Prière de Arwën, une journée comme les autres

Sujet: Prière de Arwën, une journée comme les autres Sam 12 Jan 2008 - 18:50

De bon matin, lorsque les oiseaux chantonnaient leur mélodie harmonieuse, le soleil commençait à montrer le bout de son nez aux couleurs orangées. C'était une couleur agréable, paisible et vivante. Le vent battait les arbres dans la ville où se trouvait une jolie et charmante maison, petite, aux fenêtres en verre et aux murs peints d’une couleur jaune beige très agréable. La maison résonnait de vide totale, il n'y avait personne, sauf...une jeune elfe pelotée dans un nid de couvertures, dans une pièce sombre à cause des rideaux fermés qui allait bientôt être baignée de la lumière du matin. Un mince filé de lumière sortait de l’entre ouverture du rideau, laissant apparaître le doux visage somnolant de Arwën.
Dans un coin de la pièce, plus exactement là où se trouver une demoiselle encore enfouit dans ses couvertures, rêvant de choses et d'autres, pensant au future peut être meilleur peut être pire. Le petit tas de toile de lins proche qui humait bon le parfum de la vaille remua. Ce qui était enfouit là-dessous émit son un qui, de doux murmure qu'il était au début, devint aussi claironnant que le cris d'un coq réveillant tous le village de son cris cinglant.

Une fois s'être étiré, avoir baillé pendant de longues minutes sans s'arrêter, c'est à se demander si elle avait encore du souffle, Arwën se leva péniblement de son nid douillé encore flou du regard matinal.

L'elfe marchait en direction de l'endroit où elle passait une bonne partie de son temps qui lui était réservé, sa salle de bain. Elle avait une démarche d'ivrogne venant de boire toute les réserve l'alcool d'un bar, chancelant, manquant de très près de se faire assommer par une poutre très basse.

Une fois vêtue d'une robe d’un bleu myosotis, très belle couleur, la jeune femme coiffa sa longue chevelure d’or en les laissant lâché comme elle le faisait à son habitude. Arwën enfila une paire de chaussures fermées et sortit de la pièce.

Arwën trottinait vers la cuisine, s'assise sur un élément de cuisine tout en grignotant un morceau de pain aux céréales. Un maigre déjeuner pour une maigre personne. De toute façon, Arwën n'écoutait pas son ventre crier, elle avait l'habitude d'oublier de manger, avalant juste un verre de lait chaque matin pour ne pas tomber dans les pommes, cela lui suffisait et elle ne voulait pas ressembler à une bouboulle.

Quand elle eut finit son repas matinal, la jeune elfe sortit de sa maison vide de sentiments et de personnes, mais malgré cela, remplit de nombreux souvenirs, autant heureux que triste...

Marchand d'une démarche sereine, Arwën regardait le ciel azure, une belle couleur ressemblant à la couleur de ses yeux a elle lorsque la nuit tombé et que la nuit s’éllevait dans le ciel, des yeux qu'elle avait hérité de son arrière grand-mère, une très belle femme au teint blanc, d’une peau ivoire, comme sa mère et elle.

Zigzagant dans les rues, croisant le regard de nombreux habitants au regard nerveux, calme et a la fois amusé, des regards changés en fonction de l’humeur des gens ce qui était tout à fait normal, Arwën avait comme destination le temple dédié au Sanctuaire, prier Mère Nature.

Une fois arrivée à destination, Arwën entra dans le temple et resta plantée tel un piqué dans le sol devant l’hotel où des offrandes avaient été déposées. La jeune elfe venait là car c’était elle aussi une amie de la nature, elle restait souvent dehors a vrai dire, même quand le temps l’en empêche. Arwën regardait silencieusement l’autel puis joignit ses mains pour prier dans sa tête Mère Nature, qu’elle vénérait.

Le temps passait lentement, le vent faisait tournoyer la poussière et faisait presque voler la longue chevelure d'Arwën. Que la journée allait être longue mais la jeune elfe ne s'en souciait guère car elle n'avait rien prévus. Ses yeux aux pupilles bleus se clorent ainsi que sa bouche auparavant entre ouverte. Il n'y avait aucun bruit, juste le bruit des battements réguliers du coeur de Arwën ainsi que sa respiration et le bruit du vent.

