La malchanceuse...[Gardienne de Tari]

Nom/Prénom : Cyllian, rien de plus rien de moins.
Âge : 24 ans
Sexe : féminin
Race : demi-drow
Particularité : Elle est aveugle et pour cause...Elle n'est autre que la gardienne de la Déesse de la mort.

Alignement : Neutre Mauvais
Métier : Mandiante, geuse, va nue pied, vagabonde... choisissez, j'en ai pleins.
Classe d'arme : Magie

Équipement :

Une vielle robe usée et une magnifique rapière, qu'elle ne sais pas utiliser et enrubanné dans du tissus

Description physique :

L’après midi avait eu raison du corps souple de la batarde. Son être gisant au pied d’un arbre, lui offrant un peu de sa protection. Son teint pale, une peau blanchi par la lune, semblait être d’avantage le fruit de sa nature que d’une quelconque sous-expositionn à l’astre solaire. Ses cheveux d’un blond presque blanc semblait anormale, mais pas autant que son regard d’ambre qui avait un je ne sais quoi de rebutant selon certain. Etait ce le fait que ses yeux à la couleur inhabituel soient dénués de vie et d’un vide transcendant ? Ou est ce simplement l’aura lugubre qu’elle semble dégager. Cette aura sombre et intrigante qui la rend repoussante. Mais par chance, ses yeux reste clos aujourd’hui, sa vue hideuse ne sera pas dévoilée pour un rien.

Son visage a quelque chose a la fois d’orgueilleux et de pitoyable. Une sorte de prestige inexistant, une princesse de rien, d’un temps révolue. Son nez est bien fait, mais pointu et fin en sa base. Son front plutôt étroit, bien que sa franche coupée on ne sait comment, trahissent que bien peut sa porteuse. Des pommettes rondelettes sans toute fois en devenir joufflue. Des lèvres dessinée de mains de maitre et charnue comme un fruit d’été et enfin… des yeux félin en leur forme et couleur.

La voila qui bouge de nouveau, faisant frémir l’étoffe sombre et sale qui l’habille. Une robe grossière, sans fioriture ni broderie. Une robe de simple paysanne ou vagabonde. Mais n’est pas après tout ce qu’elle est ? Une va nue pied ? Une gueuse ? Une de ses créatures survivent plus qu’elles ne vivent. Ses pieds nue, sale et blessé, elle ne semble même pas s’en préoccuper, visiblement habituer a ce que les pierres écorchent sa chair souple. Ses mains aussi sont abimée, elles ne sont pas celles d’une dame, mais celle d’une travailleuse, des paumes calleuse, une peau rêche, des doigts osseux.

D’ailleurs son corps est fin, trop fin, ses hanches sont saillante, ses clavicule trop visible. Elle n’est cependant pas laide, non, mais pas non plus belle, loin de la. C’est une créature banale dans toute son étrangeté. Mais voila, alors que vous regardiez une créature assoupie, vous venez de perdre la vie… vous n’aviez sans doute pas sentir l’odeur saisissante de la chair en putréfaction. Vous n’avez pas non plus vue l’homme à la cape de velours et à l’habit noble de prince. Vous voila au sol créature trop curieuse, vous n’auriez pas du. Dans votre vu troublée par la morsure glacial de la mort, vous croyez apercevoir sur un visage doux et noble une larme couler, puis glisser sur une joue ou la clair déjà dévorée par le temps, laisse entrevoir une rangée de dent. Puis il se penche, passant sa main sur le visage de celle qui jadis fut son grand amour…

Description mentale :

Il regardait celle qui dormait encore, caressant nerveusement de sa main gantée la peau chaude et voluptueuse de celle pour qui il donna sa vie. Elle était si fragile maintenant qu’elle subissait cette horrible malédiction. Si fragile et triste, brisée par ce qu’elle avait osée lui faire. Mais elle n’y était pour rien, c’était lui qui avait fait se choix fou.

Depuis elle n’était plus que l’ombre d’elle-même, devenue vagabonde, créature abjecte, elle n’avait plus de sentiment. Ou tout du moins n’en montrait plus une once, comme ayant perdu toute humanité. Etrangement elle avait acceptée son sort, subissant silencieusement tout ce qui pouvait lui arriver. La seule chose qu’il pouvait encore faire, c’était de la protéger, il ne pouvait plus lui donner son amour, mais il ne pouvait pas non plus supporter de la voir souffrir.

