Shiba Dokuro [Guerrier]

Nom/Prénom : Dokuro Shiba
Âge : 22 ans
Sexe : Mâle
Race : Demi-Elfe
Particularité : Il est droitier...

Alignement : Neutre.
Métier : Forgeron pour lui même - Guerrier

Classe d'arme : Corps à corps.

Équipement :
Shiba possède un compte dans une banque du royaume nain, dans lequel il à stocké son armure de combat faîte de fer noir. Elle ressemble à cela ( sans les pointes au extremités des mains et des pieds) :
http://celebrenithil.deviantart.com/art/SDL-Kurumi-Ashuramu-69657334
cependant les parties souples son faîtes de cuir, et les rigides d'un métal noir propre aux nains d'une solidité et d'un poids exceptionnel. En dehors de cela, il ne possède qu'un keikogi noir en satin très résistant, ainsi qu'un Hakama de même couleur en tergal. Son sabre Matamune est sa fierté, il l'a forgé lui même aidé d'un artisan nain. Ce sabre fait un bon mètre, sa garde fait 30 cm. Il est ouvragé et très solide, son tranchant vaut celui d'un rasoir.

Description physique :
Shiba est moyen de taille, il fait dans les 1m75 mais il possède une carrure impressionnante. Il a une musculature longiligne et tout les muscles en lui sont particulièrement dessinés, forgés grâce a de longues heures d'entrainement répétitives. Il est endurant et capable de courir très vite sur une courte distance pour conserver ensuite un rythme constant. Son souffle est chaud et il respire tout le temps à grosses et lentes bouffés. Les yeux du Dokuro sont verts, étincelants et sa bouche est bien dessinée. Il possède des cheveux mi-long avec des mèches irrégulières qui lui tombent devant les yeux, ils sont bruns avec des teintes variant du chocolat au caramel doux. Sa peau est très blanche, bien qu'il ai des traits asiatiques, elle est aussi couverte de multiples cicatrices sur le torse et les mains. Ses pieds sont grands, ce qui lui permet une bonne stabilité. Il est fort, c'est indubitable, mais il n'est pas un butor et sa force n'est rien face a celle des guerriers nains. Shiba pratique un art de combat très particulier, décrit plus loin dans l'histoire.

Description mentale :
Shiba est un homme très... Renfermé, en effet il a beaucoup de mal à se faire des amis et les rares personnes qu'il arrive à accoster sont souvent hostiles envers lui de part sa nature si perturbante de "semi-elfe". Il s'avère être plein de compassion, cependant il le masque sous l'indifférence. Il n'hésite cependant jamais quand il trouve une personne en danger. Il ne faut cependant pas le confondre avec ces héros brutaux a la cervelle pas plus grosse qu'un petit pois , quand il s'engage dans une action, il pèse toujours le pour et le contre au préalable et conserve une certaine stratégie. Il ne sacrifierais jamais sa vie au combat, n'étant pas assez stupide pour privilégier l'honneur à sa survie. Il considère son sabre comme son meilleur allié en cas de bataille. Shiba à un mal fou à accorder sa confiance aux autres, c'est pourquoi il n'arriverai pas a rester dans une armée organisée. Autrement, c'est une personne active qui peut être cynique, un peu trop même !

Histoire :
( A venir)
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Comment trouves-tu le forum ? : Super ! l'on y fait de bons rps !
Comment as-tu connu le forum ? : C'est Nathys qui me l'a fait découvrir.

Je finirais plus tard.

