Iliv’Yra Dert’ylina [Haute Prêtresse de Teiweon Danath'Kor]

Nom/Prénom : Dana'Ri Khabal'Yna
Âge : 236 Années
Sexe : Féminin
Race : Drow
Particularité : Les nombreuses sévisses corporelles qui l’ont été infligées à la naissance ont laissées de nombreuses marques sur son corps. Son style de combat unique en son genre ne requiert que la hargne de ses griffes acérées et son fouet vengeur, deux instruments craints par tous les Drows de ce monde et plus encore par leurs ennemis…

Alignement : Neutre Mauvais
Métier : Haute Prêtresse de Teiweon Danath'Korr
Classe d'arme : Sorcière

Équipement : Sa cape bénie par la déesse elle-même, gardienne de l’âme de sa protégée. Ses griffes arrimées à un gant adapté à caques mains, fait d’acier et d’adamantine…Tranchants comme la lame la plus acérées. Son fouet toujours attaché à sa ceinture et autant prié pour qu’il y reste.

Description physique : C’est une femme aux formes plus que généreuses et aussi belle que dangereuse. Les cheveux assez longs d’un blanc innocent, neigeux, totalement détachées et libre dans l’air. Des traits soignés, deux longues oreilles pointues à moitié cachées par la chevelure aussi abondante que lisse et soyeuse. Ces traits fins déterminent un nez gracieux, léger, une bouche pulpeuse et excitante. Le tout encadre des yeux sans vie, perçants et glacial, un regard aussi vivant que mort, aussi intense qu’éteint. D’une couleur grisonnante variant sur des tons rouges, blancs et noirs, il est souvent amusant d’y lire sa mort. Une taille fine mettant en avant sa chaleureuse poitrine et son fessier parfait. D’une taille modeste et d’une carrure très proportionnée, elle reste souvent dans les mémoires, son physique est souvent excitant pour les mâles qu’elles croisent. Fantasmes inassouvis…Elle porte des tenues légères, presque totalement nues, impudique à outrance. Elle ne craint pas les regards. Les seins nues, les jambes dénudées, son corps est souvent mise en valeur par des tenues choisies avec soin. Quelques cicatrices profondes et persistances viennent tout de même gâcher cette beauté innée. Visible principalement au bas du dos, le seul élément qu’on peut noter se trouve être l’ancienneté de ces marques, mise à part ceci…C’est plutôt léger et maigre. Cependant on ne regrette jamais de la voir…

Description mentale : Ayant un charisme inné, elle c’est toujours montrée plus mature et minutieuse que ces âmes errantes. Elle aime renifler le monde, l’apprécié pour ce qu’il n’est pas. Tant de mots pour la décrire, mauvaise, malsaine, sadique, violente, agressive, de mauvaise foi, dangereuse, psychotique. Son mental est une véritable mère aussi chaotique que désordonnée, ces années de jeunesses n’ont pas arrangés les choses la rendaient totalement instable. A même de vous donner une once de gentillesse l’espace d’un instant et de vous prendre tout jusqu’à votre âme l’espace de l’instant d’après. Elle vous apprendra comment la haïr et la détester autant que l’aime et la craindre. Elle n’éprouve aucune confiance pour qui que ce soit et dénigre totalement le respect ou l’autorité. Epris de déchéance et de pratiques sexuelles tourmentées, elle aime la douleur et observer la souffrance des autres. La pitié est une chose qui n’existe pas dans son monde. Elle prendra plus d’ardeur à arracher les bouts de peau de l’être qu’à recompté ces douleurs. Froide et sèche tout autant que joviale et fraîche. S’approcher d’elle sans la comprendre ne veut désigner qu’une mort certaine. Sa cruauté, son esprit et sa folie n’a pas d’égal en ce monde. On dit que c’est la volonté de sa Déesse d’avoir choisit sa championne ainsi, altérée par le contact prolongé de sa volonté Divine.

Histoire :