Alors elle ouvrit les yeux, sentant le contacte froid, malgré le tissus du gant. Elle repoussa un léger haut le cœur à l’odeur repoussante de son protecteur. Elle détourna les yeux, se redressant pour l’observer. Y avait’ il réellement quelque chose d’encore vivant là dedans ? Ou était ce elle qui était devenue folle avec le temps ? Lentement elle ferma les yeux, crispant ses doigts sur ses tempes. Qu’elles se taisent, non elle ne voulait plus jamais l’écouté, elle et ses voix. Elle qui l’avais guidée dans une voix si sombre et lugubre qu’elle lui avait arrachée les derniers lambeaux de foi qu’elle avait jadis eu.


Histoire :

Je ne suis rien, je ne suis personne. La vie fut une épreuve, mon destin funeste malédiction d’un jour macabre. Je n’attends plus rien de cette vie misérable ou ton amour m’as plongé… je te déteste Alejandro… je t’exècre pour avoir fait ce que tu as fait. Pourquoi, après m’avoir recueillit, élevée, toi de dix ans mon ainé, pourquoi a-t-il fallut que je t’aime ? Pourquoi après la mort de ma mère en couche, a-t-il fallut que le poids de la honte soit trop dur à porter par mon père ? Oui je ne suis pas sa vrai fille, nul doute a cela, même moi je puis le voir. Je ne suis pas totalement humaine, quand je me regardais dans l’eau du lac, mes yeux m’effrayaient. J’avais une teinte de folie gravé dans ma face sans pouvoir l’en arracher, quand bien même je me défigurerais.

Pourtant non, tu as attendu quelques années, puis tu t’es pendu sous mes yeux ronds. Mon regard plein d’incompréhension alors que tu fixais la corde qui bientôt ferait balancer ton corps dans le vide, à ce regard tu n’as eu qu’une larme et un mot… pardon. Te pardonner vieux fou ?! Surement pas… Ho après la vie a été agréable pour moi. Recueillit par la jeune prince Alejandro, un demi elfe, j’ai été prise sous son aile et traitée comme une petite princesse. Comment j’en suis arrivée la ? C’est un peu floue, mais je me souviens avoir fuit, j’avais 8 ans physiquement, mais mon esprit avait bien plus, ayant vécu plus que les humains, j’en avais 26 ans en réalité. Sous la pluie j’ai courut, j’ai fuit, puis je suis tombé sur une calèche, attaqué par des bandits de toute évidence. A l’intérieur deux corps mutilé, les entrailles gisant sur le bois. Deux nobles et leurs petite fille si mutilé qu’ireconnaissable.

Qu’ai fait ? J’ai ramassée les vêtements qui trainait dans un petit coffret et j’ai mit la magnifique robe, même si elle était taché de sang, elle n’avait rien à voir avec mes frusques de basse facture. Quand les gardes sont arrivé et qu’il m’on vue étendu dans l’herbe non loin, la robe croyez de sang et le visage sale… qu’on t’il cru d’après vous ? Que j’avais survécu à l’attaque bien sur ! Ils m’ont réveillé, m’on protégé et ramené au palais. A se moment j’ai eu un prénom, car oui, avant cela m’on père, vivant en Hermite depuis la mort tragique de ma génitrice, m’avait traité comme une chose et non comme une enfant.

J’appris que l’enfant dans le carrosse se nommait Cyllian, nom que je porte encore aujourd’hui. Cyllian Anishk, une duchesse d’un coté lointain. Le prince pris de compassion décida son père a me garder. Voila comment je suis devenue si proche de lui. Lui le prince qui jour après jours devenait plus fière, plus noble, plus beau… et l’irréparable est advenue, je suis tombée amoureuse de lui. Tout deux de bonne famille, moi par méprise, nous nous sommes contenté de tendre baisé et de chaste caresse. La vie fut douce et je changeai beaucoup, j’appris à lire, a écrire et a parler… j’appris aussi la danse et le chant, tout comme j’appris le protocole.