Valtor qui entreprenait une balade lors du lever du soleil, qui était devenu une habitude pour lui, eut une soudaine envie d’aller prier au temple. Il y avait longtemps que l’Elfe n’avait pas prié. Tellement partagé entre ses professions, Valtor s’en était retrouvé un peu débordé.

Valtor marcha pendant quelques minutes sans s’arrêter, sentant l’air frais du matin lui caresser agréablement le visage. Il ferma les yeux, puis continua à marcher, tout en gardant ses yeux fermés, suivant son instinct.

A vingt minutes de marche du sanctuaire, Valtor continua sa route. Il croisa quelques collègues, amis, qu’il salua. A mesure qu’il arrivait vers la cité Elffique, Valtor assistait au lever du soleil. C’était un spectacle merveilleux.

Il pénétra alors à l’intérieur des bâtiments. Après avoir lancé un dernier regard vers le ciel rougeâtre, Valtor s’engouffra dans les couloirs. Il croisa quelques uns de ses élèves qui lui demandaient sur quoi porterait leur prochain cours, et Valtor se contentait de répondre qu’il fallait être patient.

Il sentit monter en lui un sentiment de chagrin et de culpabilité en s’approchant du Temple. Il ne s’était toujours pas pardonné le fait qu’il ait tué son propre père. Même si tout le monde lui disait qu’il n’aurait pas pu faire autre chose, que ce serait lui ou bien son père, Valtor ne pouvait s’empêche de se sentir coupable. Bien sûr, l’Elfe n’en parlait à personne. Il gardait tout son chagrin pour lui-même. Sans doute était-ce un erreur.

Après quelques minutes de marche, Valtor arriva enfin à l’entrée du sanctuaire. Il remarqua qu’une femme, était aussi présente. Elle priait. Il décida de ne pas la déranger et décida d’ignorer sa présence. Il fixa l’autel. Puis il joignit ses mains et les colla à son front.

Après quelques prières, Valtor jetta un regard à la femme Elfe. Il d’acida d’aller lui parler, pour ne pas paraître grossier.

-Bonjour Ma Dame. Je me nomme Valtor Alvalen. J'enseigne ici, à Alëandir. Qui êtes-vous?

Valtor inclina légèrement la tête en signe de bienveillance.

Calme et silencieuse tel une lionne traversant les plaines à la recherche de chair tendre, Arwën priait au temple comme tous les jours de la semaine, enfin tous les jours, plutôt une fois sur deux. Une légère brise caressa son visage puis ses cheveux qui flottaient presque dans les airs comme de la magie. Ses yeux étaient clos, son esprit conscentré sur une prière dédiée au dieu, son corps immobile. Arwën sentit une présence s'ajouter à la paisibilibée du temple. Qui était-ce ? Un humain ? Un elfe ? En tout cas, ce n'était pas un elfe car son intuition lui disait le contraire.

La jeune elfe ne bougea pas. Son désir de savoir qui cela pouvait être et qu'est-ce que cette personne voulait était plus fort que le désir de s'enfuir. D'ailleur pourquoi s'enfuir ? Ca ne servirait à rien. Ses yeux auparavant clos s'ouvrirent doucement, son regard bleu se posa sur l'hotel puis de part et d'autre d'elle. Un ombre s'avançait d'une démarche de guerrier vainqueur qui se dirigeait vers elle. Soudain, Arwën vit son visage. Ce visage ! Elle l'avait déjà vu quelque part, elle en était sûr désormais, c'était un elfe !

Arwën termina sa prière tout en déliant ses mains précédement jointent pour les faire glisser le long de ses hanches. L'elfe se tourna légèrement et grâcieusement vers l'humain qui marchait toujours vers elle. Peut être croyait-il que c'était un prétresse du temple ? Eh bien oui, ce n'était pas une simple elfe qui priait tous les jours sans pour autant être une prétresse mais s'en était une. A première vue, on aurait pas dit que cet elfe était un guerrier, mais de sa démarche et de son regard, Arwën pouvait voir de nombreuse chose invisible à l'oeil nue.

L'elfe s'arreta non loin d'elle pour prier lui aussi. Il l'ignora pendant un petit moment. Son regard bleu infini se posa sur l'elfe, en tous les cas, il était là pour prier ou pour faire une offrande au dieu. La bouche de Arwën s'entrouvrit un instant tandis qu'elle chercher des mots pour faire une phrase servant à lui demander quelque chose ou simplement le saluer. Après quelques minutes de silence pesant, l'elfe trouva enfin. Une voix claire et douce s'éleva dans le temple, la voix d'Arwën.

