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| | » Kadvaël [Vagabond] |  |
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Kadvaël
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Je ne suis rien pour toi. Chut ! Tu ne m’as pas vu.
Tu m’as déjà oublié. Je m’enfonce dans les limbes de ton esprit, je
me fonds dans l’ombre, je disparais à jamais.
Disparaître, voilà tout ce que la vie m’a appris à faire. M’évaporer, om-
bre parmi les ombres. J’ai appris le silence et l’obscurité, j’ai appris à
n’être rien. Un souffle de vent, une silhouette furtive, voilà tout ce que
je suis.
Nul ne sait que j’existe, la mémoire des miens refuse de m’accepter dans
toute l’horreur de ma conception. Nul ne veut de moi, ma simple existen-
ce est une injure à la vie, à leur race millénaire.
Alors je ne suis personne. Peu importe ; je ne méritais pas de naître, peut-
être que je ne mérite même pas de mourir. Alors, j’attends, j’attends que
le faible écheveau de ma vie se déroule et s’effile, j’attends que sonne le
glas et que tombe la nuit, j’attends une fin qui, peut-être, sera le seul dé-
but que j’aurais jamais connu.
◊ Nom : Sans famille et sans attaches, sans lien aucun avec qui que ce soit dans ce vaste monde, je n’ai pas plus de nom que de patrie. Qui donc voudrait de moi dans sa famille, être vil au sang impur que je suis ?
◊ Prénom : Pourquoi toujours vouloir nommer les choses et les gens ? Ce qui est innommable ne mérite pas d’être appelé. Pourtant, il paraît qu’il est nécessaire d’avoir un nom, alors j’invente quand il le faut. Kadvaël revient le plus souvent dans ma bouche, pourquoi ? Est-ce ainsi que ma mère m’appelait, au tout début ? Avant…
◊ Espèce : Je ne suis rien, ni elfe ni drow, -ni nain ni humain-, je ne suis qu’un abject mélange de deux races qui se haïssent depuis toujours, de parfaits opposés qui jamais ne trouveront le repos tant que l’autre sera encore en vie. Je suis quelque chose qui n’aurait pas dû être créé.
◊ Âge : Moi-même, je l’ignore, ma mémoire défaillante m’empêche de me souvenir au-delà des quelques mois récemment écoulés, et je ne puis déterminer combien de décennies se sont écoulées depuis ma naissance. Mon visage, lui, n’affiche guère que vingt ans…
◊ Sexe : De longs cheveux sombres, un visage finement dessiné, une stature frêle, on me traite d’androgyne, mais passer facilement pour une femme ne me dérange pas, tous les camouflages sont bons pour ne pas se faire remarquer.
... Je marche sur une route en solitaire
La seule que j'ai jamais connue
Je ne sais pas où elle mène
Mais c'est chez moi et je marche seul...
◊ Classe d’armes : Je n’aime pas me battre mais pourtant, le corps à corps me convient plutôt bien, cette danse à deux, effrénée dans sa grâce, comme un parfait duo en harmonie qui se joue sur le fil de la vie, jusqu’à ce l’éclat d’une lame vienne rompre la valse ; il faut être souple et agile, car les moins bons danseurs sont les premiers stoppés…
◊ Équipement : Rien ne vaut une lame, argentée, affûtée, droite, simple et sobre, capable de s’enfoncer profondément dans la chair tendre. Aussi lorsqu’il le faut, je dégaine mes dirks, qui brillent et étincellent dans leur danse de mort avant de fondre dans une éclaboussure rougeoyante. [HRP : un dirk est une dague particulière, plus longue qu'une dague normale car la lame, à double tranchant et généralement de forme plus ou moins triangulaire, peut faire jusqu'à 40cm]
◊ Alignement : À quoi bon prendre parti dans ces guerres incessantes ? Si les drows gagnent, ma vie sera encore plus atroce qu’elle ne l’est déjà. Quant à rallier l’autre camp, il en est hors de question.
Et puis de toute façon, qu’est-ce que ça m’amènerait de soutenir quiconque ? Avoir un camp est le plus sûr moyen de se faire écharper. Donc, la seule cause que je défends est la mienne. Mon intérêt est quand même plus important que toutes ces histoires de territoire !
