Marcus Tretiakov [Terminé]

Nom/Prénom : Trétiakov Marcus
Âge/Date de naissance : 25 ans
Sexe : Masculin
Race : Sang mêlé Elfe/Humain à plus grande tendance elfique
Faction : Puy d'Elda
Particularité : Un immense tatouage lui recouvre le haut du dos et les épaules.

Alignement : Chaotique mauvais
Métier : Esclave
Classe d'arme :  Distance

Équipement :

A son début Marcus possédait tout ce qu'un enfant avait besoin des vêtements, de la nourriture, un toit, une famille. Il ne manquait de rien de vital. Il n'avait pas énormément de choses mais, le minimum pour vivre libre et paisiblement.  Mais cela s'était avant que sa vie  prenne une nouvelle tournure. Maintenant, ce qui lui reste, de simples vêtements relativement propre mais, délavé. Il n'avait pas à se plaindre, ses vêtements étaient changés tous les jours, il avait un toit et de la nourriture. Mais ce n'était plus comme avant, avant ça lui appartenait maintenant, ce n'était plus le cas. Il ne possédait plus rien, tout appartenait à son maître et il devait lui être redevable de ce confort rudimentaire. Tout appartenait au maître à l'exception d’un petit objet que son père lui avait donné peut avant que Marcus soit vendu comme esclave. Cet objet était une chevalière transmis tout au long de la ligné de sa famille paternel.  .

Description physique :

Marcus était à dominante elfique, mais paradoxalement il ressemblait plus à un humain. Cependant, il retrouvait la grande taille de son père elfe ainsi que son agilité. Marcus est de grande taille, du moins il est destiné à l'être. Il vient tout juste de rentrée dans l'adolescence et sa croissance n'est pas finie. Il possède des cheveux d'un noir intense qui rappelle le chaos et les abymes de l'enfer. Ses yeux sont d'une étrange couleur violette. Non ce n'est pas réellement une couleur, c'est plus un dégradé de couleur, avec un violet si intense qu'il y est facile de s'y perdre.  Son visage est très charmeur et il est difficile d'oublier son regard, son visage, ses traits. Il a ce que l'on pourrait dire une gueule d'ange. Mais ce visage avait tendance à agacé son maître. Pour ce qui est de sa corpulence, Marcus est relativement musclé, ce n'est pas une armoire à glace, mais ce n'est pas non plus un gringalet. Sa corpulence ce rapprochait énormément à celui de l’elfe, ainsi que ses yeux. Mais les traits de son visage sont ceux d’un humain. La confusion entre elfe et humain était facilement faisable.

Description mentale :

Marcus a grandi les 24 premières années de sa vie libre comme l’air, il faisait ce que bon lui plaisait en suivant bien évidement les consignes de sa mère. Il aimait la vie, il était promit à un grand avenir. Mais la vie, n’en a pas décidé ainsi, depuis qu’il est devenu esclave Marcus fait un refus de l’autorité. Il est violant, insolant, il ne supporte pas l’autorité et les ordres.  Mais en vue de sa situation, un tel comportement lui joue bien des mauvais  tours. Marcus est un garçon remplit de colère, de haine, de cruauté, d’impulsivité, désinvolte et qui par-dessus tout  n’arrive pas à se canaliser. Il est prêt à tout pour défier la moindre personne, pour la violenté et la torturé. Mais il n’est pas en position de force et est contraint  à être un soumis.

Capacités magiques :
Marcus n’a jamais pratiqué la magie. Lorsqu’il fut en âge de l’apprendre, le père de Marcus essaya en vain de lui apprendre. Mais le jeune garçon ne semblait n’avoir aucun talent pour cela. Hors dans la famille paternel tous avait été doué pour la magie. Mais dans le cas de Marcus, il hérita de se mère qui n’y connaissait rien, et qui n’en était pas doué. Pour autant son père insista pour lui enseigne l’histoire, l’existence des différentes magies.  Même si son fils ne l’utiliserait pas il devait la connaitre et savoir à quoi s’attendre.

