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 [Valmonè] Dans les geôles. [Clos]

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Haize Sepiida
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MessageSujet: [Valmonè] Dans les geôles. [Clos]   [Valmonè] Dans les geôles. [Clos] I_icon_minitimeMer 20 Juil 2016 - 17:01



Dans les geôles sombres de Velmonè, c'est habituellement silencieux. Mais quand Phédore descend l'escalier étroit, il entend une voix enjouée qui semble raconter une péripétie avec un enthousiasme amusé. Ce n'est pas la voix d'Orellus. Ah bon ? Ils ont donc un nouveau compagnon ? Oui, un seul garde pour une prison qui ne contenait aucun prisonnier, c'était amplement suffisant. À ce qu'il parait, il y a un prisonnier. Donc deux gardes, c'est sans doute plus prudent, n'est-ce pas ? Mais lorsque Phédore pousse la solide porte pour entrer dans le cabinet ou gardent les geôliers, il ne trouve que Orellus qui, les pieds sur la table et les bras ballant, dort avec la quiétude d'un bébé.

- Salut Orellus, dit-il à voix assez forte et la voix qui bavardait se tait.
- Oh, bon sang, Phédore, c'est déjà finit ? Dieux soient loués.
- Mais avec qui tu parlais ?
- Tu veux rire ? Je parlais pas, j'essayais de dormir ! Celui qui parle, c'est lui ! s'exclame Orellus en pointant la direction d'une cellule.
- Oh, un nouveau geôlier, s'anime la voix dans la cellule.
- Il n'arrête pas. Il a parlé toute la nuit !!! Il a un hochement de tête. Presque toute la nuit. Quand il s'est enfin tut, j'ai cru qu'il dormait, quand j'ai regardé, il essayait de crocheter la serrure avec sa cuillère. Elle était en bois sa cuillère !! Je suis entré pour la lui enlever et il m'a sauté dessus ! Je l'ai rattrapé seulement à la grille ! Et une fois dans sa cellule, il s'est remis à parler !!! Et il n'a pas cessé de parler depuis !!!!!!! conclut Orellus en saisissant Phédore par les épaules et en le secouant.
- Waw, c'était mieux que ce que j'aurais raconté moi-même !
- Ne le laisse surtout pas se taire. C'est pire quand il se tait.

Orellus a un gémissement de désespoir, prend son attirail et fiche le camp sans un mot de plus. Phédore, hésitant, pose son sac sur la table et s'assoit. Il savoure le silence quelques secondes, puis tourne la tête vers la cellule. À travers les barreaux, il voit les doigts du prisonnier les serrer et de l'autre côté, le sourire ravi du dit prisonnier. Il croise même son regard.

- Alors comme ça tu t'appelle Phédore. Enchanté ! C'est toi qui passe toute la journée avec moi ? Tu verras, on va bien s'amuser !
- Euh...
- Tu as parfaitement raison, faudrait vraiment passer un coup de balais ici. J'ai les poumons encrassé à force de respirer la poussière.

Phédore fut soudainement saisit par le doute.


Dernière édition par Sickert le Mar 9 Aoû 2016 - 12:31, édité 1 fois
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Haize Sepiida
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MessageSujet: Re: [Valmonè] Dans les geôles. [Clos]   [Valmonè] Dans les geôles. [Clos] I_icon_minitimeVen 22 Juil 2016 - 3:37



Tour d'abord, Phédore lui avait ordonné de se taire. L'autre s'était tut. Environ trois secondes, avant de se remettre à parler. Le geôlier avait tenté de la jouer avec agressivité et de lui faire peur. Raté. Mais il avait gagné quatre secondes de silence. La troisième fois, il avait décidé de lui monter qui est le chef et de lui coller une raclée. Non, mais c'est un prisonnier, non ? Si, mais le hic, c'est que derrière l'épaisse porte et les barreaux, on ne voit pas très bien qui se trouve dans la cellule. La voix enjoué et le fait qu'il ait été arrêté pour intrusion avait fait croire à un petit forban sans envergure. Mais lorsque Phédore ouvre la porte, ses illusions et sa détermination s'effritent. Ok, il ne s'attendait pas à ça et malgré lui, il marque un temps d'arrêt. Et ce petit con a l'audace de sourire.

- D'accord, d'accord, je vais me taire...

Ça semble beaucoup l'amuser. Le garde ressort et ferme la porte. Au moment ou il la verrouille, il se retrouve face à face avec le prisonnier, de l'autre côté des barreaux.