◊ Métier : Un métier, moi ? Mais je ne suis rien, j’erre, c’est tout, où voulez-vous que j’aille, que voulez-vous que je fasse ? Cela dit, il faut bien gagner sa croûte, et même si piquer un ou deux trucs à l’étalage me permet de subsister, ça ne suffit pas. Je me débrouille ; ma flûte est toujours pendue à mon cou, il n’est pas dur de se procurer un luth, je ne sais pas d’où je tiens cette capacité et cette affection pour la musique, mais animer les petites et crasseuses tavernes humaines me rapporte quelques pièces bienvenues. À part ça, quand j’entends parler d’un travail intéressant, je m’y intéresse de près si le contrat ne dure pas longtemps et si c’est bien payé.
En fait, quitte à dire que j’ai un métier… Marionnettiste, peut-être, ou du moins c’est ce que je serais si j’avais un véritable emploi. [HRP : Huhu, j’suis même pas sûre qu’ce soit le bon mot en plus xD] Créer des jouets et des pantins, ça rapporte plus qu’on ne pourrait croire, et puis je ne vais pas dire que j’aime pas ça.
... Je marche dans cette rue déserte
-Boulevard des Rêves Brisés
La nuit m’environne
Et je suis seul et je marche seul...
◊ Description physique : Un visage apparaît dans la pénombre, en partie mangé par l’ombre opaque. Je tressaille puis me reconnais, avec ces traits fins et réguliers typiques des elfes, ces joues un peu creuses et ce visage très androgyne qui peut prêter à confusion, et je devine plus que je ne vois les longs cheveux noirs aux reflets bleutés qui l’encadrent, masquant judicieusement mes oreilles pointues. J’ai l’air jeune, tellement jeune, et pourtant mon corps et mon âme me paraissent meurtris par de nombreuses décennies.
La bougie que je tiens dans les mains projette une lueur étrange sur ma peau d’un caramel très clair, et le jeu d’ombres et de lumières fait apparaître saillies et méplats sur mon visage plus fantômatique que jamais. Je croise mon regard, m’attarde un instant sur mes grands yeux profondément enfoncés qui forment deux flaques sombres sur mon visage. Je lève un peu la chandelle, et la flamme fait apparaître des reflets violacés dans mes prunelles. À la lumière, mes yeux sont souvent d’un violet soutenu, qui s’assombrit avec l’obscurité. Ils sont traîtres, avec leur couleur de drow et leur tendance à changer fréquemment de teinte au gré de mes humeurs, jusqu’à devenir presque écarlates quand je me mets en rage. Mais, ceux qui les ont vus devenir rouges ne sont plus là pour en témoigner…
J’éloigne la bougie, me détourne du miroir dont je n’ai pas besoin pour savoir ce qu’il en est du reste. Je suis grand, ou petit –tout dépend des critères-, un mètre quatre-vingt, ce qui à mon avis est amplement suffisant. Mon corps a acquis au fil du temps une souplesse utile pour se glisser partout, sans le moindre bruit. Les drows me traiteraient d’avorton –et c’est vrai que je suis maigre-, les elfes au contraire trouveraient ma musculature plutôt imposante. Pourtant on ne peut pas dire que je la travaille beaucoup ; j’ai hérité de la stature drow, et sans entraînement intensif mon torse et mes bras laissent tout de même voir des muscles assez fins mais bien dessinés.
Nul elfe ne me considèrerait comme appartenant à sa race, et il en va de même pour les drows. Dans le meilleur des cas, ils se contentent de faire des suppositions sur ma véritable appartenance, dans le pire, ils comprennent ce que je suis et la répulsion les gagne –ce qui est heureusement plus rare, vu comme les croisements entre ces cousins sont difficiles à concevoir…
Cependant, les humains eux sont moins observateurs, et il m’est plus facile de me fondre parmi eux. Je préfère me faire passer pour un homme –ou une femme…- aux traits un peu étranges, et puis de toutes façons c’est ma seule option car nul ne peut accepter ce que je suis réellement. Je hais mes oreilles pointues qui trahissent ma non-appartenance à ce peuple d’éphémères, et mes yeux dont le rougeoiement attire l’attention. Heureusement, mes cheveux dissimulent efficacement mes oreilles, et pour ce qui est de mes prunelles, elles sont plus souvent violettes, ce qui peut s’expliquer plus facilement…
Je suis caméléon, je sais jouer des dizaines et des dizaines de rôles, je peux changer du tout au tout en un clin d’œil, je peux même changer de sexe si l’on ne m’étudie pas de trop près.