Histoire :

La mère de Marcus, Eléna était une simple humaine, rien de plus basique qu'une humaine. Pas de grand pouvoir, d'oreille pointu, ou magnant je ne sais qu'elle magie. Elle était simplement issus d'une famille de modeste agriculteur. Simple, cela était leur devise, pas d'histoire, pas de grande avantenture, simplement le quotidient. Elena a grandit avec la nature, les animaux, dans la campagne. Cette jeune fille a toujours travaillé d'arrache-pied avec ses deux grands frères afin d'aider sa mère et son père à faire survrire le domicile familliale. Ils ne vivaient pas dans la paraisse et la luxure, non, cette famille était loin de tout cela. Elle trvallait sans relache, payé ses impots, suporter les vols, les difficultés de la vie sans rien dire. Cette famille faisait face à la vie et à ses difficultés avec une détermination infallible. Elena était une jeune femme d'une vingtainne d'année, elle se ditinguait des autres  par sa simplicité, son coté débrouilliard, un peut garçon manqué, et également par son coté  provocateur.

Rien ne destiné Elena à rencontrer le future père de son enfant : Aegnor. Ce jeune elfe  issus d'une longue famille elfique originaire d'Ithri, avait grandit non loin de la cité de Tharr. Le grand père de celui-ci avait inculqué à chacun de ses fils, des ses filles, de ses petits fils et de ses petites filles l'art du commerce. De tout genre de commerce. Cette famille avait perdu le sens des moralités, il régnait au sein de celle-ci l'avidité, la cupidité, et l'envie grandissante de pouvoir. Voyant leur commerce se developper de plus en plus, le grand père, chef de famille avait pris la décision de faire déménager l'ensemble de la famille vers des cités où leur commerce leur rapporter richesse, pouvoir, luxe, et influence. C'est ainsi, qu'Aegnor, ces deux grands frères et les cinque elfes qui composaient sa famille s'installèrent à une journée de cheval de la cité de Tharr. La famille d'Aegnor était très porté sur la purtée de leur sang, les elfes devaient rester avec des elfes, faire offense à cette règles serait un acte de trahison impardonnable. Tous le savaient dès leur plus jeune âge. Les elfes de cette famille ne devait fréquenter uniquement que des elfes. Etant éloigné de leur origines, cette famille vivait en autharcie. Chaque elfes qui composait cette famille n'avait confiance qu'en les leur et personnes d'autres. Mais par dessus tout, ces elefes detestaint les humains. Personne ne s'aurait dire pourquoi il les detestent, mais il semblerait que cette haine est grandit à travers les générations sans réel explication.  Pour autant cette famille se servait des humain, des nains, des sang mele de tour, lorsqu'il avait besoin de main d'oeuvre. Elle ne rechiniait pas sur les esclave , les ouvrier et toute personne ayant une force de production.
Aegnor est issu d'une longue ligné par sa taille, il n'est quasiment impossible de remonté en haut de son arbre généalogique. Paradoxalement, ce jeune elfe n'a toujours connu son grand père comme être le plus ancien de sa famille. Aujoud'hui, ce patriarche est à la tête de la famille est la mène d'une main de fer. Dans la cité de Tharr, cette famille est réputé pour son sens du commerce, pour sa capacité à régler les problème, pour vous trouver tout ce que vous avez besoin. Vous voulez du riz, disparaitre, une armes, tuer quelqu'un, une denrée illégal , tout, vous trouverez tout dans cette famille. La condition ? Le prix. Leur services n'était pas donnée, mais toujours très propre. Plus d'une fois les soldats ont voulut les faire arréter pour leur actions illegale mais ils n'avaient jamais assez de preuve pour les arreter. En réalités, une partie des habitant de tharr, se qui ont fait affaire avec on peur d'eux, de leur représaille. Il arrivait souvant que des personnes face appel à leur service mais ne puisse pas payé par la suite. A tharr, il était connu qu'il n'était pas bon de s'endetter au près de cette famille, cette famille faisait ses règles, imposait ses volontés et ses contrats.

