L'arrivé a l'auberge

Bäghìr marcha encore 1 journée avant d'arrivé devant la ville.

*Enfin une place où je pourrai me reposer et manger !*

Il avança quelques pas, puis se fit arrêter par un garde.

Garde : Laisse tes armes ici !

Bäghìr : Humm... Puis-je savoir où je suis avant ?

Garde : Ne fais pas le con, laisse moi tes armes, tu les auras losque tu ressortiras.

Bäghìr ne répliqua pas, et laissa tomber son épée longue. Le garde n'avait pas vu ses dagues, et il en profita pour les garder a son fourreau.

Après une courte marche, il arriva dans le cente de la ville, qui avait l'air asser miteuse et peu accueillante. Il repéra un auberge, donc le cadre de porte avait été arrcahé semblait-il, mais qui était tout de même ouverte. Il rentra dans celle-ci. Plusieurs personnes inconnues étaient assisent autour des petites tables, qui consituait les seuls meubles dans l'auberge a part le bureau de l'aubergiste. Il dit:

Bäghìr : J'aimerais prendre une chambre pour 1 ou 2 nuits, et de la nourriture. Mais avant, puis-je savoir où est-ce que je suis ?

Aubergiste : T'es à l'aub'rge des cap'taines m'sieur, dans La D'oss. S'tu veux une cham're, monte en haut pis ou're la p'rte à ta 'roite. Po'r la no'rriture, d'mande à lui a côté, y de'rait pouvo'r t'aider.

*Quelle est cette ville ? Personne ne m'en a jamais parler, et cet homme n'a pas l'air très fiable... Je devrais aller voir le gars pour la nourriture, il en saura peut-etre plus...*

Il alla donc voir cet homme.

Bäghìr : Bonjour, je m'appellle Bäghìr, et j'aimerais bien avoir de la nourriture. Je me suis perdu en m'en allant de chez moi, et j'aimerais bien savoir quelle est cette ville, La Dross, car je N'en ai jamais entendu parler à Alëandir.

Vendeur : C'est la ville des voleurs. J'y vient pour vendre mes objets au marché noir. Mon nom est Alfagus.

C'étais un Semi-Drow, et il semblait avoir un grand influence dans la place. Il était très maigre, trop pour son âge, et avait le visage tellement ridé qu'on lui voyait presque plus les yeux. Il était très âgé, entre les 400 et 500 ans.

Vendeur : Je peux te donner quelques petites choses, car tu as l'air si pauvre avec ces vêtements délavés, et je me sen généreux.

Il lui donna quelques bouts de fromages, des pommes, et piments, et quelques légumes inconnus de Bäghìr. Il les accepta avec plaisir, puis monta dans sa chambre et alla se coucher.

" Non mais! Vous n'avez pas honte bande de chiens galeux?! Rendez-moi mon arc et mon carquois! "

Ah! La vie est belle...
La jeune Drow avait suivit la piste d'un bon gibier un peu saoûl et cet ivrogne l'avait emmené dans une contrée totalement inconnue pour elle. Actuellement, elle faisait face à deux gardes qui l'avaient intercepté à l'entrée de la ville et qui lui avaient pris ses armes de force.

" Ma p'tite dame, ici, tout le monde doit laisser ces armes à l'entrée. Pas d'exceptions. "

Isilanth gronda comme un fauve, pas très heureuse d'être séparer de son attirail de guerre. Tant mieux si elle pouvait garder plume et encrier, car autrement dit, elle leur aurait sauté à la gorge à ces deux idiots en armure. Ils la laissèrent ensuite passer et la demoiselle masquée s'éloigna rapidement. Une question saugrenue lui vint à l'esprit; où aller maintenant? Son regard de braise passa en revue les lieux et elle aperçu une auberge. Ou du moins, c'est ce que l'enseigne de la bâtisse laissait croire.
D'un pas rapide, voire presque dansant, elle s'y dirigea.

Tiens, la porte avait subi quelques dommages...Intéressant. L'intérieur de l'auberge n'était pas ce qu'elle qualifierait d'endroit charmant; il manquait de taches de sang, d'ossature et surtout, de coin sombre. Trop de lumière par ici.
S'approchant tranquillement de l'aubergiste, elle posa ses paumes avec brusquerie contre le comptoir.

" Donne-moi une chambre et vite ou je te massacre sur place. "

" Z'avez pas l'd'oit, miss. C'est inte'dit. "

" Je veux une chambre quand même, odieux tavernier! "

" B'en, monte en haut pis ou're la p'rte à ta 'roite. "

Sans un mot de plus, l'écrivain délaissa le pauvre homme et grimpa à l'étage du dessus. Il avait grandement gâcher son plaisir en lui annonçant qu'elle ne pouvait pas le tuer. C'était interdit.
Arrivé à destination, elle enfonça la porte d'un coup de pied et entra dans la chambre. Son irritation monta d'un cran lorsqu'elle vit qu'elle était déjà occupé. Et l'occupant dormait...

