Une correspondance animée. [Terminé]

Baudoin reçut une lettre qui fit en lui grand mécontentement. Son suzerain se mêlait d'affaires qui ne le regardaient pas, en usant de sa qualité de duc pour imposer cette inquiétante secte dont il faisait partie. Les obédiences douteuse de Merwyn lui importaient peu, en fait, tant qu'il ne les faisait pas déborder sur des choses aussi sérieuses que la politique.

"

Citation :

Mon cher baron,

Toutes mes salutations, je vous envoie cette lettre car j'ai appris que vous avez fermé la porte à l'Armée des Divins dont je suis le haut dignitaire. En contre partie, vous me fermez à moi aussi la porte de votre baronnie, de surcroit que je suis votre suzerain. Je vous demanderez donc de les rouvrir et d'éditer votre édit sinon, j'emploierais d'autres manières que nous ne voudrons pas.

Bien le bonsoir seigneur baron.

Ayant bien sourcillé sur les qualités de grammairien de son suzerain, Baudoin s'empara de sa plus belle plume et de sa plus belle muse. Il répondit sans ambages, avec la sécheresse du soldat et l'onctuosité du politicien. En somme, c'était quelque chose de bien policé et bien fait qui devait ressembler à ceci.

" Mon bon duc,

Je suis navré d'apprendre qu'un tel édit vous ait offusqué, en tant que haut-dignitaire de l'armée des divins. Cependant, sachez que j'agis de mon plein droit et en pleine connaissance de cause : je ne puis me résoudre à laisser une telle Compagnie indépendante manger le pain de mes gens et emprunter les routes de mes marchands ; je ne puis non plus être sûr de leur fidélité à votre personne ; enfin, je ne puis tolérer que les armées de ceux qui m'ont insulté foulent le sol d'Oësgard.

Aussi vous prierai-je de bien vouloir respecter mes décisions quant à mes terres où, à ce que je sache, je suis seul souverain.

Néanmoins, bien conscient du statut ambigüe qui vous entoure, faisant de vous à la fois mon suzerain et un dignitaire étranger, je consens à vous ouvrir mes portes en votre qualité de duc et suzerain. Toutefois, aucun autre membre de cette Armée des Divins ne sera toléré sur mon territoire, vagabond ou armée.

Bien à vous,
Baudoin d'Oësgard

L'enveloppe fut confiée à un courrier reconnu pour sa célérité. Et en une journée environ, il fut à Serramire, confiant le précieux feuiller à Merwyn de Serramire, duc de Serramire et, étonnament, haut-dignitaire de l'Armée des Divins.

[La prochaine fois, je vérifie sur Word -_-]

J'avais appris l'édit qui empêchait l'armée des divins qui avait son quartier général en mes terres et qui me soutenait dans mes décisions et vis versa de circuler librement dans la baronnie d'Oësgard. Malheureusement, c'était par cette baronnie que circulait le plus les marchandises et où passent les grandes routes. Et empêchait l'AD de passer est m'empêchait d'avoir un allier de poids ce que je ne pouvais me permettre en ses temps de guerre. La journée suivante, j'eus la réponse du mon vassal et elle ne me plaisait pas.

Citation :

" Mon bon duc,

Je suis navré d'apprendre qu'un tel édit vous ait offusqué, en tant que haut-dignitaire de l'armée des divins. Cependant, sachez que j'agis de mon plein droit et en pleine connaissance de cause : je ne puis me résoudre à laisser une telle Compagnie indépendante manger le pain de mes gens et emprunter les routes de mes marchands ; je ne puis non plus être sûr de leur fidélité à votre personne ; enfin, je ne puis tolérer que les armées de ceux qui m'ont insulté foulent le sol d'Oësgard.

Aussi vous prierai-je de bien vouloir respecter mes décisions quant à mes terres où, à ce que je sache, je suis seul souverain.

