Rituel d'entré [Fermé pour l'instant]

Tout les membres de l'AD avait était convoqué à Osto Telepsa, aujourd'hui serait un grand jour pour l'Armée des Divins. Après l'annonce officiel a l'enterrement d'Arylwren, Aranel ouvrirait officiellement l'AD. Tout les membres avaient été convoqué, les anciens comme les nouveaux. La plus part de ses derniers étaient venu trouvé le nouveau chef de guilde pour y être recruté, mais certains avaient était trouvé par le maître de guilde.

Finalement il s'agissait d'une bonne centaine de personne qui entrait de nouveau dans l'AD, tandis que presque tout les anciens membres étaient resté. Cela avait soulagé Aranel de voir que les anciens restaient, ces derniers étaient indispensable pour la survie de la guilde, et ses derniers étaient pour la plus part resté fidèle à la guilde.

Aranel avait pour l'occasion revêtit les atours de l'AD. Des nouveaux habits qu'il avait fait tailler, en effet il ne pouvait pas porter ceux d'Arylwren! Ses vêtements étaient de différents type, mais aujourd'hui il portait la robe de cérémonie, une longue et grande robe bleu azur, la couleur de l'AD et par un étrange hasard de la baronnie d'Actellys.

La cérémonie d'ouverture et d'intronisation des membres se dérouler dans la salle prévu aux grandes fêtes, la salle Maximilien, situé dans l'aile gauche du palais. Cette salle était assez grande pour recevoir tout les membres de l'AD.

Le chef de guilde, regarda la salle du haut de l'estrade sur laquelle il était situé. Il était temps! Temps de lancer l'AD et de lui donner la dimension qu'elle aurait toujours du avoir, celle d'une guilde à la puissance militaire et politique sans équivalant.

-Bienvenu à tous! Aujourd'hui est un grand jour pour nous et pour l'AD! C'est aujourd'hui que nous allons relancer l'AD et relancez les rêves et idéaux qu'Arylwren avait toujours protégés de son vivant, Gloire à sa mémoire, et que son âme trouve son chemin vers Tari. N'oublions jamais son sacrifice à Allona, elle a bondis dans la bataille faisant fis de sa vie, ne prenant pas en compte les risque pour aider l'AD, n'oublions pas quel femme elle fut, et quelle chef de guilde elle restera dans nos cœurs, n'oublions pas Arylwren, car elle ne vous oubliera pas, et nous attendra tous dans le palais des morts.

Ce discours fut dis avec passion, et la plupart des membres applaudirent, créant un immense bruit dans la salle. Arylwren était entré dans la légende de l'AD comme un symbole de dévotion dans leur cause, bien que personne ne savait exactement comment elle fut tué. Une histoire avait était forgé, selon laquelle l'ancienne maîtresse de la guilde aurait foncé dans les troupes drow volant au secours de quelques soldats en dépit de sa vie et elle aurait périt dans la bataille, mais son corps ne fut pas retrouvé, et là beaucoup croyait que Néera l'avait hissé au rang de demi-dieu pour que la dame guerrière lui tienne compagnie.

En tout cas, Arylwren était adoré par les membres de l'AD et de plus en plus par d'autre personne, la plus part humaine. Devenant un objet de culte, et un espoir de paix futur. Elle resté aussi l'une des premières à avoir prêché l'union des trois peuples dit libres, un symbole d'union qui permettrait peut être de voir son rêve aboutir.

Aranel regarda Luvius, le maître de sa garde personnel, la garde des puristes, regroupant les plus fidèles et les plus forts des guerriers de l'AD. Cette garde était composé de quelques mages et surtout de beaucoup de guerrier, une majorité d'elfe et d'humains, mais aussi quelques nain, deux pour être exact, Junin l'écraseur, et Tarsin. Cette garde était fidèle à leur meneur comme peut l'aider vis à vis de leur maître. Aranel avait était le chef des armées de l'AD, ainsi la plus part des hommes présents ici avait en leur meneur une confiance absolu et une dévotion sans limite. Des hommes surent qui ne trahirait jamais leur maître.

Aux cotés d'Aranel sur l'estrade, à part quelques membres de sa garde, se tenait une table ou était réunis tout les éléments pour le rituel d'ouverture, un rituel mythique, que l'AD avait forgé au fil des années, ce dernier était empreint de croyance et de symbole, néanmoins personne ne contredisait son aspect divin. Ce rituel voulait appelé la volonté des dieux et leur demander de bénir cette nouvelle guilde.

