repos[ pv Amnesia]

Le jeune homme adorais les douce caresses sur son torse, puis sur tout son corps, mais mieux valait transporter la demoiselle en lieu sûr pour qu’elle puisse se guérir et se reposer de cette journée, surtout qu’elle ne c’était pas beaucoup reposer la nuit précédente. Alors mettant sa douleur de coter et reprenant toute sa volonté d’il y a quelques instant, il se penchant et pris la douce dans ces bras en lui susurrent quelques mots a l’oreille. En souriant, Hellyor commença a marcher dans la forêt pour tenter de regagner la ville au plus vite. Ses yeux vagabondais de la jeune femme au sentier, il voulais s’assurer qu’elle n’avais aucunement mal de la façon dont il l’amenais, puis s’assurais de ne pas se perdre en route.

Après une bonne heure et demi de marche, des bruits de plus en plus d’instinct a chaque pas se faisait entendre au loin. Les arbres étaient de moins en moins présent au fur et mesure qu’ils avançaient vers le bruit de plus en plus fort. Lorsqu’ils sortirent du couvert des arbres, les deux compagnon purent enfin voir l’agitation qui régnais dans la ville de Diantra. Les yeux du demi-elfe vinrent se poser dans ceux de la demoiselle et il lui fit son plus beau sourire. Personne ne remarquais ses gens au loin, qui avais les vêtement en lambeaux et presque sur le bord de l’évanouissement. Le jeune homme continua cependant a marcher la tête haute vers la ville avec la demoiselle dans les bras. Hellyor prit doucement la cape entre ses doigt et sa referma sur le corps de la jeune femme pour ne pas qu’elle prenne froid et que les gens sois alerter par ses blessures.

-Nous allons commencer par nous rendre dans une auberge, ah moins que vous n’ayez élu domicile dans la ville?

Sans attendre une quelconque réponse de la part de la douce, le jeune homme se dirigea vers les larges portes de la ville, puis lorsqu’ils les eurent atteint, aucun garde ne vus passer ses ombres discrète parmis la foule. Le rôdeur observa au alentour et trouva quelque auberge du regard, mais il lui en faudrait une assez calme pour lui permettre de soigner la jeune femme dans éveiller les soupçons. Après avoir effectuer quelque pas, il opta pour une auberge peu fréquenter et presque déserte. Lorsqu’ils entrèrent, le tavernier les regarda d’un regard soupçonneux, mais le jeune homme le regarda d’un regard indifférent.

-Laissez nous une chambre et je vous payerez dès que la jeune femme sois mis au lit…

Hellyor continua a le fixer en attendant les clés d’une des chambres et que le tavernier ce sois pousser pour le laisser passer. Aussitôt que c’est deux choses fut faites, Hellyor monta a l’étage avec la demoiselle dans les bras, puis lorsqu’ils arrivèrent devant la porte, le demi-elfe déposa doucement la jeune femme sur ses pieds pour qu’il puisse déverrouiller la serrure de la très vieille porte qui se tenais devant lui. Prenant la clé dans ses mains, le jeune homme l’incéra dans la serrure qui fit un bruit très étrange et la porte s’ouvrit dans un grincement hors du commun, ce qui pourrais laisser présager que l’auberge était vraiment déserte. Se retournant vers la demoiselle, le rôdeur pris son bras en le passant par dessus son épaules et glissant son bras derrière le dos de la douce pour l’aider a entrer dans le chambre. Hellyor pencha doucement la tête pour donner un baiser a la douce, puis mis fin au baiser pour l’aider a entrer dans la chambre.

Les lieux étaient plutôt poussiéreux et mal entrenu, la pièce unique était muni d’un lit double (^^)…d’une table de chevet, une fenêtre était aussi visible derrière un énorme rideau tirer. La chambre sentais le renfermer, mais après quelques heures, l’odeur devrais quitter les lieux, du moins espérait-il. Son regard se tourna vers l’humaine et croisa ses yeux en souriant. En s’approchant du lit, Hellyor repris Amnesia dans ses bras et la déposa délicatement sur le lit pour ne pas empirer son cas. La voyant ainsi coucher, le regard du jeune homme ne pu s’empêcher de virer au désir, ce qui n’échappa surment pas a la douce.

