| | Fjama - Danseuse | |
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Fjama
Ancien
Nombre de messages : 1893 Âge : 40 Date d'inscription : 02/02/2011
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 20 ans d'apparence (65 ans environ) Taille : Niveau Magique : Maître.
| Sujet: Fjama - Danseuse Mer 2 Fév 2011 - 21:55 | |
| Nom/Prénom : Fjama Âge : 60 ans, apparence 20 ans Sexe :Féminin Race :demi-drow Particularité : Sang drow fortement majoritaire. Age mental variant entre son âge drow et humain selon les domaines. Des cicatrices plus ou moins fraîches au creux des mains.
Alignement :neutre Métier : Danseuse Classe d'arme : Corps à corps & Magie Équipement :Dans un sac au fond renforcé, Fjama range ses possessions grâce à un sens aiguisé du bordel. A coté du nécessaire à écriture, il est possible de trouver les petits sachets de sel, d’épices et d’herbes médicinales de base, une pochette de matériel de couture « simple », quelques bijoux-babioles en métal parfois sertis de gemmes non précieuses. Au milieu des vêtements de qualité et d’usure variable soigneusement pliés à la mode « roulés en boule », d’un amas de foulards de coloris et tailles différentes, une poupée en chiffon usée par le temps, fards, poudres et teinture pour cheveux reposent, seuls objets auxquels elle a véritablement accordé une place fixe et cachée. A l’aide de quelques lanières de cuir, près d’une corde, tambourin, grelots et clochettes tintent gaiement suspendus dans le vent. A une ceinture longue de cuir, une dague courbe dans son fourreau de cuir sombre au motif complexe semble être son unique arme. Elle n’est jamais affichée de manière ostentatoire, juste ici pour la défense de la danseuse. Bien évidemment, elle dispose également d’une bourse mais en lieu et place des quelques écus bienvenus pour un malandrin, dés et cartes de tarots cornées, ridulées par les intempéries attendent les petits malins désirant se saisir de ses biens. Ses maigres, très maigres, économies dorment au chaud dans une seconde bourse cachée dans une petite poche dissimulée du sac. Lorsqu’elle est en déplacement, Fjama s’habille simplement et confortablement. Du moins pour une jeune femme coquette, n’importe quel autre voyageur verrait d’un mauvais œil, les teintes bariolées de la jupe ample, le foulard couvrant le fessier rebondi et même le plastron de cuir sombre au motif de flamme. Les bottes pourraient éventuellement s’attirer les grâces des plus compréhensifs si elles ne montaient pas si haut sur les cuisses. Même si le temps est doux, le soleil au rendez-vous, une cape épaisse et sombre retenue par une broche de métal forgé recouvre les épaules de notre sémillante artiste, à croire qu’elle est frileuse.
Description physique :Courbe, c’est un mot permettant parfaitement de définir la demoiselle. D’une bonne stature (180cm), elle marche d’un pas léger, presque sautillant. Les vêtements couvrent un maximum de peau tout en dévoilant quelques parcelles savamment choisies pour accrocher le regard sans vulgarité. Un plastron de cuir ou un foulard coloré vient souligner la taille fine, mettant en valeur par contraste l’opulente poitrine et les hanches dessinées. Un habile coquin pourra apercevoir sous les jupons les longues jambes fuselées, entrainées par les voyages, gainées dans le cuir des jambières. Les mains aux longs doigts agiles parfois se tordent en quelques gestes gracieux, théâtraux. Pudiquement, elles viennent voiler les sourires ou les rires qui étirent les lèvres pleines. Dans le tableau volontaire et énergique du visage, le nez fin, légèrement retroussé passe inaperçu, complètement occulté par les yeux de biche, scintillant d’ambre et de malice. Autour de la gorge, des poignets, de nombreux bijoux sont accordés avec soin à la couleur dominante de la parure, au foulard autour des cheveux que l’on devine longs et crinière dans leur prison de tissu.
Dès que la demoiselle est seule, avec des gens de confiance ou en proie aux émotions fortes, les manières théâtrales se font gestes rapides et incisifs, à la limite du brutal. La peau de caramel s’étire souple sur les muscles déliés. Les rires se font tempêtes, à gorge déployé comme une enfant. Les yeux d’ambre flamboient rapidement virant au rouge. Pour ceux qui n’avaient pas été totalement berné par les artifices, il ne faisait plus de doute quant au métissage de la jeune femme. Les cheveux délivrés de leur prison textile finiront de convaincre les plus sceptiques, d’un rouge sang et profond, ils scintillent sous le soleil, dernière note d’étrangetés au tableau vivant qu’est Fjama.