"Bonjour Monsieur Valtor Alvalen. Je suis une prétresse et je m'appelle Arwën Leyhola. Enchantée de vous recontrer"

Après ses mots, Arwën esquissa un légé sourire pour répondre au hochement de tête de l'elfe.

Dernière édition par le Sam 12 Jan 2008 - 20:57, édité 1 fois

-Ravi de vous rencontrer grande prêtresse. Excusez mon manque d’intuition, je ne me doutais pas que j’étais en présence d’une telle personne.

Il sourit à la prêtresse puis il balaya la salle du temple d’un regard sobre. Son regard revint se poser sur l’Elfe, qui de près, était d’une rare beauté. Valtor s’approcha de l’autel, puis il sombra dans ses sombres pensées.

Pendant environ trente secondes, il resta immobile, en repensant à son père, à sa mort. Valtor serra ses dents en y pensant, puis regarda Arwën.

-Je suis désolé. Hum… je m’étais envolé vers mes pensées.

Il lui sourit puis s’avança vers elle et lui prit la main.

-Je suis aussi enchanté de faire votre connaissance. J’allais oublier. Je suis professeur, ainsi que guerrier à Alëandir.

Après un dernier regard, Valtor reprit une autre prière. Il s’agenouilla près de l’autel, et marmonna des choses inaudibles. Il resta assez longtemps occupé à ses prières. Le temps ne passait pas vite. Il sentait le moindre bruit, le souffle de la prêtresse pourtant éloignée.

Il finit sa prière puis se leva. Il inclina légèrement la tête en direction de Arwën en s’apprêtant à partir.Mais en la regardant, Valtor sentait quelque chose de bizarre. Comme de la compassion. Aussi, il décida d’aller en savoir plus.

-Quelque chose ne va pas grande prêtresse ?

Il lui jeta un regard interrogateur.

Eowyndil etait a sa deuxieme journée sans mediter il s'etait mis en tete de prendre son tour de garde plus longtemps afin de tester ses aptitudes a resister a la fatigue ,j'us qua maintenat il s'en sortait bien il etait a peine fatigué ,a present il se dirigea vers le sanctuaire afin de verfier le calme plat qui devait y reinger en maitre absolut .

Eowyndil avait mis sa cape verte et sa capuche le jour etait le moment qu'il detestait le plus car il avait une visiblité restreinte ,il entamat la traversée du sanctuaire mais passer l'autel il fut pris de vertiges et s'ennfondrat a terre,il se relevat titubant comme une bete bléesé et finit par s'appuyer sur sur une colone ,la il remarquat deux elfes en train de dialoguer.

Eowyndil nageait a present dans un brouillard a couper au couteau ,so esprit du moins il finin par saisir une pomme et mordit dedans a pleine dents ,il se retablissait de son vertige et se preparat a returner a son tour de garde il esperait seulement que sa chute n'avait pas attirer l'attention ,il ne voulait pas se risquer a un nouveaus contact de la population qui se finirait mal.

Son regard bleu infinit ne se détachèrent pas de la silhouette du guerrier. Qu'il semblait fort, robuste mais à la fois un homme calme. C'était étrange de voir cet homme déjà rencontré auparavant. C'était peut être normal car c'était un elfe donc elle devait l'avoir recontré dans la cité quelque part. L'elfe marcha vers l'autel et soudain un silence se fit entendre. Il se retourna et s'excusa en lui expliquant qu'il était perdu dans ses pensées pour ensuite lui prendre sa main, il ajouta qu'il était aussi enchanté de faire sa connaissance et qu'il était professeur mais aussi guerrier à Alëandir.

"...Oh ! Un professeur ! Eh bien c'est un sacré travail que vous avez là ! Je vous souhaite bonne chance avec les enfants ! Ils sont si adorable ! Ah...j'adore les enfants..."