" Sors de ma chambre, toi! "

C'était une exquise façon de récupérer ce qu'elle désirait...

"Hey on passe pas avec des armes !"

Licsis souria. Les deux gardes n'avait pas l'air rassuré devant un mec avec une faucheuse dans le dos, en fait peut etre ils pensaient qu'il etait la mort...Dans ce cas ils pensaient des choses blasphematoire...

Je laisse ma faux ici.

Licsis la planta dans le sol et avança en riant, les deux gardes avait un peu les jetons. Ils se mirent a rever d'avoir un autre boulot.Licsis voulait jouer. Il fit apel a un squelette, chose pas bien difficile pour un haut pretre. Le squelette attrapa la faux, passa devant les gardes qui etaient a la limite de la crise cardiaque et la donna a licsis qui la remit dans son dos avant de disparaitre dans le sol.

Fallait pas le laisser passer...Enrevoir.

Licsis devait faire halte dans la ville car il etait a pied et pas sur son oiseau carnivore. Licsis avait donc besoin d'une chambre pour dormir au moins 4 heures.

la ville des voleurs hein ? Pas un gars s'approchait de Licsis, qui approchait les deux metres. Avec sa capuche lui cachant les yeux et sa faux alors qu'il n'avait le droit aux armes, les voleurs devaient hesiter..


Licsis rentra dans une auberge au hasard. Il reconnu imediatement un elfe qui avait commandé un coktel...Bizarre pour un elfe..ET licsis si connaissait etant demi-elfe...

Licsis demanda a l'aubergiste une chambre. Le gars lui montra du doigt l'etage superieur.
Licsis soupira avant d'adresser un sourire a l'elfe, surement plus vieux que lui.
La ville des voleurs ? La ville des peureux oui..

Licsis monta et vit une porte ouverte, il rentra avant de remarquer le remue menage. Licsis sortit sa faux de son dos et cogna le manche contre le sol, pour faire remarquer sa presence.

Bäghìr se réveilla en sursaut. Il était couché sur le côté, du bord du mur. Il ne voyait donc pas le brouhaha qui se passait de l'autre côté, du moins, durant les 2 premières secondes...

Il se retourna, puis, s'apercevant qu'une drow et qu'un semi-elfe était sur la porte d'entrée, il se leva, à moitié nu, et cria:

- MAIS QU'EST-CE QUE VOUS FAITES DANS MA CHAMBRE ?!? VOUS VOYEZ PAS QUE JE DORS ??!?

Il pris ses dagues qu'il avait posé sur le bureau avant de s'étendre, et s'approcha d'eux, armes a la main. Puis il dit:

- Allez, répondez !

Il savait que la Drow était moins menacente que le semi-elfe, mais il s'en méfiait tout de même, et ne voulait pas lui faire de mal, car c'était une fille. Il la trouvait joli, mais n'osa pas le lui dire, attendant la réponse des deux personnages.

Aussitôt qu'un homme bizarre armé d'une grande faux entra dans l'auberge, le tavernier prévint discrètement un garde accoudé au comptoir, même si celui-ci n'était pas de service. L'hommes se leva tranquillement, et monta dans les étages supérieurs...


Quelques minutes plus tard :

- QUOI ?!

- Il est dans l'auberge du rat puant et a une grande faux avec lui... répéta le garde

Kathleen et le garde était au premier étage. La jeune femme sortait d'une grande discussion avec un autre chef bandit. Elle était furieuse qu'un homme armé se balade dans SA ville... Les gardes de services à la porte étaient vraiment des incapables ! Elle allait les coller quelques semaines de nettoyage des latrines de la ville, ça leur fera les pieds...

Kat ébroua ses longs cheveux roux aux reflets dorés. C'était une très belle jeune femme, bien que petite car elle ne dépassait guère le mètre soixante. mais elle compensait ça par son caractère...

Elle réfléchit un instant. Un voyageur sans doute. Magicien peut être, il aurait peut être hypnotiser les gardes ou autres. Les mages étaient peu apprécié à la Dross... Pour des raisons évidentes !

- Je vais m'en chargé moi-même. Appele quelques gardes pour m'accompagner.

Une dizaine de minutes plus tard, la jeune demie-elfe marchait dans la rue, encadrée par une dizaine de gardes. Ceux ci avaient reçu une formation spécial, et mourraient sans hésitation pour protéger la maitresse de la ville. De plus ils étaient tous d'excellents bretteurs. Des gardes parfaits pour, en toute modestie, une femme parfaite...