Description mentale : Faux-semblant et réalité. Toute la personnalité de Fjama s’articule autour de ces axes. Il y a ce qu’elle et ce qu’elle montre. Parfois les deux se mêlent et se confondent, mais souvent il y a deux sons de cloches aux tonalités opposées. Son histoire, son mental et même son apparence sont étroitement liés de ce fait.
Le faux-semblant : Fjama est une danseuse, elle vit de son art, suivant parfois des troupes de saltimbanques, traçant d’autres fois son propre chemin. Elle sait se défendre au corps à corps contre des agresseurs « usuels » et pas trop insistants. Elle sait se montrer enjouée et intéressante lorsqu’il le faut, mais garde généralement une distance observatrice avec ce qui l’entoure, d’un calme presque placide, légèrement nonchalant.
Réalité : Impulsive et colérique, n’importe quelle émotion un peu trop forte peut mettre le feu (littéralement) aux poudres. Pour maintenir l’illusion, son calme et la barrière qui la sépare du monde, il n’est pas rare qu’elle mutile elle-même, enfonçant ses ongles dans la chaire plus tendre du creux de ses mains. Maline, débrouillarde et manipulatrice, elle est prête à de nombreuses choses pour arriver à ses fins, même aux pires excès. D’une curiosité presque maladive, elle désire tout connaître, tout savoir, tout tester. Bien souvent, cela l’entraine dans un enchainement de catastrophe qu’elle fait soigneusement passer pour de la naïveté. Volontiers frivole, elle trompe sa solitude dans les bras d’hommes de passage sans jamais s’attacher plus que nécessaire, profitant simplement de ce qui lui est offert. Une fois apprivoisée, elle se laisse volontiers aller à la gaieté brutale et gauche, très enfantine, des gens peu habitués à recevoir amour, amitié ou tendresse. Elle s’accapare tout, devenant jalouse et possessive, exclusive. Elle sait vivre chichement, d’un rien, mais le luxe l’attire. L’or lui brûle les doigts et il est vite dépensé pour une étoffe soyeuse, un bijou rutilant. Cynique et faussement désabusée, elle observe attentive et cherche à trouver sa place.
Histoire :
Selhen se destinait à servir Néera au sein du Grand Temple de Pharembourg. Son père, un petit bourgeois marchand, désirait lui asseoir son commerce à Thaar grâce à un partenaire local. Or quoi de mieux pour sceller un accord que des grandes épousailles ? Ainsi, la jeune Selhen fut offerte à son futur associé. Les noces, dans la demeure un peu en dehors de la cité, furent fêtées en grandes pompes. Alors que la cérémonie battait son plein, après l’échange des consentements et la signature de l’accord commercial – le temps, c’est de l’argent – une petite escouade de sombres fit son apparition. On tua, viola et assassina la plupart des convives, emmena les autres pour servir d’esclaves. La jeune épousée fut dûment troussée sur l’autel dressé pour le mariage par le drow qui semblait mener l’attaque. A celle-ci, on laissa la vie sauve. Les explications quant à sa survie lui échappèrent complètement alors qu’elle sombrait dans l’inconscience salvatrice.
Pour éviter que le commerce lui échappe, le frère du marié, absent lors du massacre, décida de faire jouer une ancienne loi permettant de prendre en secondes noces la veuve de son frère afin de ne pas disperser les biens familiaux. Peu lui importait alors qu’elle fut violé et déflorée par un sombre tant que l’or du commerce dont elle héritait par contrat se retrouvait dans ses poches. Quand la grossesse de Selhen fut constatée, il était certain que la progéniture était le fruit du viol. Malgré les invectives de son époux, elle refusa catégoriquement de mettre fin à ce qu’elle considérait comme un don de Néera. Quand l’enfant poussa son premier cri, il y a de cela une soixante d’année, sa mère s’en éprit follement et prit la décision de la protéger de la folie des hommes. Pour ne pas jeter l’opprobre sur la maison et mettre à mal la relation avec le bourgeois scylléen, le mari consentit à respecter la volonté de Selhen à la condition que l’enfant demeure à jamais cacher.
Pendant les vingt et une premières années de sa vie, Fjama n’eut comme soleil et brise que celui offert par une lucarne située en haut de sa chambrette. Les années passèrent, s’étirèrent et la petite ne grandit pas, ou peu. Sa mère ne dérogea pas à son serment et prit un soin maniaque à protéger la petite de l’extérieur. Elle lui apprit à lire, à chanter, la gâta d’innombrables présents, mais jamais la petite ne goûta à la joie de sentir la terre sous ses pieds. Tout était caché, ne devait pas se savoir. Le monde de l’enfant se résumait à ses entrevues avec sa génitrice, une poupée de chiffon et les bruits assourdis de la demeure toujours en fête. Jamais, Fjama n’imagina qu’il y avait peut-être un dehors. De fait, elle n’était pas malheureuse. Il n’y avait pas de raison de l’être puisque tout ceci était l’univers.
