La réunion de Diantra [Les Comploteurs invités par MP]

Aranel descendit dans sa salle de réunion, cette dernière se trouvait dans la cave. Une grande salle décoré avec un certain panache. Des broderie ornait le mur, les tapis étaient assez gracieux et la table ronde taillé dans un bois très rare était lustré à merveille. Le baron alla s'asseoir à un bout de la table invitant son compère à faire de même.

Le baron avait fait apporter des fruits et du vin, du Hautval pour être précis, d'ailleurs le vin provenait d'une excellente année. Un des serviteur posa les verres sur la table, un pour chacun des invités, et il remplit les verres de cristal de la douce liqueur couleur rouge.
Aranel était tranquille ici, il n'y aurait pas d'espion, tout ceux qui était présent serait désarmé, et la magie avait était inhibé, ainsi il n'y aurait aucun risque de danger pour Aranel, qui devenant de plus en plus paranoïaque ces derniers temps voyaient du danger partout.

Sur la table, le baron avait apporter tout des tas de papiers tous rangés par catégorie et lié entre eux par des ficelles rouges. Tout les documents nécessaires aux complots, le baron avait longtemps travaillé pour élucider ses plans, et aujourd'hui il allait exposer à chacun ses projets, se mettant d'égal à égal avec Matador, ce dernier lui ayant présenté ses alliés, Aranel allait lui présenté les siens.

La salle, ne possédant pas de lumière, était éclairé par des grand chandelier, une dizaine répartie tout autour de la salle. La lumière des petites flammes projetaient sur les murs tapissés de rouge, envoyer une lumière rougeâtre tout autour de la salle.

-Mon chère Matador je vous en pris buvez donc de ce savoureux vin, il est délicieux, un Hautval, il s'agit sans doute de mon vin préféré.

Les convives allez sans doute arrivé d'un instant à l'autre, aprés avoir était fouillé et désarmez, une méthode d'accueil qui les laisserez sans doute perplexe, mais ils comprendraient que le demi elfe prenait ses précautions.

Ce dernier pour la réunion avait revêtu la couleur verte. Une longue tunique verte, ou était brodé dessus l'armorie de sa famille. Une tête d'ours, l'animal d'Actellys. Sa force ayant passé de baron en baron.

Mais déjà les invités arrivés, les bruits de pas se faisant entendre dans l'escalier.

//je pensais qu'il falalit attendre la fin du rp à Ydril//

Ulrich n'aimait guère ça, ôh, je ne parle pas du fait de faire un complot, il savait parfaitement qu'il ne serait qu'un simple instrument, qu'il ne servirait qu'à des fins politiques douteuses, mais il n'aimait pas être sur la terre, il n'aimait pas ne pas sentir la légère houle de la mer.
Enfin, il fallait bien faire des sacrifices de temps en temps, d'ailleurs, en parlant de sacrifice, le fait qu'il dut donner ses armes pour la réunion ne l'avait guère plus, c'était, comment dire, comme se sentir nue, désemparé, surtout que comparé à tout les convives lui était déjà considéré comme un traître par la nation.
C'était assez déplaisant. Il se sentait comme inférieur. Bien entendu, il avait donner toute ses armes, sa rapière, ses dague, sans rien dissimulé, il n'en avait pas besoin, si l'un deux oserait ne serait-ce que tenter quoi que se soit, il lui fracasserais le crâne par sa force brute.

Ulrich n'avait fait guère d'effort pour se vêtir, sa chemise rougeâtre avait une légère odeur de sang, son cuir semblait avoir été bien attaqué par le vent et le sel de la mer. Il avait cependant noué ses cheveux par un simple ruban de tissu noir, souvenir d'une dame qui lui avait brisé le coeur.

Il descendit les marches une à une, puis arriva enfin, il regarda les personnes présente, sans un mots, hum, il venait, par la simple vu des vêtements de "Dante", d'apprendre tout ce qu'il avait besoin. Une pensée traversa l'esprit d'Ulrich, et si il les trahissait, s'il acheter son liberté, pourquoi pas devenir corsaire du roi. Après tout, il pourrait ainsi changer de vie.
Le marin chassa cette idée de la tête et souffla simple un :

-Bonjours...

