Lorsque l'astre attise la faim {PV-Adden Jay} -Rues-

L'air frais fouetta vigoureusement le visage harmonieux de l'elfe alors que sa monture s'élançait en un galop fougueux.
La jeune elfe s'était levée alors que le soleil lui même rosissait dans le ciel, les étoiles palissants, la nuit fesant place au jour.
Une belle matinée en perspective s'était alors dit Lalaith, jeune noble et archère, alors qu'elle sellait son cheval Esquisse en toute hâte, dans l'attente évidente d'une sortie dehors.
L'animal hennit joyeusement alors que sa douce propriétaire se juchait sur son dos en un mouvement souple et rapide.
D'un claquement de langue, elle le fit avançer et ils sortirent sous le soleil lumineux dont les rayons caressaient la silhouette de l'elfe et de son cheval.

Une merveilleuse balade dans la pleine nature avait alors réchauffé le coeur de Lalaith tandis qu'elle observait avec délice les nombreux mystères qui pouvaient résider dans un pareil endroits.
Par deux fois elle avait apperçu des animaux mystiques, qui, à peine avaient-tils entendut le pas du cheval, se pressaient de bondir dans diverses cachettes.

Il était midi et le soleil était alors à son zénith lorsque la faim titilla la jeune femme.
Pressée de sortir dehors elle n'avait emmené avec elle qu'une petite pomme et une gourde remplie d'eau claire (dont elle ne se séparait pas) pour petit déjeuner.
Le cheval, lui aussi ressentant la faim, tira vigoureusement sur les rênes.
Un renaclement alors qu'il refusait d'avançer.

" Allons, avançe, nous allons en ville, tu pourras manger..."

L'elfe s'était adressée à son cheval d'une voix pleine d'entraint, joyeuse, si bien que l'animal recommença à avançer en prenant un petit galop.

Une demie-heure plus tard, ils arraivaient aux abord de la ville.
La reconaissant, un jeune garçon s'approcha de Lalaith.

" Dame Tiril, me confiez vous votre cheval aujourd'hui ? "

L'elfe lui adressa un sourire lumineux.

" Oui, merci Lund. Prend en soin.
Je reviendrais le chercher dans deux heures je pense. "

Avec un clin d'oeil, elle glissa quelques pièces dans la main du jeune garçon dont son visage se peignit d'une joie naïve.
Tandis que l'elfe descendait de sa monture, apres lui avoir offrit un caresse sur l'encolure, le jeune elfe s'éloigna, tenant les rênes du grand cheval pour l'emmerner aux écuries de la cité, comme à chaque fois que Lalaith venait en ville.

Cette dernière se mit à marcher.
La rues était grouillante, des elfes s'appellait, d'autre ventaient leur marchandises. L'agitation était telle que la jeune femme décida de s'acheter quelque chose à manger avant de s'isoler sur une petite place tranquille qu'elle conaissait bien.

. Sur la place .

Assise sur un banc de fer forgé, Lalaith ne remarqua pas toute de suite la jeune humaine.
Elle n'était pas loin.
Si ses cheveux rougeoyants cachaient ses oreilles, bien que trés jolie, fine et musclée, Lalaith comprit qu'il ne s'agissait pas là d'une sylvaine.
(Elle n'avait pas la grâce du peuple éternel [soit dit sans te vexer Adden, critères de beautés] et possédait des formes que les elfes n'avaient pas).

De son regard violet, Lalaith la suivit des yeux jusqu'à ce que celle ci tourne la tête et croise le regard de l'elfe.

[HJ: Je n'ai rien fait du tout, donc tu peux réagir de la manière que tu veux ].

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