- Mais je m'ennuie. Et quand je m'ennuie, je bavarde. C'est plus fort que moi. T'as quelque chose pour contrer l'ennuie ? Un bouquin ?
- Tu sais lire ?
- Je sais un tas de choses. Je sais chanter aussi. Des chansons grivoises pour la plupart, tu veux que je t'en chante une ?
- NON !
- Oh... d'accord... oh, toi tu pourrais m'en chanter une ? Oh, non, ok. C'est dommage que je sois seul, ici, avec toi, j'aurais pu bavarder avec mon compagnon de cellule, mais il n'y a que toi. Tu vois, si je ne m'occupe pas, je vais essayer de sortir d'ici. Mais en même temps, ce serait seulement pour passer le temps. Je fais des tas de choses, pour passer le temps. Tu sais que Orellus cache une bouteille de gnôle ?
- Quoi ?
- Tu veux que je te dise ou elle est ?
- Non.
- Mur en face, derrière la massue. C'est une toute petite bouteille, elle est couchée sur le côté. Vous ne vous servez pas souvent de tout ça, n'est-ce pas ? Normal, vu la poussière, vous ne devez pas avoir des... invités très souvent. De mon point de vue, ça n'a jamais servi. Elles servent surtout de moyen de dissuasion, c'est ça ? Oh, tu peux le dire, tu n'auras pas besoin de me faire peur en me menaçant de les utiliser. Phédore se dit que l'entendre parler était la moindre des choses. Il s'éloigne de la porte et va s'asseoir. Et c'est à ce moment là qu'il a dit que la soupe n'était pas fraîche. Voyons, comme si quelqu'un s'était attendue à ce qu'elle soit fraîche ! HA HA !

Des heures. Des heures qu'il parle comme ça. Phédore commence à comprendre l'état d'énervement d'Orellus. Il doit trouver un moyen de ne pas péter les plombs.

- Ça va ! C'est bon ! Tais-toi !
- Quoi ?
- TAIS-TOI !
- Oh... dit-il en s'appuyant le front sur les barreaux.

Sickert est fatigué, il n'a pas dormi depuis son emprisonnement, concentrant toute son attention à parler. Et il fallait évidemment que son discours se tienne au minimum, du moins quand ils prêtent une oreille plus attentive. Sinon ça importait peu, mais ça devait conserver une certaine fluidité. Peu importe, il n'avait pas dormi. IL cherche toujours un moyen de sortir et contrarier l'attention de ses geôlier est un moyen comme un autre. En même temps, il devait avouer que c'était bien de ne rien faire. Il dit vrai qu'il s'ennuie. Mais c'était reposant. Malheureusement, il n'est toujours pas endormi.

- Tu sais jouer aux dés ?
- Oh wais et je gagne presque tout le temps !

Et de toute évidence, c'est vrai, même s'il ne touche pas aux dés. Parce que bon, ce serait dangereux de les lui passer, alors Phédore lance les dés tous les tours, mais le prisonnier décide quels dés il rejoue ou pas. Et étonnamment, il a gagné plus de parties qu'il en a perdu. Phédore compte les derniers points et comme la partie est termine, fait le calcul pour avoir qui des deux a gagné.

- Merde, t'as encore gagné

Le silence lui répond. Aussitôt il a un doute. Orellus lui a dit que la seule fois qu'il ne l'a plus entendu, il essayait de crocheter la porte avec la cuillère.

- Hé ? interroge-t-il en se relevant et en regardant à travers les barreaux.

La cellule est sombre, sans fenêtre. Il fait noir. Il ne le voit pas. Phédore peste intérieurement. Il ne peut quand même pas avoir disparu. Il déverrouille la cellule et ouvre la porte. Il a prit la peine de s'armer et il entre prudemment dans la cellule. En fait, Sickert s'est tout simplement endormi, quelques minutes à peine, peut-être quinze au maximum, mais quand Phédore se prend les pieds dans les siens, il se réveille en sursaut et comme l'autre s'étale, il en profite pour filer. Le hic, c'est que la grille qui mène au couloir est verrouillée. Il doit récupérer la clé qui est probablement au trousseau de Phédore. Mais il semble que Phédore et lui aient le même chemin de réflexion parce que Phédore saisit son trousseau. Merde, il aurait du y penser. Sickert rejoint son geôlier et ils luttent un moment pour attraper le trousseau jusqu'à ce qu'au final, suite à un coup de pied habile de Phédore, le trousseau glisse sous la grille, hors d'atteinte. Ils se regardent un moment, épaule à épaule, puis Sickert capitule et lève les mains.