Après le bref échange qu'ils avaient eu dans la salle au dessus, Matador et Aranel descendirent dans une grande salle peu éclairée. Il y avait un légère tension entre les deux hommes, mais il fallait passer outre. Ils étaient tout deux les leaders de cette conspiration, et il fallait qu'ils travaillent de concert pour pouvoir la mener à bien. Évidement, cela n'empêchait pas que Matador pensait déjà à la manière de se débaresser d'Aranel quand celui-ci deviendrait trop gênant. car il ne fallait pas se leurrer, il le deviendrait tôt ou tard. Mais pour le moment il fallait travailler main dans la main.

Aranel proposa un très bon vin à Matador qui ne s'en servit qui tout petit verre. pour la réunion qui allait suivre, il ne devait pas être trop émêché. Il devait être tout à fait conscient de ce qui allait se dire et pouvoir donner des ordre et des directives claire et précisent.

je vous remercie mon cher Aranel. Il est effectivement exquis.

Puis, le premier cons piratueur arriva. il s'agissait du silencieux et tassiturne Ulrich, le pirate qui avait été le premier à le rejoindre. Sans nul doute son premier et plus fidèle allié. Cet homme étaitun dur, cela se voxait et se qui se voyait plus encore, c'était que le fait de venir aussi loins dans les terres lui coutait. Il faudrait lui trouver un emplois sur les mers, car sans nul doutes, s'il restait trop longtemps dans les terres il deviendrait fou.

Instalez vous Ulrich, les autre ne vont pas tarder. Surtout ne vous gênez et servez vous à boire.

Puis, Matador rejoingnit Aranel dans le coins ou celui-ci se trouvait et lui demanda à voix basse.

Combien de personne attendons nous en plus de ceux que vous avec rencontré à Ydril?

- Au moins une demi-douzaine, affirme l'Amiral de la Marine Marchande en s'avançant dans la pièce.

Dépouillé de toutes armes, les pirates n'en imposent pas moins. C'est bien connu, les pirates se déplacent en bande. Il y a certes quelques exceptions, mais la majorité suivent cette philosophie, surtout sur terre. Les pirates n'ont pas l'habitude de laisser leurs armes derrière. Selon eux... enfin, selon Sepiida, ceux qui insistent pour qu'on cache les armes sont des peureux. Ou alors parce qu'ils sont indigne de confiance.

Les 4 pirates derrière l'amiral jettent un oeil intéressé à la pièce. C'est riche, ça doit avoir une belle valeur de revente. Sepiida, lui, observe plutôt l'hôte de cette réunion, non sans avoir adressé un signe de tête à Ulrich.

Son éternelle redingote rouge foncée, soigneusement boutonnée est parfaitement sanglée. Les fourreaux sont vides, mais elles laissent aisément voir qu'il est habituellement très armé. D'ailleurs, les 4 autres aussi ont beaucoup trop de fourreaux vides. Impossible de ne pas penser que si l'un d'entre eux tombe à l'eau, il coulera à pic. Impossible non plus pour les paranoïaques d'imaginer le tas d'armes qu'ils ont du laissé à l'entrée... de quoi approvisionner au moins une vingtaine d'hommes en temps normal. Mais tout le monde sait que les pirates sont sur-armés.

Avec une nonchalance calculée, Haize Sepiida traverse la pièce jusqu'à une chaise près d'Ulrich et s'y laisse tomber. Les autres pirates restent en retrait, mais manifestent leur présence imposante. Ils ne sont pas là pour marchander ni pour comploter, ils sont là pour intimider. Liberté absolue, l'amiral se renverse dans la chaise et pose ses pieds sur la table. Haize Sepiida n'a rien d'un noble.

- Alors ?

Il est impatient. Il a fait un effort, il n'a rien bu. Pourtant, il n'est jamais sobre sur terre. Une exception n'est pas une habitude. Il y a un temps pour tout.

Aranel regarda ses trois piètres personnages, un pirate inutile qui ne servirait à rien, un simple matelot qui avait un nom qui finirait par s'oublier et disparaître doucement dans les fonds de l'abysse profonde. Pis Haize Sepiida, l'Amiral de la Marine Marchande, un homme importante un bon partie il pourrait servir de monnaie d'échange.