Sans tarder, le jeune homme se mettra en marche, la Demoiselle en ses bras. Cette dernière, immobile, se laissait aller par ses mouvements, sa tête contre son torse, les yeux fermés. A dire vrai, il était alors difficile d’affirmer sa conscience, ou bien même son inconscience, car elle semblait ainsi vagabonder entre l’un, et l’autre. Et le temps passera, sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte. Son teint était pâle, et le bandage qui avait quelque temps maintenu sa plaie à l’abris des infections s’était retiré depuis déjà un certain temps, bien trop imbibé, laissant là le sang de la Demoiselle glisser sur sa chaire.

Une plaie superficielle aurait déjà cessé tout saignement. La lame du Drow à l’origine de cette plaie ci avait été plus sournoise, s’enfonçant en son sein sans plus de pitié qu’un prédateur mettant fin aux jours de sa proie, la torturant jusqu’à son dernier souffle, son dernier sursaut… Jusqu’à ce que la Mort ne se lasse de se jouer de lui, et ne se décide à l’emporter.

Et la jeune femme conservait son visage enfoui contre son torse, ses yeux clos, immobile. Si elle souffrait, elle n’en laissait rien paraître… A dire vrai, elle ne laissait rien paraître du tout… Son souffle même semblait perdre en intensité pour se muer dans la brise qui soufflait, doucement. Ni même la rumeur des marchands de la ville ne parvint à la tirer quelconque réaction. La chose était plutôt inquiétante, mais l’heure n’était pas à la perte de temps.

Elle qui, quelques instants plus tôt, tenait encore tête au Drow, se trouvait là en fort piteux état. Probablement l’inquiétude l’avait-elle conservée debout, et consciente ? Ainsi, le combat achevé, la pression retombée, elle se laissait aller à ce mal qui la rongeait, sans plus de résistance qu’elle ne pouvait en offrir.

Finalement, elle ouvrit les yeux, doucement, croisant ceux de son compagnon, ce dernier lui adressant un large sourire. Mais la voilà qui refermait d’ores et déjà ses paupières, tremblante, tandis qu’il refermais doucement la cape... Puis sa voix s’élèvera, lointaine, et pourtant si claire. Pourtant il n’aura nulle réponse, bien qu’elle aurait été certes différente de celle ainsi adoptée en l’absence de toute réaction, et sans perdre de temps, car, effectivement, la Demoiselle avait élu domicile au sein de la ville.

Qu’importe, car le voici qui se dirigeait vers une auberge, dans laquelle il pénètrera. Le lieu semblera l’éveiller quelque peu, car la voici qui ouvrait une nouvelle fois les yeux, un bref instant. Ce qui suivit fut confus, et elle n’y prêtera guère attention, ne revenant à elle qu’a l’instant où elle du prendre appui sur ses jambes pour que le jeune homme puisse ouvrir la pièce. A cet instant, elle du entraver quelque peu ses mouvements afin de prendre appui contre lui, vacillant.

Cependant, une fois la porte ouverte, il reviendra lui apporter son aide et son soutient afin de pénétrer dans la pièce. Si celle ci n’était que fort peu spacieuse, cela n’était certes pas cela qui allait la déranger, tandis qu’il revenait vers elle et la déposait délicatement sur le lit. Néanmoins, tandis qu’il la délaissait, la jeune femme refermera ses doigts sur son bras. Ces derniers étaient froids au contact de sa chaire, semblant s’en imprégner, l’empêchant cependant de s’éloigner, bien que la pression ne soit nullement d’une force extrême, et qu’il s’en dégagerait aisément en temps voulu.

Peut être était-il temps, s’il s’y connaissait quelque peu en soins, de jeter un coup d’œil la sacoche de la Demoiselle (Ici pour le contenu, moins deux Arkasu et un Balme), son sang s’imprégnant doucement dans les draps abimés qu’arboraient le lit. S’il ne s’y connaissait pas… Cela serait au petit bonheur la chance, ou mieux valait encore ne pas y toucher, et se contenter des anciennes méthodes… Un métal à chaud pour cicatriser la plaie peut être ? Dur d’en trouver un sur le champ…

Pourtant, entre ces songes et tandis qu’elle poussait le jeune homme à revenir contre elle, la Demoiselle glissera ses lèvres sur les siennes.

