Vioras, le retour! (pv: Lund Set' Ago Tanu et Ceylan)

Au puy: (mise en situation)
Il déplia encore une fois le mot dans sa poche. Il allait s'échapper. Les marais étaient une drôle de place pour kidnapper quelqu'un en courant. Il se dit donc que les terres stériles devait être un lieu parfait , surtout à cheval! Voila que deux jours s'était écoulé depuis son vol. Il avait pris une élève sous sa tutelle. Déjà elle avait fui, sa patience avait fait défaut. Il errait maintenant dans les ruelles lorsqu'il tomba sur une affiche de mercenaire. C'était le moment idéal de la rattraper.

Il n'avait pas plu ces jours-ci, avec un peu de chance il la rattraperais. Il prit en note le lieu de rendez-vous et parti vers celui-ci. Il déboucha sur une taverne miteuse qui sentait l'urine et le vomi. Les choses pratiques doivent-elles absolument se retrouver dans ce genre d'endroit? L'endroit était sale, il y régnait une atmosphère de prostitution et d'illégalité en plus de l'odeur déjà pestilentiel. Il se demandait si l'endroit n,avait pas été construite avec du bois pourri ou si il avait pourri pour ajouter un certain cachet.

Quoi qu'il en sois, il n'était pas ici pour apprécier le paysage. Il commanda un verre de vin. Le meilleur de la maison. Heureusement qu'il n'avait pas pris le pire. À côté de lui, un homme le dévisageait. En quoi un homme si bien habillé venait prendre un verre de vins avec son ami l'air hautain? Vioras regarda autour de lui, deux trois ivrognes gisais sur le sol et un homme semblait toujours ajun. Il s'adressa au barman qui s'évertuait à la ver un verre avec une serviette plus sale que celui-ci.

Ne sauriez-vous pas où je pourrais trouver un mercenaire à bas-prix?

[HJ : pour ne pas emmerder tes hôtes, dit simplement que ça c’est passé avant… Car selon ils n’ont pas l’air content de te voir là-bas ^^]

Le tavernier resta muet par contre le drow à ces côtés lui répondu tout entrain qu’il était la personne qu’il cherchait. Un drow gentil et mercenaire qui plus est. Un peu plus grand que la normal, il semblait de carrure semblable aux autres. Parc ontre un élément dans sa physionomie ne rentrait pas dans la cohérence des choses. Il semblait un peu trop carré, à croire que sa peau était rude. De plus, il avait une épée, à moins d’être sur de sa force, un mercenaire aurait du avoir ne serais-e qu’une armure en peau. Sa peau était sombre, pas de doute sur lui, il n’était pas le fruit de quelques bâtardise que ce soit. Il n’avait pas d’alliance au doigt.

-Tant que tu tues ce que je t’ordonne de tuer je te paierais, par contre, si tu es trop gentil tu ne recevras même pas de pitié. Par contre je t’offre un salaire raisonnable, après et seulement après ta tache accompli. Pas question que tu ne te sauves avec mon argent!

Des symboles ornaient sa peau comme autant de tatouage. Ceux-ci était peut-être l’héritage d’un passé magique. Il finit les dernières gouttes du vin ignoble sur le planché du bar. Des clients commençaient à entrer dans le bar. Des gens qui entraient dans un bar venait tout juste de ressortir d’un autre ou venait ajun. Pas nécessairement l’endroit idéal pour parler d’un meurtre. Il fit signe au jeune homme de le suivre d’un mouvement de doigt. Il laissa un pourboire au barman, non pas pour l’alcool mais pour son silence.

Vioras enfourcha son cheval et rejoignit prestement son mercenaire. Il le regarda du regard qui dit de faire profil bas. Le vol n’était pas une opportunité de s’enrichir, au contraire. De plus, attirer l’attention sur eux n’était pas bonne chose. Il prit la route en silence, jugeant préférable de ne pas entamer la discussion. Une longue route les attendait, autant ne pas corser les relations sur-le-champ. Ils quittèrent l’enceinte ville très vite. De ce point, Vioras chercha la position du soleil et déplia sa carte sur le sol sous les yeux de Lund.