Et enfin Matador Kondor. Un humain naïvement bête, débile et crétin, un idiot total, Aranel était arrivé, avait critiqué le roi, avait parler de vouloir le renverser et cette idiot c'était allié avec un parfaite inconnu. Ah, la nature humaine était si aisément compréhensible.

Aranel se leva après avoir saluer les deux nouveaux arrivants, et traversa la pièce en faisant mine de vouloir fermer la porte, mais arriver à celle ci il regarda vers les marches comme s'il attendait quelqu'un d'autre.

-Messieurs, je crois qu'il est tant pour moi de me présenter, Aranel d'Actellys, baron d'Actellys, un petit comté minuscule, qui s'étend pas très loin, enfin si très loin dans les terres elfiques, de plus je dirige la guilde connu sous le nom d'Armée des Divins, cette dernière est entièrement à mon service, comme la cinquantaine d'homme répartie tout autour de la maison, et l'autre cinquantaine qui vous attend, en voici justement une vingtaine d'entre eux. Je vous présent ma garde personnel, la garde puriste, les meilleurs soldats de l'AD, et sans doute de tout le royaume humain.

En parlant une vingtaine de garde armée descendirent les escaliers, revêtu de leur armure, et portant leur casque. La cave fut bientôt remplit de garde qui encercler les trois hommes maintenant devenu des prisonniers. Il n'avait aucun moyen de s'échapper, et s'il tenter quoique ce soit il finirait mort alors que la justice du roi pourrait peut être les épargner, enfin seulement dépendait uniquement du roi non d'Aranel maintenant.

-Messieurs ce fut un plaisir de vous avoir rencontrer, vous resterez cette nuit dans cette même maison, il s'agit en vrai d'un quartier secret de l'AD, donc vous y trouverez des geôles peu confortables, et demain vous trouverez le roi, peut être éviteriez vous le Gibet de Diantra, enfin bonne nuit, je vous laisse au main de Livius, c'est le maître de mes gardes, oh et puis inutile d'essayer de les corrompes, c'est impossibles, bonne nuit et adieu.

Tout en parlant Aranel disparut dans les marches, laissant à ledit Livius le soin de l'opération.
Ce dernier, un grand homme, le regard droit et l'esprit loyal s'approcha des trois hommes et leur parla avec une voix grave, qui donnait un ordre plus qu'une demande.

-Mettez vous tous à genoux, les mains aux chevilles qu'on vous ligote avant de vous mettre sous fer, et ne tentez rien sinon je me ferais une joie de vous tuez.

Livius parla durement et les gardes après qu'il eut parlé s'avancèrent vers les trois hommes les cordes sortit prêt à les attacher si aucun ne tenter le diable, dans ce cas il serait tuer sur le champ.

Lorsque Haize arriva, ce fut un léger rictus qui marqua le visage du pirate, hum, il aurait préféré que son "capitaine" ne vienne pas, c'était dans sa nature, il concidérait que les chefs étaient mieux derrière, à diriger, mais bon, Haize avait et serait toujours une tête brûlé. Alors quand il avait fait irruption avec quatre hommes, il n'avait put s'empêcher de tiquer, il le sentait pas cette réunion, non, vraiment pas, pas plus qu'il ne sentait ce dénommé Aranel...
Déjà, un noble qui s'associe avec des pirates c'était louche. Enfin, Ulrich avait espérait que Matador avait sut ce qu'il faisait.
Ainsi, le marin s'était servit un verre, du vin, chère, raffiné, pas le genre de chose que notre marin buvait, oui, ça changeait du rhum.

Puis il y eut la traîtrise, la conjuration venait d'être totalement trahis par Anarel, quel enfoiré ce mec, quel ordure! Il avait de la chance de n'être pas plus proche sinon le poing du marin se serait écrasé contre sa face immonde. Franchement, Anarel d'Actellys, chef de l'armée divine, tu venais de construire quatre planche de bois autour de toi.

Mais il y avait ces gardes, armées, nombreux, trop nombreux. Sans un mots, sans un changement dans son regard, Ulrich sera silencieux quelques instant et lâcha à l'encontre de son amirale :

-Je vous avez dit de pas venir...