Alors, qui suis-je ? Le soldat éméché dans la taverne, le discret moine, la jolie serveuse, le marchand ambulant, le musicien, le matelot à terre… Y a-t-il seulement un moment où je ne joue aucun rôle ?
◊ Particularités : Ma voix. À croire que je n’ai mué qu’à moitié… Moins grave que celle des autres, quand je ne la surveille pas elle prend des intonnations bizarres, monte dans les aigus ou devient très rauque. D’un côté, ces nombreux octaves facilitent les déguisements, mais il faut que je fasse constamment attention, et pour ne rien arranger quand je crie, ma voix se fêle complètement…
... Je descends le long de la ligne
Qui me divise quelque part dans mon esprit
Sur le tranchant de la lame
Et je marche seul...
◊ Histoire : L’obscurité. Une obscurité profonde, opaque, oppressante. Voilà dans quoi baigne mon passé.
Mon plus lointain souvenir ne remonte pas à très longtemps.
La lumière. J’ai rouvert les yeux, j’ai retrouvé la lumière, le monde s’est soudain reconstitué autour de moi. Je ne me souviens plus du reste. Tout baigne dans les ténèbres, des ténèbres zébrées d’éclairs de souffrance. Et au fond, je crois que je ne veux pas me souvenir.
J’ignore combien d’années ont ainsi sombré dans les oubliettes de mon esprit. En fait, je crois qu’il s’agit même de quelques décennies, voire siècles. Un énorme trou noir, un brouillard épais, en plein milieu de ma vie. Parfois, cependant, je revois des images d’avant. Je revois une femme, une elfe. Ma mère ? Je crois qu’elle m’aimait, au moins un peu, et je ressens encore sa tendresse. Et puis tout a changé. Pourquoi ? Le monde a basculé, ma bienheureuse insouciance n’a pas duré longtemps. Dès lors mes souvenirs se teintent de noir, je n’arrive plus à les reconstituer. Mais je me rappelle la haine et la colère, la douleur et le chagrin, des sentiments dont la violence me trouble aujourd’hui encore, bien qu’ils ne reposent sur aucune image concrète.
C’est comme si j’étais tombé dans un long sommeil, un long cauchemar plutôt, dont je ne me serais réveillé que récemment.
Ils appellent ça « amnésie ». Un réflexe d’auto-défense pour oublier ce que j’ai fait.
Ce que j’ai fait ??
Ils me parlent de choses atroces. Des meurtres. Des monstruosités. Moi ? J’aurais tué volontairement ? Torturé de sang-froid ? Je ne comprends pas, mais leurs mots font naître des images dans mon esprit, au point que j’arrive presque à revoir des scènes que je n’ai pas vécues. Ça ne les étonne pas, mon ascendance drow n’explique que trop mes pulsions sanguinaires.
C’est donc ça. Mes gènes, le sang de mon père, prennent désormais le contrôle de mon être, de mes actes ? Je ne peux le croire.
Alors j’oscille entre le déni, la conviction qu’ils m’ont menti –mais pourquoi ?-, et des moments de cruelle acceptation, où tout ce que j’ai commis me revient, envahit mes pensées, à m’en donner la nausée, et je vois le sang partout, et j’entends les cris, et j’ai beau chercher, lutter, je ne parviens pas à faire revenir le silence dans ma tête martelée par la migraine.
J’ai passé des semaines, des mois peut-être, à entendre chaque jour le récit de mes horreurs, jusqu’à ce que je craque. J’ai voulu m’enfuir, je l’ai frappé, frappé, frappé, lui, là, celui qui me gardait, soi-disant pour me protéger, tu parles, c’était un vrai geôlier ! Je me suis arrêté quand j’ai vu le sang commencer à couler, et j’ai fui, j’ai couru, couru, et j’ai disparu dans la nature, à tout jamais.
Dès lors, je suis devenu l’être que je suis aujourd’hui, un caméléon, un fantôme, j’ai erré, sans savoir où j’allais, me débrouillant comme je le pouvais. Parfois, en certains lieux, à certaines occasions, quelque chose me titillait, comme un très lointain souvenir qui s’efforçait de remonter du plus profond de ma mémoire occultée. D’autres fois, c’est un véritable flash-back qui défile en une fraction de seconde dans mon esprit, et s’efface avant que j’aie pu analyser clairement la scène qui me revient.