C'est un elfe de cette famille là , qu'Elena alla rencontré alors que rien ne les destinés à se croiser . Le jour de leur rencontre, Aegnor avait parcouru la journé de cheval qui séparé son habitation à la cité de Tharr afin de retrouver un humain un peut trop endetté. Il était le netoyeur de sa famille, celui que l'on envoyait pour secouer les mauvais payeur, lorsqu'il y avait un sale boulot à faire, lorsqu'il fallait faire peur, c'était lui. Tout était pour lui, il en avait été décidé comme cela, dans sa jeunesse il avait été identifié comme trop faible. C'est ainsi que sa famille avait pris le choix de l'endurcit par la magnière forte. Aujourd'hui, il semblait dénudé de sentiment, de sensation.
L'elfe dû faire trois marchés de la cités de Tharr avant de trouver l'homme qui cherchait. La scène se passa comme souvant, au début l'homme fait semblant de ne rien comprendre. Après quelques coups, il essaye de s'excuser et de justifier son retard de paiement. Quelques coup après Aegnor ressort souvant de la maison avec les quelques pauvre économies de la personne. Aujourd'hui, la scène de changea pas. C'est après deux heures que l'elfe ressortie de la maison du commercant avec une petite bourse en main. Il ne parraissait pas tout a fait satsifait mais il alla s'en contenter. Il s'appreta à prendre le chemin du retour, lorsque les épices, la viandes qui cuit, le pain chaud, toutes ses odeur s'entremèlent et lui donnèrent l'eau à la bouche. Il partit donc en quête d'un endroi u se restaurer. Il ne voulai pas une de ses tavernes miteuse où seul les poivrot était sa compagnie , non , il voulait un endroit agréable, où se pauser, ou du moins trouver chaussur à son pied en matière de nourriture. Il parrouru les rues à la recherche de son dejeuné lorsqu'il la croisa, où plutot lorsqu'il croisa son regard. Lui qui ne ressentait plus rien depuis un bon nombre d'année, sentit en lui une chaleure, une envie incontrolable d'aborder cette marchande, cette jeune fille, cette jeune humaine. Il alla alors acheter ce que celle ci vendait. Il devait repartir le jour même mais resta trois jours de plus. Le premier jour, il lui prit du blè, le deuxième de la farine, et le dernier jour il ausa lui proposer un verre cela étit interdit, c'était un elfe, elle une humaine. Mais il ne pouvait se détacher de son regard, de son sourire, de ses formes, il venait d'avoir un coup de foudre. C'est au troisième jour que leur histoire d'amour interdt commença. A partir de ce jour là, Aegnor prit tous le travail qu'il pouvai à Tharr, ralongait ses sejour pour pouvoir passer du temps avec elle. Cette histoire cachait se déroulé pour le mieux, lorsque le meillieur et le pire arriva, elle finit par tomber enceinte. C'est ainsi que Marcus naquit. D’un commun d’accord, les deux tourtereaux avaient décidé d’appeler leur fils par un nom humain pour ne pas éveiller les soupçons, de plus ce serait la mère qui garderait l’enfant pour le protéger. Il était impossible pour son père de le prendre chez lui, d’offrir un logis à sa douces. Chaque jour en maintenant cette relation cachée, le père du nouveau-né risquait sa vie, celle de sa douce et surtout celle de son fils. Etrangement, cette cachoterie dura 24 ans. Pendant 24 ans le père de Marcus accumula les allers-retours vers la cité. Pendant 24 ans Marcus grandit en présence de sa mère de ses grands-parents et de ses oncles. La famille de sa mère l’avait particulièrement bien accueillit. Lorsqu’il fut en âge de tenir un fourche, Marcus commença le travail de la terre et à vivre aux rythmes des saisons, et des récoltes. Malgré ce secret, toute la petite famille vivait paisiblement. Le père de Marcus l’entraina aux armes, dans un premier temps à l’épée puis à l’arc. Le jeune garçon se trouva alors plus douée à l’arc. Encore une fois son côté elfique était mis en avant.


