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 Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras]

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Nydë Lor'Eathyr
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MessageSujet: Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras]   Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras] I_icon_minitimeDim 22 Fév 2009 - 18:38

Diantra. Depuis combien de temps n’y était-je pas revenue ? Plusieurs mois… Des années, même ! Certes, ma ville natale avait changé, mais il fallait bien s’y attendre : les choses ne figent pas dans le temps. Heureusement.
Une journée avait amplement suffit à me rappeler de douloureux souvenirs, et j'avais alors quitté la ville en trombe et m'était dirigée droit devant moi dans un état de panique qui s’était lentement estompé au fil des heures.

J'avançais parmi les arbres sans savoir ou j'allait. J'avais parcouru la plaine d’Atral sans dormir et voilà que je m'était aventurée dans la forêt d’Aduram depuis plus de cinq heures. J'était effectivement perdue mais ne m'en inquiétait pas. Après quelques jours à se diriger dans la même direction, J'allais bien sortir de cette forêt, et ce peu importe ou j'allais me retrouver. Au mieux, je n’aurait qu’à me laisser mourir au pied d’un arbre … Ces deux options étaient tout à fait envisageables et ni l’une ni l’autre ne m'alarmaient.

La seule chose que j'avais en tête était d’avancer, de m’éloigner le plus possible de Diantra, peu importe ou cela me mènerai.
Et c’était bien sûr inconsciemment que je me dirigeait vers les terres stériles.

Dans un état presque catatonique, je me laissais tomber au pied d’un grand arbre. Malgré les feuillages qui cachaient le ciel et empêchaient presque toute lumière de filtrer à travers les branchages, Je savais qu’il faisait nuit noire partout sur Miradelphia. Voilà que depuis presque trois jours que je n’avait pas dormi. C’est alors qu’en moins de quelques minutes, le sommeil me submergea, ne me souciant guère de qui pouvait rôder aux alentours.


Dernière édition par Gabrielle le Dim 1 Mar 2009 - 4:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras]   Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras] I_icon_minitimeMer 25 Fév 2009 - 17:20

~ Cette rencontre ce passe avant celle de Demoras et Arashkam ~

Trois jour de marche fastidieuse, c'est ce que j'avais subi ... Mes pieds ne tenaient plus un tel rythme, j'étais exténué, mes genoux aussi criaient repos et mon corps tout entier tremblait, mais je ne pouvais pas m'arrêter là, je devais trouver une personne à tuer, le plus vite possible serait le mieux. La nuit tombait et la lune éclaircissait l'endroit ou je me trouvais, mais ou étais-je tombé ? J'ai froid, très froid, je ne sens plus mes mains mais je continuais ma route au milieu de nul part. Mes pieds ne me répondaient plus et je m'écroulai au sol, faisant tomber mon épée sur cette terre fraiche et m'appuyant sur mes dagues me donnant un mal de chien. J'étais absolument pathétique, je ne pouvais me résigner à rester dans cet endroit au bruit étrange, j'entendais des cris, des cris d'animaux ? Non, ça ressemblait à une voix de femme, je tenta de relever mon torse nu afin de voir ou le vent m'avait emporté et j'aperçus des arbres, des centaines de milliers d'arbres, tous presque aussi identiques l'un de l'autre. Mes yeux voyaient tout, je pus constater des murailles, de hautes et longues murailles en pierre. J'essayai de voir à l'intérieur de ce mur et j'aperçus des flammes, plein de flammes, je pus visionner des hommes armés jusqu'au dents, surement des bandits qui tentaient pour la énième fois de voler de l'or croyant s'en sortir dans ce monde en guerre. Je tenta de me relever mais quelque chose m'en empêchai, comme un poignard me transperçant la hanche gauche. J'avais lamentablement mal, j'avisai toujours de me relever mais quelque chose d'invisible me plaqua au sol avant que je puisse relever un de mes membres. Je ne chercha pas à résister et m'allongea sur ce sol aride, certes, mais étrangement doux. Malgrès ma fatigue culminante, je fis face au sommeil qui me prenait. Mes cheveux mauves s'étalaient sur le sol et mon voile aussi. Je n'avais plus la force de rester debout une seconde de plus ... Qui sait ce qui pourrais m'arriver, qu'importe, j'étais Demoras et rien ne pouvais m'arrêter, pas même ce fichu sommeil qui s'était résigner à m'emporter avec lui. Mes paupières devenaient lourdes, loures et je conclut que finalement, un peu de repos ne me ferais pas de mal, non, absolument pas ...