Bientôt, elle entrait dans l'auberge. Le tenancier lui indiqua l'étage, et elle monta, suivie par ses hommes. Et elle vit alors l'homme à la faux. Dans une chambre où il y avait deux autres personnes : une drow et un drow. Mais Kathleen s'en fichait éperdumment. Tout ce qu'elle voulait c'était que sa cité reste le plus calme possible. On avait déjà dépassés la limite des quinze bagarres dans la ville pour la journée... Mais de toutes façons, on dépassait cette limite allègrement tous les jours !

Comme elle était dans le dos de l'homme armé, elle profita qu'il ne la voit pas et confisqua sa faux. Une arme bizzare soit dit en passant... Mais l'homme encapuchoné ne semblait pas normal à vrai dire. Un de ses gardes profita de l'instant pour prendre la dague du drow qui était d'ailleurs pas très habillé.

- Je ne sais pas ce qu'il se passe ici, et je m'en fiche... dit-elle d'une voix dangereusement douce. Les armes sont interdites dans l'enceinte de MA cité, alors je me permet de vous confisquer cette faux.

Elle donna la dague et la faux confisquées dans les mains d'un garde, puis sortit de la chambre. Avant de partir, elle s'arreta dans l'encadrure de la porte et ajouta :

- J'espère que vous avez lu le code de ma ville. Je vous averti que si vous faites la moindre entorse à ces règles, je vous ferais enfermer et torturer dans les cachots...

Et elle sortit, les gardes portant la dague du drow et la faux de l'homme bizzare avec eux.

Fok entendit un gros remue méninge a l'étage superieur de l'auberge la suite du passage du bonhomme avait sa faux, comment avait t'il fait pour passer se pélo ? meme ma foutu rapière ils me l'ont prit les enfoirés...
ça ne devaient pas être pour rien qu'il vit passer les gardes devant lui, pas de la sous marque aparament, des gards baraqués et légerement armée.
les types redescendaient, un portait une faux dans les mains, l'épée a la ceinture, l'autre une dague...

Fok - Tien ? c'est la moisson aujourd'hui ?

garde - Toi ta geule !

Sa crain içi, des types se ramene et revienne avec une faux dans les mains, pauvre pélo, il poura pas moissonner cet année, le prix de la faux de nos jours.
Fok se dirigea lentement et commença a grimper lentement les escalier, se prenant tout les murs un par un...

*Qu'est-ce qu'ils ont tous aukourd'Hui a pas vouloir me laisser me reposer ?*

Bäghìr vira tout simplement fou. Il pris son autre dague qui restait sur le bureau, car Katlheen n'en avait pris qu'une, et la pointa vers le semi-drow.

- Toi, va t'en ! Je ne veux pas de semi-drow ici ! T'a un air mauvais, et je t'aime pas. Donc si tu t'en va pas, t'aura sa dans l'coeur c'est compris ? Et toi, Miss la Drow, puis-je savoir la raison de votre présence dans ma chambre ?

Bäghìr n'avait pas eu le temps de faire sa nuit de sommeil, et avait les yeux rouges, quoique peu apparent de nature. Il était sur le point de sauter sur le semi-elfe, mais dut se retenir, sinon il savait qu'il serait torturé.

On entendait des pas dans l'escaliers, mais personne ne sembla le remarquer..

[HS: Ce serait bien d'instaurer un tour de postage, parce que sinon, bordel garanti XD ]

Apparemment, l'être qui occupait la chambre que l'aubergiste lui avait gentiment offert, sans prévenir qu'elle était déjà habitée, était un Drow. La colère d'Isilanth baissa d'un cran alors qu'elle offrait un sourire railleur à celui qui venait de se réveiller. C'était bien l'une des seules choses qu'il pouvait voir...Quoique, si les pans de sa cape se déplaçait, il verrait qu'elle était torse nu, comme lui.
Avec brusquerie, l'elfe noire se tourna vers l'entrée et esquissa un pas vers l'arrière, entrant un peu plus dans la pièce. Un intrus venait de faire son apparition. Et il avait une faux.

Une faux...N'avait-il donc pas respecter les règles de cette ville? Les gardes n'avaient-ils pas fait leur boulot? Ce genre de réflexion la faisait rager, car il n'était pas censé y avoir d'exceptions. Un bruit métallique attira son attention et Isil jeta un coup d'oeil au mâle qui était toujours dans son lit. Il avait tiré une dague. Il cherchait les ennuis ou quoi?

Au grand final, une dame fit son apparition, accompagné de quelques soldats. Apparemment, elle était l'une des responsables du coin. Aïe. Les armes furent confisquées, une menace fut prodiguée et la demoiselle masquée se contenta de sourire d'un air indifférent, montrant en tendant les paumes qu'elle n'y était pour rien.
Le calme finit par revenir, avec comme seul dérangement, la tirade colérique du Drow.