Des murmures, encore des murmures. Une entente cordiale entre vie et mort, folie fortuite de la désinvolture de l’être. Les cris du mâle résonnaient dans la pièce n’ayant de cesse, il hurlait encore et encore, ses hurlements de peines et se déchirement de souffrance se répercutaient dans l’étroite alcôve. Ils couvraient l’étrange rire cristallin qui s’échappait de la jeune fille chevauchant le mâle.
Celle-ci semblait en proie à une possession profonde, jouissant presque de l’acte irréel auquel elle procédait. Ses yeux pétillant et emplit d’une lueur folle fixait la stature du mal et son visage déformé par la douleur. Elle pouvait sentir la Déesse se nourrir au fil du début de leurs voyage, les lueurs grisonnantes et changeantes émanait déjà de l’esprit de sa victime.
Le Drow mâle était allongé sur l’autel, mains et pieds liés, sans le vouloir de se débattre, il semblant souhaiter simplement surmonter l’épreuve de sa souffrance pour partir rapidement, cependant le plaisir était à faire durer. Différents instruments étaient étalés sur les bords de la fille et le sang abondait dans sa coulée. L’homme avait le ventre ouvert, la peau arrachée et l’abdomen sectionné pour permettre une large ouverture. L’activité de celui-ci n’était plus qu’une question de minute. Les coins de peau étaient raccordés par de larges chaînes métalliques étirant et malmenant la capacité élastique de notre homme. Les cris se calmèrent et n’apparurent qu’en léger couinement puis ce fut le silence cassé par le rire de la fille encore vivace. Elle se penchant déposa un baiser au creux des lèvres du corps sans vie, sans âme. Elle aimait le contact des entrailles ouvertes chaudes et accueillantes, se frottant et gagnant en excitation, elle ne peut s’en empêcher, elle mordit fermement la lèvre inférieure pour l’arracher et la cracher sur le sol. C’était l’extase. Son corps était couvert de sang, sa bouche laissant apparaître les trainées de la morsure, la faisait paraître au creux de la pénombre comme un démon d’un autre monde. Ses yeux miroitants étaient remplient d’extase et de vivacité, la déesse ne pouvait être aussi comblée qu’elle.
Elle aimait tellement sa vie.

Elle naquît d’un père mort quelques jours avant sa naissance et d’une mère morte à l’accouchement. Ces deux signes précurseurs la firent d’or et déjà craindre. Petite enfant chétive et innocente mais déjà cruelle peut-être. C’était un campement de faible envergure et au vue de son dénigrement déjà important, elle fut confiée à une sorcière locale. Les bruits les plus fous courts à ce qu’il a pu advenir d’elle entre les mains de cette vile femme. Torture, viol, rituel, malédiction…
Dés qu’elle fut en âge de montrer du doigt, elle se mit à se déplacer au cœur du campement, son nounours sous le bras elle montrait alors de l’index les différents morts de la journée. Au début on eu cru à une blague, malheureusement ces prédictions se révélait toujours exact. Hommes, femmes, enfants et vieillards, elle n’épargnait pas. Ce fut d’abords un sentiment de méfiance à son égard qui commença à s’insinuer dans les cœurs, puis ce devenu rapidement de la crainte, de la tristesse et ce fut un vent de haine qui souffla bientôt. Aussi détesté que crainte, la plupart des habitants locaux prient de terreurs finirent par faire se venger sur la servante de la mort, la maudite. Paria de par sa folie et son pouvoir. S’en suivi à chaque soir et chaque nuit, des séances de tortures plus atroces les unes que les autres. Ecartèlement, fouet, brûlures, coupures. Plus les séances étaient véloces, plus les gens mourraient et bien sur plus la haine gagnait du terrain. Cela dura jusqu’à l’âge de huit ans. Le visage avait été décimé par la mort, la désertion et la haine, triste coup du sort.
Il quitta ces terres marquées autant physiquement que psychiquement, rejoignant la capitale, elle fut accueillit dans un temple. Ces premières années fut un isolement total, on disait que c’était la purge de l’esprit, mais ces êtres ne comprenait rien à la véritable existence. Ensuite venu l’étude et en âge d’être pubère, elle pouvait déjà sentir ses pulsions de sadismes, du masochisme, du sang montées implacablement en elle. Oui…Elle aimait la mort et la souffrance, en jouissant à chaque pensée et s’extasiant devant ces actes. Ce fut encore quelques années après le début de ses études qu’elle fut reconnu toucher par la main Divine. Elle devenue Grande Prêtresse et suivit une ascension aussi fulgurante que désinvolte. Elle passa des années durant à étudier la sorcellerie secrète de l’âme, passant nombres d’heures incroyables à exhumer le caractère secret et divin des livres, manuscrits et maîtres. Une centaine d’années à peaufiner connaissance, charmes, maîtrises et surtout dévotion. Elle étudiait pendant ces heures pleines et laissait libre court à ses pulsions dévastatrices et craintes pendant ces heures creuses. Elle fit rapidement sa réputation, instable et dangereuse, belle et fatale. Une de ces beautés inconditionnelles dans laquelle le fruit de la tentation est aussi fort que sa déchéance. Elle prit le temps de vivre pleinement son exil et d’assouvir le moindre de ses fantasmes. Le Temple avait été encore un lieu à sa perfidie folle, il y avait beaucoup de résignations et la Grande Dignitaire détestait cette enfant. Elle lui demanda donc d’aller à la capitale, elle, Haute Prêtresse de Teiweon Danath'Korr et elle mourra pour ça. La seule autorité qu’elle accepta ne venait que de sa Mère Véritable. Oui elle aimait son culte comme sa propre vie et sa déesse comme sa Mère. Guide de ses pas et main de sa volonté. Errante encore quelques années conséquentes, elle finit par se résignée elle-même. Son temple n’était plus qu’un repère éteint. Plus d’envie et une lassitude profonde.
Elle finit par partir pour la grande capitale, affabulée par ces hauts dignitaires pouilleux et lâches. Elle adorait voir le monde se détruire sous les doigts des Divins. Elle aimait la mort aussi bien que la vie finalement, l’âme était tellement. Ces pensées continuaient de la remplir d’extase. Son arrivée dans la capitale fit naître ferveur et cruauté. Elle était connue, aimer et détesté, chérie et priée tout aussi bien que mauvaise.
Haute Prêtresse de Teiweon Danath'Korr, Khabal'Yna était à craindre choisie par la Déesse elle-même comme sa voix sur ce monde. Un choix aussi fou que véridique…
Avant que les cris se fassent entendre que la haine déchire les coeurs, il fallait qu'elle atteigne le Puy, qu'elle trouve nourriture à son gout, assez de plaisirs à y satisfaire et qu'elle prenne part à un monde exébuhrent et malsain à ses yeux. Une jeune et frêle en apparence qui est au final bien plus dangeureuse dans son murmure au même titre de ce qu'elle représente. Doux minoit à la ferveur irraisonnée qui peut faire tremble bien plus de choses qu'on peut le croire...

