentré, il contemplait les nuages. En regardant ces images il s'imaginait bien le champ de bataille avec toute une armée qui se mettait a chanter et a lâché les armes, l'autre partie en profiterait sûrement pour attaquait et tuait sans pitié. Du sang aurait coulé inutilement sas se défendre, des vies gâchées, des vies de famille détruites et sûrement en suivant des villes ravagés par les flammes et le sang qui aurait coulé sur ce sol.

Aurore sentît combien l'atmosphère s'était transformée. D'une idée de séduction lui était parvenu une idée utopique. Bien qu'au fond, elle était trop humaine pour accepter tant d'humanité et que de ce fait, beaucoup d'autres créatures étaient dans le même état de pensée, mais si Aurore était assez lunatique, il lui arrivait, lors de des après midi tel qu'elle partagea des idées qui n'étaient pas sienne.

Alors, elle se rapprocha doucement de l'homme et se blottît contre lui, dans une douceur extrême, sans l'ombre d'une arrogance ou d'une prétention face à sa beauté. Non, dans la simplicité de ce geste souvent retenu par la timidité, Aurore s'était allongé contre l'homme et sa tête se souleva quelque instant pour se poser contre le torse de l'homme, se servant de ses cheveux comme dernier rempart à son armure. Puis, elle écouta attentivement les paroles de l'homme, lesquels firent vibrer son corps et raisonner son esprit. Son regard se tourna vers le visage si jeune et si pur du garçon, et elle sourit... Pour enfin lâcher ces quelques mots:

Aurore- Ha ha... Le bien et le mal sont deux choses indissociables, mais de tel manière qu'une grande guerre reste à jamais gravé dans l'esprit des êtres, une tel action aurai eu un impact gigantesque, et malgré le nombre évidents de morts, les dirigeants se seraient mis à réfléchir...
Cependant, l'homme, l'elfe ou même le nain, sont des êtres trop individualiste pour envisager une tel action commune. C'est peine perdue et ce n'est pas là mon rêve...

Elle finit sa phrase en ce long soupir qui lui fit fermer les yeux

Aurore- C'était simplement une idée... Vois-tu mes armes ? Elles sont là uniquement pour me défendre, je n'ai aucune plaisir à combattre, le système est ainsi, je n'ai ni l'envie, ni la force de vouloir le changer. Je m'y plis en trouvant tout de même mon bonheur. Mais sache que si j'apprécie la beauté des combats singuliers, je ne comprends pas en quoi une bataille peut être agréable.

Elle bougea légèrement sa tête comme pour y trouver une position plus confortable... L'homme était peut être trop surpris pour vouloir repousser Aurore, ou bien simplement accepter-il cette charmante venue. Mais si il est vrai qu'ils ne se connaissaient pas, Aurore n'était pas de ces femmes chastes à attendre des mois. Etant si peu attaché aux personnes qu'elle rencontre, elle préférait en tirer tout le plaisir possible sans la complexité que pouvait lui apporter l'idée d'être en couple.

Brakt, vit la femme se blottir contre lui, il ne voulait pas la repousser, il était sous son charme et lui même souhaitait qu'elle vienne contre lui. Il sentit son corps se posait contre le sien, il avait l'impression que la notion n'existait pas pour son corps. Il était léger comme la plume, elle posa sa tête sur la cicatrice, qui normalement devrait le brûler mais cette fois-ci aucune sensation désagréable. Il écouta attentivement ses explications et ne pouvait les contredire. Puis vint les explications par rapport à ses armes et à ses appréhensions du combat, elle n'aimait pas le combat mais devait tous de même se défendre.

Brakt, regardait ses cheveux soyeux et brillant, il fit passé un bras derrière le dos de la femme pour enfin posait sa main sur son épaule, et l'autre main se glissa dans ses cheveux qu'il caressa délicatement. Ses mouvements contractèrent ses muscles, ses pectoraux qui habituellement le faisaient souffrir se contracté sans effet secondaire.