C'était la manière qu'avait Ulrich de dire "je suis désolé de vous avoir amené dans un piège". Mais le Marin ne bougea pas d'un pouce, il suffirait d'un geste de la part de son capitaine pour qu'il fonce dans le tas, sans se soucier de sa propre sécurité.
il était un pirate, sa mort était déjà assuré.

Mais Sepiida n'eut aucun geste en ce sens. Même que son inaction aurait pu faire croire qu'il n'a en rien compris la situation. Pourtant, une légère rougeur aux oreilles et la mâchoire au carré volontaire démontrent le contraire. Haize Sepiida est agacé. Très agacé. On pourrait même dire vraiment très contrarié. Même en entendant les gardes entrer à grands bruits de casseroles, Haize reste sagement assis sur sa chaise, les pieds sur la table. Il écoute la divulgation d'informations capitales venant de cet Aranel. Qu'est-ce qu,il avait dit déjà ? Baron d'Ataelys. Les terres elfiques ? L'Armée des divins ? Et, notez l'info, Haize connaît l'emplacement précis de cet endroit précis. Personne n'est venu le reconduire, il et venu ici, tout seul, ou presque, comme un grand garçon. Et, c'est bien connu, les pirates cartographient tout.

- Messieurs ce fut un plaisir de vous avoir rencontrer, vous resterez cette nuit dans cette même maison, il s'agit en vrai d'un quartier secret de l'AD, donc vous y trouverez des geôles peu confortables, et demain vous trouverez le roi, peut être éviteriez vous le Gibet de Diantra, enfin bonne nuit, je vous laisse au main de Livius, c'est le maître de mes gardes, oh et puis inutile d'essayer de les corrompes, c'est impossibles, bonne nuit et adieu.

Haize a un reniflement de pur mépris. Quel lâche cet Aranel. Il se pavane et se pousse aussitôt que ça devient intéressant. Aucun intérêt ce type. Y a un grogne de contrariété au centre du groupe de pirate accompagnant Haize. Il leur jette un regard et leur adresse un clin d'oeil confiant. Ce sont des pirates, ils ont connu pire qu'une vingtainedegardesarméslesmeilleursdeDiantra. Sans parlé de la cinquantaine dehors et, s'il a bien suivi, de la trentaine juste de l'autre côté des portes. Quel peureux ce mec !

- TOUT A UN PRIX, MONSIEUR D'ACTELLYS ! annonce Sepiida d'une voix forte, mais sans crier. Il ne semble pas vraiment craintif. Il ne s'est même pas encore levé.

À côté de lui, Ulrich. C'est lui qui l'avait amené ici. Oh, il pourrait lui en vouloir, mais c'était pas dans le tempérament d'Haize d'en vouloir aux gens. Tout le monde avait droit à l'erreur. Une seule fois, par contre.

- Je vous avez dit de pas venir...

Haize lève la tête vers Ulrich et le dévisage quelques secondes. Et enfin, il se lève et lisse soigneusement sa redingote rouge.

- Est-ce qu'on s'abstient de prendre le large parce que la mer est houleuse ?

Et contre toute attente, il sourit au pirate, jusqu'à ce que le dénommé Livius se mette à parler.

- Mettez vous tous à genoux, les mains aux chevilles qu'on vous ligote avant de vous mettre sous fer, et ne tentez rien sinon je me ferais une joie de vous tuez.

Il aime son style, à lui. Le genre de type qui prend son boulot à coeur. Un brave pirate dans l'âme... qui se retrouve du mauvais côté. Good man in a bad way. Il faut de tout pour faire le monde. Haize se présente presque devant le dit Livius. Il est l'amiral de la Marine Marchande. Il ne sera pas ferré par des subalterne. Un sourire et il lui tend les mains.

- Pourquoi nous ligoter d'abord. Ferrez-nous maintenant, ce sera moins facile pour nous de nous enfuir, non ? C'était d,une logique, non ? Une corde, c'était plus facile qu'une chaine. Et tant qu'à le faire, pourquoi ne pas le faire tout de suite. Le type, là, Aranel, c'est vraiment vot'chef ? Vous aimez ça, faire le sale boulot à sa place et risquer de vous faire tuer à sa place ? J'espère que vous êtes bien payé, au moins, avec une prime de danger. M'enfin, je sais que c'est ça le rôle des simples subalternes, de se faire tuer à la place de ceux qui sont plus brillant que vous. Il jette un regard à Matador, puis à Ulrich. Alors c'est d'main qu'on va voir le roi !

