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 Un meutre effroyable

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Brennan Rox
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MessageSujet: Un meutre effroyable   Un meutre effroyable I_icon_minitimeDim 29 Juin 2008 - 15:08

L'urbanisme en ces temps là n'avait pas bonne réputation. Les villes humaines de l'époque étaient peut recommandable pour les personnes délicates. Les rues étaient étroites, sales et sombres : on y jetait les ordures et les eaux usagées ce qui favorisait les épidémies. Les villes possédaient un hôpital, des écoles, un marché, des temples et parfois des cathédrales, certes, mais ces bâtiments état tous entassé les contre les autres et étaient propices aux incendies. Il y avait dans l'air toujours ne sale odeur de pourriture. Les gens y vivaient entassés et étouffés. Partout, ou presque, on trouvait des mendiants, des clochards, des prostitués et des gens que la misère vivaient acculer. Le bruit y était infernal, toujours de brouhaha à toutes heures du jour. Même la nuit, il avait toujours quelque chose qui faisait de bruit. Sois un chien errant qui aboyait, un clochard qui hurlaient et les cris d’un bébé.



Mais villes humaine avait un atout: là étaient le commerce. Là, était l'art. Là, la littérature et la musique. Les artisans faisaient, par leur travail, de leurs villes le plus belles et les plus admirer. Boulanger et pâtissier saupoudraient l'odeur infecte des effluves délicieux et délicats de leur cuisine. Maçons, vitririer, souffleur de ver embellissaient l'architecture des villes par leur œuvres. Peintres et sculpteure garnissait les maisons et les places publiques de leur œuvres. Penseur, philosophe, savant et chercheur faisait briller la ville de leur savoir. Poètes, ménestrel et barde essayaient d'enterré le boucan des villes. Cette horde d’artisan, d’artiste et de chercheur étaient le poivre qui masquait le goût infecte de la ville, Ils arrivaient à la rendre bonne au goût pour certain.



Mais il y avait qu’une chose que ces hommes braves, courageux et passionné par leur métier n’arrivaient pas à masquer était la criminalité forte des villes. Car dit villes, dit pauvres et qui pauvres crimes. Les autorités étaient débordées par les vols, les vols, le racket, les viols, les contrebandes et le marché noir. La ville n’avait pas les outils pour contrer la criminalité. Car ceux qui s’occupaient des choses judicaires s’occupaient aussi des choses militaires. En plus, le roi pouvait rappeler ses unités et en mettre d’autres qui ne connaissaient en court. La chose était tel que les criminels s’affichaient aux grands jours et pouvait se ressembler en associations officiels. Il était coutume à l’époque qu’au lieu d’aller les autorités pour trouver justice, on demandait à des chasseurs de primes. Cette pratique était très courante chez les riches et les bourgeois qui n’avaient de temps à perdre à attendre que la garde daigne se pencher sur leur cas. Ainsi donc, quand Albon Lelong, marchant respecté et aimer, fut cruellement torturé et assassiné dans son propre domicile alors que sa famille était partis, la femme du dit Albon s’empressa de mettre une annonce sur la place publique,



Brennan était alors en ville pour chercher des nouveaux contrats et il tomba sur l’annonce en premier. Bon il devait la réserver. Ça ne le gênait pas de partager la prime mais ils voulaient qu’une équipe prennent le contrat. Il fit donc une coutume que les chasseurs de prime fesaient les chasseur primes. Il déchira le bas de la feuille finement et cela voulait que la contrat voulait pour ceux qui savaient reconnaitre le signe.On pouvait toujours discuter d'une copération mais on ne pouvais plus espèrer avoir toute la prime.


Brennan alla donc à la maison de Albon avec son fidèle Neufs-Nuits. Une belle maison, joliment construit et décoré dans une quartier très gaie et paisible. Enfin paisible, pour une ville.Il cogna donc, une dame lui ouvrit. Brenna lui sourit.

"Bonjour, je viens pour l'annonce."

-Entrez, mais entrez.

Brennan entra et regarda autour de lui. Albon avait beaucoup de goût, c'était assez joli. Mais bon, ne perdons pas de vue l'objectif.

"Le corps est encore ici?"

-Rien n'as été déplacé, depuis.....enfin....cette évènements

"C'est parfait. Je peux voire la scène du crime?"