- Bon d'accord, j'aurais une chance si j'arrive à te terrasser, et avoir le temps de récupérer la clé je ne sais comment encore, mais je n'avais pas prévu devoir tuer quelqu'un. J'ai prit de bonne résolutions dernièrement et j'aimerais bien les tenir. Et bon, va falloir s'entendre, parce que les clés sont de l'autre côté et... et ma cellule est déverrouillée.

Phédore jette un coup d'oeil à la cellule, puis à la grille ou plutôt de l'autre côté de la grille. Il doit se rendre à l'évidence, ils sont coincés.

- Tu te rend compte qu'on est probablement coincé ici jusqu'à ce que Orellus revienne.
- S'il ne se fait pas porté pâle...
- Wais... hum... tu te rend compte que ça implique la possibilité que lorsqu'on viendra me remplacer, ils seront peut-être plusieurs ?

Sickert grimace.

- Mouais, c'est probable... mais je vais me défendre.
- Tout dépend ça fait combien de temps ou si tu réussit à m'avoir.
- Je risque d'être épuisé... dans tous les cas ça risque de faire mal.
- Donc... heum... je pourrais prendre ma revanche, en attendant ?
- Wais, d'accord, on peut faire ça. Je peux jouer mes propres dés ?
- Ok.
- Euh... tu veux bien poser ta masse ? Ça me rend nerveux.
- Si tu poses la chaise.
- Ah... euh... ouais, oui, bon... voilà, je la pose...
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MessageSujet: Re: [Valmonè] Dans les geôles. [Clos]   [Valmonè] Dans les geôles. [Clos] I_icon_minitimeLun 25 Juil 2016 - 12:51



Si Phédore et le prisonnier ont amicalement joué aux dés le reste de la journée, ils sont arrivés à plusieurs lorsqu'ils se sont rendu compte que les clés étaient dans le passage, hors de porté. Mais lorsqu'ils entrent dans la pièce, toutes armes dehors, prêts à en découdre, Phédore est sagement en train de tout ranger.

- Tout est sous contrôle, je lui au foutu une sacré raclée... il est encore inconscient je crois, annonce-t-il, calme et naturel.
- Toi ?
- Bah... ouais, ça t'étonne ?
- Un peu.
- Bah quoi, tu l'entends parler ?
- Non...
- T'as qu'à regarder dans sa cellule, il est couché et il ne bouge plus.
- Ah non, si tu l'as tué, je ne veux pas le savoir, je dirai que c'est toi.
- D'accord, réplique Phédore en haussant les épaules. Moi de toute manière, je vais dormir. Bonne nuit, Orellus. Et à ta place, j'éviterais de le réveiller, se moque le geôlier en quittant son lieu de travail.

Phédore espère quand même que Orellus aura pas l'idée d'aller vérifier si la porte de la cellule est verrouillée... parce que bon, elle ne l'est pas, puisqu'elle ne l'était pas lorsque les clés ont été jetées sous la grille. Pourquoi ne pas en profiter pour dormir se dit Sickert. Tant qu'à faire l'inconscient, mieux vaut dormir. Il ne sait pas trop combien de temps il dort, mais Orellus est penche au-dessus de lui. En se voyant observe, Sickert repousse Orellus et se jette dans un coin de la cellule.

- Grands dieux ! Tu m’as fait peur !
- Je pensais qu'il t'avait presque tué. J'aurais pas vraiment apprécié, pour une fois qu'on à quelque chose à faire.
- Je dois t'avouer que ça m'aurait embêté aussi s'il m'avait tué. J'ai des tas de choses à faire.
- Bah tu ne les fera pas avant un moment, parce que t'es pas sorti d'ici. Il y à des tas de festivités, alors avant qu'on s'intéresse à toi.
- Oh mais je compte pas rester ici encore longtemps. C'est quoi les festivités aujourd'hui ?
- Le mariage d…
- Mince déjà ? Je vais tout rater…
- Ah oui, ça c'est certain.
- Me reste donc encore quelques heures pour m'évader.

Et Orellus éclate de rire.