[En fait, je viens seulement de réaliser ce que je lui ai fait à ma pauvre Amne'... xD... Pas très cohérent qu'elle soit restée debout jusque là, et qu'elle ne se soit pas encore vidée de son sang... xD Trop forte xD Je me rattrape, je me rattrape... xD]

Le jeune homme avais porter la demoiselle sans trop de mal jusqu'à la grande et majestueuse cité de Diantra. Après avoir réussi a trouvé une auberge peu fréquenter, les jeunes gens y avais élu domicile, seulement le temps que la jeune femme reprennes ses esprits et commence a grérir. Lorsque le rôdeur avait fait le tour de la chambre et avais fini par déposer la douce sur le lit, celle-ci lui pris le bras pour le retenir. Il senti les doigt glacer de la jeune femme contre son bras, ce qui lui fit réaliser qu’il devait se presser pour la soigner au plus vite. Se retournant vers celle-ci, le demi-elfe s’accroupi a côter d’elle pour la fixer dans les yeux et comprendre ce qu’elle voulais dire ou faire.

Hellyor regarda la blessure de la demoiselle, puis avala de travers lorsqu’il vit que la sang commençait a sortir de la plaie et d’imbibé les draps, lorsqu’il s’en allais se lever, a la grande surprise d’Hellyor, la demoiselle l’embrassa. Le baiser était doux et passionner contre ses lèvres, le jeune homme lui rendit avec autant de passion, mais il dû se décoller bien assez rapidement pour ne pas perdre de temps a la soigner. Se levant, le rôdeur commença par dévêtir la jeune femme de sa cape et de sa sacoche qui contenais les fioles. Après l’avoir débarrasser de ses choses encombrante, le demi-elfe pris un drap qui traînait sur le bureau puis le déchira en lambeau pour faire des languettes de tissu.

Ensuite, lorsqu’il eu finit de déchirer les draps qu’il rembourserais a l’aubergiste, Hellyor se dirigea vers la chambre de bain et chercha un bol pour y mettre de l’eau, mais il n’y en avais nul part dans leur chambre. Revenant dans la pièce principal, ses yeux se posèrent sur la jeune femme étendu sur le lit qui était entrain de se vider de son sang. Serrant la mâchoire devant ce spectacle, le jeune homme sorti de la chambre en dévalant les escalier a tout allure et se dirigea vers l’aubergiste d’un pas décider. Au moment où il arriva devant lui, le jeune homme le regarda d’un regard insistant qui voulais dire que celui-ci voulais lui parler où personne ne pourrais les entendre. L’aubergiste le regarda toujours avec le regard méfiant et l’invita a venir dans la pièce qui ce situais derrière le comptoir. Enfin rendu derrière, a l’abris des regards, le rôdeur pris sa bourse et retira des pièces pour payer la chambre et un surplus beaucoup plus important qui étonna l’aubergiste.

-Avec l’argent supplémentaire, vous irez me chercher des vêtement pour moi et pour la demoiselle que je portais tout a l’heure dans mes bras, ensuite vous irez prendre de quoi soigner les hémorragie interne, aller quérir un médecin de préférence, qui sauras de faire discret. Ensuite, lorsque vous m’aurez accompli tout c’est tâche, je vous payerez le triple de ce que vous avez maintenant en main, mais surtout n’ébruité rien a qui que ce soit, sinon je pourrais devenir violent…

Toujours dit avec un sourire chaleureux, le demi-elfe se leva sans attendre la réponse de l’aubergiste, qui devait maintenant être traumatiser de ses nouveaux venu, mais qu’importe. Le jeune homme se dirigea vers le comptoir et pris un large bol qui pourrais contenir suffisamment d’eau pour ce qu’il avait a faire. Il remonta le plus vite possible en se dirigea vers la chambre qu’il avais pris quelque instant plutôt. Lorsqu’il entra dans la chambre, Hellyor s’assura que la demoiselle était toujours consciente et qu’elle respirais toujours, puis ensuite il se dirigea vers la chambre de bain a nouveau et rempli le bol d’eau. Au moment ou le bol fut plein, le rôdeur sorti avec et le déposa la table de chevet près de la demoiselle.

Tandis que le jeune homme se soustrayait à son baiser, il en viendra à s’occuper plus amplement d’elle, retirant la cape et la sacoche, en tout premier lieu. Ne protestant pas, elle se redressera tout de même pour lui faciliter la tâche, prenant appui sur ses coudes. Puis, il en viendra à s’emparer d’un drap, le réduisant en lambeaux, avant de se diriger vers la petite salle de bain.