C’est ainsi que, un jour, une flûte dans les mains, j’ai découvert que je savais en jouer, plutôt bien, et surtout que j’aimais ça. Il en allait de même pour la luth, une vraie révélation. Je sais danser, aussi, mais d’où est-ce que je peux bien tenir tout ça ?
Et j’aime me servir de mes mains. Deux morceaux de chiffons, et une poupée adorable naît entre mes doigts. Quelques fils et des bouts de bois, et c’est un pantin qui apparaît. Je sens, vaguement, tout au fond de moi, que j’ai déjà fait ça. Quand j’étais enfant peut-être, avec cette faculté des gamins qui trouvent à s’amuser avec un rien. Je crois que je l’ai fait souvent, d’ailleurs, et que j’adorais ça, que je jouais beaucoup avec mes créations. Aujourd’hui, je ne sais plus jouer, je n’arrive même plus à rire. Mais lorsque mes marionnettes inertes et mes poupées flagadas se retrouvent entre les mains d’un enfant, c’est comme si elles s’animaient, trouvaient de nouvelles couleurs et devenaient subitement aussi souriantes que les gamins qui les tiennent. Je ne sais pas trop pourquoi je persiste à fabriquer des joujoux, moi qui n’ai, c’est le moins qu’on puisse dire, pas vraiment la tête de l’emploi… Mais c’est comme si, chaque fois, je retrouvais un vague reflet de mon enfance, quelque chose d’imperceptible et d’indéfinissable, mais d’agréable. Alors je continue et après tout, c’est un gagne-pain correct.
... Mon ombre est la seule à marcher à coté de moi
Ce qui me sert de coeur est la seule chose qui bat
Parfois je souhaite que quelqu'un ici me trouve
Jusque là je marcherai seul...
Dernière édition par Kadvaël le Lun 30 Mar 2009 - 17:20, édité 5 fois |
|  | | Kadvaël
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié | | Sujet: Re: » Kadvaël [Vagabond] Dim 29 Mar 2009 - 16:27 | |
| ◊ Caractère : Il est maintenant temps pour moi simple narrateur, de prendre la parole pour vous dire ce que Kadvaël ne saurait vous révéler. Chut, écoutez-bien, car je ne le répèterai pas, je ne prendrai pas ce risque car, s’il savait ce que je dévoile de lui…
Kadvaël –appelons-le donc comme ça, puisqu’il n’a pas de nom…- est un personnage étrange.
D’accord, n’ayons pas peur des mots. C’est un personnage fou. Plus exactement, pour utiliser un jargon plus pompeux, il souffre de problèmes psychologiques assez importants, qui provoquent des troubles de sa personnalité.
Oh, il peut paraître tout à fait sain d’esprit. Et de fait, il est tout à fait conscient de ses actes, du moins, la majeure partie du temps. Simplement, il est lunatique… même plus que ça.
À l’origine, il était pourtant plutôt gentil, un brave garçon rêveur et un peu poète qui aimait plaisanter et n’aurait pas fait de mal à une mouche. Mais, comment souvent, la vie s’est chargé de faire de lui quelqu’un de tout autre ; elle a été un enfer. Sa mère l’a ramené dans sa famille, parmi les elfes, et dès le moment où elle n’a plus pu cacher l’identité du père, le jeune hybride a subi des traitements abominables et il a un peu servi de balle de ping-pong entre la famille de son père et celle de sa mère qui ni l’une ni l’autre ne voulaient de lui… Devenu amnésique alors qu’il approchait l’âge adulte, à son réveil il a subi une torture mentale encore pire que ce qu’il avait déjà affronté auparavant. Toutes ces histoires, ces atrocités qu’il aurait commises –je dis « aurait »… l’a-t-il fait, ou pas, ou en partie, ce n’est pas à moi, pauvre narrateur, de lancer le débat…-, inlassablement répétées, ont réussi à achever de détraquer sa santé mentale fragilisée par tout ce qu’il avait vécu.
Ainsi, il n’aime pas tuer et encore moins se battre, mais est absolument et totalement dénué de scrupules. Calculateur, il sait où se place son intérêt et lorsqu’il veut quelque chose, se donne les moyens de l’obtenir sans tenir compte du nombre de vie qui risqueraient d’en pâtir.
Son humeur saute d’un extrême à l’autre ; il est presque content (le maximum de la bonne humeur chez lui !) et joue des airs enjoués à la flûte, puis la seconde d’après s’enfonce dans une noire mélancolie.