" Miss la Drow te dit que c'est SA chambre. L'aubergiste lui a gentiment offert de venir s'y installer et la croyant vide, elle est venue. Un problème avec cela, cher ami? "

Ton de voix doucereux et sourire charmeur; Isilanth ne se laisserait pas sortir de cette fichue pièce. Et surtout pas avec des mots, ni une dague. Puis, son visage se dirigea vers le demi-Drow.

" Tu ferais bien de l'écouter, si tu ne veux pas d'ennuis. Déjà que tu as été averti pour port d'armes, tu devrais te montrer prudent. "

[ HS : L'ordre est : Moi, Toi (Isil), Fok calaelen et Licsis Necrose, alors c'est au tour de Fok ]

[Hs: ouai jai envoyer un mess a bagir, autrement vive le merdier]

Fok de nature assez... comment on dit... verificateur... non mais c'est pas grave, il essayait temps bien que de mal a grimper les escalier
un bouquand monstre se fit entendre dans toute l'auberge

Aï ils arretent de m'attaquer ces foutu escalier, maudite barriere, maudite planche !

Bam ! un résonnement contre le bois se fît entendre a une dizaine de metres, le bois a ceder contre le choc, la rembarde pleine, de Deux épaisseur de planche venait de se faire enfoncé

Oups

Il arriva belle est bien en haut de l'escalier
un homme qui faisait penser a un fanatique des dieux encore, il s'ent rapellait cétait sa faux ! alors cétait un paysan bizard... pas loin, un fanatique des brin de blés... poy poy misère.
et pis deux drows... il ne reconnu pas tout de suite isil, de dos, fallait déja qu'il puisse voir nettement...
et un autre drow, normal quoi içi
il s'appuya de sont poid sur la rembarde branlante, a deux doigt de passer au travers

Licsis vit la femme prendre sa faux. Soit, une petite entorce a ureglement de la ville...

Bon, je crois que je vais laisser la place a la jeune femme...

Licsis recula et decendit les escalier pour s'assoire a une table et de la, pacienter un peu.
Il y avait un groupe d'homme qui le regardait, des drows, le regard malicieux, bref, rien de bon.
Le plus grand et le plus gras, surement le chef, s'approcha de lui et de son haleine extremement iritante, vocifera quelques insultes sous le nez du haut pretre.
Les insultes etaient extremement blasphematoire , cela allait de soit.

Tu sais, je suis haut pretre de Tari...

L'homme eu un eclat de rire, puis relança. "Ah oui ? Et donc je dois avoir peur ?" L'homme empoigna licsis." On m'apelle l'eventreur tu sais ?"

Lache moi ...

"ah oui et quesque tu va me faire ? Me tuer ? Bou jai peur !"

Le drows sortie une petite lae qu'il avait caché sous sa manche et la cola contre la gorge de licsis, un sourire bea aux levres.

Legitime defense...

Licsis mis sa main sur le torse du drow et lança le sort du coeur fragile. L'homme la cha licsis, fit trois pas en ariere, et sucomba d'un arret cardiaque...Les autres hommes qui l'acompagnaient sortirent de la taverne en courant.

Licsis n'etait pas fier de lui, il y avait beaucoup de maniere de se sortir d'une mauvaise passe mais bon, l'homme avait été extremement iritant avec Tari...

Bäghìr vit que le semi-elfe s'en alla, donc abaissa son arme, et le re-mis sur le bureau en dessous de son chandail.

Bam ! un résonnement contre le bois se fît entendre a une dizaine de metres, le bois a ceder contre le choc, la rembarde pleine, de Deux épaisseur de planche venait de se faire enfoncé

*Je dois faire attention, une personne arrive, et je ne veux pas qu'il nous fasse du mal.*

- Alors, s'il n'y a pas d'autres chambres, tu peux venir ici, je te ferai une place... Mais, sinon, j'aurais quelques questions a te poser sur l'endroit où je pourrait habiter définitivement, car je ne connais pas du toutr le monde de Miradelphia, j'ai toujours resté dans le luxe jusqu'au jour ou on a été chassé de la cité des elfes.

Personne n'avait remarquer la présence de Fok sur le branlant de la porte...