Mais cette belle petite vie fut arrêtée du jour au lendemain. Le père du garçon était de moins en moins sur ses gardes et laissa bien des indices derrière lui. Le reste de la famille avait des soupçons depuis de nombreuses années mais aucune preuve. Jusqu’au jour il se fit suivre jusqu’à son foyer, et où la famille elfique eu la preuve de sa traitrise. Il ne fut pas beaucoup de temps à la famille paternel de Marcus pour débarquer dans la petite ferme de sa mère. Le père de Marcu attendit ses frères devant la ferme comme s'il s'avait que la sentance aller tomber. Comme s'il attendait la mort venir. Il avait joué avec le feu, pour une vie agréable, pour une vie de famille, mais sa propre famille l’avait rattrapé. La mère et le père de Marcus fut embarqué. Aegnor en bon commercant arriva à négocier la vie sauve à sa belle famille, mais il ne su pas se qu'il allait advenir de sa propre famille.
Ils furent accueil par le chef de la famille en personne. Le père de Marcus, marqué par le poids des regards des autres n’osa même pas relever la tête pour regarder dans les yeux son propre frère. Toute la famille fut séparer, Marcus et sa femme furent mit chacun dans une cellule, pendant que le père lui, aller subir toute la colère de sa famille.
Marcus séparait de se mère et de son père n’eut plus aucun repères. Enfermé dans une cellule, il examina chaque recoin de celle-ci, mais il retomba toujours sur la même conclusion. Cette pièce était composée uniquement d’un lit, d’une chaise et d’une table. Rien d’autre. Il n’y avait même pas de fenêtre. Il ne lui fut pas beaucoup de temps pour perdre la notion du temps et de l’espace. La seule qu’il voyait à chaque fois qu’il ouvrait ses paupières été cette chaise, cette table, et ce lit. Seulement ça, il n’avait rien d’autre. il criait, mais jamais une seule réponse, jamais un bruit pour le réconforter, jamais une porte qui s’ouvre. Non ! Rien ! Toujours cette chaise, cette table et ce lit. Marcus ne sus pas si cette situation dura une semaine, deux semaines, un mois. Mais un beau jour la porte finit par s’ouvrir, devant deux soldats qui se saisir du jeune garçon. Ils l’attachèrent comme un dangereux criminel, alors que s’était un enfant, innocent des histoires d’adulte. Au premier rayon du soleil, il eut les yeux brûlés, l’absence de lumière dans sa cellule l’avait rendu extrêmement sensible à la lumière. Marcus attendit deux longues heures sans la possibilité de s’asseoir avant d’être emmené devant le chef de famille qui l’interrogea pendant encore deux longues heures. Cette torture dura tous les jours pendant un mois. Pendant un mois, Marcus étaient emmené, attaché, questionnaire, montré du doigt comme un criminel. Le jeune garçon ne comprit que très peu de chose durant ce mois-là, il subissait, en se taisant, en se soumettant.
Ce jour-là, deux soldats vinrent chercher le jeune homme. Ayant pris l’habitude au bruit de l’ouverture de la porte, Marcus lui tourna le dos et mit ses mains derrière de tel sorte à laisser les soldats le saisir. Mais ce jour-là les deux soldats ne se contentèrent pas de l’attacher tel un criminel, ils le traînèrent tel que, avant d’arriver dans une grande salle. La salle était remplit de monde, il semblait que c’était jour de fête, de la famille, des amis, des clients, des investisseurs, tous était réuni, pour célébrer quelque chose. Mais quoi ? Marcus ne comprenait pas pourquoi toutes ses personnes riaient de lui le montrait du doigt ainsi que sa mère. Sa mère ? C’est à ce moment-là qu’il la remarqua, il essaya de se débattre de toutes ses forces, mordit un soldat pour qu’il le lâche mais rien. Trois autres soldats étaient venus pour leur prêter main forte, Marcus fus bâillonner et ne pus qu’entendre et subir les paroles.

Le père de Marcus entra par la grande porte, à ce moment-là, le silence se fit dans la salle. Malgré son acte impardonnable, c’était une personne appréciait, et tout le monde retrouverait confiance en lui après que celui-ci soit punit. Le père de Marcus alla s’asseoir à la gauche de son frère qui présidé la salle. C’est là qu’ils firent avancer la mère de Marcus, après une longue discussion, c’est le compagnon, père de son fils qui annonça la sentence, elle serait tué demain à l’aube. Malgré la froide des paroles, Marcus aperçu une larme couler sur la joue de son père. C’est à partir de ce moment-là, que le garçon sache, affectueux, travailleur, devient la personne violente, isolante, et désinvolte. Il n’avait plus qu’une chose en tête tué les personnes qui étaient à l’origine de ce massacre. Contrairement à ce que l’on aurait pu croire, Marcus n’en voulu pas du tout à son père, où dans ses yeux avait compris son acte.

Puis ce fut à son tour d’être emmené face à ce juge. La foule criait des insultes, lui jetait ce qu’il pouvait. On força Marcus à saluer son oncle. Puis on l’obligea à se tenir debout droit. Marcus écouta, dans un premier temps ce qui lui était reproché, pourquoi il était une erreur de la nature puis ce qu’il allait devenir. La sentence tomba, il serait vendu le lendemain sur le marché des esclaves. C’est ainsi, qu’il eut un maître pour la première fois de sa vie, et qu’il allait devoir le reste de sa misérable vie servir une personne. Mais pas n’importe qu’elle personne, non il dût tomber sur Khernal Kre'Nael qui n’était pas réputé pour sa gentillesse. Sa vie d’esclave allait commencer.

HRP

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[Métier] : Esclave

[Sexe] : Masculin

[Classe d'arme] : Distance

[Alignement] : Chaotique Mauvais