Aranel l'effectuerait en tant que maître de la guilde, même s'il n'était entré dans aucun ordre. Le chef de guilde avait déjà vu ce rituel être effectué, il s'agissait d'un rituel assez compliqué à effectuer et qui demandait l'aide d'au moins cinq mage. Aranel, serait donc aidait de cinq mage, chacun d'entre eux ayant une vocation magique différente, chacun utilisant une spécialité propre à chacun des cinq grands dieux.

Aranel commença le rituel, tout d'abord il devrait effectuer un cercle de protection autour de lui et des mages, ce cercle devait les séparer du monde terrestre en les isolant pour les placer entre ce monde et celui des dieux. Surtout il devait faire la connexion et empêcher toute impureté de venir rompre le rituel.

Pour ce faire le nouveau Intendant de Diantra traça un cercle invisible au sol avec l'aide d'une brindille de conifère trempé dans un bol d'eau bénite. Le cercle permettait à une dizaine d'homme de se tenir à l'intérieur sans se toucher. Mais à l'intérieur il n'y aurait qu'Aranel et les cinq mages. Pour finaliser la création d'un cercle magique il resté encore plusieurs phases. Tout d'abord le demi elfe prit l'encensoir et le passa au dessus du cercle, l'odeur été faite par un encens particulier, ce nommant l'encens des dieux, peu savait de quoi il était composé. L'encens devait éloigner les mauvais esprit de l'intérieur du cercle et leur interdire l'entrée en plus de l'eau bénite.

Une fois le cercle fait il fallait encore lui donner sa dimension magique, et manifester la présence des dieux pour cela, cinq cierge avait était placé autour du cercle. Le premier, était le cierge de Kiria, la première des Dieux. Aranel s'approcha de celui ci avec le mage naturaliste, un elfe du nom d'Ostelion, l'un des membres de la garde puriste. Ce dernier s'accroupit et commença à appeler la déesse en prière, et dans un langage que seul les membres de l'Ordre de Kiria connaissait.

Aranel, pendant que le mage-prête effectuer la prière, réalisa les actes nécessaires. Il déposa un morceau d'écorce devant le cierge et il versa quelques goutte d'eau bénite avant de lever l'épée des Divins, l'arme sacré de l'AD que portait chaque maître de guilde.

-Ô Kiria, maîtresse de la terre, déesse de la nature, sanctifie cette endroit, joins toi à nous pour voir aujourd'hui tes serviteurs servir ta noble cause, entre et donne nous à tous ta méfiance et ta clairvoyance, que nous puisons percevoir nos ennemis de nos amis

Aranel avait parler avec une voix douce et forte, une voix d'elfe qui portait dans toute la salle qui réduite au silence devant le rituel regardait ce dernier avec un regard étonné et impressionné comme celui d'un enfant qui vient de voir son premier orage.

A la fin du discours le cierge s'alluma de lui même, manifestant la présence de la déesse, enfin en théorie, après personne ne savait s'il s'agissait bien de la présence de la personne divine ou bien juste de l'effet de la magie, en tout cas l'invocation de la déesse était bien là dans l'esprit des personnes convié, et l'atmosphère se chargea sous l'effet de la magie.

Aranel se tourna maintenant vers le deuxième cierge, celui d'Othar. Le mage en question n'était pas un nain mais un humain, Ervain Noster, un des membres de la grande famille Noster connu pour leur engagement dans la religion, beaucoup de ses ancêtres avaient été Haut-Prêtes, et maintenant Ervain espérait un jour devenir celui d'Othar.

Aranel déposa devant le cierge une pierre des montagnes, et plus particulièrement la pierre de Feu, la relique sacré que conservait l'AD. Cette pierre aurait était celle sur laquelle le dieu se serait reposé durant son emprisonnement dans les montagnes, une relique dont l'authenticité était contre dite mais cette pierre restait dans le cœur du peuple celle du dieu.

-Ô Othar, maître du feu, Dieu de la guerre, vient rejoint ta sœur, et inspire nous, partage ta force et ta volonté avec nous, pour que nous puisons vaincre nos ennemis par la guerre que tu a crée grand dieu, donne tout le savoir nécessaire pour vaincre.