À droite, à gauche et devant. Content de se rappeler de ses directions, il se posait la question fatidique. Ou ? D’un côté les marais. Pas pratique pour les moustiques. De plus, la progression devient lente à partir d’un certain moment. Sans parler des bêtes sauvages… Devant il y avait les autres pays. Bien que les tensions soient fortes, peut-être était-il parti voir de la quelconque famille ? Mais cette idée ne l’enchantait guère beaucoup. Pourquoi tomber dans la gueule du loup si facilement ?

Il opta donc pour les ruines. Du moins les environs. Car à l’intérieur, les armes étaient proscrites, or, pour gardé une détenu, il fallait des armes. Il s’enligna vers cette direction. Silencieux. Les événements de ces derniers jours avaient filé trop rapidement.

Il détourna la tête de la roche qu’il fixait depuis un moment. Il s’était perdu dans ses pensées. Il se retourna vers lui et plissa les yeux, se remémorant la question puis répondit :

-Zakeron. Il n’a pas tué, mais il le fera un jour. Il a enlevé la fille que j’avais sous ma tutelle dans le seul but de profiter d’elle. À l’instant même, peut-être est-elle morte.

Il raconta également les présentations, un échange assez étrange. La haine du jeune homme à son endroit, son stress face à lui et finalement la lettre qu’il trouva. Il avait ensuite pris un élève. La profession oblige. Mais il s’était imaginé trop de scénario et avait provoqué la rencontre.

Maintenant il se taisait. Le soleil commençait à décliner dans le ciel. Le froid allait s’installer et la nuit tomberais très rapidement. Il décida donc par mesure de précaution de dénicher un endroit sur ou il pourrait passer la nuit à l’abri des voleurs de grand chemin et des fauves. Il ne fit pas de feu et consomma du pain qu’il avait emporté sur lui comme seul repas.

Pris d'une intuition, Vioras se réveilla. Toujours somnolent, il se leva avec difficulté mais ce qu'il vu lui suffit à faire monter un peu d'adrénaline en lui. Il sortit prestement ces armes afin d'aider au cas ou. Ce moment était idéale, il permettrais de juger des compétences de son mercenaire. Il dévisagea l'inconnu mais ne put apercevoir son visage. Il craignait que celui-ci sois Zakéron, celui qui avait enlevé Juliette et qui maintenant, après l'avoir surement tué, venait s'en prendre à lui. Mais il sembla que ce ne fut pas le cas. Simplement par la forme de celui-ci. Il avait déjà eu l'occasion de le regarder correctement mais que l'inconnu sois celui qu'il cherchait semblait une idée saugrenu.

Une idée lui traversa l'esprit, moins étrange cependant.. Et si l'homme pouvait lui être utile... et gratuit! Un esprit de plus est une arme supplémentaire contre l'ennemi. Il espérait mettre ainsi la main sur Zakeron plus rapidement. Il se vengerait ainsi plus rapidementLe seul problème était que celui-ci ne nuise à la progession et empêche une attaque surprise.

Il regarda toutefois le petit jeu qui se déroulait devant lui. Espérant que ni un ni l'autre ne se blesse gravement. Il ne fit que regarder, arme au point ce qui se déroulait.

HJ: Sincerement, je ne croyais pas écrire mon dodo alors je me suis reveillé! Que veux-tu!

Il en avait marre de courir et chercher, il alla trouver un cheval au Puy et direction les terres stériles où on lui avait dit qu'il trouvera un Vioras tuteur d'une certaine Juliette. Papier dans la poche, armé et tout il finit par débouché dans les terres arides là où il avait cru entendre quelque bruit auparavant. Vêtu tout de cuir, il descendit de son cheval et reconnut sans trop de mal celui qui se faisait appelé Vioras. Il se racla la gorge, le salua d'une simple tête comme si, il le connaissait depuis longtemps et lui tendit un papier, là où était proscrit l'exigence de mariage avec la fille ainée des Lorsange avec le fils ainé des Nosferatu famille noble qui a disparu il y a de cela plus d'un demi-siècle. Il prit ensuite la parole, ne prennant pas en compte quelque bruit inquiétant venant du Sud.