L'être qui s'était fait confisqué sa faux se décida à quitter la chambre, sous le regard suspicieux d'Isilanth. Était-ce là une ruse quelconque, destinée à semer la confusion dans leurs sombres esprits avant de porter un coup fatal? Apparemment non, puisqu'il ne revint pas. S'en suivit l'un de ces boucans qui donnait envie d'en égorger la source; qu'est-ce qui venait de se passer? La demoiselle sentit ses oreilles se rabattrent vers l'arrière, encore plus méfiante qu'au tout début. Il se tramait un truc, elle en était certaine.
Son visage masqué se tourna finalement vers le mâle qui avait reprit la parole. Ainsi, il lui offrait de partager cette chambre si aucune autre n'était libre? C'était une attitude typique...
Néanmoins, n'ayant pas envie de se casser la tête à prendre de force une pièce adjacente, l'écrivain accepta. Elle fit quelques pas dans la direction du Sombre et répliqua d'une voix plus aimable:

" Pose tes questions et j'y répondrais. Quant à ta proposition de partager cette chambre, ça me va. J'irais voir, après avoir satisfait ta curiosité bien entendu, s'il n'y en a pas d'autre de libre. Autrement, je reviendrais et je m'installerais avec toi. "

Un sentiment bizarre la fit frissonner brusquerie et Isil' se tourna vers l'entrée. La silhouette qu'elle entrevit et qui se maintenait du mieux qu'elle pouvait contre la rembarbe ne lui était que trop familière. Était-il possible qu'il s'agisse de...? Misère!
Faisant comme si de rien n'était, la demoiselle reporta son attention sur le Drow et lui offrit un léger sourire.

" Quelles sont tes questions? Je t'écoute..."

Fok tenant au sommet des escalier temps bien que de mal,et de ses yeux rouges explosé, reconnu le visage de félonne qui l'ignora reprenant immédiatement sa conversation.
Il ne chercha pas plus loin et fît demi-tour en tentant une descente dans les escalier... tentative échouer, ont entendit un brouhaha, comme si on avait balancer un sanglier mort dedans.
Il s'arreta en bas, ne pouvant plus descendre encore plus il se releva et se diriga vers le comptoir du gras aubergiste

"désoler mais... ptit probleme a l'escalier m'sieur"

l'aubergiste ne répondit point, se demandant se qu'il lui voulait, il acceuillait aujourd'hui dans sont auberge un bande de fou...
Fok se dirigea vers le bonhomme a capuche, d'un pas certain, mais pas tres droit, zigzagant il éssayait d'éviter quelque chose, mais quoi...
le pauvre paysan avait perdu sa faux, comment allait il faire pour le blé cet année... fok était serieux :

"tu va faire comment pour la fauche cette année ?"

Ils marchaient tous trois, à travers les ruines, à travers l'ennui d'une discussion qui était voué au silence, car Lucy n'acceptait pas qu'on lui parle. Les deux jeunes hommes l'accompagnait, et sans savoir la raison qui amenait une étrange et belle femme vers eux. Lucy, elle ne le savait non plus, trop naïve pour se rendre compte qu'elle aimait être respectée et admirée. C'est à ce moment précis qu'Aurore décida d'intervenir, elle le fît comme si elle connaissait tout du mécanisme de son esprit, alors elle enferma Lucy au fond de son esprit, et tous les sentiments qu'elle avait pu ressentir jusque lors, ne laissant cette porte qu'à moitié fermé, afin que seuls les être digne puisse connaître Aurore et vivre de sa bonté comme d'un pain merveilleux et toujours plus succulent jour après jour. Elle masqua ses sentiments d'une compassion fausse mais jouée de tel manière qu'aucun être sur terre ne puisse s'en rendre compte, elle y ajouta un soupçon d'ironie, un sarcasme attirant et sucré, qui fond dans la bouche lorsqu'on l'entend et qui prête l'âme à penser qu'Aurore est une personne doué d'esprit et que tout en elle est chaste, mignon, intouchable et délicieux...

Tel fut la création de son propre esprit, qu'elle manipulait par un mystère plus grand que celui de la vie, un mystère qu'elle avait pu percer lors de sa rencontre avec la mort, lui permettant de vivre au grès de ses envies, formant une nouvelle Aurore, qui lancerai sur autrui une lueur dorée, réconfortante, sans pouvoir se douter qu'au fond de cette Aurore arriverai la nuit, brutale, froide et insoupçonné...

Ainsi Lucy fut mis à pied, et Aurore revînt en compagnie des deux hommes, elle leur posa alors une question, de sa voix douce, presque éteinte...

Aurore- Où habitez vous ?
Garçon- Dans une auberge à la Dross ! Maître Oropher nous y attend.
Aurore- Est-ce un problème si je me veux de rencontrer votre maître ?

Le garçon répondit d'un "non" peu convainquant, il hésitait, trop peu expérimenté pour refuser à tant de beauté la proposition qu'elle puisse rencontrer son maître.

Puis au fil de leurs pas, à travers la forêt d'Aduram, à travers la verdure et la paix, traversant et piétinant, sans rage ni peine, sans l'ombre d'un sentiment, alors qu'une lueur dorée venait caressait leur visage trempés par le froid, et cette impression de rater une chose essentiel, de rater la vie qui passe à coté d'elle, l'essence de l'âme, et les sens de l'esprit... Ils marchaient, sans se soucier de tout cela, car une seule chose occupait le cerveau, là Dross.