Suivant d’un vague coup d’œil ses faits et gestes, elle grimacera doucement en songeant à ce qu’il devrait payer par la suite, doutant fort que le gérant n’apprécie la mise en pièce des constituants de ses chambres… Mais qu’importe, elle le rembourserai… Songeuse, elle distinguera l’ombre du jeune homme se glisser hors de la pièce, a vive allure. Elle fermera alors les yeux, un instant. Il reviendrait, sans nul doute. Aucune raison, donc, de se soucier de ce fait.

Ce qui se passa, finalement, avec l’aubergiste, restera inconnu aux yeux de la Demoiselle allongée en cette pièce. Le temps se faisait long. Elle s’imprégnait de chaque détail de ce lieu, se concentrant sur la moindre petite faille qui pourrait l’empêcher de se laisser aller à ce désir simple de fermer les yeux.

Alors, elle se redressera péniblement, cherchant d’un vague coup d’œil sa sacoche. Sans tarder, elle la trouvera, et s’aidant de ses coudes pour se redresser, elle se glissera vers celle ci. Ainsi, ses doits glisseront en son sein, afin de s’emparer d’un simple morceau de cuir, lacé et refermé sur lui même, créant ainsi une petite bourse.

Satisfaite, elle se redressera une nouvelle fois, et reviendra s’allonger, déposant la bourse près d’elle, l’ouvrant afin d’en examiner le contenu. Quelques secondes plus tard, à peine, elle décidera que cela devrait largement suffire… Aussi, elle la refermera, et la posera à nouveau à son côté, en évidence.

Au bout d’un certain temps, elle finit par percevoir le son des pas du jeune homme, légers, tandis qu’il revenait au sein de la pièce, et retournait en cette salle de bain, remplissant une grand bol d’eau. Puis il reviendra. L’attendant, la Douce fixait le rideau qui lui dissimulait la fenêtre, un souffle échappant à ses lèvres. A ses côtés, donc, gisait désormais une petite bourse de cuir.

Finalement, il déposera le bol auprès de la jeune femme, attirant l’attention de cette dernière, qui glissera ses iris sur son compagnon, esquissant un fin sourire. Inutile de l’alarmer d’avantage. Alors, elle profitera de cet instant pour jeter un coup d’œil au bras du jeune homme, cherchant à s’assurer que, petit à petit, le baume faisait son effet.

« Il serait nécessaire que vous vous reposiez… également… Je n’apprécierai pas de vous voir tomber d’épuisement après pareille journée… D’autant plus qu’il me serait fort délicat… de venir vous relever… »

Ce murmure, simple souffle, calme, conservait cette douceur qui était propre à la Demoiselle, tandis qu’elle croisait son regard, un vague sourire toujours présent sur ses lèvres, désormais immobiles.

Le jeune homme avais commencer par mettre en lambeau le drap et avais chercher un bol pour y mettre de l’eau, mais sans le trouver. Il devait soigner la jeune femme au plus vite, alors il dû faire quérir un médecin par l’aubergiste, qui n’avais pas du tout l’air de le porter dans son cœur. Maintenant qu’il avait trouver le bol d’eau et qu’il pouvais enfin soigner la demoiselle, le rôdeur ne se priverais pas de faire son devoir envers elle. S’ayant accroupi auprès d’elle, Hellyor regarda la demoiselle dans les yeux, puis il glissa ses yeux vers la plaie toujours ouverte. Le demi-elfe s’apprêtais a tremper l’une des première languette, lorsqu’il entendit la jeune femme lui murmurer quelque chose.

-Je vous soignerez comme vous, vous m’avez soignez.

Alors que le rôdeur terminais sa phrase, il vit près de la douce, une bourse largement rempli, il comprit aussitôt que c’était pour l’aider a payer les frais des dégât qu’il engendrerais. Avec un doux sourire sur les lèvres, Hellyor pris la bourse en la déposant sur la petite table de chevet, puis trempa l’une des languettes en la trempant dans l’eau tiède qui avais dans le bol. Avec le plus grande délicatesse du monde, le jeune homme commença a épongé autour de la plaie, pour enlever le sang, lorsqu’il eu fini de tout nettoyer, il jeta le morceaux de tissu en n’en prenant un autre. Quelques instant plus tard, des pas se firent entendre dans l’escalier, alors le jeune homme tourna la tête vers la porte pour voir entrer l’aubergiste ainsi qu’un homme vêtu d’une grande cape. Le demi-elfe observa un instant l’homme qui portais la cape, puis se leva pour se dirige vers lui et l’aubergiste.