Fyrander, Fyrander était son nom. Ce n'était pas un être comme les autres : Né de père elfe et d'une mère humaine, il était condamné a mourir plus tôt que son géniteur ! En parlant de lui, son père était un renégat, il avait refusé de se plier aux stupides coutumes elfiques qui voulaient que ce dernier ai un mariage arrangé. Fyrander l'admirait pour ceci, mais ce n'est pas le propos en ce moment même, parlons plutôt du jeune homme aux cheveux bruns ! Son histoire, je vous le dit, n'est pas toute rose, et je vais vous la conter :

Fyrander, était un enfant qui avait une vie plutôt... Spéciale, en effet, même sa naissance avait été étrange : Sa mère avait accouchée de lui par césarienne, et il avait déjà les yeux grands ouverts. L'on dit donc que Fyrander était un miraculé, ce n'était en fait qu'un semi elfe... Le reste de sa croissance se déroula dans un petit village humain nommé ST Patron. L'on se méfiait de la famille de part le simple fait que la nature du père était elfe. Beaucoup de rumeur circulaient, elles étaient toutes fausses et invraisemblable, si invraisemblables que même de pauvres paysans ne pouvaient y croire mais le pire ennemi de l'intégration était la désinformation, l'on les regardaient donc d'un air suspicieux. Le jeune Fyrander de n'en rendit pas compte avant un certain âge, car sa mère, dont la famille était installée ici depuis des générations et des générations, ne voulait pas qu'il grandisse dans la crainte d'être rejeté. Il passa donc sa petite enfance heureux, insouciant, mais ce ne fut malheureusement que passager. Eh oui, car le petit avait un problème massif, outre le fait qu'il avait des oreilles un peut plus pointues que la moyenne , et des traits un peu plus fins : Il ne grandissait pas comme les enfants de son âge. A 6 ans, il semblait en avoir 4 tout au plus. Cette différence attira les remarques des autres enfants, et il fut vite pris pour tête de turc : Il était le plus petit et le plus faible, bien qu'étant le plus âgé de sa classe. Il s'efforçait de le cacher à sa mère, car il ne voulait pas lui faire de la peine.

Evidemment, ce n'était pas la solution, et voyant que Fyrander ne rapportait pas, les enfants trouvèrent là une opportunité de se défouler. Le semi-elfe rentrait tous les soirs chez lui avec de nouveaux bleus, et feignait être très maladroit. Sa mère ne s'en inquiéta pas outre mesure, mais son père , Astigmat' , n'était pas dupe. Un jour, ce fut ce dernier qui vint chercher son fils a l'école. Fyrander, surpris, ne pensa pas à se douter de quelque chose, et il rentra joyeux, chez lui, en tenant la main de son père et en lui racontant toute sa journée en évitant soigneusement les détails "fâcheux". Tout en parlant, ils s'éloignèrent de la piste qui menait à la maison pour se rendre au village, sous l'influence du père. Le semi-elfe n'ayant rien remarqué, il parlait toujours avec son père, qui feignait l'attentivité extrême. Puis, arrivés dans le village ( qui méritait plutôt d'être nommé petite ville) le garçon commença à se poser des questions.Astigmat' le mena avec poigne jusqu'au quartier sombre de la ville. Fyrander commençait à avoir une sérieuse peur, une peur... bleue. Heureusement, la main rassurante de son père était en contact avec lui. L'elfe sortit de sa torpeur son enfant en lui montrant un mendiant couvert d'ecchymoses qui se faisait battre par quelques voleurs. L'homme s'était piteusement roulé en boule tandis qu'on le tabassait, puis quand les quelques brigands eurent finit de le frapper, ils le dépouillèrent et s'enfuirent sans même avoir fait attention aux deux spectateurs. Astigmat' dit alors une phrase qui resta gravée dans la tête de Fyrander, parce qu'elle n'était ni touchante, ni horrifiante, elle relatait simplement les choses : "Ainsi finissent les faibles et les handicapés, sous les coups des brigands".