Finalement, ils arrivèrent aux devant des portes, où deux gardes les regardaient. Les deux garçons retirèrent leurs armes et les confièrent aux gardes. Aurore les regarda, passablement étonnée.

Garde- Ici mademoiselle, aucune arme n'est autorisée.
Garçon- Donne toutes tes armes, il est inutile de garder une dague, Maître Oropher sait se battre à mains nus, c'est bien plus pratique en ces lieux et ça ne tue personne.

Aurore ne répondit rien. Elle posa toutes ces armes sur son cheval, et le confia au garde, afin qu'elle soit libre de mouvement dans cette cité caverneuse. Caverneuse était le mot, ils entrèrent tous trois et se dirigèrent vers une auberge, trop rapidement pour qu'Aurore n'ait le temps d'observer ce qui l'entourait, du monde... Une population qui n'ose se montrer d'habitude, Aurore ne montra rien de ce qu'elle pouvait ressentir, elle même ne savait quelle attitude adopté face à cet endroit mélangeant la liberté et la tolérance dans un amas de poussières et d'une pauvreté apparente.

L'un des garçons poussa la porte de l'auberge, et ils y entrèrent. L'autre garçon guida Aurore vers une table et s'assit avec elle, attendant que le garçon brun n'aille chercher leur maître. Aurore ne cherchait qu'un pied à terre à la Dross, et ces deux gamins lui avaient servis d'appâts, il restait maintenant à convaincre le maître. Mais même si elle ne le savait pas, le diadème qui ornait sa tête et formait un tout à l'ensemble de soir noire qu'elle portait la rendait plus belle qu'aucune autre femme, et ce pouvoir insoupçonné commençait déjà à faire effet, lorsqu'elle se rendit compte que son arrivée n'était pas aussi discrète qu'elle l'eut souhaitée.

Son regard se posa sur chacune des personnes présentes, une personne trop grande, encapuchonnée dans son habit, un elfe aux yeux trop rouges pour être d'un état normal, un aubergiste peu honorable et finalement quelques habitués la regardant étrangement, étant la seule femme du rez de chaussé, et sûrement l'une des plus belle qu'ils eurent vu dans leur misérable vie.

Bäghìr vu qu'il était seul avec la jeune dame. L'autre habitant indésiré avait quitté les lieux, toujours en menant un vacarme incessant dans les escaliers. Il commença donc a poser ses questions:

Bon, premierement, merci de répondre a mes questions. J'aimerais bien savoir ton nom, cela rendrait la tache plus facile. Mais bon, je vais commencé par la question qui m'intrigue le plus. Où habite les drows ? Est-ce qu'ils sont condamnés a rester sur les routes, à errer un peu partout dans le monde de Mira, ou ils ont leurs cités ?

C'était immanquablement la question la plus importante à ses yeux. Il aurait bien aimé en savoir plus sur cette jeune drow, mais ce dilemne l'en empêchait. Il devait savoir cela, sinon il perdrait sa vie... Il n'avait jamais su comment survivre en forêt, donc si cette femme lui répondait qu'ils devaient errer dans les routes pour le reste de leur existence, il deviendrait probablement le plus détestable des drows, qui tue sans pitier, et surtout, sans aucune raison. Mais dans le fond de son être, il espérait qu'une endroit avait été construite pour habité la race des drows. La maison de son père lui manquait depuis le jour où il l'a quitté.

C'est alors qu'une belle mélodie s'éleva dans l'air, du piano constata Bäghìr. C'était une très belle chanson, envoutante, que son maître guerrier faisait jouer lors de plusieurs de ses entrainements. Cela lui rafraichit l'esprit, et il devint soudainement très calme, et put se détendre un peu.

Il s'assis sur son lit, attendant la réponse de la femme.

HG : Alors, je crois que c'est a Licsis....

Licsis se releva. La dross etait une ville etrange. D'ailleur il n'avait pas enfrain les regles en tuant le gars ? La perception de legitime defense jouera t'il en sa faveur ?

Quelqun a deja prevenu un superieur ? Il ira au cachot ?
Bah a la limite il s'echepare facilement. Un squelette lui ouvria la porte, arrivé dehors il part a dos de son actael, puis invoque la brume pour disparaitre aux yeux des archers potenciels...

Le haut pretre preferait avoir un plan d'avance...Il faudrait aussi qu'il recupere sa faux...A la limite...
Et mais de toute façon personne ne savait que c'etait lui qu'il l'avait tuer.. C'esr vrai l'homme etait mort d'une crise cardique...
En meme temps ce sort n'est qu'a utiliser qu'en cas d'extreme danger...

Decidement, Licsis avait la tete ailleurs...Il prefera s'en arreter la et il ouvrit la porte de l'auberge pour sortir, il sortirait du village, ce n'est pas ici qu'etaient la haute pretresse, a coup sur..En meme temps peut etre devrait il regarder dans les cachots ?....
Bon la situation etait confuse...