-Merci d’être venu, la demoiselle a été blesser par une lame et celle-ci a endommager quelques tissus ce situant dans les côtes. Je vous payerez le prix que vous demander, mais je vous en pris, faites votre possible pour la soigner et le plus vite possible.

Le médecin se dirigea vers la jeune femme qui était étendu sur les draps, puis l’observa pour savoir son état de santé et constata qu’il n’y avais que la plaie comme blessure majeure. Hellyor le fixais avec les bras croiser sur son torse et se tourna vers l’aubergiste, il lui demanda s’il pouvais quitter les lieux le temps que le médecins fasse l’opération. Celui-ci les regarda un après l’autre, puis après un instant d’hésitation il quitta les lieux avec la plus grande discrétion du monde. Le médecins commença par sorti c’est outil pour faire des points de suture, mais avant il prit l’une des languettes du jeune homme et l’appliqua délicatement sur la plaie pour commencer et appuya de plus en plus fort. Voyant que la jeune femme n’avais pas l’air de trouver cela agréable, le demi-elfe vint a sont chevet pour lui prendre la main et la rassuré.

Elle sourit doucement, à sa réponse, mais ne répliquera pas. Certainement cela se serait-il avéré inutile, car le demi-elfe aurait probablement trouvé matière à répliquer. Ainsi, elle retrouvera son Silence, et se contentera de relever les yeux vers le plafond, qu’elle connaissait dès lors dans ses moindres détails.

Cependant, malgré toute la douceur apportée, la jeune femme se contractera tandis qu’il approchait un peu trop des zones périphériques de la plaie, rendues plus sensibles par cette dernière. Mais à nouveau, elle ne dira rien. Son corps parlait amplement à sa place, inutile donc d’en rajouter. Elle le laissera alors continuer de nettoyer autour de la blessure, parachevant de trouver quelconque faille à ce plafond qu’elle commençait apprécier pour son hétérogénéité incontestable, lui offrant là matière à se distraire des choses environnantes, bien que ceci ne possède certes grand intérêt.

Après quelques instants, des pas finirent par se laisser entendre. Ainsi, chacun tournera la tête en direction de la porte, qui laissait place à deux protagonistes. Là, la jeune femme devinera le premier comme étant l’aubergiste, l’ayant très vaguement aperçu tandis qu’ils pénétraient en ce lieu. Le second, en revanche, lui était inconnu. Après une vague étude, elle jettera un coup d’œil vers Hellyor, cherchant une explication. Cependant, celui ci la délaissait déjà, se dirigeant vers ces hommes qui étaient alors la source de toute son attention.

Alors, elle prêtera une oreille attentive au vague échange qui aura lieu entre les protagonistes, fronçant les sourcils. La soigner ? Ainsi donc, il s’agissait là d’un médecin… A nouveau, elle reposera ses iris sur Hellyor, cherchant à capter son attention. Mais vainement. Elle avait en horreur la plupart des personnes exerçant cette profession. De ce fait, la Demoiselle se crispera d’avantage, tandis que la cause de son angoisse allait en sa direction, fermement, et s’installera à ses côtés. Il portait une longue cape.

Alors, après quelques mots du demi-elfe, l’aubergiste sortira de la pièce, après une vague hésitation. Mais là n’était à nouveau nullement son sujet d’intérêt, car la Douce observait du coin de l’œil le dit médecin préparer ses affaires, et son compagnon rester à l’écart. Finalement, surprise, elle gémira sourdement de douleur, tandis qu’il déposait la languette de tissus sur la plaie. Gémissement qui se muera en un cri bref mais déchirant tandis qu’il appuyait d’avantage, et sans plus de ménagement.