Haize a toujours su si bien faire l'imbécile. Une seconde nature, presque. Un parfait imbécile heureux.

Matador ne comprit ce qui se passait que quand le dénommé Livius ordonna qu'ils se mettent à genoux et que les gardes commencer à les ligotter... Quel revers de fortune! Quel monstre que cet Aranel. Les chose se passaient mal... Il n'avait aucun intérêt à se révolter ni a tenter de s'enfuir... il se ferait tuer instantanément... Il se laissa faire. Regardant les réactions de ses complices. Le dénommé Haize, s'adressa à Aranel qui dissparaissait dans l'escalier, l'invectivant de menaces. Puis il s'adressa à l'homme qui le ligottait.

Ulrich s'excusa auprès des autres pirates de les avoir fait venir ici. Les gardes faisaient leur besogne impassiblement. Lui, Matador Kondor, Organisateur de ce monvement ne dit rien. Il garda les yeux baisser, regardant ses genoux et les pieds de l'homme qui était entrain de l'attacher. Tout était finit. Il n'y avait rien à faire. Il finirait sur la potence, c'était une certitude.

C'était la deuxième fois qu'il se faisait prendre. Er pour la même raison, la prise du pouvoir et la mise à mort du roi. Cette fois, il serait sans nul doutes mit à mort... mais ne se laisserait pas faire ainsi. Avant de mourir il tenterait de s'en prendre au roi lui même, s0il en vait encore la force et l'envie. C'était la fin d'un rêve. la mort montrait le bout de son nez... Et pourquoi? Parce qu'il avait fait confiance à la mauvaise personne... Triste ironie... Le traître trahit à son tour par un "ami"....

Livius ne répondit pas au pirate, ce dernier cherchait sans doute à trouver une faille chez le garde, mais Livius était un garde d'expérience, il en avait vu passer bien des batailles et bien des arrestations celle là ressemblait à bien d'autre. Sauf que là Livius devrait agir seul, sans Aranel pour le diriger, un signe de confiance de la part du maître de l'armée des Divins qui toucha énormément le chef de la garde.

Alors quand le pirate critiqua Aranel et le traita de simple subordonné qui risqué sa vie à la place d'Aranel il ria d'un grand éclat, un rire long, un rire jovial, un rire d'homme de guerre! Livius avait grandi dans la guerre, tout jeune il se tapait déjà avec ses camarades. Il avait faillit mourir mais Aranel l'avait secouru depuis c'était un lien sacré qui unissait les deux.

-Maître Pirate, vous ignorez tout d'Aranel, ce n'est pas celui que vous croyait, encore hier il éprouvé du remords à vous piéger, enfin il agit ainsi pour protéger le roi, car il lui a promis de lui être fidèle et de le protégeais, et la Marine Marchande semble être un ennemie du royaume, bien que vos idées de liberté soit respectables, ici elles sont dangereuses, je ne connais pas beaucoup de chose sur la MM, mais je la respecte, et d'ailleurs je ne dois pas vous ligotez vous, ni aucun des pirates présents ici, vous serrez en effet juste ferrez, vous laissant les jambes de libres. Aranel ne réserve ce traitement que pour ce petit mage, sournois et vil, un de ses genres d'hommes que je déteste, ses hommes qui envoi d'autre se battre là ou lui même regarde de loin.

Livius en disant cela fit un signe à ses hommes de sortir les lourds médaillons de fer, tous étaient enchanté pour inhiber la magie, on n'était jamais trop prudent! Un des pirates aurait pus savoir utiliser la magie. Le maître des gardes regarda Haize longuement avant de lui parler, il vit en lui un homme fort mais qui tenait à sa vie, un pirate qui aimait sa liberté, un peu comme Livius sauf que ce dernier devait tout à Aranel, et il ne le quitterais jamais.