Puis, sa mère décéda : La fatigue, l’usure, la maladie, les héritiers forcés. La famille « du bas » n’avait alors plus aucune raison de garder ce rejeton issu d’une union contre-nature et le jeta, purement et simplement, à la rue.
(21-30)Du haut de ses un mètre, la petite écarquilla les yeux sur ce « dehors » neuf. Tout était grand, terriblement dangereux et attirant. Sa poupée de chiffon à la main, elle découvrit chaque chose avec ravissement, y compris les plus cruelles : La faim, le froid, la mort, la méchanceté, sa différence. Elle ne connaissait rien des tabous régissant la vie en société. Tout l’intéressait, l’intriguait. Alors elle fouilla les cadavres, hanta les cimetières et fut admis dans une petite bande d’orphelins. Sans chef et sans règles, seul leur importait alors la survie du groupe. Pour ce semblant de famille, ils mendièrent, volèrent, griffèrent et mordirent pour défendre leur vie.
Alors que la faim tiraillait son pauvre estomac, elle guettait une ruelle adjacente à l’échoppe d’un boulanger pour grappiller un quignon rassis. Se faufilant entre les ordures, ombre crasseuse et féline, elle s’empara de son trésor. Alerté par le bruit, le commerçant, armé de son balai, sortit afin de la chasser. Habituellement, sa présence suffisait à écarter les pouilleux, mais cette fois-ci… Fjama se redressa, ses petits poings sur ses hanches, en colère. Elle ne méritait pas d’être traitée ainsi, elle ne voulait plus qu’on la batte, elle voulait triompher et vaincre le terrible gardien de son garde-manger. Sa colère aiguillonna un don latent qui ne demandait qu’à sortir de sa boite et teinta l’atmosphère d’énergie. Alors, elle se saisit de l’arme qu’on lui offrait pour en badigeonner rageusement son assaillant. Bien vite naquirent des flammes dans les cheveux déjà épars du vieux boulanger. Hurlant, se tordant de douleur et de panique, il fit fuir la gamine.
Après plusieurs jours de forte fièvre, recroquevillée dans sa cache favorite – le toit plat d’une maison en ruine- elle décida d’apprendre à se servir de son don pour se tirer hors de sa condition. Hélas, il s’avéra rapidement que cela fonctionnait très mal lorsqu’elle ne ressentait rien et qu’elle ne réussissait qu’à produire de la fumée, des flammes. Pas mécontente pour autant, elle se servit pendant un temps de ses petits stratagèmes pour écumer les bourses des badauds observant les saltimbanques. Si on l’attrapait elle ou un des siens, elle mordait des dents ou du feu leurs assaillants, les perdaient dans la fumée pour sauver leur carcasse malingre.
Alors que les gamins s’adonnaient à fêter le fruit de leurs rapines quotidiennes, leur fief, la fameuse maison en ruine, fut pris d’assaut par une bande d’adultes. Cependant, malgré les apparences, les vieux ne cherchaient pas à les punir d’avoir voler quoique ce soit. Au contraire, ils leur proposaient de se joindre à eux, pour s’échapper de cette ville où dominaient les drows, pour apprendre à vivre plutôt qu’à survivre. En échange de la protection des grands, ils devaient simplement continuer à voler des bourses et offrir l’or au groupe. Cette coterie se nommait l’Ephémère, une bande de saltimbanques sévissant et ravissant les campagnes d’Ithri’Vaan et du Royaume Humain. Certains gamins acceptèrent, d’autres refusèrent. Fjama, appâtée par une danseuse en jupon bariolé, décida de les rejoindre. Nada lui avait promis de lui apprendre à danser, acte qui l’avait toujours fascinée et qu’elle qualifiait de magique. (30-40)Ainsi à l’aube de ses trente ans, la gamine qui en paraissait toujours dix, devient artiste. Apprendre à danser n’était pas si facile. L’enchainement des pas complexes, soumettre son corps à un contrôle constant lui prit des mois, des années pour arriver à reproduire et à créer ses propres mouvements. Nada, l’Hirondelle – une elfe muette – se chargèrent de sa formation pendant près de 10 ans. Si l’Oiselle fut comme sa grande sœur, Nada prit le rôle de sa mère. Il n’y eut que les deux femmes qui purent aider l’adolescente à chasser ses vieux démons – la colère et la rage – et à se comporter plus en humain qu’en animal. D’autres, elle apprit l’art de la comédie, à porter un masque pour se protéger. Ainsi qu’à sourire et rire.