Néanmoins, bien conscient du statut ambigüe qui vous entoure, faisant de vous à la fois mon suzerain et un dignitaire étranger, je consens à vous ouvrir mes portes en votre qualité de duc et suzerain. Toutefois, aucun autre membre de cette Armée des Divins ne sera toléré sur mon territoire, vagabond ou armée.


Bien à vous,
Baudoin d'Oësgard

Dans mon bureau, je tapa du poing sur ma table de travail avant de prendre ma plume et d'écrire.

Mon cher comte,
Si cette compagnie vous a insulté, je m'en excuse. Mais si vous persistez à me tenir tête, j'enverrai mes hommes sur votre fief pour escorter les armées de mon ami et cousin s'il veut se promener en votre fief qui est aussi le mien. J'espère sincèrement que cette affaire sera réglée au plus vite pour le bien de nous deux. Ma décision est prise, et vous n'avez pas trop le choix. Ou vous enlever votre édit, ou mes hommes s'installeront sur votre fief.

Au revoir.

Je donnais le message au coursier d'Oësgard et le renvoya. Il ne manquait plus que ça, un comte qui me tient tête, d'ailleurs je vais de ce pas écrire un édit à mon tour pour tout le duché.

La missive parvint à Baudoin alors qu'il était entretenu à propos d'une affaire étonnante de vol de poules. La chose était commune mais, en l'occurrence, avait dégénéré en un conflit inter-communal. Chacun accusant l'autre de vouloir mettre à bas son clocher. Et bien que la chose fut importante, un courrier en provenance de Serramire l'était bien plus. Les villageois furent vite congédiées, et la cour se pendit habilement aux lèvres de Baudoin.

Il fulmina un instant, gronda. " Ses hommes sur mes terres ? " là, le baron se leva tout bonnement et gratifia d'un crachat noirâtre les marches menant à son petit trône. Il relut l'aimable épître de son suzerain à haute voix, hachant particulièrement sauvagement les mots dans un carnages infâme. Son duc outrepassait ses droits ; cette Armée avait sûrement une emprise considérable sur le jeune Merwyn, qui, après tout, devait être heureux de déléguer la tâche de la direction d'un duché à un mercenaire, tout occupé qu'il était à trousser la ribaude.

Citation :

Mon cher comte,
Si cette compagnie vous a insulté, je m'en excuse. Mais si vous persistez à me tenir tête, j'enverrai mes hommes sur votre fief pour escorter les armées de mon ami et cousin s'il veut se promener en votre fief qui est aussi le mien. J'espère sincèrement que cette affaire sera réglée au plus vite pour le bien de nous deux. Ma décision est prise, et vous n'avez pas trop le choix. Ou vous enlever votre édit, ou mes hommes s'installeront sur votre fief.

Au revoir.

Il demanda à ce qu'on lui amène force encre et force papier, ce qu'on fit avec force silence, et le baron gratta furieusement l'écru maculé d'un feuillet.

"Votre grâce,

Je suis navré que vous songiez, face à l'application de mon bon droit, à en venir à de telles extrémités. Votre empressement à combattre comme onc duc de Serramire n'en a jamais fait preuve me chagrine, et il me chagrinerais plus encore que cela soit autre chose qu'une simple plaisanterie.

Cependant, et malgré cet abattement qui m'afflige face à cette fougue, je ne puis vraiment pas laisser pénétrer l'Armée des Divins en mes terres. Comprenez bien que malgré tout le respect que je puisse vous porter, ces reîtres aux allures de paladins ne m'inspirent aucune confiance, et que ma conscience m'oblige à refuser leur passage en Oësgard.

Ainsi maintiendrai-je mon édit, dussé-je subir votre courroux pour cela.

Puissiez-vous renoncer à des projets si incompatibles avec la bonne tenue du royaume, et plus particulièrement celle des marches du nord. Ces mêmes marches parmi lesquelles vous êtes duc sur vos terres, et moi baron sur les miennes.