Pour la seconde fois en moins d'une heure, Kathleen était en colère. Et à cause du même homme vraisemblablement ! Le crétin à qui elle avait du confisquer une faux.

Le tavernier, alerté par la mort suspecte d'un drow dans son établssement, avait bien vu que le sombre c'était juste auparavant alterqué avec cette étrange homme à la capuche baissé, qui devait être prêtre ou magicien. Aussitôt il avait envoyé un de ses fidèles clients à la recherche d'un garde.

Et c'était dont pour cette raison que la jeune demie-elfe marchait à grands-pas pour aller dans cette auberge. Derriere elle, quelques gardes la suivait, un peu inquiets d'être si proche de leur chef quand elle était d'une humeur aussi noire... La colère de kat aurait presque pu être légendaire, surtout quand elle était dans sa cité avec tout les droits !

L'homme à la faux confisquée se tenait dans l'encadrure de la porte. Il fallait faire vite... Si il était vraiment magicien, elle s'en doutait fortement, il allait se défendre. Et Kathleen détestait la magie, en tout cas quand elle était utilisée contre elle. Bien sûr, il n'y avait aucune preuve tangible que se fut lui qui avait tué le drow par quelques vils sortilèges, mais la maitresse des lieux n'allait pas s'arreter à des détails. Cet homme avait déjà enfreint le code de la ville, et donc il était suspect... Si il était vraiment innocent, elle le saurait après un interrogatoire...

- Eh, vous, ne bougez plus !

Le mystérieux homme se retourna vers elle, se sentant sans doute visé. Pile ce qu'elle voulait. Le sabre en main, elle abattit le manche de son arme sur le cou de Liscis, qui s'écroula, assommé. Mais le coup n'était pas assez puissant pour le tenir inconscient plus d'une paire de minutes. Si bien qu'elle se retourna vers ses gardes :

- Mettez lui les menottes pour les magiciens...

L'homme fut relevé sans ménagement, il revenait déjà à lui. Mais avant qu'il eut recouvert ses esprits, on lui avait déjà menoté les mains dans le dos avec de lourds fers. Ces fers, prédéstinés à emprissoné des mages, étaient gravés de runes d'anti-magies naines, si bien que le pauvre homme emprisonné ne pourrait pas utiliser ses pouvoirs tant qu'il les aurait aux poignets.

- Mettez le aux cachots, ordonna la jeune femme.

Rudement, il fut mené aux cachots. Son avenir était incertain...




HJ : Voilà ce qui arrive quand on enfreint les règles. Liscis a gagné un petit séjour aux cachots pour lui rafraichir les idées. Vous pouvez le retirer de l'ordre de postage...

Pour savoir la destinée de Liscis, rendez-vous aux cachots

Si notre vie était un fil, il faudrait la limer pour en réduire la longueur et aiguiser sa finesse, Aurore s'était épris d'un ennui qui incombait à son esprit l'objectif d'une vie, elle ne voulait bouger de cette chaise et simplement attendre que ce maître arrive, mais ne pouvait se permettre de patienter sous le regard d'un elfe, et du jeune homme brun assis à coté d'elle. Lorsque la paresse mène à l'ennui, il ne reste plus qu'une solution, et c'est ainsi qu'elle se leva, en décomposant chacun de ses gestes selon une logique cruelle, elle observa ses jambes se lever et ses bras s'aligner de grâce et de beauté aux cotés de ses vêtements noirs. Le garçon la regarda mais n'osa interrompre ce rituel, Aurore marcha doucement et monta les escaliers, sans regarder le monde qui s'agitait autour d'elle. Perte de temps, d'esprit et d'amour, elle ne pouvait et ne voulait s'introduire partout, car chacun de ses regards animait une passion qui pouvait selon les êtres s'éteindre ou s'allumer.

Alors ses pas l'amenèrent vers l'étage supérieur, elle passa devant une chambre entrouverte et retrouva rapidement l'autre garçon, qui n'avait bougé, dans la crainte et l'admiration de briser la mélodie douce de maître Oropher qui parcourait encore l'abysse du couloir étroit et sombre, mais si la belle respectait la musique, sa pensée n'atteignait pas les philosophies qui aurai pu la garder d'ouvrir la porte.

Elle ouvrit, et observa la pièce impeccable et puis l'homme aux cheveux longs qui se tenait en son sein, plongé dans la musique qui sortait de ses fins doigts. Aurore se prît à sourire et se décala sur la droit dans la prévision de voir le jeune garçon intervenir. Ce qui ne se fît naturellement pas attendre, le jeune entra et annonça à son maître l'arrivée de la charmante créature.

Garçon- Maître, voici cette dame que nous avons rencontrez dans les ruines, elle voulait vous rencontrez.