Arwën fut plongée dans sa rêverit puis se réveilla. Elle esquissa un sourire dévoilant alors sa magnifique dentition. Après ses quelques mots échangé, le professeur partit prier seul devant l'autel. Au fond d'elle, Arwën présentait quelque chose, un sentiment, un sentiment qui se déguager du corps musclé du guerrier. Un malheur ? Une honte ? Une bêtise ? Qu'est-ce que cela pouvait-il bien être ? Quand la prière de Valtor fut finit, il revint vers Arwën, la regarda quelques instant et remarqua son air soucieux. Il lui demanda si quelque chose tout en la regardant d'un regard interrogateur aussi pesant pour Arwën qu'une montagne de rochers. Elle balbutia d'une voix faible pour ne pas qu'il lui repose la question et pour qu'il ne se doute de rien, elle ne voulait pas faire ressortir de vieux souvenirs enfouit dans son esprit.

"...Eh...Euh...Rien...Juste que..."

Un bruit se fit entendre. Un bruit sourd mais étouffé. Quelqu'un était là. Arwën regarda autour d'eux un moment puis son regard se posa sur l'elfe. Qui pouvait bien être là ? Un bruit de pas très faible s'éloigner peu à peu de là où se trouvait les deux elfes. La jeune elfe murmura à son ami.

"...Il semblerait qu'il y ait quelqu'un..."

Arwën fit signe à Valtor qu'elle revenait dans quelques instants puis se dirigea vers l'endrois où se trouvait la personne qu'elle ne connaissait pas, cette personne n'était autre qu'un elfe noir. L'elfe posa sa tête contre une colonne, observant attentivement le moindre mouvement et écouta le moindre bruit pour savoir qui était là.

Valtor écouta Arwën qui avait du mal à lui dire ce qui la souciait. Il la regarda avec ses yeux argentés, essayant ainsi de comprendre ce qui n’allait pas. La prêtresse s’apprêtait à parler lorsqu’un individu entra dans le sanctuaire. Cette personne avait l’air bizarre aux yeux de Valtor. Il se rendit compte presque aussitôt qu’il s’agissait d’un Elfe Noir.

Valtor le fixa, prêt à contrer toutes les attaques de l’Elfe Noir. Il regarda ensuite Arwën qui lui faisait signe qu’elle allait voir l’individu, et Valtor lui recommanda de faire très attention.

Après quelques instants, Valtor s’avança vers l’Elfe Noir.

-Qui es-tu et que fais-tu en ce lieu sacré ?

Le regard de Valtor était impassible, il ne laissait paraître aucune émotion. Il lança un regard à la prêtresse, et lui fit signe de rester là ou elle était. Valtor se demandait ce qu’un Elfe Noir pouvait bien faire ici, dans un lieu si sacré. S’il avait voulu attaquer les Elfes, il aurait déjà été tué ! Ou alors, l’individu avait peut-être réussi à passer inaperçu ?

Il croisa le regard de l’Elfe Noir, puis l’évita aussi vite qu’il l’avait croisé. Valtor se tourna vers l’autel, comme si il cherchait une réponse auprès de lui. Il ferma les yeux, et se libéra de sa crainte ainsi que de toute mauvaise émotion.

Il se tourna vers Arwën, et s’approcha d’elle.

-N’ayez crainte grande prêtresse, je suis là. Si cet homme nous veut du mal, il n’osera pas toucher un seul de vos cheveux.

Il lui lança un sourire, puis lança un regard à l’Elfe Noir.

l'esprit d'Eowyndil etait retourné en etat d'alerte maximal , il devisageat les deux elfes ,il lisait la crainte et la peur dans leur yeux ce qui eu pour effet d'illumine le visage d'Eowyndil d'un sourrire carnassier laissant aparaitre ses dents blanches comme neige ,son regard etait intense comme si il cherchait a transpercer du regar les deux elfes .

-je suis Eowyndil et que vous le croier ou pas j'effectuais mon travail de sentinelle d'Alëandir ,c'est a dire veillier a la securité de mon peuple adoptif et au calme de la cité .

Eowyndil designa de son indes l'insigne des sentinelles d'Alëandir ornant son epaule ,cet insigne etait implantée par magie dans sn epaule cela formait un tatouage qui s'apliquait sur n'importe quelle matiere qui se collait a son emplacement.

-vous devez savoir ce que represente cet insigne a moins de n'etre qu'un ingorant car je ne vois pas comment l'on ne peut pas le savoir !