Baudoin d'Oësgard,
Baron souverain d'Oësgard

Le sceau baronial bava bientôt sur le vélin délicat. Et à peine la cire commençait-elle à durcir qu'un homme partait à toute allure vers Serramire. Cette fois-ci, il mit plusieurs jours à faire son trajet, car la route était moins bonne.

Une nouvelle lettre parvint au Duc de Serramire, mais l’origine n’était pas celle de son Baron. Elle portait le sceau des SSR. Elle arriva environ 4 jours après les premiers échanges.

Citation :

Cher Duc de Serramire,

Je vous salue tout d'abord, regrettant de ne pouvoir me déplacer dans l'immédiat pour vous porter ces mots de vive-voix, mais d'autres affaires appellent à ma présence.
Je vous prie de croire que ma surprise fut bien grande en recevant les échos de votre correspondance avec Sire Baudoin d'Oësgard, réponse à sa décision d'interdire par une réforme la présence du groupe indépendant mais toutefois toléré qu'est l'Armée des Divins.

Tout d'abord, je vous prie de ne pas vous offenser mais il est de rigueur d'user de diplomatie, votre ami et cousin, Sire Aranel d'Actellys vous a pourtant permit d'apprécier les conséquences d'un affront à la personne du Baron, démontrant qu'un manque de communication, de courtoisie et de respect, pourtant des enseignements rudimentaires n'est pas solution pour obtenir quoique ce soit. Il peut également être bien mal perçu de relever tant de menaces vindicatives à son encontre, il est regrettable qu'un homme de bonne famille et de bonne éducation comme vous l'êtes, Monseigneur, use de tant de violence et se montre incapable de discuter dans pareille situation.

Vient maintenant le principal problème que je vois dans cette affaire, et vous en êtes à l'origine, quoique vous puissiez en penser. Sachez que le Baron d'Oësgard est souverain en ses terres, vous n'avez point votre mot à dire sur ces décisions et l'autorité de votre rang ne vous autorise pas à menacer et tenter d'outrepasser la sienne. Je suis bien conscient que vous êtes gêné par votre position, n'appréciez guère cet edit puisque vous êtes un haut-dignitaire de ce groupe, mais je vous prie de bien vouloir mettre de côté ce sentiment et de demeurer raisonnable. Il serait dommageable qu'une guerre ait lieu entre nobles humains avec comme origine une armée étrangère occupant notre territoire à défaut de partir en campagne... Vous qui en êtes l'un des plus haut-placé, ne devriez vous pas garder à l'esprit que notre ennemi sont les sombres, non nos propres semblables ?

Enfin, il serait également dommage que sa Majesté apprenne que l'un de ses Ducs, celui qui occupe les territoires à la frontière de son royaume, tente de renverser un de ses vassaux les plus fidèles et les plus capables, bien plus que vous ne l'êtes, sans vouloir vous offenser, quant à la gestion de nos défenses, quand vous, vous ne le faites pas, pour satisfaire les allers et venues d'une armée étrangère. Il serait également regrettable qu'il apprenne que les quelques décisions prises dans le sens de réformer les armées de la frontière ont une bien étrange apparence... Que des femmes sans véritable expérience, récupérées le plus souvent dans la rue, passant dans votre couche dirigent les corps armées de Serramire, vous avez une responsabilité lourde au vue de votre position, je serais curieux de savoir comment sa Majesté réagira en apprenant que vous préférez agir pour satisfaire quelques pulsions plutôt que dans le sens de l'efficacité, comme le fait ce Baron que vous envisagez de châtier.

J'en appelle donc à votre raison et à votre intelligence pour prendre la meilleure des décisions.

Avec mes salutations les plus sincères,

Arthur de Melasinir, Representant officiel des Services Secrets Royaux.

Une copie avait également été transmise à Baudoin d’Oësgard avec un petit mot « Pour que vous soyez tenu informé. ».

Quelques jours plus tard, ceci :

Citation :

"Votre grâce,

Je suis navré que vous songiez, face à l'application de mon bon droit, à en venir à de telles extrémités. Votre empressement à combattre comme onc duc de Serramire n'en a jamais fait preuve me chagrine, et il me chagrinerais plus encore que cela soit autre chose qu'une simple plaisanterie.