(40-58)Mais celui qui la forgea véritablement, ce fut ce Zurthan cracheur de feu qui rejoint la troupe un soir d’hiver. Ma’rik qu’il s’appelait. Un solide gaillard recouvert de tatouages et d’amulettes soi-disant protectrices. Curieuse comme elle l’était, Fjama se rapprocha rapidement de lui, émerveiller par sa capacité à cracher le feu et à le faire danser au bout de ses chaînes. Au départ, l’échange se borna à des pupilles écarquillées et des vagues sourires. Puis, chacun apprivoisa l’autre. Elle apprit petit à petit qu’il avait été quitté son clan pour apprendre à connaître le monde, qu’il en était jusqu’à lors le sorcier. Ce fut lui qui lui enseigna à maitriser ses talents, à les utiliser lorsqu’elle le souhaitait et pas uniquement lorsque la colère l’étreignait. Plus que cela, il fit d’elle une femme, aussi dangereuse que suave.
Avant de lui inculquer les bases de la magie, il s’entêta à renforcer le corps qu’il jugeait trop malingre. Selon lui, tous sorciers devaient garder son potentiel magique secret et ne l’utiliser qu’en dernier recours. Ainsi, elle devait savoir manier une arme avant toute chose, à être endurante, à être aussi rapide et meurtrière qu’une panthère. Sous sa houlette, Fjama passa de grande perche à la voluptueuse jeune femme d’aujourd’hui, aussi courbe que la dague qu’il lui a appris à manier. Sur les bases de la magie zurthan, Ma’rik lui inculqua la rigueur nécessaire à la concentration de son énergie, la canaliser via son propre corps, à s’offrir toute entière à l’Art. Peu à peu, elle passa de la simple capacité de faire naitre ou mourir le feu, à le manipuler, lui et sa fumée, ses cendres, en complexes circonvolutions. Cependant, contrairement au Zurthan qui se servait de ses aptitudes martiales pour plier les éléments à sa volonté, la méthode de Fjama passait par la danse, la séduction du feu et ses enfants uniquement, incapable de faire appel à d’autres puissances. En sus de sa magie de feu, elle apprit à se servir de rituels zurthans. Longs, complexes et nécessitant des composants souvent rares ou hors de prix, ce type de magie n’est d’aucune utilité en combat direct et est nécessaire à la conception de talismans ou tatouages tribaux protecteurs, ayant souvent plus de valeurs symboliques et méditatives que de réelles implications. Entre les spectacles, la vie au grand air de la coterie, le temps de Fjama et Ma’rik était partagé entre apprivoiser le potentiel magique de la métisse, comprendre la magie, son fonctionnement et explorer divers lieux.
(58-60)Après la disparition de Ma’rik lors d’une rafle drow, la vie de Nada s’étiola à son tour rapidement. Abandonnant un temps sa vie de bohème, Fjama prit soin de sa seconde mère pendant les derniers instants de sa vie, dans une cabane près de Naelis. Une fois son deuil fait, à près de la soixante, n’ayant plus grand-chose à perdre, la pyromancienne se mit à la recherche de ses origines.
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Comment trouves-tu le forum ? :Graphiquement, rien à redire, c’est beau. Pratiquement, un peu trop fouillis pour être efficace pour un débutant. (Documents utiles trop éparpillés principalement). Comment as-tu connu le forum ? :Par un vil tentateur sévissant déjà ici (Viens, viens tu y trouveras du rp de qualité, des belles histoires qu’il m’a dit : j’ai cédé, terriblement impatiente d’y participer)
Dernière édition par Fjama le Ven 29 Juil 2011 - 3:25, édité 3 fois |
| | | Drystan
Ancien
Nombre de messages : 1737 Âge : 35 Date d'inscription : 30/05/2009
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 49 ans (42ème Jour de Barkios, An 967:X) Taille : 1,88m Niveau Magique : Apprenti.
| Sujet: Re: Fjama - Danseuse Dim 6 Fév 2011 - 9:22 | |
| Coucou, désolé pour l'attente =)
Classe d'arme : Tu peux simplement mettre Corps à corps & Magie. Équipement : Il faudrait remettre tout ça sous forme de paragraphe, non d'une liste.