" Si tu n'aime pas combattre pourquoi ne pas voyager avec quelqu'un qui combattrait a ta place en cas de combats? Les batailles sont agréables car tu n'as pas un unique adversaire mais des centaines voir des milliers, tu peux prouver ta force et souvent tu ne prête pas attention au visage de la personne que tu combat, donc si tu la tue, tu n'auras pas de regret. "

Brakt en prononçant ses mots revoyait se combat atroce, il se disaient qu'en pleine bataille il n'aurait pas vu autant de détail de son assaillant. Il serra la femme contre lui, il n'avait pas senti la chaleur d'une femme contre lui depuis longtemps. Il avait consacré la plupart de son temps au combats et non au femme, pour une fois qu'il se reposait et que en plus une femme se blottissait contre lui il voulait en profiter. Mais avec en plus la chaleur dégageait par une autre personne il avait affreusement chaud et ne pouvait s'empêcher de remuer.

" Pardonne moi si je bouge trop mais j'ai chaud, si mes mouvements ne te dérange pas tu peux rester là, mais si sa t'agace et que tu veux partir je comprendrais très bien."

Un bras passé autour de ses épaules... Nombre d'homme avaient oubliés combien cette simple action pouvait apporter bonheur et sérénité sur leurs esprits étriqués. Aurore sourît, et de son sourire sortît mille sentiments bienveillants, car jamais la belle n'était plus heureuse que dans ses bras musclés, appelant à la protection et la tranquillité qu'elle ressentait en ce doux moment ne pouvait être troubler par aucun sortilège. Ses yeux se fermèrent tendrement et son corps se rapprocha doucement de l'homme.

Il passa ensuite une main dans ses cheveux noirs, et de ce geste naquît un désir plus grand encore, Aurore ne dit aucun mot, elle profita de ce moment comme si cet homme était son premier amour. Car au fond, chaque homme était son amour, et elle chérissait plus que tout ces mains frottait ses cheveux soyeux.
Le bonheur était à porter de main, et Aurore y plongeait son corps entier, comme trempé d'or, son corps reluisait sous l'éclat du soleil, plus désirable que jamais. Puis l'homme se prît à parler, Aurore ouvrît ses yeux jaunes et regarda le torse musclé prêt d'elle. Puis elle répondit:

Aurore- J'aime être seule. L'idée d'être accompagnée m'est insupportable. Je préfère la compagnie de mes armes à celle d'un homme les maniant.

Elle préféra ne rien répondre sur les batailles, après tout. Aurore n'irait jamais combattre dans ces fossés de l'enfer, elle n'avait donc aucune raison d'exprimer ses idées faussé par un manque de connaissance. L'homme lui dit ensuite combien il souffrait de la chaleur et exprima pour la première fois cette marque de politesse infligé par la morale. Aurore fût forte surprise, elle releva la tête et se tînt sur ses coudes.

Aurore- Enlève donc ton armure, tu auras ainsi beaucoup moins chaud non ?

Sa voix paraissait donner un ordre, et son regard se voulait perplexe, comme si cette solution était une évidence pour elle. Même si il était vrai qu'en aucun cas, les mouvements de l'homme la dérangea, elle voulait simplement briser le reste de pudeur dont il s'ornait.

Brakt restait immobile, avec la jeune femme contre lui. Il l'écouta s'expliquer sur le fait que personne ne l'accompagne, c'était une solitaire, elle préférait voyager seule. Ce choix pouvait paraître étrange vu qu'elle n'aimait pas le combat, mais chacun fais des choix que personne ne peut comprendre. Puis elle lui proposa de retiré son armure a cause de la chaleur ici présente. Brakt étonnait de la demande de la jeune femme s'exécuta, il n'avait aucun complexe au niveau de son corps, même avec cette grosse cicatrice au milieu du torse. On pouvait voir sa comme un signe de virilité, il retira donc son armure, il avait retiré son haut marron pour pouvoir enfilé son armure avec la chaleur, il était donc torse nu. Il avait quelque perle de sueur sur son torse qui le faisait brillé, et qui faisait ressortir ses muscles déjà très prononçaient. Il reprit place au pied de l'arbre au côté de la femme.

" Vu que tu me propose de me mettre à l'aise je ne pense pas que tu sois mal à aise dans ce genre de situation. "

Il serra la femme contre lui pour qu'elle sente bien les muscles contre elle, il plaça sa main sur son épaule droite a nouveau et la faisait glisser délicatement le long de son bras. Il faisait des allait retour de l'avant-bras à l'épaule et de l'épaule à l'avant-bras. Il sentit une légère brise passait sur son visage et le rafraîchir, des moments comme sa étaient rares en ces temps de guerre. On avait l'impression de vivre dans un temps de paix, avec cette herbe bien verte, c'est arbre colossaux et ses rayons de soleils apaisants.