-Je vous prie de ne pas provoquer de combat inutile je n'aimerais pas avoir à vous combattre maître pirate...
Livius fit un signe à un de ses gardes de ligoter Matador, ce dernier ne parla même pas, il n'essaya pas de s'expliquer, preuve qu'il avait au moins conscience de ce qui se passait, mais il ne fit aucun signe, un homme froid, un lâche aux yeux de Livius ce genre d'homme qu'il détestait.

Le garde enroula une corde autour des jambes de Matador, ne lui permettant même pas de tenir debout, et il en enroula une autre autour de ses bras, sans oublier les fers enchanté qu'il lui passa autour des poignets, et tout sa serré le plus forts possibles pour bien faire souffrir cet homme.

Livius agissait par là au delà des ordres d'Aranel qui avait dit de ne pas trop serrer les liens des prisonniers, mais le chef de la garde détestait trop ce type d'homme pour respecter cet ordre, et il savait qu'Aranel ne lui en voudrait pas. Maintenant Livius attendait la réaction des pirates.

ET le dénommé Livius éclate de rire. Le genre de rire que seuls les cinglés ayant vu trop de morts peuvent avoir. Haize se félicite de ne pas être rendu aussi pervers. Ce Livius était à Aranel ce qu'un fanatique est à la religion. Le genre de truc dangereux et totalement emprisonné dans ses fantasme fanatique. Certains pirates le devenaient. Et Haize n'avait aucun remords à abréger leur asservissement. Le fanatisme était pour Haize encore pire que la royauté, pire que la tyrannie. Quoique l'asservissement était souvent le résultat de la tyrannie... mais encore plus souvent le résultat d'un esprit malade.

Haize détaille Livius, l'air innocent. Il secoue la tête, l'air déçu. Il inspire, puis expire. Un regard à Livius, l'air grave, tandis qu'on lui met les fers.

- Et vous y croyez à ces conneries qu'on raconte ?

Il observe la scène des gardes qui font tinter les fers, sans émotions apparente. Un bref regard à ses hommes, un regard qui passe inaperçu chez quiconque ne connaît pas très bien Haize. Les pirates comprennent, ils commencent à connaître leur capitaine. Il ne fait rien comme il faut. Mais ça marche.

- Je vous trouve très imprudent, Livius, dit-il d'un ton familier, l'appelant par son nom. Vous savez ce qu'on raconte sur les pirates, non ?
- Qu'ils respirent sous l'eau ? interroge un pirate, l'air de sérieusement se poser la question. Haize fronce les sourcils.
- Nan, pas ça, ça c'est ce que les gens ne savent pas sur les pirates, affirme-t-il. Ce qu'on raconte sur les pirates, c'est qu'ils...
- ...ont des puces ?
- Nan gémit Sepiida, contrarié, C'est qu'ils sont comme les mauvaises herbes, plus on les arrache, plus il y en a.
- Ah ouais, ça...
- C'est stupide, y a pas de mauvaise herbe en pleine mer.
- Mais y a pas de gens qui racontent non plus.
- Oh, laissez tomber. Pfffft...
- Mais je crois que c'est pas la phrase exacte, tsé.
- Mais on s'en fout, il a bien dû saisir le principe ! Et ne me contredit pas ! C'est qui le capitaine, hein ?
- ...
- ...
- ...
- ...
- Bah... c'est toi qui a eu la plus petite paille, ouais...
- Bon !

Et Haize revient sur Livius, comme si rien ne s'était produit.

- Je disais donc que c'est très imprudent de votre part, parce que personne n'est vraiment de taille contre des pirates. Sauf s,ils le décident. Mais j'ai toujours eu envie de rencontrer le roi ! Quand est-ce qu'on y va ?
- Oh, oui, le roi !
- v'z'imaginez ? On va aller voir le roi !
- Chic chic !

Et l'un d'entre eux pousse l'audace à applaudir et à sautiller sur place.

Matador, qui s'était tut jusqu'à se moment ne pu retenir plus longtemps un mot. Le seul qui valait la peine d'être prononcé en ce moment tragique. le seul qu'il se sentait capable de dire. Malgré le fait que sont cas était surement déjà réglé pour le roi et toute la coure. Il ne pu retenir le mot.

Vengeance...