Dès que ça sera fait, je validerais. |
| | | Fjama
Ancien
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Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 20 ans d'apparence (65 ans environ) Taille : Niveau Magique : Maître.
| Sujet: Re: Fjama - Danseuse Dim 6 Fév 2011 - 16:10 | |
| Mis à jour comme demandé! |
| | | Drystan
Ancien
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| Sujet: Re: Fjama - Danseuse Dim 6 Fév 2011 - 16:42 | |
| Je valide =) Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet. - Code:
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[Métier & Classe] : Danseuse
[Âge & Sexe] : 60 ans & Féminin
[Classe d'arme] : Corps à corps & Magie
[Alignement] : Neutre |
| | | Fjama
Ancien
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| Sujet: Re: Fjama - Danseuse Dim 6 Fév 2011 - 17:03 | |
| Youhou ! Merci ! J'ai généré la fiche et tout comme Chadden il m'a dit de faire ! Au plaisir de rp avec vous ! |
| | | Fjama
Ancien
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| Sujet: Re: Fjama - Danseuse Jeu 28 Juil 2011 - 23:45 | |
| Ancienne fiche : - Spoiler:
Nom/Prénom : Fjama Âge : 60 ans, apparence 20 ans Sexe :Féminin Race :demi-drow Particularité : A plus pris du drow que de l’humaine. Des traces de griffures toujours fraîches aux creux des paumes. Alignement :neutre Métier : Danseuse Classe d'arme : Corps à corps & Magie Équipement :Dans un sac au fond renforcé, Fjama range ses possessions grâce à un sens aiguisé du bordel. A coté du nécessaire à écriture, il est possible de trouver les petits sachets de sel, d’épices et d’herbes médicinales de base, une pochette de matériel de couture « simple », quelques bijoux-babioles en métal parfois sertis de gemmes non précieuses. Au milieu des vêtements de qualité et d’usure variable soigneusement pliés à la mode « roulés en boule », d’un amas de foulards de coloris et tailles différentes, une poupée en chiffon usée par le temps, fards, poudres et teinture pour cheveux reposent, seuls objets auxquels elle a véritablement accordé une place fixe et cachée. A l’aide de quelques lanières de cuir, près d’une corde, tambourin, grelots et clochettes tintent gaiement suspendus dans le vent. A une ceinture longue de cuir, une dague courbe dans son fourreau de cuir sombre au motif complexe semble être son unique arme. Elle n’est jamais affichée de manière ostentatoire, juste ici pour la défense de la danseuse. Bien évidemment, elle dispose également d’une bourse mais en lieu et place des quelques écus bienvenus pour un malandrin, dés et cartes de tarots cornées, ridulées par les intempéries attendent les petits malins désirant se saisir de ses biens. Ses maigres, très maigres, économies dorment au chaud dans une seconde bourse cachée dans une petite poche dissimulée du sac. Lorsqu’elle est en déplacement, Fjama s’habille simplement et confortablement. Du moins pour une jeune femme coquette, n’importe quel autre voyageur verrait d’un mauvais œil, les teintes bariolées de la jupe ample, le foulard couvrant le fessier rebondi et même le plastron de cuir sombre au motif de flamme. Les bottes pourraient éventuellement s’attirer les grâces des plus compréhensifs si elles ne montaient pas si haut sur les cuisses. Même si le temps est doux, le soleil au rendez-vous, une cape épaisse et sombre retenue par une broche de métal forgé recouvre les épaules de notre sémillante artiste, à croire qu’elle est frileuse. Description physique :Courbe, c’est un mot permettant parfaitement de définir la demoiselle. D’une bonne stature (180cm), elle marche d’un pas léger, presque sautillant. Les vêtements couvrent un maximum de peau tout en dévoilant quelques parcelles savamment choisies pour accrocher le regard sans vulgarité. Un plastron de cuir ou un foulard coloré vient souligner la taille fine, mettant en valeur par contraste l’opulente poitrine et les hanches dessinées. Un habile coquin pourra apercevoir sous les jupons les longues jambes fuselées, entrainées par les voyages, gainées dans le cuir des jambières. Les mains aux longs doigts agiles parfois se tordent en quelques gestes gracieux, théâtraux. Pudiquement, elles viennent voiler les sourires ou les rires qui étirent les lèvres pleines. Dans le tableau volontaire et énergique du visage, le nez fin, légèrement retroussé passe inaperçu, complètement occulté par les yeux de biche, scintillant d’ambre et de malice. Autour de la gorge, des poignets, de nombreux bijoux sont accordés avec soin à la couleur dominante de la parure, au foulard autour des