Quelques jours plus tard, Fyrander pris son courage à deux mains en rentrant de l'école ou il s'était fait une fois de plus taper dessus. Il se dirigea vers la chambre de son père, y entra , referma la porte et trouva son père planté dans un fauteuil, en état de méditation. D'une voie tremblotante ou perçait la crainte, il raconta tout ses malheurs. Cela sembla prendre des heures, mais ce n'était en réalité qu'une dizaine de minutes, il déversa tout ce qui pesait sur son estomac, tout ce qui ne sortait pas en temps réel. Le père, a la suite de ce monologue, décida de prendre en main l'éducation guerrière de son fils. Il lui appris rapidement a tirer à l'arc, ce dernier étant doué naturellement de part son coté d'elfe sylvain. Il se révélait être beaucoup moins précis et rapide que les elfes, mais il débutait, et puis c'était normal car il était de sang mêlé ! Les entrainements lui firent se dessiner ses muscles, il prit un peu de carrure. C'est à peu près à ce moment là qu'il devint le contraire de ce qu'il était auparavant dans les relations sociales : "Quelqu'un qu'il ne fallait pas énerver". Mais Fyrander n'était pas décidé à s'arrêter là, il faisait du tir a l'arc depuis 6 mois, et avait déjà acquis tout ce qu'il fallait savoir, il fallait dire qu'il était plutôt bien lotis du coté du professeur. Un jour de cours comme un autre, son père vint le chercher, comme la première fois. Et comme la première fois, ils partirent en direction de la ville. Fyrander se demandait bien ce que le père avait à lui reprocher cette fois-ci... Il ne dit donc rien durant toute la durée du voyage, c'était l'anniversaire de ses 7 ans. Les deux elfes pénétrèrent dans une maison plutôt étrange de part le fait qu'elle se dressait au beau milieu de la ville, et qu'elle n'avait pas une seule trace d'usure. A l'intérieur de celle ci, tout était somptueusement décoré. Un vieil homme était assis sur un fauteuil, les jambes en tailleurs. Sa barbe blanche d'un taille extrême lui donnait un air de sage. Il ouvrit ses yeux dont les iris étaient bleutées. Sans dire un mot, il jeta un coup d'œil à Astigmat', qui lui rendit sans broncher.

Le vieux se présenta alors , il s'appelait Jean-jisse canne. Derrière ce nom des plus risibles, se cachait un maître d'un discipline nommée le sabre. Il en fit démonstration a Fyrander, qui impressionné, décida de devenir disciple à temps plein de ce temple de connaissance. Il resta de nombreuses années sous sa tutelle, apprenant chaque jour de nouvelles façons d'approcher l'attaque, de concentrer son énergie intérieur et surtout de gérer son souffle, source de toute puissance. Ce fut durant ces nombreuses années passées sous la tutelle que Jean-Jisse canne qu'il se choisit un surnom. Pourquoi cela ? Car son maître lui avait appris que connaître le vraie nom de quelqu'un, c'était connaître le tréfonds de son âme, son nom était la chose la plus précieuse qu'on lui ai donné, et pour le conserver, il faudrait qu'il le cache. Entre temps, il avait farfouillé dans l'immense bibliothèque du maître, et avait découvert une ancienne langue, indéchiffrable, et c'est le peuple qui avait créé cette langue qui avait aussi inventé l'art du sabre, ou Kendo. Il décida de se choisir un pseudonyme dans cette langue qui lui était si chère, après nombres de recherches poussées, il décida d'emprunter au créateur du livre ses noms : Shiba Dokuro, tel était maintenant l'appellation qu'il fallait lui donner. Le vieux maître approuva le jeune garçon ( Qui n'était plus si jeune, car il avait autour de 22 ans, donc 16 ans en apparence). Mais si il suivait ces cours, il ne négligeait par pour autant ses parents, et leurs rendaient visite régulièrement.