Cependant, et malgré cet abattement qui m'afflige face à cette fougue, je ne puis vraiment pas laisser pénétrer l'Armée des Divins en mes terres. Comprenez bien que malgré tout le respect que je puisse vous porter, ces reîtres aux allures de paladins ne m'inspirent aucune confiance, et que ma conscience m'oblige à refuser leur passage en Oësgard.

Ainsi maintiendrai-je mon édit, dussé-je subir votre courroux pour cela.

Puissiez-vous renoncer à des projets si incompatibles avec la bonne tenue du royaume, et plus particulièrement celle des marches du nord. Ces mêmes marches parmi lesquelles vous êtes duc sur vos terres, et moi baron sur les miennes.

Baudoin d'Oësgard,
Baron souverain d'Oësgard

De nouveau je pris une plume pour écrire. Baudoin s'en aller contre ma décision, il allait en payer le fruit fort.

Citation :

Mon bon baron,
Vous allez contre ma décision inébranlable. Vous en subirez les conséquences. Toutefois, je vous pris en bon baron que vous êtes d'épargner votre populace qui est aussi la mienne en vous rendant sans faire trop de dommages.

Votre duc et suzerain.

Aussitôt envoyer qu'une deuxième lettre me parvint et cette fois-ci ce fut une du représentant du SSR. Bizarre, mais je la lirais.

Citation :

Cher Duc de Serramire,

Je vous salue tout d'abord, regrettant de ne pouvoir me déplacer dans l'immédiat pour vous porter ces mots de vive-voix, mais d'autres affaires appellent à ma présence.
Je vous prie de croire que ma surprise fut bien grande en recevant les échos de votre correspondance avec Sire Baudoin d'Oësgard, réponse à sa décision d'interdire par une réforme la présence du groupe indépendant mais toutefois toléré qu'est l'Armée des Divins.

Tout d'abord, je vous prie de ne pas vous offenser mais il est de rigueur d'user de diplomatie, votre ami et cousin, Sire Aranel d'Actellys vous a pourtant permit d'apprécier les conséquences d'un affront à la personne du Baron, démontrant qu'un manque de communication, de courtoisie et de respect, pourtant des enseignements rudimentaires n'est pas solution pour obtenir quoique ce soit. Il peut également être bien mal perçu de relever tant de menaces vindicatives à son encontre, il est regrettable qu'un homme de bonne famille et de bonne éducation comme vous l'êtes, Monseigneur, use de tant de violence et se montre incapable de discuter dans pareille situation.

Vient maintenant le principal problème que je vois dans cette affaire, et vous en êtes à l'origine, quoique vous puissiez en penser. Sachez que le Baron d'Oësgard est souverain en ses terres, vous n'avez point votre mot à dire sur ces décisions et l'autorité de votre rang ne vous autorise pas à menacer et tenter d'outrepasser la sienne. Je suis bien conscient que vous êtes gêné par votre position, n'appréciez guère cet edit puisque vous êtes un haut-dignitaire de ce groupe, mais je vous prie de bien vouloir mettre de côté ce sentiment et de demeurer raisonnable. Il serait dommageable qu'une guerre ait lieu entre nobles humains avec comme origine une armée étrangère occupant notre territoire à défaut de partir en campagne... Vous qui en êtes l'un des plus haut-placé, ne devriez vous pas garder à l'esprit que notre ennemi sont les sombres, non nos propres semblables ?