Terminé en temps normal...Trop court peut être ? : O

Autoristation accordée pour le double compte.

Bonjour ! Bien dormi ? Hum... Bref.

Ta fiche est excellente, mais j'aurais toutefois une seule petite chose à lui repprocher. Bah oui, c'est rarement parfait du premier coup. ^^

Etant donné qu'il n'y a qu'une seule Haute-Prêtresse à la fois, et qu'avant toi nous avions Div'argh, ça serait bien que tu parles de la succession, de quand elle a disparu (je rappelle qu'elle a disparu sur le champ de bataille lors de l'attaque des Drows chez les hommes et les elfes), des querelles internes de pouvoir pour savoir qui deviendrait son successeur, et enfin de ton ascension sociale à ce poste.
Sachant donc que tu n'as pu accéder que récemment à ce poste.

En tout cas le reste de ta fiche me convient tout à fait, bon travail. ^^

Je me suis peut être mal exprimé ou j'ai peut être sauté des détails importants, cela dit je parle d'exil et d'une certaine vie recluse. Dans le contexte historique, elle ne sait pas ce qu'il en est concernant toutes ces tensions et ces luttes, elle est ce qu'elle est et voilà. Là elle vient de sortir du couvent et vient d'arriver à la capitale. Elle ne juge même pas sa position importante même si elle le sait. C'est plutôt le genre de mort candide et de vie innocente totalement pévertie et qui s'épanouit dans la violence. Elle ne sait pas vraiment qui est Terbryn. :) Enfin je sais pas si je me fais clair ? :)

Ce que je veux dire, c'est que normalement tu découvres que tu es désignée Haute-Prêtresse une fois au Puy. De plus, même si tu le savais avant (vision de la déesse ou autre, peu importe) il faut bien te dire que les grands-prêtres qui officient au Puy ne doivent pas voir d'un très bon oeil cette jeune Drow de la "campagne"...

Exactement, mais dans l'idée c'est que je suis pas encore au Puy. :) La pensée réelle de mon personnage est brouillée par son instabilité mentale. Aprés j'attends de commencer mes RPs pour expliquer sa réaction face à son nouvel environnement. Les dernières phrases de ma présentation servent de cloture et d'ouverture :) Tu souhaites que j'ajoutes un paragraphe concernant le Puy ?

Une ou deux phrases suffiront, histoire de ne pas comprendre de travers (ce que, visiblement, j'avais fait.^^)

Ca te va Aethchoupi ? : O

Changement de nom en cours c'est quoi les assonances pas prises chez les drows ? : O

C'est nikel. ^^

Pour les noms, ben tu peux choisir ce que tu veux, même inventer un truc, tant que ça sonne dur à l'oreille... ^^

Khabal'Yna Dana'Ri =)

Voilà pour le nom, j'ai le droit à la chtite validation ? :p

Par les pouvoirs qui me sont conférés...

*Eternue et foire son truc.*

Atchoum !

Arf... Bon, ben bref, t'es validée, bien entendu. ^^

Tu sais quoi faire. ^^

(Et moi je vais changer ton nom et voir avec un admin s'il peut mettre ta couleur.)

(o/ m'en occupe aeth!

Oh...Une copine

(o/ voila c'est fait