cheveux que l’on devine longs et crinière dans leur prison de tissu. Fardée et apprêtée : Lorsque la demoiselle se pare pour donner spectacle ou pour son propre plaisir, les tenues s’allègent pour dévoiler une peau bronzée rendu velouté par les poudres. Les boucles sombres cascadent librement sur les épaules. Les regards les plus avisés capteront rapidement un détail déroutant : le terne, la teinte artificielle de la toison. Bien vite cependant, le regard sera à nouveau happé par l’éclat métallique d’un bracelet ou le tintement d’une clochette sur les hanches charmeuses. Au naturel : Dès que la demoiselle est seule, avec des gens de confiance ou en proie aux émotions fortes, les manières théâtrales se font gestes rapides et incisifs, à la limite du brutal. La peau de caramel s’étire souple sur les muscles déliés. Les rires se font tempêtes, à gorge déployé comme une enfant. Les yeux d’ambre flamboient rapidement virant au rouge. Pour ceux qui n’avaient pas été totalement berné par les artifices, il ne faisait plus de doute quant au métissage de la jeune femme. Les cheveux au naturel finiront de convaincre les plus sceptiques, d’un rouge sang et profond, ils scintillent sous le soleil, dernière note d’étrangetés au tableau vivant qu’est Fjama. Description mentale : Faux-semblant et réalité. Tout le personnage s’articule autour de ces axes. Il y a ce qu’elle et ce qu’elle montre. Parfois les deux se mêlent et se confondent, mais souvent il y a deux sons de cloches aux tonalités opposées. Son histoire, son mental et même son apparence sont étroitement liés de ce fait. Le faux-semblant : Fjama est une danseuse, elle vit de son art, suivant parfois des troupes de saltimbanques, traçant d’autres fois son propre chemin. Elle sait se défendre au corps à corps contre des agresseurs « usuels » et pas trop insistants. En dehors de son charme exotique, elle ne brille pas par son intelligence, son esprit fin ou ses connaissances. Elle sait se montrer enjouée et intéressante lorsqu’il le faut, mais garde généralement une distance observatrice avec ce qui l’entoure, d’un calme presque placide, légèrement nonchalant. Réalité : Impulsive et colérique, n’importe quelle émotion un peu trop forte peut mettre le feu (littéralement) aux poudres. Pour maintenir l’illusion, son calme et la barrière qui la sépare du monde, il n’est pas rare qu’elle mutile elle-même, enfonçant ses ongles dans la chaire plus tendre du creux de ses mains. Maline, débrouillarde et manipulatrice, elle est prête à de nombreuses choses pour arriver à ses fins, même aux pires excès. D’une curiosité presque maladive, elle désire tout connaître, tout savoir, tout tester. Bien souvent, cela l’entraine dans un enchainement de catastrophe qu’elle fait soigneusement passer pour de la naïveté. Volontiers frivole, elle trompe sa solitude dans les bras d’hommes de passage sans jamais s’attacher plus que nécessaire, profitant simplement de ce qui lui est offert. Une fois apprivoisée, elle se laisse volontiers aller à la gaieté brutale et gauche, très enfantine, des gens peu habitués à recevoir amour, amitié ou tendresse. Elle s’accapare tout, devenant jalouse et possessive, exclusive. Elle sait vivre chichement, d’un rien, mais le luxe l’attire. L’or lui brûle les doigts et il est vite dépensé pour une étoffe soyeuse, un bijou rutilant. Cynique et faussement désabusée, elle observe attentive et cherche à trouver sa place. Histoire : Thaar, il y a une soixantaine d’année, elle pousse son premier cri. Enfant d’une mère humaine, jeune et exilée loin de chez elle, probablement vendue suite à un rapt quelconque et d’un drow, elle doit sa survie à une bonne étoile. Sa mère, femme douce et pieuse, ne peut se résoudre à lui donner la mort et décide de la cacher aux yeux du monde. C’est sur cette décision dictée par l’amour ou peut-être la culpabilité, qu’elle garde la vie sauve. Pendant les 21 premières années de sa vie, elle n’aura le droit qu’à contempler une seule fois le ciel et le monde extérieur. Du taudis où vivait sa mère, elle est déplacée dans une grande chambre, cage dorée au-dessus d’une taverne. La pauvre femme a trouvé époux en la personne de l’aubergiste. Probablement en échange d’or, elle put aménager cette pièce spéciale pour sa petite batarde. Les années passent, s’étirent. La petite ne grandit pas, ou peu. La mère la cajole, prend soin d’elle, lui apprend même à lire. Tout est caché, ne doit pas se savoir. Le monde de l’enfant se résume à ses entrevues avec sa génitrice, une poupée de chiffon et les bruits