Soudainement, une main se refermera sur la sienne, mais la douleur était telle qu’elle mit un certain temps à distinguer clairement son visage. Alors, elle refermera ses doigts sur sa main, détournant son visage de celui qui, selon elle, se complaisait à la torturer, ainsi. Bien qu’évidemment, ceci ne soit pas entièrement la vérité. Sa respiration était faible, et saccadée, et sa seconde main s’était refermée sur un tissu qui gisait sous elle.

Et elle attendait, suppliant Silencieusement qu’il ne retire hâtivement cette pression douloureuse, exercée sur sa chaire. Cette pression qui assombrissait ses songes, et engourdissait le moindre de ses membres. Finalement, elle fermera les yeux, et resserrera l’emprise qu’elle maintenait sur le tissus, épargnant volontairement la main du jeune homme à ses côtés.

Tout le monde qui se situais dans le chambre de l’auberge a se moment-là, étaient concentrer sur la jeune demoiselle blesser au côte. Le médecin ,qui s’occupais désormais de la douce, prenait tout le temps nécessaire pour ne pas la blesser d’avantage et lui procurer plus de souffrance qu’elle n’en avais déjà. Le médecins fixa la plait avec beaucoup plus d’attention, puis pris un autre morceau de tissu en le mouillant et l’appliqua directement sur la plaie de la demoiselle, en sachant fort bien que cela lui provoquerais une énorme douleur peut-être même jusqu'à l’évanouissement. Il planta son regard dans celui de la jeune femme pour tenter de lui donner plus de courage, mais Hellyor douta qu’il réussisse malgré la force de la jeune femme. Après un moment qui paru interminable au jeune homme, le médecin retira la languette de tissu, puis la jeta au sol avec le reste des morceaux. Le professionnel pris un segments de fils et l’enfila dans une longue aiguille. Il fixa le demi-elfe, puis retourne sont attention sur la plaie de l’humaine, ensuite il pris une bougie et chauffa le pointe de son aiguille jusqu'à ce que le bout de l’aiguille sois rendu rouge de chaleur.

Hellyor fixa la bout de l’aiguille avec appréhension et descendit doucement le regard vers celui de la jeune femme pour tenter de la rassurer. Il leva un bras pour venir poser délicatement sa main contre la joue de la demoiselle en souriant, puis le jeune homme se pencha pour venir poser un doux baiser sur les lèvres d’Amnesia. Au même moment, le médecin profita de la diversion pour entrer son aiguille une première fois dans la chair de la jeune femme. Le rôdeur releva la tête pour regarder attentivement le médecin a l’œuvre. Celui-ci continua sont petit manège jusqu'à ce que la plaie sois complètement refermer avec le fils. L’homme remis c’est instruments dans sa trousse puis se releva en fixant les deux jeunes gens qui se trouvaient dans le lit. Hellyor se releva en contournant le lit et tendit la main au médecin pour le remercier. Tout en serrant la main du demi-elfe, le médecin souffla :

- La jeune femme a besoin de repos pour que sa plaie cicatrise bien, je reviendrai la voir dans quelque jours pour surveiller sa plaie.

Après ces quelques paroles, le médecin se dirigea vers la porte et l’ouvrit en accordant un dernier regard a la malade, puis sorti de la pièce en refermant la porte derrière lui. Ils étaient maintenant seuls et la jeune femme était saine et sauve. Avec des pas légers, le jeune homme se dirigea vers l’amas de tissu qui juchais le sol, il le pris dans ses bras en se dirigea vers la porte pour aller jeter tout les morceaux imbibé de sang. Avec fort difficulté, Hellyor ouvrit la porte et descendit les marches en allant vers l’arrière de l’auberge et jeta l’amas de tissu dans un énorme conteneur a déchets. Le plus rapidement possible il regagna sa chambre en refermant la porte derrière lui. Le rôdeur se retourna vers la douce en souriant, puis vint se placer près d’elle en l’abriant d’un draps propre et soyeux.

- J’espère que vous allez mieux que tantôt. Si vous avez une quelconque demande, je serais dans la chambre de bain pour me laver un peu, vous n’aurez qu’a me faire signe.