Mais le royaux fut submergé par une vague de révolte et dans la colère du peuple fini par éclater le vent de la guerre civil. Le château fut envahie, les gens tuer ou mit en geôle, mais après la mort de l’ancien roi a nouveau le calme. C’est la que j’ai compris, Mon prince, mon amour, avait mené cette guerre pour le pouvoir ! Mes rêves de petite fille volaient en éclat quand il agrippa mes mains et me guida de force dans sa chambre. Il me disait qu’il m’épouserait ensuite, que des demain nos fiançailles serait nommée et qu’ensuite il pourrait devenir roi. Un homme devient aveugle quand il acquière le pouvoir, et c’est ce qu’il avait acquis… Mais ce que je ne savais pas encore c’est que son pouvoir n’était rien a coté de celui qui m’attendait.

Alors qu’il tentait de me prendre de force, j’ai trouvée une dague et me suis écartée de lui. Il a rit naturellement, quoi de plus risible qu’une femme avec une dague… J’avais appris à coudre, a jouer de la music et a danser… pas a me battre ! Lui n’avait appris que l’escrime et la politique mais en cela il m’était donc bel et bien supérieur. Alors j’ai fait l’irréparable. J’ai pris la dague et sans l’once d’une hésitation, je l’ai plantée dans ma chair, j’ai d’abord souffert, puis le froid… enfin, plus rien. La mort… voila ce que j’ai connue, mais bien peu de temps car à nouveau je me suis mise à respirer. Je n’ai jamais trop su ce qu’il c’était hors de mon temps… tout ce que j’ai pu soutirer de cette goule qui me sert de gardien fut qu’il avait donné sa vie pour moi… me condamnant a une chose horrible… la vie de gardien. Car la déesse de la mort veillait sur moi… je l’ignorais mais ma mère avait été une de ses prêtresse. Alors c’est aveugle que je me suis éveillé, aveugle et avec la voix lancinante dans ma tête qui me disait : Enfin, Enfin, c’est toi que je cherchai.

J’ai demandée à revoir le prince, elle m’a dit qu’il était mort. Mais voyez vous, même dans la haine peut naitre le désespoir, le désespoir et la peur du noir. J’ai hurlée son nom, encore et encore… puis la voix m’as dit : Tu veux le retrouver ? Je peux t’y aider…

Grace a ça je sais ce qu’as ressentit Eve quand le serpent lui a murmuré de manger la pomme. J’ai supplié, j’ai dit oui, j’étais prête a tout pour lui… tout pour le retrouver. J’aurai sans doute du préciser dans quel état… Vous ne savez pas vous ce que ça fait de sentir la mort sous vos doigts, de sentir un corps dur et froid qui se mouvait en gémissant des paroles incompréhensible ? Et bien je ne vous souhaite que de ne jamais le connaître !

Alors j’ai fuit, j’ai fuit en trainant dans mon sillon la mort… la créature, goule, mort vivant… peut importe ce qu’elle est, qui me suit, tuant ceux qui m’approche trop près, je ne sais si il attaque quand il sent le danger mais depuis j’ai appris à le contrôler un peu. Je lui parle, il m’écoute… cela ne vas pas plus loin. J’ai quittée mon pays, mon « monde », à force de voyager je suis arrivé en Miradelphia… je ne suis personne, je ne veux pas être quelqu’un… j’aimerai disparaître… mais je ne le peux pas… pourquoi ? J’ai un destin, alors je le suivrais, car c’est la mon seul moyen de peut être trouvé le pardon et la paix en mon âme.


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Comment trouves-tu le forum ? : Trés sympatique
Comment as-tu connu le forum ? : haha ça je sais plus... ^^'

Bon... rebienvenue ?

Superbe fiche , j'adore , même si c'est super trop triste
Bon , tu connais le chemin , pas la peine de te le montrer ^^

Ah mince on ne montre pas à une aveugle , pardon T-T

Je devrais être habituée pourtant

Bref ! Câlin !

L'avatar est pas déjà prit?

Hum juste !!!

J'avais demaner que tu changes ton prénom parce qu'on a déja un C-eylan et une Cyllan... C'est bon quoi

C'est pas les mêmes pseudos , elle change pas ! Oo

Mouais. Ça passe, Sol, à mon avis.

Ho mais...

Citation :

Métier : Mandiante, geuse, va nue pied, vagabonde... choisissez, j'en ai pleins.

Ça m'est bien familier, tout ça.
Bienvenue, lé sympa l'avatar. Et an espérant que ce personnage te donne un petit flot de renouveau.

Merci Galen c'est pour ça que je l'ai fais huhu...

et merci de cette validation rapide ^^