- N'y compte pas trop, Je ne te laisserai pas faire. Et puis tu as essayé deux fois et tu n'as pas réussit.
- On dit jamais deux sans trois, non ? Et je suis toujours vivant. Je vais tenter le coup quand même, tous les jours s'il le faut.
- J'ai bien hâte de te voir essayer.
- Ça va te surprendre, tu verras, tu n'y croiras même pas et tu te demanderas comment des trucs pareil peuvent se produire.
- Faudra d'abord passer cette porte et ensuite la grille.-

L'autre se contente de sourire dans la pénombre. Orellus ne perd pas de temps et sort de la cellule et verrouille la porte. Bon sang. Le prisonnier reste particulièrement silencieux, ce qui à le don d'horripiler le geôlier encore plus que lorsqu'il bavarde sans arrêt. Ça n'a rien de rassurant lorsqu'il est silencieux. Bon sang pourvu que la nuit se termine rapidement.
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MessageSujet: Re: [Valmonè] Dans les geôles. [Clos]   [Valmonè] Dans les geôles. [Clos] I_icon_minitimeMar 9 Aoû 2016 - 11:40



Relève dans deux heures et c’est toujours aussi calme dans la prison de Velmonè. Les deux hommes qui s’y trouvent, à savoir le Geôlier et son prisonnier, se trouvent de part et d’autre de la cellule du prisonnier. La porte est ouverte, mais aucun ne franchit la porte. Pour cause, ils sont assis tous les deux de leur côté et une partie de dés est bien engagée.

- comment tu gagnes toutes les parties ? demande Phédore en n’obtenant qu’une paire.
- Je n’ai gagné que vingt-huit parties sur trente-sept pour le moment.
- Mais sur cinquante, tu as déjà la majorité des victoires.
- C’est la dernière qui compte, c’est habituellement de celle-là que tout le monde se souvient. Tu en as marre ? On peut arrêter.
- Non, non, on continue, pour ce qu’il y a d’autre à faire.
- On fait que jouer, je compte pas vraiment mes victoires, je compte mes défaites plutôt.
- Ah bon ? Pourquoi les défaites ?
- Parce que c’est ce qui est le plus périlleux. Comme le fait de me retrouver ici.
- Alors c’est ça que tu fais quand je suis pas là ?
- Orellus ?! s’exclame Phédore en se relevant d’un coup, prit en défaut par le « si parfait » Orellus.
- Hé, Orellus ! salue joyeusement le seul qui ne devrait pas être joyeux.
- Alors c’est comme ça que tu te charges d’un prisonnier, Phédore ?
- Heum….
- Alors c’était une feinte hier ?
- Je voulais pas vous attirer des ennuis, alors j’ai fait semblant.
- Wais, mai en attendant, refermez le cellule et ayez l’air bougons.
- Pourquoi ? demandent Phédore et Sickert à l’unisson.

Orellus regarde le prisonnier d’un regard perplexe.

- Mariage ce soir.
- Waip. Je vais tout rater. Dommage.
- Peut-être pas. Je viens d’entendre la nouvelle épouse de sa Seigneurie ordonner à un garde de libérer un prisonnier. Et comme t’es le seul...
- Quoi ?
- T’as l’air déçu.
- Surpris, disons. Elle a donné ses raisons ?
- J’ai pas pris le temps d’écouter, je me doutais que d’arriver en avance allait me permettre de voir un truc du genre une partie de dés entre geôlier et prisonniers. Mieux vaut moi que d'autre à vous avoir surpris ainsi.
- Ils arrivent. Retourne dans ta cellule !
- J'avais dit que je sortirais d'ici pour le mariage.
- Oui, et c'est bien ce qui me fait craindre le pire. Mais t’avais dit que tu allais t'évader. C'est pas la même chose qu'une libération.
- Je te l'accorde, cède Sickert, de toute évidence ravi à cette idée.

Une libération c'est nettement mieux qu’une évasion quand même.

______________________

Il n'aurait pas osé l'imaginer. Il aurait craint d'être déçu. Il s'était dit que c’était probablement un piège. Mais il semble que non. Tout semblait trop réel pour que ce soit un piège. Comment avait-elle su ? Zoïle. Aucun doute. Cette petite peste lui avait tout dit. Il n'avait pas récupéré Marion. Elle n'était plus avec le reste de son attirail. Zoïle, encore, il en mettrait sa main au feu. Son attirail, il l'avait laissé au bon soin de Phedore et Orellus. C'était plus simple de se déplacer légèrement. Évidemment on l'avait reconduit, par la porte arrière, en toute discrétion, à la sortie des portes du domaine. Et il s'était éloigné en sifflotant. Mais il était déjà entré trois fois dans la demeure. Une fois de plus, pourquoi pas. Mais cette fois, il avait un but précis. Encore les chambres des dames.

FIN DU RP
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