Ervain comme le premier mage se mit à prier, et le cierge s'alluma aussi, mais d'une flamme plus grande et rougeoyante, une flamme forte qui sembler pouvoir bruler le château entier si elle l'aurait voulu.

Aranel effectua le même rituel avec le troisième cierge, déposant une plume d'oiseau devant le cierge de Néera, pendant qu'Albert d'Intil, effectuait les prières a la déesse.

-Ô Néera, la douce, maîtresse de l'air, Déesse de la vie, toi qui fut ici qu'un jour, redescend parmi nous aujourd'hui pour nous donner le courage et le bonheur nécessaire pour vaincre, joint toi à nous et protège nous.

Le cierge s'alluma lui aussi mais d'une flamme faible, et capricieuse qui semblait pouvoir s'éteindre à tout moment pourtant elle resta allumé et ne s'éteignit pas, résistant, protégés dans le cercle.

Ensuite vint le tour du cierge d'Arcam, pour cela Aranel reçut l'aide d'un prête-mage elfe. Ce dernier se mi aussi à prier tandis qu'Aranel déposé un miroir et une rose rouge devant le cierge avant de réciter la formule.

-Ô Arcam, Dieu de l'amour, toi le plus proche et le plus loin, toi élément de la joie et du malheur, toi le puissant, vient, envoi ton esprit se joindre à nous et nous apporter la joie et l'amour, vient nous donner ce que tous chercher, vient serrer nos liens d'amitié et de confrères.

Le cierge s'alluma d'une flamme légère et charmeuse, faible et forte à la fois, mélange d'un rouge sang et d'une bleu pâle, mélange du bien et du mal, flamme à double face pour un dieu à deux visage.

Enfin ce fut le tour du cierge de Tari, pour cela, Aranel avait fait appelle à Lisna, une elfe-mage de l'Ordre de Tari. Cette dernière se mi à prier, comme ses collègues de magie, alors qu'Aranel déposa une pierre sombre qui se voulait être une réplique de la pierre que la déesse donna à Othar pour lui permette de la rejoindre au pays des morts.

-Ô Déesse de la Mort, Ô toi maîtresse de l'eau, toi qui récupère nos âme pour les emmener dans ton monde mystérieux et inconnu, toi la mystérieuse qui nous apparaît sombre et douce, toi vient à nous et apporte nous une vie longue et prospère, donne nous le temps d'accomplir ce pourquoi nous avons été fait, vient et protège nous de la mort donné par nos adversaire, et enlève la vie à nos ennemies mortel les drow vivant dans leur damné Puy.

Le dernier cierge s'alluma lui aussi, dans une flamme froide, une flamme qui semblait morte ou en train de mourir, faible mais heureuse de s'éteindre et de trouvé le repos, néanmoins elle resta allumé faible mais manifestant la présence de la déesse.

Nul ne doutait de la présence des dieux, même si un bon mage aurait pus faire la même chose, mais il était vrai qu'une atmosphère étrange régnait maintenant dans la pièce, l'air était plus lourd et plus pesant, presque écrasant. Et à l'intérieur du cercle cela était bien pire. Les Cinq mage était encore agenouillé en train de prier, s'il s'interrompait le lien avec les dieux seraient rompus.

Maintenant il était temps de finir le formation du cercle magique, et plus rien ne pourrait entrer à l'intérieur. L'oxygène présente au sein du cercle suffirait largement au cinq personne pour finir le rituel, mais pas beaucoup plus. C'était cela le danger de ses rituels car il était plus difficile de fermer un cercle magique que de le créer, mais Aranel avait passé les deux dernières semaines à voir et revoir tout cela dans son crâne, et il connaissait chaque étape par cœur, de plus il avait déjà assisté à trois rituels magiques durant sa vie.

-Ta volonté est pur, tu est l'Unique, toi le créateur, le Juste, toi maître de tout, tu m'asperge de ta bienveillance et je serais pur, lave moi et je serais plus blanc que neige. Fait de moi l'être parfait, sans tâche, lave mes souillures et rend moi aussi innocent qu'un nouveau née, fait de moi ton image parfaite.