*
* *


Mes yeux s'ouvrirent lentement, très lentement, et le soleil poignait dans le ciel et m'éblouissait me forçant à fermer ma pupille de mes cils. Je m'assura que mon corps ne mourrait pas de fatigue et me releva très facilement, je voyais que je n'étais pas échiné et donc je continua ma route regardant une éventuelle marque sur mon torse, rien. Mes pas étaient vifs et agiles, j'évitai avec précaution tout éventuel obstacle m'empêchant un ridicule insensé. Je posa ensuite mon regard sur le village que j'avais perçus le soir dernier, il semblait calme, plus calme que les cris que j'avais entendu. Je changea de direction et alla à l'endroit en question, j'avais raccroché mon épée sur mon dos, dans son fourreau et je marcha vers la paroisse. De plus près, cette muraille semblait immense, pourtant l'endroit ou je m'étais endormis n'étais qu'a une cinquantaine de mettre de ce mur et plus je m'approchais, plus sa hauteur me semblait grande. J'aperçus l'entrée de ce village, deux gardes étaient au sol, mort, dans une mare de sang. J'entrai et ne vit rien de vivant, j'entendis ensuite un bruit de porte grinçante, je m'avançai vers le petit coin d'où ce son provenait et je pus voir un vieillard tremblant, il devait avoir cent bonnes années d'existence, on pouvait le voir grâce à sa longue barbe blanche, il ressemblait à un enchanteur. Il me demanda si je faisais parti de la Dross et lui fit signe, sadiquement, que non. Il recula et demanda mon aide, de l'aide ? Pourquoi donc ? Pourquoi aider un vieillard que je venais à peine de rencontrer à l'instant ? Je souria, faisant sortir mes crocs et attrapa une de mes dagues aussi rapidement qu'il ne s'aperçut même pas que j'avais fais un geste, ensuite je le tua en lui plantant l'arme dans la gorge. Je riais de sa mort, un rire démoniaque, un rire meurtrier. Ensuite, je cherchai une éventuelle seconde victime dans ce trou à rat. J'éliminai tout ce qui ne me servis à rien, bâtiment, taverne, tout ce que je semblait "animé, mon épée se réjouissait de tout cette destruction. Je vous l'ai dit, rien ne peux m'arrêter, absolument rien. Je franchissais ensuite les murailles donnant sur l'arrière du village détruit. Mon sourire luciférien se marqua sur mes lèvres. Encore un endroit de Miradelphia mort, par ma faute, quelle douce sensation ...

Je changeai une seconde fois de direction, je ne savais pas ou j'allais et encore moins ce pourquoi j'étais ici. Ma conscience n'était qu'assassinât et meurtre. Je ne chercha rien d'aussi facile que de tuer, j'étais si maléfique ... Mon cœur était une pierre et aucun sentiment ne parcourait mon esprit, ni la pitié, ni l'amicalité, ni même l'amour envers une femme. Je continuai ma route à travers ses arbres fleuri évitant cette végétation pénible. Ma dagues était toujours dans ma main et j'avais rangé mon épée dans mon fourreau, cette si belle arme. Je ne savais pas ou je me dirigeais, mais ce vieillard m'avait parlé de la Dross, où donc cela se situait ? J'essayai tant bien que de mal de voir ou cela se situait en utilisant mes yeux avec précision et je pus voir, au loin, très très loin, un mur. Mon objectif suivant était cet endroit : La Dross, ville des bandits ... Mais pour l'instant, je ne pouvais aborder cette direction, elle se trouvait à au moins une bonne centaine de kilomètres. Je marchais, marchais, marchais, toujours au même rythme quand je vis une sorte de main, une main humaine sur un sol frais, non, ce n'étais pas seulement une main mais un corps tout entier allongé sur cette terre vide. Une femme au visage d'ange, pathétique, encore une ... Il n'y avait pas aussi facile proie, d'abord, ma main se posa sur son coup afin de voir si cette somptueuse créature vivait encore. Je constatai que oui. Mon sourire réapparut sur mes lèvres. Le corps de cette jeune femme était froid, aussi froid que ce vent qui frappait. Je ne rêva pas meilleur proie, une jeune et sublime humaine, au main douces et chaleureuses. Je tenta de la réveiller, toujours le même scénario avec ces femmes ...


« Charmante humaine ... Réveilles-toi ... »



[ Voila, j'ai fais de mon mieux et désolé pour le retard. Voici un aperçut de la dague qui menace de t'égorger : Clique. ]
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MessageSujet: Re: Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras]   Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras] I_icon_minitimeDim 1 Mar 2009 - 4:07