Voilà, les hommes pouvaient s'en aller. il ne dirait rien de plus, ni ne tenterait rien. il allait surement mourir sans avoir pu mettre sa vengeance à exécution, mais il ne mourrai pas comme un lâche. Si personne ne voulait l'aider dans sa propre déchéance, il trouverai un moyen de mourir dignement. Il ne chercherai pas à fuir, mais si il pouvait s'en sortir, il sauterait sur l'occasion. La seule chose qu'il voulait, s'était voir le roi avant de mourir, pour lui cracher au visage.

[Pardon, c'est très cours, mais j'ai pas trop de temps en fait...]

Livius fit ferrer Matador avec de bons fer, ces derniers lui ferait le plus grand bien, un peu de violence briser les esprits fous, et bien qu'Aranel avait ordonné qu'aucune inutile, le chef des puriste avaient une envie folle de taper ce vieux fou, traite au roi et à son royaume, mais il se retenu, plongeant son ardeur dans les fers qu'il serra avec force.

Avec les pirates, Livius agit différemment, il les ferra mais en serrant moins les liens, si ses hommes tenter quelque chose il devrais agir et face à une bonne partie de l'AD il n'aurait pas beaucoup de chance, mais aucune, enfin on n'était jamais trop prudent, ils resteraient dans la cave, et quatre garde seraient placer cette nuit à la garde de la porte, des puriste, pour être sûr de ne rien risquer.

La salle fut rapidement vidé de ses objets, pour ne laisser plus que la table. Les prisonniers furent assis au fond de la pièce, enfin s'il se levait il ne pourrait pas faire grand chose.

Livius ferma lui même la grosse porte en chêne, et passa la clé autour de son cou, s'assurant que personne d'autre que lui n'ouvrirai la porte, pour plus de sécurité il donnerait la clé à Aranel quand il le verrait.

La nuit se passa calmement, les quatre gardes se relayèrent, par groupe de deux, et rien de fâcheux ou d'inattendu se passa, une partie de l'AD était resté aux aguets dans les salles du dessus, veillant à ce que rien ne s'approcha du manoir, et ne franchissent les portes lourdement fermé.

Le matin, à l'aube, quand les rues étaient pas très rempli, l'AD fit sortir les prisonniers, et les placèrent dans des geôles mouvantes. Des cages assez grande pour accueillir six hommes placé sur des charrettes, ces dernières servaient à l'origine à emmener les hommes jusqu'au pilori ou au gibet.

Mais là, les cages furent placarder, ainsi le convoi passeraient pour des simples charrettes, rien ne laisser penser qu'elles transportaient des prisonniers, une mesure supplémentèrent de sécurité, sans compter les hommes de l'AD qui l'escorteraient, une partie déguiser en marchand et l'autre qui suivraient le convoi de loin, à l'arrière et à l'avant, en tout une cinquantaine, d'homme, positionner sur le long du parcours.

Le voyage eut lieu sans encombres, les Diantriens qui s'éveillaient ne prêtèrent pas attention aux charrettes, assez communes le matin, ou les marchands venaient livrer leurs marchandises. Sauf que celle ci livrer une marchandise un peu spéciale, et au château.

Aranel rejoint le convoi peu après son départ, Livius lui confia les clés des fers, rien en laissaient supposer qu'il avaient faillit rejoindre Tari la nuit dernière, Ange avait fait des vrais miracles, il pouvaient marché tranquillement, et il avait même ôté son pansement ce matin, et à sa plus grande surprise il n'avait plus rien.

Enfin le convoi arriva aux château, les gardes de l'AD, se positionnèrent, pour escorter les prisonniers, aider de la garde royal, désormais les prisonniers n'étaient plus à leur charge, ils furent jeter dans les geôles du château et placé sous le commandement des gardes royaux.

Livius ramena les charrettes dans le QG anticipé de l'AD, et prépara son transfert, leur planques pouvaient être repérer, et bien qu'il n'avait rien à caché, ils avaient des documents qui devaient resté secret, comme la répartition des forces, leurs stratégies,... tout cela seraient placé dans le Manoir d'Aranel, en sécurité, avant d'être envoyé à Osto Tel.

[Si vous avez des trucs qui ne vous plaisent pas MP moi je changerais =)]

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