Oropher tourna la tête et observa le visage sérieux et sage d'Aurore, rien au fond ne pouvait l'empêcher d'accepter cette venue, alors il répondit de sa voix calme et posé alors que la mélodie s'était arrêté de tourner.

Oropher- Chère Demoiselle, permettez moi de me présenter. Je me nomme Oropher et je suis...
Aurore- Inutile de vous présenter par votre métier cher damoiseau, votre nom et votre visage me suffise.
Leurs regards se croisèrent, Oropher hésita et congédia son apprenti d'un regard aussi simple qu'il était impossible à soutenir.
Oropher- Que voulez-vous en ces lieux malfamés ?
Aurore- Votre aide et votre reconnaissance.
Oropher- En quels circonstances ?
Aurore- Je crois que je dois me rendre à Mecca pour continuer ma vie et j'ai besoin d'un homme tel que vous.
Oropher- Comment sans me connaître pouvez vous penser que je vous serai utile ?
Aurore- Je suppose qu'on ne vous appelle pas "maître" pour votre aptitude à jouer du piano. Par ailleurs, le silence de vos élèves m'a apprit bien plus qu'aucune parole à votre propos.

Oropher se prît à rougir, ses sens étaient troublés par cette présence et il ne voulait admettre par des paroles ce qu'il ressentait en la regardant, aussi noire que la mort et belle au dedans qu'elle paraissait s'y complaire, en contraste avec une peau aussi blanche que le neiges éternelles et sûrement aussi inaccessibles que celle-ci.

Il l'invita à s'asseoir, et puis ils discutèrent plusieurs heures. Aurore ne s'attendait pas à trouver au sein de cette ville un être qui lui conviendrai mieux qu'Oropher. Elle réussit à percer sans trop de mal la carapace de l'homme tout en gardant profondément enfouit ce qui lui servait à vivre. Oropher apprit à l'aimer, à l'admirer et cela suffisait pour la suite, il ne pouvait se soustraire à son destin et but chacune des paroles de la belle alors qu'il en dévoilait un peu plus à chaque mot sur sa vie et son tourment.

Aurore- Je t'emmènerai toi et tes hommes à Mecca, je n'ai guère de projets pour le moment, mais soit certain que plus jamais ton nom et tes actes seront souiller par une idéologie malsaine conduite par une philosophie matérialiste. Nous n'avons pas besoin de cela pour être heureux, désormais, soit mon compagnon d'arme et de route et je te sauverai de ton tourment apparent.

Oropher sentait une misère lourde peser sur lui, il s'était laissé avoir par la beauté et les apparences et ne pouvait maintenant que croire les mots de cette femme. N'étais-ce pas auparavant cette douleur qui l'eut conduit au pêché ? Alors il se garda un soupçon de prudence et se leva à son tour...

Aurore s'arrêta soudainement. Dans la pièce aux dimensions parfaite, elle se retourna et regarda Oropher, rien ne pouvait laisser ses pensées se propageait dans l'esprit d'un autre, puisqu'enfin, elle était seule maîtresse de son destin.

Aurore- Dis moi Oropher. Pourquoi ta vie n'a pas changé jusqu'à mon apparition ?
Oropher- Je crois que tu le sais aussi bien que moi, et la seule raison qui te pousse à demander et l'aveu que je te ferai. Le changement n'est pas une chose facile à accepter, on finit toujours pas s'habituer à une situation, même si elle ne nous plait pas. Et puis on se morfond, on devient prudent de l'inconnu.
Aurore- Oui, c'est la réponse que j'attendais. Nous allons vivre de deux choses différentes Oropher, le vol, et la musique. Je n'ai pas d'attention particulière envers quel camp que ce soit, je crois même que la guerre ne me concerne pas du tout, il y a et il y aura toujours des guerres, il me suffit de rester en vie pour profiter de ce que je crois bon.
Oropher s'avança légèrement, afin qu'il soit à la hauteur d'Aurore, bien qu'étant plus grand qu'elle l'expression ne soit pas tout à fait exacte.
Oropher- Mais pourquoi vivre de vol ?
Aurore- Parce que je veux faire de toi l'instructeur que tu étais auparavant et que pour cela il me faut des soldats, des jeunes et que la musique n'est pas enclin à charmer leurs esprits aventuriers, le vol représente le danger et le butin, il n'y a rien de mieux pour eux. Bien, maintenant, nous allons partir, je vais négocier un carrosse de fortune, prépare ton piano et tes affaires.
Oropher- Le piano ?
Aurore- Oui c'est bien cela.

Elle lui sourit, d'un sourire charmant, frais, presque enchanteur et qui emporte au loin les pensées des hommes afin de leur faire connaître un bonheur éphémère mais presque absolu, puis de sa démarche élégante, elle s'en alla vers le rez-de-chaussé.