    A bout de souffle, je n’ai pas le souvenir d’avoir un jour couru ainsi. Mes jambes me transportent trop lentement à mon goût à travers un couloir qui semble ne plus finir. Je fuis misérablement la silhouette qui s’avance vers moi en titubant, et c’est à ce moment que je tombe. Une chute qui me paraît durer des heures : la première d’une longue série. Au moment où j’atteins le sol dans un bruit sourd, je tente de me redresser mais j’en suis incapable. Complètement paralysé par la peur, mon corps refuse d’obéir et je reste ainsi, étendue sur le sol. Les pas mal cadencés de l’homme se rapprochent jusqu’à ce que sans un mot de sa part, la pointe de son épée humide de sang vient frôler mon dos. C’est alors que sans raison apparente, le déclic se fait. Mes muscles se délient, bien que je sois toujours trop tétanisée pour réfléchir. J’agis sans réfléchir et tente stupidement de ramper. Une douleur perçante se répand dans mon dos, et je comprends que cette douleur est due à l’épée posée sur mon omoplate. Dans un gémissement, je pousse du pied les jambes de mon agresseur déjà chancelant qui tombe au sol. Me relevant avec difficulté, je reprends ma course effrénée alors que mon dos me fait incroyablement souffrir. Une blessure mineure, certes, mais cette blessure restera à jamais gravée.

    « Charmante humaine ... Réveilles-toi ... »

    ***

    Cette nuit me poursuit.
    Depuis plus de quatorze ans, je crains de m’endormir pour ne pas revivre ce même scénario. Je n’ai jamais su si mon père m’avait laissé partir ou bien s’il m’avait encore pourchassée longtemps. Moi, j’ai couru des heures entières sans jamais me retourner.
    La fin de cette funeste histoire, je ne m’en souviens que vaguement. Recueillie par deux aubergistes qui voulaient bien de moi, j’ai dû me résoudre à les quitter sans aucun avertissement, faute de quoi, j’allais devenir folle. J’avoue être instable, mais loin de la folie. Je ne suis aucunement masochiste, seulement, il fallait que je revienne à Diantra, Bien que cela ait fait ressurgir en moi de douloureux souvenirs. Certes, c’était plutôt banal comme histoire pour une personne vivant à Miradelphia, et je sais que de nombreuses personnes ont vécu de pires drames mais je ne suis pas de ces gens qui ont réussi avec le temps à se forger une carapace et à rester indifférents à presque tout ce qui les touche. Malgré moi, je ne peux pas oublier.

    Je sais pertinemment être en train de me réveiller, et malgré la délivrance que me procure le fait de savoir que j’ai échappé une fois de plus à ce songe, une partie de moi-même s’interroge. Ne me réveillais-je pas en sursaut normalement ? Oui, mais cette fois on tente de me réveiller, je ne suis pas seule. Arrivée à cette conclusion, j’ouvre les yeux et c’est avec stupeur que je me vois menacée d’une arme. Redressant lentement la tête, je croise un bref instant le regard de mon agresseur, ne pouvant voir plus dans la noirceur de la nuit. Je n’ai apparemment pas beaucoup dormi, puisqu’il semble faire encore nuit. A moins que le temps ne se soit arrêté ? Non, c’est tout simplement impossible, je n’ai plus l’esprit très clair.

    « Qui êtes-vous et que me voulez vous ? »

    Plate déclaration, certes, mais mes intonations endormies ainsi que ma voix légèrement rauque ne font qu’accentuer le fait que je ne suis plus très lucide. Seulement, au fur et à mesure que j’émerge de mon état comateux, je comprends l’ampleur de la situation.

    Je me suis à maintes reprises demandé comment je pourrais me délivrer de ce poids trop lourd pour moi, et j’en suis à toutes les fois arrivée à la même funeste conclusion. C’est ma chance.
    Je n’ai rien ni personne à perdre.
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MessageSujet: Re: Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras]   Un sens de l'orientation désastreux [PV Demoras] I_icon_minitimeJeu 5 Mar 2009 - 15:21

« Que votre dernière heure arrive, voici l'heure du jugement dernier ... »

Mes jambes commençaient à se plier montrant quelques signes de faiblesse et de fatigue. Cette courte nuit ne m'avait pas servi de repos et voila que mon mécanisme me rejouait des tours. Mais pour le moment, je pouvais encore tenir cinq bonnes heures. Mon regard se posa sur cette délicieuse créature surement perdue. Elle aussi avait du fermer l'œil un petit bout de temps. Je souria de toutes mes dents, montrant quelques unes en pointe, semblables à celle d'un vampire. Surement la proie la plus belle de mon existence. Mais mon cœur n'était pas un objet sentimental, je n'avais de cœur que pour moi, pour personne d'autre. L'amour n'est rien pour moi, l'amitié non plus, seule la haine compte, la haine qui vous submergera tous dans un profond chaos ... Mes mains étaient frigorifiées, mon torse supportait les quelques bourrasques qui me frappaient, un petit vent se faufila sur ma joue, un vent agréable et frais. Pourquoi ma vie n'était que de tuer, tuer ? Bonne question ... Personne n'a et ne saura jamais ce pourquoi je ne suis qu'un mur de pierre inévitable qui se forme à travers chacun de vous. Les humains autant que les elfes, je vous haïs tous, tous autant que vous êtes. Ma seule consolation c'est le sang, oui ce liquide rouge qui flotte dans nos pauvres petits corps dépiécés par la gentillesse, tout ça, ces gens si amicaux, si charmant, si tendre sa me donne envie de vomir, cela me dégoûte de voir cette amour à la noix, quel est donc l'intérêt d'embrasser une personne ? Sentir ses lèvres chaudes collées au notre ? Se sentir en sécurité au près de son âme sœur ? Ou bien encore penser à elle à n'importe quel moment, matin, midi, soir ? Pathétique, la vie de ces gens était pathétique... Cela provoquait chez moi une destruction de plus en plus grande au fil du temps, pourquoi ? Suis-je donc jaloux de voir un homme et une femme ? Suis-je un être insensible à l'égard des autres, sans pitié, sans rien ? Suis-je un mâle aussi sombre que l'amour n'est blanche ? Oui... Je suis Demoras et voici ma vie, celle d'une personne dépourvue de sentiment, subissez ma colère, vous sombrerez dans le désespoir total ...