Madame Lelong le conduisit au dis lieu. Albon était par les pieds au plafond de son bureau. Son coprs était couvert de lésions et d'entaille, sa machoir et ses ongles était arrachés. Ses entrailles était ouvertes et on voyait les cottes. Son crâne était sclaper. Albon avait du certainement souffrir.

"Hum, un travail intéressant."

Le marjodôme entra.

-Madame, quelque veux aussi se joindre à l'annonce.

Dame Lelong regarda Brennanx et celui-ci aquieça. La maitresse fit signe à son serviteur de laisser entrer la personne. Brennan regarda son future coéquipier ou coéquipière.


Dernière édition par Brennan Rox le Mar 8 Juil 2008 - 13:20, édité 1 fois
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Valja
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MessageSujet: Re: Un meutre effroyable   Un meutre effroyable I_icon_minitimeVen 4 Juil 2008 - 9:51

Si Valja détestait les villes pour leur forte propension à attirer tous, et surtout n'importe qui, elle devait avouer qu'elle avait parfois bien besoin d'une ville. Pour se ravitailler, pour avoir des informations correctes sur le monde autour, ou bien juste pour gagner de l’argent. Ce n’était donc pas du tout de gaité au cœur que la jeune fille s’avançait dans les rues bruyantes de Diantra. A vrai dire, et à entendre les longs soupirs qu’elle poussait, elle aurait bien aimé faire demi-tour, rentrer chez elle, se mettre au calme. Pourtant, elle marchait, évitant de se faire marcher sur les pieds et scrutant les passants d’un air mauvais. La Druidesse avait besoin d’argent humain. Or, chacun le sait, l’argent humain ne se trouve pas dans la ramure d’un cerf, elle se devait donc de trouver quelque chose à faire pour en gagner… Le tintement délicat des ornements, au bout de son bâton de combat, s’arrêta brusquement. Sur un mur décrépi, entre diverses affiches ventant les bienfaits de boissons toutes plus étranges les unes que les autres, le regard de la jeune Semi-Elfe s’était posé sur une affichette dont le bas était légèrement arraché. On demandait réparation pour un meurtre sordide commis sur un marchand respecté.
Valja eu un sourire forcé. Un meurtre d’humain, ce n’était guère intéressant, et elle voulait partir au plus vite de la cité de Diantra. Alors elle détourna le regard et reprit sa marche dans les ruelles sordides, évitant avec application les quartiers confinés où les malades de la peste étaient reclus, se fondant plus ou moins dans une foule compacte. Elle se sentait mal, ici. Elle se sentait différente, elle savait qu’en rentrant dans les bois elle porterait sur elle l’odeur de l’homme, qu’il lui faudrait se laver pour reprendre ses droits naturels, que les animaux qu’elle appréciait ne l’approcherait tant qu’elle serait souillée par les odeurs humaines. Elle passa ses bras fins autour de ses épaules sans lâcher son arme, se protégeant presque. Elle allait trouver quelque chose à faire, et rentrer chez elle.

Quelques heures plus tard, elle était devant la maison du marchand assassiné, se demandant bien comment elle allait faire pour supporter ce travail. Peut être pourrait-elle repartir, et tirer un trait sur l’argent humain ? Mais non. Elle en avait vraiment besoin, non pas pour elle mais pour une portée de louvarts… Comment rentrer la tête basse, se dire qu’ils trépasseront bientôt, tout cela à cause de son obstination à ne rien avoir à faire avec les humains ? La Druidesse serra encore plus fort son bâton immaculé et fronça les sourcils. Avec un peu de courage, elle s’en sortirait très bien, et les louveteaux ne mourraient pas. Son petit poing, fin comme celui des poupées, heurta doucement la porte. Un homme, sûrement le majordome, ouvrit. Il avait le regard des bœufs, un peu stupide mais surtout heureux de trimer, et observa Valja avec un regard critique, voire même franchement interrogateur. Il ne semblait pas comprendre ce que voulait son vis-à-vis, comme si une frêle jeune femme ne pouvait faire autre chose qu’être femme au foyer. Levant sa main, elle montra l’affichette demandant de l’aide qu’elle avait décollée du mur.


- C’est pour le meurtre ?