Enfin, il serait également dommage que sa Majesté apprenne que l'un de ses Ducs, celui qui occupe les territoires à la frontière de son royaume, tente de renverser un de ses vassaux les plus fidèles et les plus capables, bien plus que vous ne l'êtes, sans vouloir vous offenser, quant à la gestion de nos défenses, quand vous, vous ne le faites pas, pour satisfaire les allers et venues d'une armée étrangère. Il serait également regrettable qu'il apprenne que les quelques décisions prises dans le sens de réformer les armées de la frontière ont une bien étrange apparence... Que des femmes sans véritable expérience, récupérées le plus souvent dans la rue, passant dans votre couche dirigent les corps armées de Serramire, vous avez une responsabilité lourde au vue de votre position, je serais curieux de savoir comment sa Majesté réagira en apprenant que vous préférez agir pour satisfaire quelques pulsions plutôt que dans le sens de l'efficacité, comme le fait ce Baron que vous envisagez de châtier.

J'en appelle donc à votre raison et à votre intelligence pour prendre la meilleure des décisions.

Avec mes salutations les plus sincères,

Arthur de Melasinir, Representant officiel des Services Secrets Royaux.

Non mais pour qui il se prend celui là ? Me critiquer et m'insulter. Je ne lui répondrais pas, j'ai pas de compte à lui rendre mais j'écrirais une lettre au roi et enverrai mes SSS le surveiller.

La rumeur d'une guerre dans le nord arriva rapidement jusqu'à Ancenis, qui était voisine de la capitale. Intrigué, le baron chercha à en savoir plus, contactant même le baron d'Oësgard qui, dit-on, était au centre de cette polémique conevrtie pour l'occasion en conflit armé. Les nouvelles n'étaient pas bonnes, et les agissements de l'Armée d'Actellys semblait enfin avérer les augures d'Aemon le Borgne. Cette prophétie réalisée, ce dernier n'en tira une moue amère, le sourire de l'homme qui aurait préféré ne pas avoir raison. Les armées se préparaient, et les "hauts dignitaires" de l'armée du semi-elfe se dévoilaient. Des hommes de Sainte-Berthilde avaient même rejoint le duc de Serramire dans sa répression du baron d'Oësgard. Aemon ordonna à ses hommes de prévenir les vassaux, dont les services risquaient d'être précieux au baron et à sa politique. Ceci fait, il fit venir un clerc et lui ordonna d'envoyer la missive qui suit au duc Merwyn.

"J'ai appris les déchirements que crée chez vous l'Armée du baron d'Actellys, seigneur, et ne puis que constater que les édits que vous promulguâtes font de moi et des miens des adversaires de Serramire. Cette nouvelle fort peu agréable ne plaît guère dans l'Ancenois, qui avait depuis longtemps soupçonné la malévolence d'une armée indépendante dirigée par un homme qui se mêle de politique.

Votre réaction face aux édits du baron d'Oësgard confirme sinistrement ma méfiance naturelle à l'égard de cette troupe, qui semble douée d'une véritable influence sur les pays du nord. Je puis vous assurer que je ne laisserai pas un prud'homme tel que le baron d'Oësgard seul face aux errements et aux excès de l'Armée d'Actellys et ses alliés, que je considère comme étrangère à la Péninsule et, plus que jamais, dangereuse pour la stabilité de notre bon royaume.

Aemon d'Ancenis."

Une nouvelle lettre ? Mais de qui cette fois-ci ? Vérifiant le sceau, je constatai que c'était celui du baron d'Ancénis. Non mais ? De quoi se mêlait ce vieux baron borgne ?! Apparemment, il pensait que mes édits s'appliquer aussi dans ses terres, ce qui était faut étant donné qu'il n'était pas mon vassal, prenant une plume, je lui écris.

Citation :

Mon bon baron,
Je ne comprends pas votre mécontentement et votre désire de combattre contre moi. Je ne suis pas votre ennemi et mes édits ne vous concerne pas. Vous n'êtes pas l'un de mes ennemis, et je vous laisse vous et votre baronnie tranquille. J'espère que après cette courte lettre vous expliquant que mes édits ne concerne que le duché de Serramire ne vous touche pas, vous ne nous déclarerez pas la guerre.

Bien le bonsoir baron de l'Ancenois.
Merwyn de Serramire.

Cette fois-ci, le message fut envoyer par rapace voyageur pour aller plus vite.