Une nuit comme une autre cependant... Shiba entendit des bruits, des sortes de cris, il se saisit instinctivement de son sabre, Matamune, qu'il avait forgé avec l'aide d'un artisan nain que lui avait présenté Jean-jisse canne, mais ceci est une autre histoire. Il se saisit donc de son sabre, puis descendit, son torse nue, dans la rue. Une foule de personnes avec des torches à la main criaient et défilaient dans la rue, le semi-elfe se demanda quelques instants ce qui se passait, à qui les gens pouvaient bien en vouloir ? Il ne savait pas qui pouvait avoir mauvaise réputation dans ce village... Puis un enfant particulièrement excité cria : " MORT A L'ELFE !!!" tout en se dirigeant vers la périphérie est du village... L'endroit ou habitaient ses parents. Shiba sentit le déclic arriver en lui, craignant le pire, il se dirigea à toute vitesse à travers les ruelles sombres que personne n'empruntait jamais, car elles avaient mauvaise réputation. L'adolescent au corps musclé bondissait, slalomait, zigzaguait, peut être aurait-il le temps de les avertir ? Peut être ne mourraient ils pas ? Non, ils ne mourraient pas, enfin, il l'espérait de toutes ses forces. Il redoubla de zèle, et arriva a la périphérie de la ville en un temps record... Mais pas suffisant. Les villageois arrivaient en même temps que lui, progressant lentement, mais inexorablement vers la maison de l'enfance du Guerrier. Sa vie défila devant ses yeux, a la voir ainsi, si vulnérable... La porte s'ouvrit soudain, le père de Shiba s'avança et lança un regard à la foule qui était désormais rassemblée en demi cercle autour de lui, conservant sa dignité d'elfe, il dit d'une voix en laquelle l'on ne pouvait déceler aucune crainte :

" Prenez ma vie si vous y tenez, mais laissez ma femme tranquille, ce n'est pas elle la fautive"

Un villageois semblant être un peu plus distingué que les autres, de part sa tenue dit sadiquement :

" Elle est toute autant fautive que vous ! Attrapez le"

A ces derniers mots, comme des automates, les paysans se jetèrent sur le seigneur elfe des contrées profondes. Ce dernier se défendit avec dignité, il sortit d'on ne sais ou des dagues qui voletèrent tel des papillons, causant des morts a chaque passage. Il se battait habilement, utilisant la rotation de son corps pour enchainer des coups surpuissant pour quelqu'un de son poids, il l'apprit plus tard, mais c'était ce qui faisait la force de son père. Mais les ennemis étaient décidément trop nombreux, à chaque ennemi abattu, dix prenaient automatiquement les armes. Le seigneur Astigmat' se retrouva bien vite attaché à la maison sous les ordres du sadique qui faisait office de commandant en chef de cette petite armée. Puis ce dernier ajouta d'une voix lasse :

" Brulez la maison"

Shiba voulu intervenir, mais il se raisonna lui même : que pouvait-il si même son père avait été capturé ? Il était tiraillé, et se rajouta a cela sa paralysie en voyant l'extrême cruauté dont faisait preuve le personnage qui était bourgeois : Il ordonna de mettre le feux par l'arrière à la maison. Les flammes léchant le bois provoquaient de jolies teintes orangées, qui paraissaient être les feux de l'enfer aux yeux de de Shiba. Des hurlement retentirent dans la maison, un femme criait, une femme qui était la génitrice du jeune sabreur. Il se boucha les oreilles, mais les cris résonnèrent dans sa tête comme autant de reproches. Il cru devenir fou a lier. Finalement, il s'obligea à se redresser et observa en direction de son père. Ce dernier regardait fixement Shiba dans les yeux, deux yeux de braises, ni implorants, ni pleins de reproches, des yeux dignes et couleurs de prune. Les jambes de s'affaissèrent, et comble de l'horreur, c'est à ce moment là que le corps du seigneur pris feu. Ses habits se consumèrent d'abord, puis sa peau pris une teinte foncée, et se mit a fondre, il ne donna pas la satisfaction a la foule de l'entendre crier , a vraie dire, il regardait simplement Shiba dans le blanc des yeux. Le Dokuro n'en pu plus, et s'enfuit dans la forêt qui bordait la ville. Il y resta jusqu'au petit matin. Durant cette nuit sans précédent, Fyrander erra aux limites de la folies, ses yeux écarquillés, son cerveau se repassant sans arrêt la scène. Le bon sens reprit le dessus... Et Shiba retourna sur les lieux du crimes, il marcha pendant quelques dizaines de minutes, la forêt semblait elle même se taire a l'approche de l'elfe orphelin. Finalement, il découvrit les cendres grisâtres de sa maison et il détourna le regard, pudiquement, des cendres de son père ...cela empestait le porc grillé, mais le Dokuro n'en avait cure. Il se mit a creuser avec ses mains une tombe grossière, cela lui prit du temps, mais il l'avait, puisque que personne ne le dérangeait. Ignorant la faim qui lui tiraillait, ignorant la brise fraiche qui le faisait frissonner, il creusait, toujours plus profondément. Quand il arriva, après une infinité de temps, a la finition, il pris solennellement une pomme de pain, qu'il enfouie dans le sol avec ce qui lui semblait être les cendres de son père. Pourquoi ce geste ? Car ce dernier l'avait voulu ainsi, c'était plus que certain, et il l'avait un jour dit a Fyrander.