Arwën appréacia que Valtor veuille la proteger, c'était vraiment adroable et galant de sa part. Elle laissa l'elfe noir se présenter. Il s'appelait apparament Eowyndil et c'était un sentinelle d'Alëandir et qu'il veillait à la sécurité du peuple donc il n'était pas un ennemis, en tout cas pas maintenant. Le nommé Eowyndil montra un insigne ornant son épaule, c'était implanté par magie. La prétresse esquissa un faible sourire, s'il n'était pas son énnemis, pas la peine de se le mettre à dos. Arwën s'approcha doucement de l'elfe noir tout en lui souriant amicalement.

"...Enchantée Eowyndil ! Je suis Arwën Leyhola ! Prétresse ! Je suis désolée pour...enfin pour vous avoir prit pour quelqu'un de...enfin un ennemis...Désoler pour ce malentendu..."

La jeune femme posa son regard bleu sur Valtor en lui souriant pour le rassurer.

"...Ce n'est pas notre ennemis..."

Elle posa ensuite son regard sur l'elfe noir. Arwën se demandait se qu'il pensait et si il était vraiment pas un ennemis. Elle ne voulait pas qu'un meutre se produise dans un lieu sacré.

Valtor avait remarqué que l’individu riait de la crainte des deux Elfes Sylvains. Il se contenta de l’ignorer.

L’Elfe Noir se présenta sous le nom d’Eowyndil, et qu’il travaillait en tant que Sentinelle d’Alëantir. Valtor eut du mal à y croire. Mais lorsqu’ Eowyndil leur montra son insigne implanté par magie.

Néanmoins, Valtor restait sur ces gardes, mais laissa la prêtresse aller se présenter. La jeune femme était belle et gracieuse, telle une fleur. La Sentinelle commença à être arrogant en leur disant qu’à moins d’être un ignorant, il fallait connaître cet insigne.

-Ne t’en fais pas Eowyndil, nous ne sommes ni des ignorants, ni des idiots. Calme toi un peu et réponds à mes questions s’il te plaît.

Valtor voulut rassurer l’Elfe Noir même s’il savait que cela n’aurait sûrement aucun effet. Il se contenta de le regarder.

-Comment se fait-il, qu’un Elfe Noir travaille pour les Elfes Sylvains ?

Eowyndil regardat l'elfe ,elle avait eu le courage et l'inconcience de s'approcher de lui ,un drow d'on on ne savait pas grand chose en fin de compte .

-ne vous inquietrer pas chere dame si il l'aurait fallut j'aurais mis votre ami hors d'etat de nuire aussi facilement que de lire un livre la nuit .

pour confirmer ses dires Eowyndil decrochat son epée a deux lames de son dos et effectua des figures de plus en plus complexes et variéés ,puis il se tournat face a l'elfe au allures de guerrier.

- les elfes sylvains m'on receuilit apres que mes parents m'ait lachement abandonnée a mes 10 ans me jugeant "trop faible " ,depuis ces temps reculé j'ai une dette envers ce peuple .

Eowyndil jonglait a present avec sa dague et se mit a la faire tourner et sauter de plus en plus haut .la moindre egratinue provoquerait la mort de toute personne ne detenant pas l'antidote ,car les lames etait empoisonées et c'etait sa maniere prefere de tuer .

Arwën écouta l'elfe noir mais elle restait tout de même sur ses gardes, au cas où. Après tout, Arwën est une elfe très naïve, elle ne voit pas le mal mais que le bien se qui peut être potentiellement problématique. Il lui dit qu'elle ne devait pas s'inquiéter et que si il l'aurait fallut, il aurait mit Valtor hors détat de nuir. Cette remarque aurait put énerver Arwën mais elle prit sa pour une blague, ils ne se seraient surment pas battu dans un lieu aussi sacré que celui-ci. La sentinelle décrocha son épée à deux lame de son dos et se tourna rapidement vers Valtor. Arwën les regarda alternivement, allait-il y avoir un combat ? Non. Elle les empêcherait. Il raconta aux deux elfes pourquoi il travaillait ici. La jeune femme passa une main dans sa longue chevelure d'or. Son regard bleu infini se posa sur l'elfe noir, un regard presque compatissant.

"...Oh...Eh bien c'est...Enfin vous n'avez pas de chance que vos parents vous aies abandonné...Quelle misère...Mais bon, maintenant vous n'êtes pas un ennemis donc nous n'avons pas à nous inquiéter..."

Arwën tourna son doux visage pour poser son regard sur Valtor en affichant un grand sourire pour lui dire d'une certaine manière que le combat était éviter donc ils ne devaient pas se tapper dessus d'une quelquonque manière pour une quelquonque raison.

