Nom/Prénom : Mendariel Aleth
Âge : 66 ans (Donc 22)
Sexe : Feminin
Race : Demi-elfe
Particularité : On dit souvent que la curiosité est un vilain défaut. Un dicton que Mendariel connait bien depuis qu’elle est tombée d’un arbre en voulant rejoindre ce qu’elle croyait être un Phoenix, et s’est ouverte le genou, laissant une mince cicatrice.
Alignement : Neutre bon
Métier : Voyageuse
Classe d'arme : A distance
Équipement : Comme nombre d’elfes, et de Demi-Elfes, Mendariel possède son propre arc, une arme efficace et souple qu’elle manie avec légèreté. Elle ne s’en sépare jamais, où qu’elle aille, c’est comme si son arc en bois d’ébène faisait parti de son être. Elle a apprit à le manier très tôt, et même si au début, elle ne semblait pas très enthousiaste, Mendariel a vite manifesté de l’intérêt à ce que son père appelle « un art ».
Bien sur, quand une attaque surprise s’impose, l’arc ne fait pas tout. Alors Mendariel est aussi munie d’une dague bien cachée dans une de ses bottes. L’arme, très tranchante, est d’une finesse qui n’égale que les Elfes, elle lui vient de son père, qui l’a lui-même acquis d’un rôdeur rencontré lors d’un de ses voyages avec qui il s’est étrangement lié d’amitié.
Description physique : Les longs cheveux de Mendariel sont représentatifs de sa légèreté. Ils sont dorés et ondulent gracieusement, épousant la forme du vent. Son visage, pourtant fin, rappel son appartenance aux Humains, il est anguleux et ses pommettes sont bien marquées. Ses yeux, en amande, sont d’un vert pétillants. Et quand ils pétillent, ils éclairent remarquablement le visage de Mendariel, le remplissant de vie et de jeunesse.
Du haut de ses un mètre soixante-deux, Mendariel n’est pas bien grande parmi la communauté des elfes, mais là encore, sa nature de Demi-Elfe y est pour quelque chose.
Mendariel aime porter des vêtements près du corps, mais légers et pratiques afin d’exercer son métier avec le plus d’aisance possible. Elle possède également une sacoche où elle range tout ce dont elle a besoin. Sa démarche est souple, et rapide. Mendariel est agile dans toute sorte de situation, en tout cas, dans toute celles qu’elle a rencontrées jusque là.
Pour finir, elle se distingue bien des Elfes, mais s’en rapproche quand même plus qu’aux Humains.
Sa personne fait que Mendariel possède un bon charisme ce qui est pratique quand on aime autant voyager qu’elle.
Description mentale : La vie en communauté ? Très peu pour Mendariel. Ce qu’elle aime, c’est être aussi libre que le vent, elle a très vite cherché son indépendance afin de s’ouvrir au monde.
D’une nature plutôt curieuse, elle aime percer le mystère des choses qui l’entourent, mais elle peut se montrer tout aussi méfiante si ce qu’elle aperçoit ne lui inspire pas confiance. Son envie d’indépendance est très forte mais Mendariel peut tout de même se montrer sociale envers les autres, par contre elle ne sera pas du genre à s’y accrocher.
Sa légèreté et sa curiosité en fait quelqu’un d’attachant. Ses yeux, si perçants peuvent pétiller de malice face à une présence amicale ou d’émerveillement face à un nouveau paysage.
Mendariel tient avant tout à ne pas s’afficher, elle aime le contact, mais garde jalousement les secrets de son passé. Je vous assure qu’elle ne vous fera pas de mal si vous ne l’embêtez pas avec ça. Sinon, prenez garde à son humeur quelque peu électrique. Mendariel a un peu trop tendance à prendre des décisions, parfois importantes, à la va-vite, ce qui la différencie des Elfes et peu lui valoir pas mal d’ennuies.
La lueur qui habite parfois ses yeux n’est réservée qu’aux nouveaux horizons que Mendariel découvrira au cours de sa longue, mais mortelle vie.
Histoire : Mendariel est une Demi-Elfe, ce qui va lui valoir beaucoup d’obstacles à surmonter au cours de sa croissance. Sa mère est une humaine, et son père un elfe. Mais l’histoire qui entoure sa naissance est un bien tragique souvenir pour le père de Mendariel. Elle, ne s’en souvient que très peu.