Son ouvrage terminé, il retourna, tel un cadavre, en ville, son sabre à la main. Il pénétra la maison du vieux Jean-gisse canne, sans dire un mot au vieux maître, car celui-ci savait sans doute ce qu'il s'était passé, il rassembla ses affaires, s'habilla convenablement, mit son sabre dans son fourreau, à la gauche de sa taille. Puis il franchi la porte coulissante, une lueur malsaine dans son regard. Oui, car cette nuit là, une part de la rage ambiante avait pénétré dans sa tête déjà farcie de connaissances. Cette nuit là marquait la fin de sa gentillesse. Il se promena dans la ville, et se rendit à la mairie. Oui, ce devait être le maire, il y avait réfléchi. Deux gardes du corps se trouvaient devant la porte. Quelques secondes plus tard, il y avait toujours les deux gardes du corps, mais avec leurs têtes fendues en deux. le sang s'écoulant de la plaie béante au même titre que la cervelle. Et dans ce petit massacre, ce qui était le pire, c'est qu'il n'avait éprouvé aucune compassion, ni même aucun sentiment. Il pénétra dans la demeure relativement peu gardée. Son sabre dégoulinant de liquide vital à la main, il se dirigea grâce aux plans que ce bien aimable maire avait mis en place sur des panneaux. L'intérieur était joliment décoré de gravures morbides. Un autre garde, armé celui-ci, fonça sans prévenir sur Shiba, celui ci effectua simplement un pas de rotation, se retrouvant face au garde surpris par tant de souplesse, et il planta son sabre dans la carotide de l'autre, ce qui provoqua un bruit de chair et d'os tranchés , il se retrouva privé de ses nerfs. Puis le jeune Dokuro avança d'un pas décidé... Il ouvrit la porte et se trouva en face d'un maire... Déjà mort. L'homme avait un verre posé devant lui, et une bouteille de cyanure sur sa table, le pire dans tout ceci, c'était la mine souriante et sadique de l'homme . Shiba fut profondément frustré ! L'homme s'était donc suicidé... La rage envahie sa cervelle et il se mit a charcuter l'homme en poussant des cris surpuissants, ce qui eu pour effet d'alerter la garde. La porte s'ouvrit a la volée et une quinzaine d'homme entrèrent à la queue leu leu. Il serrait plus juste de dire : se firent tuer à la queue leu leu. Le Dokuro se joua du premier qui avait une épée pour lui couper les hanches d'un seul coup, puis il fendit le crane du deuxième pour planter le torse du troisième. Le sabre volait, et faisait des morts a chacune des ses frappes. Shiba, surexcité, semblait ne pas être le maître de Matamune tant celui ci s'échappait vers de nouveau ennemis. Il ne faut pas croire pour autant qu'il n'avait reçu aucun coup : il était blessé a l'épaule et avait un longue estafilade sur la joue, c'était simplement trop superficiel pour qu'il en fasse cas.