La Druidesse eu un mouvement d’agacement semblable à ceux qu’ont les chevaux : elle secoua la tête, faisant tinter les ornements d’argent dans ses cheveux noirs, mettant en mouvement les perles cristallines qui parcouraient, comme des trainées de neige, l’obsidienne de sa crinière, et exprimant son énervement bien mieux qu’une phrase. Cet humain était un peu simple d’esprit, mais il comprit tout de suite. Valja fut menée à travers des couloirs au luxe inutile, meublés de pièces de marqueterie colorées et tapageuses, au sol couvert de tapis épais en laine. Elle grimaça en songeant au nombre d’animaux utilisés comme des objets dans le seul objectif de satisfaire les pulsions m’a-tu-vues de stupide marchands, mais se tut et entra dans le bureau où le massacre avait eu lieu. Le regard semblable aux pommes immatures de la demoiselle se posa sur un homme qui était déjà là, un sourire aux lèvres comme s’il appréciait le meurtre, et sur une femme qui était visiblement bouleversée. Un aventurier quelconque ayant vu l’annonce, et la femme du mort, en déduit la Semi-Elfe. Serrant son bâton orné contre elle dans un vain geste de protection, elle fit quelques pas dans la pièce sans prononcer un mot. Sa résolution, soudain, était moins forte, elle avait peur. Un monde hostile, face à elle, se dressait soudain dans toute son horreur : celui des relations entre êtres prétendument pensants. Elle savait très bien qu’elle paraissait étrange, avec ses pieds nus, son pagne et son haut de lin tissé, les ornements à ses poignets, dans ses cheveux et à ses chevilles, son bâton tintant doucement dans le silence. Peut être la croyaient-ils à moitié sauvage ? Ils n’avaient pas tort.
Enfin, elle se décida. Deux pas plus tard, elle était sous le mort, regardant la scène d’un air détaché. Ce n’était qu’un humain. Aurais-ce été un animal qu’elle aurait poursuivi le meurtrier et lui aurait fait cracher les tripes en guise de représailles. Mais pour un humain…
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Brennan Rox
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MessageSujet: Re: Un meutre effroyable   Un meutre effroyable I_icon_minitimeJeu 17 Juil 2008 - 16:10

(désolé pour l'attende, trente lignes c'est dure à faire.)
Brennan Rox avait déjà commença à inspecter les lieux. Il ramassait tout ce qu'il pensait être un indice avec un gant et l'étudiait puis le reposait ou le mettait en sécurité, dans son sac. Il évitait de prendre les objets de valeur sans permission pour ne pas passer pour un voleur. Neufs-nuifs lui cherchait aussi mais certainement pas des indices. Il mettait sa truffe partout où il pouvait et en tant normal, on aurait demanda Brennan de le rappeler. Mais là, on aurait plus pensé qu'il aidait Brennan. Cela n'était pas le cas, Brenan le laissait faire temps qu'il ne le gênait pas. Le regard du métis était fanatique, il murmurait des hypothèses avec entrain. Il sembla extasier de résoudre ce crime. Il en avait oublié la jeune femme qui était là pour faire le contrat. Un défaut que Brennan devait corriger en groupe mais pour l’instant il avait d’autres chat à fouetter. Il la heurta. Au lieu de s'excuser, il lui exposa son hypothèse sur le meurtre


"Les meurtriers sont arrivés par la fenêtre, comme le prouve la serrure. Ça se voit qu’on l’a crocheté. Aussi nous trouvons des marques de crochets ou de arpons sur le rebord de la fenêtre, c e qui appuie mon affirmation. Pourquoi sont-ils plusieurs ou non pour ce délit? Cela explique. À certains niveaux de son corps nous trouvons des marques de doigt et d’ongles, comme si on avait voulu retenir Albon. Ces marques sont aussi vielle que les croutes près de la mâchoire de la victime. Les probabilités que mon hypothèse sur le nombre des meurtriers sois fausses sont minimum dix-sept pour cent et maximum trentes. Pour ce qui est de la méthode , les meurtriers sont entrer, on discuter et puis on attaqué Albon. Pourquoi? D’abord, la taillerie et les tasses ont on de thé ressent. Je connais peu de criminels qui prennent le en commettant leur délit. Donc je pense que Albon leur offert du thé avant de se battre. Le traces de luttes sont partout, la victime savait se battre malgré ce tout le monde pensais. Ses assaillants l’ont ensuit déshabillé et attacher. J’ai trouvé de la Coussoude d’or, un analgésique puissant et doublé d’un stimulant, dans sa bouche. En infusion, cette plante calme, mais mangez cela rend fou, certains guerrier en mange pour augmentez leur endurance. Parole d’herboriste, on trouve cette plante dans toutes bonnes compagnies de mercenaire.