Donc ses parents, l’elfe Deoryn et l’humaine quelque peu rebelle, Rylla sont tombés éperdument amoureux l’un de l’autre, et ont vécu quelques belles années cachées, mais heureuses, digne d’un compte de fée. Seulement, il se passa une chose à laquelle ils ne s’attendaient pas. N’ayant pas fait très attention, Rylla tomba enceinte, et lorsqu’elle s’en rendit compte, il était trop tard pour reculer. Deoryn était fou de joie, mais l’humaine, elle, essayait tant bien que mal de cacher à son amant qu’elle ne voulait pas de cet enfant. De plus, au fur et à mesure de la grossesse, son amour pour le sage Deoryn décroissait rapidement, un malaise s’installait entre les deux, pas très heureux, parents.
A la naissance, Deoryn ne cacha pas son émerveillement face à la vue de sa très mignonne petite fille, qu’ils avaient baptisé Mendariel. Rylla, elle, souriait hypocritement. Deux semaines passèrent, et le père découvrit à son réveil un mot de Rylla l’incitant à ne pas la retrouver, elle partait, rejetant la faute sur Arcam, Dieu de l’Amour, qui ne lui en avait pas donné assez pour aimer son amant et sa fille.
Ce fut un coup dur pour Deoryn, mais il avait sa fille, et s’en occupa avec tout l’amour qu’il put lui donner. Bien sur, son union avec Rylla se dévoila au grand jour, ce qui lui valut un rejet de la part des siens. Il continua tout de même de vivre aussi sereinement que possible avec Mendariel.
La petite au sourire espiègle suscita pourtant assez vite l’attendrissement des autres elfes qui décidèrent de ne pas les renier complètement. Mais Deoryn décida tout de même de vivre au détriment de sa communauté.
Mendariel devint une adolescente aussi curieuse que vive. Elle n’était jamais assez satisfaite de son envie de découverte. Beaucoup la trouvait fatigante à la longue, car parmi la calme communauté des Elfes, Mendariel était d’une vivacité à couper le souffle. Mais peu à peu, son père lui apprit à être plus posé sans pour autant lui ôter son incroyable curiosité.
Il enseigna à Mendariel l’art de manier l’arc, il lui chercha le meilleur qu’il put trouver dans toute la région, et finalement il en ramena un en bois claire, souple et facile à manier. Mendariel avait posé un œil méfiant dessus, mais au fur et à mesure de son apprentissage, l’arc lui plaisait ; s’exercer avec fut un vrai bonheur.
Elle buvait les sages paroles de son père avec un intérêt tout particulier. Il lui montra comment fonctionnait son univers, la mit en garde contre toute sorte de choses, et quand Mendariel atteint sa majorité, elle décida de prendre sa longue vie en main.
Elle partit ; peut-être à la recherche de nouveaux horizons, ou peut-être pour éclairer une partie de sa vie dont elle ne se souvient même plus. Elle n’avait parlé de sa mère qu’une seule fois, et son père resta obstinément muet. Alors peut-être que finalement, elle partit à la recherche de réponses, mais à ce jour, sa mère n’était soit plus de ce monde, soit très âgée, au bout de cinquante-cinq ans…
Pendant plusieurs années elle ne chercha pas à la retrouver, ses idées n’étant pas très claires. Mais au bout de dix ans d’errance, après une courte visite donnée à son père, elle leva les yeux vers le ciel en essayant de se remémorer le visage de celle qui lui avait donné la vie. Tout ce qu’elle savait, c’est que sa mère devait avoir la même couleur de cheveux qu’elle. Une humaine âgée a des cheveux grisonnant, cet indice n’allait donc pas l’aider. C’est donc envahit par le doute qu’elle se dirigea vers les contrées peuplées par les Hommes.
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Comment trouves-tu le forum ? : Extra ! Ce qui m’a le plus impressionné, c’est la richesse de l’univers de Miradelphia. Tellement impressionné d’ailleurs qu’il m’a un peu intimidé, moi qui débute dans les jeux de rôle, j’espère être à la hauteur ^^. Et puis j’aime beaucoup le décore et l’ambiance général.
Comment as-tu connu le forum ? : Une amie (qui s’est déjà inscrite) qui m’a donné le lien, on a beaucoup cherché pour trouvé LE forum, et on est finalement vraiment pas déçues.