- On m'a dit que vous étiez le tuteur de cette personne. Voilà, j'aimerais savoir où elle est pour pouvoir mettre en place notre mariage. J'ai quelque papier là qui prouve mon ascension sociale et ma place au sein de l'armée Sombre.

Il avait déjà vu cette Juliette, et devait dire qu'elle était bien à son goût. Seule problème, il voulait d'abord voir comment elle réagirait à cette demande car il n'aimait pas les drow qui le fuyait.

(HJ: Ok, on a quelques problèmes de cohésion voulez-vous. Je vais tout relationnalisé que ça vous plaise ou non. Vous vous dirigez tout croche. Et on y comprend plus rien. Ceylan, lis les post antérieurs svp. Lund avait pris quelqu'un en otage. Et Lund, tu pouvais pas attendre que je sois reveillé, ça aurait eu plus de sens non? J'ai essayé de rendre les choses clairs, mais si ça ne va pas, sois on appelle un modo, sois on delete nos derniers posts et ont refait tout.)

Vioras, maintenant tout à fait réveillé, fit le point dans sa tete. Un homme s'était approché du camp, il y avait eu du raffut et cela l'avait réveillé. Le mercenaire s'était réveillé avant lui et avait pris cette homme en otage. Maintenant, celui-ci demandait la paix et lui tendait un petit papier. Mais il était toujours pris en otage.

Vioras était partagé entre la curiosité et la crainte. Tout d'abord, cet homme avait surgi comme ça en pleine nuit. Ensuite, il lui tendait un papier. Mais le papier était-il une simple diversion pour l'amadouer? Mais il avait parlé de mariage et de tutorat. Il semblait bien être au courant de l'existence de Juliette. Et puis, il semblait fidèle à l'armée sombre et ressemblait de toute part à un drow de sang-pur.

Il tendit la main vers le papier et le prit vivement. Ensuite il dit au mercenaire (J'ai oublié son nom imaginaire...) de relacher le drow. Il pris conscience du pacte de mariage et s'assura de sa véracité. Il regarda le nouveau venu de la tête aux pieds. Il lui tendit la main. Il était conscient qu'une nouvelle personne ralentirais l'allure mais une fois rendu, si toutefois Zakeron s'y trouvait, il aurait un argument de taille pour la faire revenir. Cette fois elle n'échapperais pas au mariage. Et si de plus celui-ci était ligitime, pourquoi pas!

(HJ: Réponse à Ceylan: Oui, tu t'infiltres en pleine nuit, faut s'attendre à des soupçons. Mais tu t'en tires bien, c'est l'important.)

( J'ai pas compris ? Ceylan c'était lui le prisonnier ? )

Le Valdruk serra la main du Noble Vioras avec un sourire aux lèvres, à présent il fallait retrouvé la futur marié et voir comment elle allait réagir. Tout ce que voulait Ceylan, c'est qu'elle l'aimerait un peu, lui donnerai des enfants et parlerai de lui devant les autres dames. Son sourire amusé s'effaca de son visage pour laisser place à un air sérieux. Il se racla la gorge pour réveiller sa voix avant de demander.

- A présent, où est cette Juliette ? Car on devrai d'abord commencé par parler avant de commencer à faire autre chose. Mais dites moi d'abord si elle a un mâle dans sa vie ? Car cela nuierai à notre image non ?

Pour l'instant, il n'avait pas pas fait attention à l'autre drow qui était présent. Il avait tout l'air d'un mercenaire travaillant pour Vioras, Ceylan le regarda de haut lui insinuant de ranger ses quelque armes étant donné qu'il était une personne plus importante que les deux autres, il fallait un minimum de respect. Il tapa du pied, envoyant un insecte valsait plus loin que lui. Ce qu'il n'aimait pas après les humains et les elfes et les rénégats c'était bien des insectes.