"...Nous avions eu peur au début que vous soyez un de ces elfes noirs tueur...C'est compréensif après tout..."

- de la malchance d'avoir eter abandonné ? non c'est plutot de la chance ,j'ai plus de chance de survivre au sein d'un peuple qui m'est hostile mais qui m'accepte qu'au sein des miens ou les assasinats son monnaies courantes .
cela ma comme je puis dire ouvert les yeux ,sur la cruelle detresse de ces temps .

Eowyndil continuait de jouer avec son poignard ,a present un regad vide emplissait ses yeux gris ,il etait en train de se souvenir des evenements passées.

-je me pose une question ,qui prier vous et pourquoi ?la religion n'a jamais eter un centre d'interet pour moi.

Eowyndil avait parler en regardan ni'l un ni l'autre il avait le regard fuyant fixé sur un coin d'obscurité .il pris une pomme dans son sac et croqua dedans a pleins dents ,il engoulit la pomme asser rapidement et but une gorgée d'un liquide jaunatre provenant d'une fiole tiréée de l'une de ses nombreuses poches .

-cela fait deux jours que je me suis mis en tete de ne pas dormir et je suis obligé de manger et de boire ce produit .

L'elfe femme resta un moment sans rien dire. Elle les regarda, écoutant leurs paroles, essayant de rester sur ses gardes bien qu'elle ne savait pas pourquoi elle avait un présentiment de quelque chose. Eowyndil expliqua que ce n'était pas de la malchance que d'être abandonné des siens car il aurait d'après lui plus de chance de survivre au sein d'un peuple qui lui est hostile que des siens où les assasinats son monnaies courantes. Arwën put sentir un faible écartement mentale qui venait d'emplir l'esprit de l'elfe noir, des souvenirs ?

La jeune elfe ne parla pas, Eowyndil continua. Il leur demanda qui ils priaient car il n'avait jamais vraiment aimé la religion. Arwën ne dit rien à ce sujet là et garda le silence, ses yeux se plissèrent un peu et regardèrent le sol.

L'elfe noir prit une pomme qu'il engloutit peu detemps après puis but une boisson étrange au liquide visqueux et jaune. Eowyndil expliqua que depuis deux jour il c'était mis en tête de ne pas dormir donc il était obligé de manger et de boir cet étrange produit. Arwën leva les yeux vers l'elfe noir, son regard se voulait comme compatissant.

*...Pas dormir...Je ne pourrais pas moi...*

Puis l'elfe posa son regard sur son ami Valtor sans rien dire, juste un petit sourire qui s'affichait au bord de sa bouche.

Valtor lança un regard noir à Eowyndil qui disait à Arwën qu’il aurait pu le mettre hors d’état de nuir. Il le regarda intensément, puis éprouve de la pitié pour l’Elfe Noir. Les apparences sont parfois trompeuses, Valtor a fait beaucoup de victimes de puis qu’il est guerrier. Mais qu’importe, le guerrier n’allait pas s’emporter pour si peu. Les Elfes Sylvains sont moins idiots que les Drows après tout.

Décidant donc de ne pas faire attention aux remarques désobligeantes de la Sentinelle, Valtor lança un regard à la prêtresse. Il écouta sans le regarder Eowyndil dire pourquoi il travaillait pour les Elfes Sylvains. La réponse intrigua Valtor, et il se tourna vers l’Elfe Noir, avec un pincement au cœur.

Il regarda dans le vide, pensant. Alors comme ça, Ewonydil avait été abandonné par ses parents ? Valtor n’avait pas vécu exactement la même chose, mais il savait l’effet que cela faisait de se faire abandonner, même pire, être la cible de son propre père.

Il écouta à peine Arwën qui essayait sûrement de consoler l’Elfe Noir, mais qui en fait disait avoir de la chance. Valtor lui sourit, puis écouta sa question.

-Je suis venu prier mère nature , dans le but… dans le but qu’elle me pardonne.

Valtor s’en voulut d’avoir dit ça puis son regard se promena dans la salle. Il répondu au sourire de la prêtresse.

-Et vous Eowyndil ? Que faîtes-vous là, si la religion n’a pas d’importance à vos yeux ?

Eowyndil regada l'elfe au allures de guerrier il etait plus agée que lui mais pourtant il avait eu une frayeur en voyant Eowyndil .