La suite de l'histoire est simple : Shiba ressortit perdant de la mairie , n'ayant pas pu se venger, il s'enfuie du village avant que l'on découvre son meurtre, puis erra pendant de longs mois, fuyant les humains.

Bienvenue !
Des détails me dérangent dans ta fiche , malgré tes modifications énormes :

Trois fois plus de temps de gestation ? 27 mois de grossesse ? Désolée , mais même pour un demi-elfe c'est impossible , beaucoup trop long... puis je trouve pas ça très logique moi. Tu remarqueras qu'un bébé grandit très vite jusqu'à environ 3 ans... Ton raisonnement est bon , mais malheureusement , pas bon :)

Je comprends pas ce surnom asiatique qu'il prend... Je te l'ai déjà dit , Mira est différente de l'Asie , bien que tu ais déjà modifié ton histoire.

Voilà , c'est tout.

Ce surnom est pour cacher son véritable prénom qui est au yeux des sabreurs de cette école, leur plus précieux trésor. Je tient véritablement à garder ce nom qui une valeur sentimentale à mes yeux, je lui ai déjà créé une histoire qui me semble potable...

Les 27 mois, c'est juste pour le début de l'histoire qui est mieux ainsi, mais de toute façon, ce n'est pas très utile de l'enlever je pense. Enfin si tu y tiens, je peux le faire ^^.

Bah oui , pour la cohérence , il faudrait changer ça en 9 mois. Et bon tant pis si tu veux garder ce nom asiatique... fais ce que tu veux.

Je te valide , je te fais confiance pour changer le temps de gestatation.
Jette un coup d'oeil sur ces liens et tout sera bon :

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Merci bien, j'ai modifié ^^.

Ce serra mon plus petit alors ^^.

C'est 30 lignes minimum tu peux faire plus

Au fait, je viens de voir que tu avais 22 ans, hors l'âge des demis elfes ai différent de celui des humains et des elfes.
Si le sang humain prédomine faut multiplier par 1.5 (dans ce cas, avec une apparence d'une homme de 22 ans il en aurait 33.
Si le sang elfique prédomine faut multpilier par 3 (là, ça fait 66 ans).

Voilà, merci de modifier ça!

Tu as sans doute lu mon histoire et tu as remarqué que j'en faisait cas dans un passage n'es-ce pas ?

"Le vieux maître approuva le jeune garçon ( Qui n'était plus si jeune, car il avait autour de 22 ans, donc 16 ans en apparence)"

Me suis laissée abusée par ton avatar qui fait plus vieux, j'ai raté ce passage ^^ J'ai lu en diagonal

*repart honteusement*

Le fait que je sois crevée peut-il entrer en ligne de compte pour cette méprise?

Tu es excusé a la condition de me filer tous tes écus, c'est bien de s'en tirer ainsi hein, j'aurais pu être plus cruel ! XD

Non mais je m'en fout a vraie dire ^^ j'aurais fait pareil !

Nan pas mon argent!!!

*nage dans son or comme Picsou*

° Arrive avec un grand aspirateur des Rapetout et l'enclenche, l'or s'engouffre dans l'aspirateur et Shiba pousse tant bien que mal la machine jusqu'à son repère°

Rire "sadique essoufflé" :

Mwahahah ... Ah ah.. Ah..puff - Han, Aahahahaha.

Bah donne lui ta femme alors !

*sort*

Ca va pas non? Mon or encore ça passe, mais pas ma femme!!!

Rhooo quel radin XD

Ouais, là je veux pas dire, mais t'es pire que Picsou...

( Sous entendu : Sa se fait pas de pas "prêter" sa femme :p)

J'ai pas dit prêter j'ai dit donner XD

Oups, erreur de lecture de ma part, enfin c'est pas plus mal >< :p !

:bienvenue: Shibachou ^^