Aranel but un verre d'eau bénite avant de s'en asperger la tête avec un autre, cette étape devait le laver de ses pêchés et le rendre pur pour pouvoir effectuer le rituel. Une phase symbolique, qu'on retrouvait quelques fois dans les rites des différents Ordres, donnant le Pardon. Sans doute un dérivé de ce rituel qui avait disparu sous sa forme original des mœurs quotidien, Aranel ne le connaissait que grâce à son parrain Varel qui lui l'avait connu il y à bien longtemps, et il était sans doute l'un des rares à l'avoir communiquer tellement de rituel était puissant, néanmoins, il n'en savait pas plus dit à Aranel, le privant et cela pour son bien d'entré en contact direct avec les dieux.

Une fois l'eau versé, Aranel pouvait fermer le cercle, pour cela il se pointa vers chaque cierge et répéta à chaque fois la formule de fermeture qui devait séparer la zone à l'intérieur du cercle de tout, créant un lien psychique avec les dieux, leur permettant d'entendre mais non de parler. Cette formule fut la suivante:

-Toi puisant Dieu sois mon Berger et je ne manquerais de rien.

Après avoir répété cette phrase cinq fois, Aranel se pointa vers l'autel construit au milieu de l'estrade, se serait là qu'aurait lieu l'échange avec les dieu, et devant cette estrade Aranel termina la phase de fermeture du cercle en récitant les paroles d'Appelle.

-Nous nous tenons hors du temps, hors de ce monde. A l'instar de nos aïeux, nous ne formons plus qu'Un. Par Tes Bienheureux Dieux, Kiria, Othar, Néera, Arcam et Tari, par les pouvoirs du Bien et du Mal, nous T'apellons afin de nous garder de tout péril, Ô Très-Haut. Ainsi en est-il de toute éternité; ainsi en sera t-il dans les siècles des siècles.

Aranel termina les derniers mots et à l'instant même se levèrent les barrières magiques, une paroi pâle, pas très opaque, mais qui rendait la scène de l'intérieur flou aux spectateur. Et qui surtout empêcherait toute impureté d'entré, mais le champ de protection laisserait la voix d'Aranel sortir.

Il était désormais temps de finir le rituel avant de commencer l'étape de recrutement. Aranel s'avança vers le petit autel, ou un parchemin, une bougie, et un verre remplit de vin, précisément du Hautval, le vin préféré d'Aranel. D'ailleurs une bonne dizaine de bouteille était prête à l'utilisation prêt de l'autel, toute débouché pour que le vin respire bien.

Le baron prit un petit stylet, et se planta le beau pointu dans le pouce, une goutte de sang apparut suivit de plusieurs autres. Aranel plaça son pouce contre le parchemin qui absorba le sang, remplissant le petit plie rapidement. Il s'agissait d'un parchemin consacrait aux cin diqeux, les mages-prêtes s'en était occupé avant le début du rituel.

Aranel prit le parchemin et l'alluma avec la bougie, et déposa le papier dans un petit cendrier, ou le document spirituel se consuma pour finir sous forme de cendre, que le Baron vit tomber dans le vin et la coupe. Cette dernière était gravé aux insignes de l'Armée des Divins, une commande d'Aranel.

-Vous les Cinq enfant, Néera, Kiria, Arcam, Othar et Tari, protégez moi, rendez mes faiblesse invisibles, prenez en moi le mal pour y faire le bien; Vous êtes mes meneurs, et je vous suivrez jusqu'à la mort. Faites de moi votre meilleur serviteur, du vice à la force, de la faiblesse à la vertu.

Après avoir prononcés ses paroles, Aranel avala le liquide qui coula au fond de sa gorge, et ainsi marqua son engagement dans l'Armée des Divins, un rituel indispensable pour entrer dans l'Ad. Les anciens membres l'avaient déjà fait et n'aurait donc pas le privilège de boire le vin, néanmoins tout les nouveaux membres, ainsi que les anciens nommés à un autre poste devraient faire ce rituel, ainsi que quelques autres anciens à haut poste.

Aranel posa la coupe, et s'avança vers le cercle, là il sortit l'épée des divins et découpa une porte dans la barrière magique. Cette dernière s'ouvrit laissant un passage suffisamment grand pour qu'un homme puisse y passer.

Sujet: Re: Rituel d'entré [Fermé pour l'instant] Mar 1 Sep 2009 - 16:35

[ je suis désolé de le demander ainsi mais est-ce que nous pouvons répondre maintenant?]

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