- vous fair pardonner ? pff c'est pitoyable ..il n'y a pas plus de mere nature dans la vie que dans la mort ,dumoins si il y en avait une elle aurait eu pitier de moi et ne m'aurais pas fait endurer toutes ces peripeties ,si je suis ici c'est bien a cause de mon travail ,je dois surveillier le bien etre de la cité et donc visiter touts les batiments puics pour y faire regner l'ordre ,mais il me semble que je l'ai deja dit .

Eowyndil se dirgea vers un recoin sombre du sanctuaire ,une fois a destination s'assit en taillieur dans une obsurité quasi totale .il en profita pour retirer son capuchon laissant aparaitres son visage .

-je prefere ce recoin confiné de la salle au moins je peut parler a visage decouvert sans pour autant abimer mes yeux .

il degaina son poignard et touchat la lame ave son idex qu'il rapporta a sa langue , il sortitune fiole ou un liquide vert macerait qu'il debouchat ,une odeur acre s'en echappa ,il vers une goutte du prodit qu'il etala t sur la lame et rengeat la fiole .

Arwën regarda l'elfe noir qui s'était confiné dans un coin sombre. Quant à elle, elle devrait bientot peut être partir car rester ici ne lui servait plus à rien. L'elfe se demanda se que pouvait bien être le liquide verdâtre avec lequel il enduisit sa lame. Bref, Arwën se plaça en face de son nouvel ami et lui dit d'une manière amicale.

"...Je vais bientot m'en aller, plus rien ne me retient ici..."

Arwën se dressa sur la pointe des pieds et déposa un baiser sur le frond de celui-ci puis posa son regard sur l'elfe noir, elle décida ensuite de marcher vers lui et s'accroupit devant lui, un sourire aux lèvres.

"...Je ne vais pas vous épargner même si vous n'êtes pas un elfe sylvain..."

Après cette phrase, elle laissa échapper un petit rire puis déposa un baiser sur son frond à lui. Arwën se releva et salua Valtor et se dirigea de sa démarche légère vers la sortie

Valtor soupira d’un air las, en se disant que l’Elfe Noir ne comprenait rien. Il se dit que de toute manière, les deux races n’avaient vraiment pas les mêmes valeurs.

-Pense ce que tu veux. Mais ne sous-estime jamais le grand pouvoir de mère nature. Et ne viens pas non plus te moquer d’elle dans un lieu si sacré.

A ces mots, il se tourna vers l’autel puis s’inclina. Il lança un regard à Arwën qui disait vouloir partir. Puis il se releva, et se laissa embrasser le front. Il lui afficha un sourire radieux, découvrant des dents blanches et brillantes, puis la regarda partir.

Il fit alors une dernière prière en présence de l’Elfe Noir. Il s’approcha de ce dernier, puis le regarda d’un air vif.

-Aimez-vous les Elfes Sylvains ? Ou bien vous ente-vous obligé de rendre une dette ?

Valtor tourna la tête, pensif. Il avait toujours rêver de partir dans une contrée lointaine, pour rencontrer de nouvelles personnes, afin d’en faire part à ses élèves. Ce soir, il partirait pour Diantra. Oui, il partirait.

Après que l’Elfe Noir eut répondu à sa question, Valtor partit sans même lui accorder un regard.

Eowyndil n'aima pas les signes d'affection ,car il avait un mal fou a les dechifrer ,c'etait son mauvais coté il pouvait dechifer fcilement les "mauvais" sentiments masi il bloquait le plus suovent sur les bons ,il regarda la troupe s'eloigner du sanctuaire ,la question etait tres bonne ,et il mit quelques secondes a y repondre .

-disons que je mentends tres bien avec une minorté du peuple des elfes syvains , je m'entends egalement moyenement bien avec les nains et les demi elfes .je n'ai aucune raison d'en vouloir a mes sauveurs ,d'aillieurs j'ai pris le tour de garde de mon camarde ce pour cela que je ne me suis pas reposé pendant deux jours.

Eowyndil se relevat ,il remis sa capuche sur la tete et d'un pas sur se dirigea vers une sortie derobée et reservée a l'usage exclusif des sentinelles ,derriere il y avait un chemin caché au grand public qui evitait des detours , il fallait qu'il arrive rapidement a la tour de garde nord pour etre relevé de ses fonctions .

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