Chaos ...

Mon cheveux volent à la poussée du vent, ils virevoltent autour de mon corps. Je soupir longuement et passe une main sur mon épée au cas ou quelqu'un s'apprêterais à m'attaquer par surprise. J'avais complètement oublié la présence de l'humaine. Je me rappela soudainement de l'endroit ou j'étais Prince Noir régnant, j'avais aimé une femme, à l'age de treize ans, moi qui était censé protéger ma dynastie, je passa plus de temps avec cette fille qu'avec mon peuple. Mais n'étais-je pas voué au chaos par l'intermédiaire de ma naissance ? Pourquoi le chaos m'aurait-il formé aussi pathétique et aussi amoureux ? Mais j'étais bel et bien tombé amoureux d'une femme, belle femme d'ailleurs. Elle avait mon age et s'appelait Lyanna. Brune aux cheveux assez bouclés, de beaux yeux vert et surtout elle avait un visage très doux. Une humaine, c'était une humaine. Cette magnifique créature avait réussi en l'espace d'une seconde de m'envouter de sa pair d'yeux absolument sublimes. Mais je n'avais pas du avoir l'esprit droit, si tel était le cas je l'aurais tué même si mon épée le regretterais. C'était pareil pour la belle femme que j'avais devant moi, quelle beauté... mais je suis un drow et les drow ne jugent pas sur le physique, il se contente de transpercer la personne de leur lame rougeoyante de sang. Je souria encore une fois, comme un singe mécanique, un sourire un peu sadique, un peu satanique. Je n'étais qu'un corps contrôlé que par une chose : la destruction et le chaos. J'adorais ce mot, il résonnait dans ma tête tel une chanson sur lequel on ne peux pas oublier les paroles. Je posa ensuite une main dans une sacoche que j'avais sur mon bassin. Je fouilla pendant une bonne dizaine de seconde mais je ne trouva pas ce que je cherchais. Peu importe. Je continua mon admiration sur cette femme au regard de velours et pensa à une chose : Est-elle aussi douce que sa beauté ne l'est ?

Je garda en main ma dague et oublia la raison de sa sortie. La femme en face de moi se réveillait lentement, très lentement. Elle voyait noir, oui, c'était ça quand on voyait mon visage pour la première fois (C'est de l'ironie) Elle me regarde fixement, comme tétanisée. Je soupir une seconde fois et songe à ce qu'elle ne s'échappe, comme toute les autres ... Mais elle non, accepta son destin et allait mourir car ma dague n'échappe pas au jolies femmes. Pas d'exceptions. Je la regarda encore et encore, ne pouvant m'échapper de ses yeux d'or. Elle me demanda qui j'étais et que lui voulais-je, toujours les mêmes paroles, le même ton, la même peur. Je ne lui répondit pas au début, j'étais encore concentré sur ce petit rappel. Lyanna, il fallais le dire elle ressemblait beaucoup à celle que j'avais devant les yeux. Ce ne pouvait pas être elle, à moins que ... J'étais attéri sur Miradelphia par hasard et cela remonte à longtemps. D'ailleurs je ne me rappelle même plus sur la façon dont j'ai sombré dans cet univers. Mais quel importance. Je me reconcentra sur cet univers et continua ma contemplation. A point de vue ce ne devait pas être une idiote, elle savait parfaitement ce qu'elle faisait et ne chercha pas un moindre geste. Elle ne devait pas avoir peur de la mort surement. Je réagis enfin à ces précédentes paroles et commence à lui donner mon identité intégrale, du moins presque, je n'ai rien à cacher ...


« Je suis Demoras, un Drow. Je ne vous veux pas grand chose, disons que votre corps fera l'affaire ... »

[ Petit post désolé. ]
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