Sur ces mots, il déposa un dernier baiser sur les lèvres de la douce et se dirigea vers la chambre de bain avec une serviette qui était poser sur la chaise devant le bureau. Lorsqu’il entra dans la pièce, le jeune homme commença par se dévêtir et pris un bol en le remplissant d’eau froide, puisque sais tout ce qu’avait l’aubergiste. Il commença par se laver le torse, plus particulièrement les plaies, puis se lava entièrement le reste du corps, et du fait même, ses cheveux. Après s’être entièrement laver, il se rendit maintenant compte qu’il n’avais apporter aucun vêtement de rechange, et n’avait pas eu le souvenir de voir l’aubergiste lui en rapporter, alors il noua la serviette autour de son bassin, puis sorti de la chambre de bain ,encore trempé, devant la jeune femme.

Sujet: Re: repos[ pv Amnesia] Jeu 23 Oct 2008 - 19:29

Les agissements du dit médecin semblèrent aller en délicatesse, tandis qu’il se montrait alors plus à l’écoute de la jeune femme qui, sous l’emprise de la douleur, semblait au seuil de l’inconscience, bien que sa main restait crispée sur le drap sur lequel elle était alors allongée. Elle fuyait son regard, un regard absent, embrumé. Finalement, l’homme relâchera la pression imposée sur la plaie, bien que celle ci continuait à élancer la Demoiselle avec force, et s’empara d’une aiguille et d’un bout de fil, bien que ceci restera inconnu à la patiente, qui portait toute son attention à rester pleinement consciente, et cherchait le regard de son compagnon.

Elle finit alors par discerner une expression étrange sur le visage de ce dernier. De l’angoisse ? Puis, il descendit le regard vers elle pour la rassurer, mais trop tard. Tandis qu’il glissait délicatement sa main contre sa joue, elle portera un vague coup d’œil sur le médecin, et distinguera l’aiguille chauffée à blanc. Cependant, sans lui laisser le temps de réagir, son compagnon viendra déposer un baiser sur ses lèvres. Ainsi, profitant de la situation, l’étranger fera pénétrer l’aiguille dans la chaire de la douce, qui ne pourra que se soustraire au baiser du jeune homme, pour laisser échapper un faible cri.

La torture continua ainsi, jusqu’à ce que la totalité de la plaie soit plus ou moins refermée par cette méthode pénible. Alors, l’homme se redressera, et rangera ses instruments, les uns après les autres, avant de se relever et de fixer les deux jeunes gens pour qui il s’était déplacé en ces lieux. Elle ne les observera pas se saluer, tout comme elle ne prêtera nulle attention aux paroles échangée. Calmement, elle tentait de reprendre son souffle, les yeux fermés, tandis que la plaie l’élançait toujours, et inévitablement.

Finalement, le médecin quittera la pièce, les laissant à nouveau à leur intimité. Le jeune homme s’affairera alors à ranger un peu, et s’en ira jeter les lambeaux de tissus qui jonchaient le sol, la délaissant un instant. Cependant, bien vite, ses pas se laisseront une nouvelle fois entendre près de l’entrée, tandis qu’il revenait doucement vers elle, la couvrant d’un drap visiblement épargné par toute cette histoire.

Alors, il s’adressera à elle, et quelque peu éprouvée, la jeune femme, pour seule réponse, hochera doucement la tête et, déposant ses iris sur sa personne, lui accordera un fin sourire. Alors, déposant un baiser sur ses lèvres auquel elle répondra cependant, il s’éloignera, emportant une serviette qui se trouvait là, dans la pièce.

Pendant ce temps, la jeune femme fermera à nouveau les yeux, tandis que doucement, la douleur s’atténuait. Ou bien, peut être était-ce simplement sa sensibilité qui s’atténuait pour faire face à la douleur… Mais qu’importe, le résultat en était le même, et enfin, elle s’accordait un instant de calme, semblant quelque peu plus sereine.

Après un certain temps, le jeune homme finit par revenir dans la pièce principale. Là, il trouvera la demoiselle assise sur le lit, tandis qu’elle détournait doucement ses iris vers son compagnon, esquissant un sourire non dissimulé tandis qu’il se présentait ainsi à elle. Alors, elle restera un instant à l’observer, ne semblant nullement gênée par la situation. Finalement, imprudente, peut être, elle se lèvera, et les jambes quelques peu tremblantes, bien qu’il ne faille sincèrement y faire attention pour le constater étant donné le mal que la douce se donnait, elle le rejoindra. Là, elle glissera sa main droite en son dos pour s’assurer un appui plus sûr contre le jeune homme, tandis que sa main gauche glissait sur son torse, encore humide. Et elle lui sourit doucement.

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