Il peut donc apparaître comme un être sombre, aux goûts morbides, amer, dégoûté par la vie, voire même dangereux car il ne se pose aucune limite, et est prêt à toutes les extrémités.
Et puis d’autres jours, c’est un calme rêveur qui sculpte des poupées et joue avec des pantins, un personnage doux qui a gardé cette naïveté de l’enfance. Quoi que, naïveté n’est pas le bon mot, car Kadvaël sait ce qu’est le monde et ne se fait aucune illusion à ce sujet. Disons, qu’il garde quelque chose d’enfantin qui resurgit dans ces moments-là.
Au fond, c’est un être brisé qui tient en équilibre sur le fragile fil de la raison comme sur la lame d’un rasoir ; le moindre faux mouvement, et il bascule.
Il est très imprévisible, le moindre mot peut soudain le faire changer du tout au tout. Lors de ses « crises » il devient assez effrayant, et il ne fait aucun doute qu’il serait tout à fait capable de torturer quelqu’un à mort.
Les autres lui font peur, et c’est finalement un élément assez capital pour comprendre sa personnalité torturée. Comment réagit un animal farouche ? Lorsqu’il se retrouve acculé, l’animal passe à l’attaque, et il en va de même pour Kadvaël. Évidemment c’est un exemple à prendre au figuré car l’hybride ne va pas nécessairement sauter sur son poignard… Mais la comparaison est très juste : les autres lui font peur, et s’il devient agressif d’une manière totalement impromptue c’est avant tout pour cette raison. Par ailleurs, il est incapable de faire confiance à qui que ce soit. Il ne s’agit pas simplement de la confiance qui permet de confier quelque chose à quelqu’un, mais carrément de celle qui vous permet de simplement parler avec un autre, de le laisser approcher de vous sans décamper. Un peu paranoïaque parfois, Kadvaël se méfie de tout, constamment, et c’est d’ailleurs uniquement grâce à cela qu’il est encore en vie.
Il faut savoir également que, ayant perdu tout souvenir de sa vie passée, il n’en est que plus instable, d’autant lui arrive d’avoir des flash-backs qui le mettent dans un sale état.
Enfin, Kadvaël fait parfois –souvent…- preuve d’un certain cynisme. L’ironie est des fois le seul moyen de défense contre le reste du monde… ... Je marche dans cette rue déserte
-Boulevard des Espoirs déchus
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*Largement inspiré de Green DayComment trouves-tu le forum ? : Beau =P & complet ^^
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| | | | Letha
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Taille : Niveau Magique : Eveillé / Néophyte | | | | | Lilianna
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié. | | Sujet: Re: » Kadvaël [Vagabond] Dim 29 Mar 2009 - 18:20 | |
| Non , deux places libérées je crois ! |
| | | | Trystan de Diantra
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié. | | Sujet: Re: » Kadvaël [Vagabond] Lun 30 Mar 2009 - 9:34 | |
| Il reste une place de libre et on a déjà un autre hybride sur le coup  On va voir à ça, la préposée aux hybrides revient demain |
| | | | Kadvaël
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié | | Sujet: Re: » Kadvaël [Vagabond] Jeu 2 Avr 2009 - 19:19 | |
| Donc, ça veut dire que je ne suis pas accepté ? ^^'' |
| | | | Letha
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Taille : Niveau Magique : Eveillé / Néophyte | | Sujet: Re: » Kadvaël [Vagabond] Jeu 2 Avr 2009 - 19:30 | |
| Ca veut dire que tu attends que la DAA s'occupe de ta fiche  .... |
| | | | Arashkam
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| j'arriveeeeee mais je suis surbookée ^^ |
| | | | Kadvaël
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié | | Sujet: Re: » Kadvaël [Vagabond] Ven 3 Avr 2009 - 17:01 | |
| Okay, merci ^^ C'est pas grave, j'ai pas beaucoup de temps non plus cette semaine x] C'etait juste pour savoir, vu que vous aviez l'air reticents a propos de l'hybridite de mon personnage xD |
| | | | Arashkam
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Taille : Niveau Magique : Non-Initié | | Sujet: Re: » Kadvaël [Vagabond] Dim 5 Avr 2009 - 16:08 | |
| exceptionnellement, je valide ^^ (vu que la fiche est superbe et qu'il y a eu deux fiches d'hybride pour une place.)  Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}. Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^ Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet. bienvenue! |
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