Aurore commençait à se lasser de ce manège. Bien sur le bonheur dont elle s'était pris en adoration était au fond offert par cet homme, mais il y a des chose qui ne s'expliquent par aucun fait. Et si Aurore en ce moment, regardait cet homme s'exécutait à sa demande, c'est que bientôt elle s'en irai. Pour quel raison ?

Son torse était beau, elle aurai voulu il y a quelques instants sentir la pression de ses reins et le claquement offert par l'amour bestial. Mais Aurore était une femme trop compliqué, si l'on voulait s'offrir à elle, il aurai fallu la comprendre entièrement et savoir exactement à quel moment la morale pouvait être brisée et le plaisir dévoilée.

Seulement, le temps que mît l'homme a retiré son armure, le temps qu'il s'installe de nouveau et malgré ses petits gestes doux, le désir et ainsi le bonheur s'en était allée. Alors elle se prît à sourire de nouveau, mais ses yeux étaient ouverts, et ils regardaient le visage de cet homme, inconscient de sa chance, et pourtant il parla. Elle, elle le prenait comme son amant, comme un personnage dont elle connaissait tout, lui, chacune de ses paroles étaient un rempart au désir. Si bien qu'un moment donné, alors que son sourire ornait toujours son tendre visage, elle se leva, doucement, comme si toutes les peines du monde s'étaient reposés sur eux, et qu'en aucun cas elle ne voulait les secouer.

Sans lui laisser le temps de prononcer ne serais-ce qu'une parole, elle se retira de son étreinte amoureuse, et le sourire aux lèvres, elle repartît vers son cheval, l'armure à la main. Là, elle daigna se retourner, et ses dents supérieur se posèrent sur sa lèvre inférieur. En ce geste si mignon, elle le quitta. Puis, montant sur son cheval, elle s'exprima de nouveau:

Aurore- Je suis une femme trop compliqué pour vous bon seigneur. Sachez simplement mon nom. Je me nomme Aurore Lyn, et si un jour nous devions nous revoir... Eh bien que mon charme ait eu un quelconque effet sur vous, que le temps nous soit propice et l'endroit confortable. Car vous êtes jeune et beau. Adieu.

Paroles tronqués en vitesse, la belle le regarda une dernière fois et partît au galop... Ses cheveux s'envolèrent promptement et sa bouche, bien que personne ne put l'observer semblait revenir d'un rêve.

Ainsi, personne ne pu le prédire, cette rencontre aurai pu laisser une empreinte formidable sur le sol ensoleillé bien qu'elle ait laissé une empreinte douce et sereine en son esprit...

Brakt qui n'aimait pas brusquer les femmes attendait qu'elle fasse le premier pas, malheureusement le pas qu'elle fit n'était pas celui qu'il attendait, elle se leva, prit son armure et marcha sans se retourner. Une fois arriver a son cheval elle se tourna et prononça ces quelques mots.

Aurore- Je suis une femme trop compliqué pour vous bon seigneur. Sachez simplement mon nom. Je me nomme Aurore Lyn, et si un jour nous devions nous revoir... Eh bien que mon charme ait eu un quelconque effet sur vous, que le temps nous soit propice et l'endroit confortable. Car vous êtes jeune et beau. Adieu.

La belle femme du nom de Aurore était partis depuis un bon moment, mais ses paroles raisonnés toujours dans la tête de Brakt, il revoyait cette démarche légère qui montrer toute la beauté de cette femme. Su seulement il n'avait pas un tel respect des femmes et qu'il aurait fait les premiers pas, peut-être ne serait-elle pas parti comme sa. Brakt resta allongé durant un bon moment dans l'herbe, le torse nu, son armure posait ses côtés avec ses armes.

* Bon si je veux atteindre Ydril et partir pour l'île de Meca j'ai intérêt a me dépêcher sinon je risque de perdre de vue ma cible. *

Brakt se leva, saisit son armure et l'enfila, il prit ses épées et les attacha bien à sa ceinture, puis il prit son épée a deux mains et la plaça sur son dos, il attacha bien le fourreau et retourna sur la route. Il foulait à nouveau cette route qui le mènerait a sa destination, il était à nouveau partit pour Ydril.

* Je dois être prêt pour ce duel que j'attends avec impatiente. *

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Recherche avancée