Mais pourquoi lui faire marcher cette plante? Pour pas que ses blessures le rendent inconscient. Cette plante est aussi utilisée par ceux qui veulent torturer leur victime très longtemps. Parole d'herboriste, ces plante se retrouve sur les étales drows très souvent et certes que pour leur guerriers. Donc, les meurtriers ont voulu lui arracher un informe. Je ne pense pas, ils ne lui auraient pas coupés la langue si c'était le cas. Je pense à une punition et trois preuves pour étayer cette théorie. Comme le prouve ses yeux encore présent, comme on voulait qu'il voit ce qu'on lui faisait. Deuxième indice, j'ai trouvé plusieurs ouvrages dans la pièce assez sombre parlant de forces sinistres et de culte sombre. Troisième indice, j'ai trouvé une note elfique dans le fond de sa gorge. Traduit en commun ça donne à peu près : Que celui qui a commis la faute paie. Est-ce les elfes qui ont commis ce crime? Non, l'elfique très beaux et qui se prête bien aux louanges et textes religieux. Plusieurs cultes secrets l'utilisent, même les plus sombres. Cela exclu les cultes drows et nains, tous deux répugnent à utiliser l'elfique dans leur culte.

Donc la probabilité pour que j'ai tort est de vingt-neuf à trente-neufs pourcent. À moins que vous ayez une autre hypothèse, je propose de poursuivre sur cette piste"

Pendant toute son explication, il avait bougé partout dans la pièce, montrant tous ses indices et faisant beaucoup de gestuelles Il regarda sa collaboratrice. Un humain était ignorant à sur les elfes l'aurais prise pour un être sylvain, vice-versa pour le monde elfique. Mais Brenan avait habité au de là de vingt ans avec un demi-elf et savait reconnaître un demi-elf quand il en voyait un. Il voyait la forme ovale de son visage et trop pas assez fin pour être elf. Il remarquait aussi que sa poitrine était trop développée pour une elfe standard. Ses hanches étaient aussi trop larges pour une elf. Sa taille était trop fine et ses épaules pas assez larges pour une humaine. Oui, c'était une demi-elf aussi sûre que Brennan était demi-drow. Brennan adorait travailler avec les demi-elfs, ils étaient faciles à vire. Les elfs étaient gentils,mais avaient une certaine suffisance vis-à-vis les autres races qui agaçait Brenan. Les humains avaient beaucoup de préjugés, ce qui ne facilitait pas la collaboration. Les nains étaient joviales mais assez renfermés face à ceux qui n'étaient pas de leur espèce, Burrich était un cas à part.



Les drows étaient trop sanguinaire pour Brennan. Les demi-drows qui avaient grandi parmi les humains étaient trop susceptibles sur leurs natures, Brennan était l'exception qui confirmait la règle, et ceux élevé parmi les drows ne valaient guère mieux que les parents drows. Mais les demi-elfes avaient tous les qualités qu'aimaient Brennan chez ses compagnons. Ils étaient compréhensifs, ouvert et enjoué pour la plupart. Quoi que cette demi-elf était assez timide. Surement l'apparence de Brennan la mettait malaise. C'était rien, il était habitué.

"Mais j'ai oublié de me présenter. Je me nomme Brennan Roux. Ma génitrice était Drow et mon géniteur humain. N'ayez crainte, j'ai adopté par une humaine fantastique et éduquer avec l'aide d'un de vous semblables, je n'ai rien de rassemblant avec mes cousins sombres à part le physique. Et je pense aussi vous ne devez sentir à l'aise parmi tant d'humains, voudriez-vous retirez loin de la scène? De la ville si vous voulez, j'ai tout ce qu'il me faut pour débuter mon enquête. Jeconnais un joli petit bois non loin d'ici."

Il lui tendit une main amicale et lui fit son sourire le plus doux et le plus avenant. On disait souvent que Brenan avaient de bonnes habilités sociales quand il voulait, ils savaient mettre les gens mal à l'aise.

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