assourdis de la taverne. Jamais elle n’a imaginé qu’il y avait peut-être un dehors, de fait, elle n’est pas malheureuse. Il n’y a pas de raison de l’être puisque tout ceci est l’univers. Puis la mère meure, la fatigue, l’usure, les enfants forcés. La famille « du bas » n’a plus aucune raison de garder ce rejeton issu d’une union contre nature et le jette purement et simplement à la rue. Du haut de ses un mètre, la petite écarquille les yeux sur le monde. Tout est grand, terriblement dangereux, attirant. Sa poupée de chiffon à la main, elle découvre avec ravissement chaque chose, y compris les plus cruelles : la faim, le froid, la mort, la méchanceté, sa différence. Sa bonne étoile luira deux nouvelles fois. Au hasard d’un vol à l’étalage, elle tombe dans un tas de charbon, décide de s’y cacher. Lorsqu’elle en ressort, couverte de suie, elle mendie à nouveau. La réaction de rejet, dégoût des gens à son contact s’envole, à nouveau on lui offre parfois un sourire, un quignon de pain. Quelques jours plus tard, c’est sur une troupe de saltimbanques qu’elle tombe. Une danseuse particulièrement. Les jupes colorées, virevoltantes, retiennent le regard de l’enfant crasseuse. La danseuse lui tend la main « Je vais t’apprendre à danser ». Un nouveau départ. Une vie de saltimbanques, l’apprentissage de tellement de choses qu’il serait difficile de résumer. Retenons-en que la danseuse lui a offert un des plus merveilleux des cadeaux : un nom, Fjama. Avec celui-ci, un masque à porter pour se protéger, un rôle à jouer, une vie plutôt qu’une survie. Bien des années et péripéties plus tard, à la mort de celle qui fut son soleil, Fjama retourne à ses origines, découvrant dans les carnets de celle qui l’a mise au monde, les pistes nécessaires pour forger sa famille et sa propre identité. ~~~~~ Comment trouves-tu le forum ? :Graphiquement, rien à redire, c’est beau. Pratiquement, un peu trop fouillis pour être efficace pour un débutant. (documents utiles trop éparpillés principalement). Comment as-tu connu le forum ? :Par un vil tentateur sévissant déjà ici (Viens, viens tu y trouveras du rp de qualité, des belles histoires qu’il m’a dit : j’ai cédé, terriblement impatiente d’y participer) Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : All Sand de Andrey Eroshkin - http://andreyeroshkin.deviantart.com/art/All-sand-95331214
- Spoiler:
Voici donc en complément, quelques détails sur l'histoire de Fjama et la magie, vu par elle-même !
La Magie ! C’est un grand mot qui fait peur, inquiète ou ravi selon les interrogés. Pour moi, elle a toujours été sujette à une sorte de fascination révérencieuse. Lorsque mon univers se résumait à ma chambre d’enfant, aux livres de contes de Mère, je m’imaginais souvent magicienne pour créer ce que je pensais être les inventions d’un esprit tortueux. Je me concentrais, concentrais, en plissant mes petits yeux dans le vain espoir de faire naitre une brise enchantée, vivre ma poupée de chiffon pour avec elle converser, ou simplement un énorme brasier pour me consumer. Évidemment, rien de cela n’a jamais marché ou alors les chandelles, unique source de ma lumière, ont à peine vacillé, j’avoue ne pas parfaitement m’en rappeler.
Lorsque je découvris le monde « d’en-bas », chaque chose comportait en elle-même une source d’émerveillement. Je me souviens clairement avoir pensé que la magie était partout, en chaque créature, en chaque objet et même dans les émotions que je pouvais apercevoir sur les visages des gens. Inutile de dire qu’une « demi » ne décelait généralement que colère, mépris, hargne, vengeance, désir ou au mieux l’indifférence. J’ai d’ailleurs longtemps pris l’indifférence pour de l’affection, mais là n’est pas vraiment le sujet. Du haut de ma toute jeune vie, mon innocence enfantine, j’ai commencé à imaginer que la vie que je voyais était comme les images de mes livres, un fourmillement de traits de couleurs chatoyantes. Aussi, je me suis placé en retrait, en observatrice, en lectrice de cet univers où se déroulait les contes les plus merveilleux et horribles qu’un auteur puisse décrire.
Au départ, je subissais uniquement, me laissais porter par les histoires arrivées à une héroïne qui n’était pas moi. Avec le temps, j’ai commencé à vouloir influencer la trame. Avec les rêves d’un enfant ou d’un être à qui on n’a jamais appris la « bienséance » d’esprit, mes yeux ont vu des pinceaux de teintes différentes peindre les événements. C’était amusant. Terriblement amusant, toute cette débauche d’éclats de peinture qui parfois m’éclaboussait.
