Une deuxiéme réunion en privé [Matador]

Aranel s'assit dans le fauteuil de soie rouge, un fauteuil parfait, le tissu léger et propre s'accorder aux formes de son occupant avec perfection et volupté. Un autre fauteuil de la même qualité était placé en face du baron elfique. Ce dernier avait choisit la meilleure place, derrière lui les étagères remplies de livres, et en face la porte de l'entré du bureau.

Le demi elfe avait choisit une maison isolé pour la deuxième réunion des comploteurs, une maison en retrait des quartiers les plus habités, ici personne ne prêtait attention à ce qu'il se passait, en effet, il s'agissait d'un quartier assez riche, autour de la maison, un jardin éloigné les intrus. Le demi elfe avait placé une dizaine d'homme à lui pour surveillé les environs. Ce soir il devait accueillir tout les membres du complots, tout d'abord son complice Matador Kondor.

Ce dernier arriva juste à ce moment précis, une servante vint annoncé l'homme au baron, ce dernier lui fit signe de le faire entré ici.

La servante redescendit, et alla parler a l'arrivant, elle avait reçut des consignes stricte, elle devait enlevé toute les armes des invités, son maître ne tolérerait aucune effusion de sang dut à un traite, car le baron se doutait bien que certains compter le trahir peut être pas maintenant mais bientôt sans aucun doute, et il devait faire attention à sa vie.

« Monsieur, je vous demanderez de bien vouloir déposer Toute vos armes ici, ils vous seront remise a votre départ, mon maître tient à ce que je vous fouille pour m'assurer que vous n'en cachez aucune »
dit la belle humaine en regardant l'invité droit dans les yeux comme son maître lui avait appris pour deviner les intentions des hommes, savoir s'il aller essayer de la duper ou non.

Aranel pendant ce moment prépara l'entretient qui allait suivre, il sortit les documents essentielles à la réunion entre les deux leader du complot, tout les plans sur les effectifs de leurs armées, des pirates, ses derniers étant attendu ce soir, aux nobles ayant rallié le complot ses derniers viendrait eux aussi ce soir, ou alors peut être demain soir.

Le demi elfe, devenait de plus en plus paranoïaque en ce moment, il semblait voir un espion du roi partout, pourtant le monarque ne semblait pas être au courant de se qui se tramait enfin en apparence, en tout cas la maison du demi elfe était prés à recevoir un siège, les murs était épais et résister à toute attaque du moment que cette dernière n'était pas massif, il n'y avait aucune autre entré mise à part la port principale, ce qui était aussi un désavantage car la maison n'offrez aucune issue possible.

Et le demi elfe avait aussi fait jeter un anti-sort autour de sa bâtisse, un sort qui empêcherait quiconque d'utiliser la magie à l'intérieur de sa résidence. Des précautions extravagantes mais nécessaire, ainsi le baron comploteur pourrait vivre plus tranquillement.

Ce dernier en attendant son convive ouvrit une bouteille de vin, un Hautval, son vin préféré, il servit deux verre qu'il posa sur la table, un pour lui et l'autre pour Matador qui arriverait bientôt.

Matador entra d'un pas raide dans le salon où Aranel l'attendait. Il lutait contre une colère qu'il n'avait jamais ressentit jusque là. De quel droit Aranel adoptait-il une attitude semblable envers lui? Comment pouvait-il laisser faire une chose pareil sans imaginer que Matador ne laisserait pas passer un tel comportement à son égard? Matador devait-il laisser passer, ou au contreaire, affirmer son rang dans cette organisation? Il ne faillait pas oublier qui était à l'initiative de ce projet! Il ne fallait pas oublier qui avait réunit cette petite confrèrie! Il ne fallait pas oublier qui avait voué sa vie la chûte du Roi de Diantra, quel qu'il soit! Il ne se laisserait pas voler son rêve par un demi-elfe! Diantre non!

Aranel! Qu'est-ce que cela signifie?

Il avait parlé d'une voix passe, sourde, dans laquelle il tentait de dissimuler les tremblemments que provoquaient sa colère. Ses yeux fixaient le demi-elfe qui était assit en face de lui. Il semblait à son aise le bougre.

Votre comportement à Ydril, et maintenant ce comportement chez vous... Pour qui vous prenez vous Aranel?

Il fit quelque pas jusqu'à un fauteuil qui se trouvai enface du demi-Elfe et s'assit. Il fallait que Matador affirme son autorité, mais il ne devait pas oublier que Aranel était son principale atout chez les nobles de la région. Il ne fallait pas non plus oublier qu'il était le chez de l'amée des divis, et que cela pouvait se révéler un sérieux coup de pousse. Tentant de se calmer un peu, Matador prit un verre de vin qui était posé er remplit sur un petite table qui séparait les deux hommes. Il en bu une gorgée, et reprit la parole.

Il faut vlairement que nous nous déffinissions des rôles, Aranel. Ainsi que nous devons nous cantonner aux activités que nous nous serons répartis. N'oublions pas que nous avons respectivement la co-ressponssabilité de se projet, et j'ai le sentiment que nous nous tirons dans les pattes. Ce n'est certainement pas la meilleures solution d'arriver à nos fins n'est-ce pas?

Aranel resta muet au question de Matador il songeait qu'une fois leur mission effectué et le roi destitué ce serait lui au l'humain, et Aranel commencé déjà à planifier ses plans pour évincer l'humain, soit par la mort ou par l'élimination social, cette méthode étant la plus fine et la meilleure mais aussi la plus risqué enfin ce moment n'arriverait pas tout de suite mais il fallait commencer à planifier dès maintenant.

-Mon cher Matador veuillez excusez mes méthodes mais je suis en ce moment un peu sur les nerfs le roi étant de retour d'Allona, moi aussi d'ailleurs la guerre ma mis un peu plus sur mes gardes, quand l'on voit des cadavres tomber tout autour de soit, des hommes, des maris, des pères, des enfants tomber le corps meurtris et le sang s'écoulant pas des plais béantes on prend ses gardes surtout quand don risque la potence à tout instant, enfin excusez moi si cela vous semble déplacé mais pour moi j'ai besoin de savoir mes convives désarmer et ne pouvant utiliser leur magie, cela me rassure, mais ne vous en faites pas je ne suis pas armé moi non plus nous sommes à égalité alors.

Aranel écouta les paroles de cet humain, sombre crétin parmi les crétins, pour qui je me prend imbéciles, pour un Baron et cette humain osez lui parler sur ce ton déplacé, lui un exilé qui risquait la pendaison, lui un simple humain qui ne verrait jamais plus d'une centaine d'année, lui qui avait à peine un quart de l'âge du demi elfe.

-Monsieur Kondor, il me semble que vous vous emballez, mon comportement est celui de quelqu'un qui sait à quoi s'attendre, je prend mes précautions et vous non cette réunion aurait pus être un piège, un espion aurait pus tout découvrir et nous piéger tous, mais vous êtes venu, vous êtes désarmer alors qu'a ma place vous auriez pus trouver la corde, monsieur Kondor prenait vos précautions agissez dans l'ombre car seul l'ombre peut nous permette la vie jusqu'à l'exécution final de nos plans, pour ce qui est de nos rôles il me semble clairs nous dirigeont chacun le complot, mais tout les rôles seront fixé ce soir quand tout nos amis seront venus, après cette réunion je vous demanderez d'éviter de recruter à tout vent car le complot deviendras un peu plus actif.

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