Survint, un jour, un événement qui aurait dû anodin, qui l’était en vérité, mais qui a eu sur moi plus d’effet que le bête réflexe de survie habituelle. Je me faisais chasser pour la millième fois d’une ruelle où un boulanger jetait son pain rassie. La faim me tiraillait véritablement l’estomac et au lieu de courber l’échine et de prendre mes jambes à mon cou, j’en ai conçu de la colère, de la haine. Qui était-il donc pour m’interdire de me servir dans ce qu’il jetait ? Même les rats avaient le droit de faire bombance ! J’étais, je suis, tout de même bien plus qu’un rat ! Le paisible passage des couleurs s’est soudain arrêté et j’ai pris un pinceau pour la première fois, un rouge vermeille, dont j’ai barbouillé le boulanger des pieds à la tête rageusement. Il a commencé à crier. J’ai lâché mon pinceau en écarquillant les yeux et je me suis enfui.
Entendons-nous bien, je ne l’ai pas « enflammé » littéralement. Tout au plus, j’ai du faire naitre quelques flammèches dans ce qui lui restait de cheveux. Cela a, cependant, suffit à me coller une forte fièvre et une intense fatigue pendant une bonne grosse semaine. Après avoir récupéré, j’ai retenté de peindre. Hélas, il s’avérait que cela fonctionnait très mal lorsque je ne ressentais rien et qu’une seule couleur voulait bien répondre à mes ordres : le rouge évidemment. Le feu comme je m’en aperçus plus tard.
Lorsque que j’ai rejoint la troupe, il y a eu régulièrement des mages, ou du moins des mmh… disons personnes s’y connaissant en magie. Bien évidemment, j’ai posé des questions par centaines, mais aucun n’a jamais réussi à fournir réponse qui me satisfasse. Peut-être suis-je simplement une éternelle insatisfaite ceci dit. Enfin… Finalement, j’ai obtenu un peu d’aide auprès d’un vieux voyageur. Etrangement, il faut toujours que les bons manipulateurs de magie soientt vieux. Bref, trêve de tergiversation et inutile de détailler plus que cela la personnalité complexe de ce nouveau personnage dans le roman de ma vie.
Toujours est-il, que je n’avais pas si faux avec mes pinceaux. Ses théories trop abstraites pour ma tête de linotte, peinaient à trouver un écho en moi. Je lui ai rapidement expliqué ma manière de faire. Au vu de son hochement grave de tête, il a dû la trouver correcte. Avec un peu d’apprentissage à ses cotés, j’ai finalement réussi à me saisir de ma couleur fétiche sans être dans un état émotif violent. Cela requiert de moi beaucoup plus de concentration, mais j’arrivais à dompter peu à peu « mon don ». Il m’a expliqué qu’avec beaucoup d’entrainement et de pratique, il était également possible d’influencer les autres éléments pour changer les effets de mes sorts. Cela serait merveilleux de pouvoir peindre une toile avec toutes les couleurs, non ? Cette idée a germé en mon sein et depuis c’est quelque chose que je souhaite ardemment. Si je n’arrive pas à trouver ma place « en-bas », je pourrais me créer un nouveau monde, une famille rien qu’à moi. Cela serait le monde « d’en-haut » et j’en serais la Reine.
Mais une danseuse anonyme ne peut pas être une grande magicienne non ? Très vite, cela ferait fuir les clients et avec eux la source de mes revenus. Aussi, j’ai décidé de ne pas peindre à la légère, réservant mes œuvres à ce qui vaut vraiment la peine : Ma survie et l’acquisition des connaissances nécessaires à mon rêve.
Menus changements dans le physique et caractère, gros apports de précisions quand à l'histoire et sa formation magique. Modification terminée en attente de re-validation.
Dernière édition par Fjama le Dim 13 Nov 2011 - 1:09, édité 1 fois |
| | | Callista
Ancien
Nombre de messages : 1675 Âge : 31 Date d'inscription : 26/08/2008
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Spécial
| Sujet: Re: Fjama - Danseuse Ven 29 Juil 2011 - 0:14 | |
| Les modifications sont celles exposées par MP ? |
| | | Fjama
Ancien
Nombre de messages : 1893 Âge : 40 Date d'inscription : 02/02/2011
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 20 ans d'apparence (65 ans environ) Taille : Niveau Magique : Maître.
| Sujet: Re: Fjama - Danseuse Ven 29 Juil 2011 - 0:41 | |
| Pour la magie, naturellement avec la modification demandée. Pour le reste, c'est de l'ajout de substance dans son histoire, cela n'a pas de réelle influence que coller mieux à ce que j'ai pu déjà détailler/exposer dans des rp et ouvrir des parties de bg à éventuellement d'autres joueurs pour lier nos personnages. (et également supprimer certains détails qu'il s'avère très difficile à jouer sur un forum^^)
(Edit du premier post pour cause de vilaines fautes d'ortho) |
| | | Callista
Ancien
Nombre de messages : 1675 Âge : 31 Date d'inscription : 26/08/2008
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