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 En route pour l’Abbaye /solo

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Louve Noire
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Louve Noire


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MessageSujet: En route pour l’Abbaye /solo   En route pour l’Abbaye /solo I_icon_minitimeMar 26 Sep 2017 - 20:57


3e jour de la 2e enneade Karfias du mois d’hivers de l’an 10

Ps: le rp n'est pas encore totalement corrigée, je corrigerais Demain :)

Dans la chambre de l’Auberge, Lyarra regardait par la fenêtre la ville recouverte par le froid et la neige. Elia lisait un livre à haute voix pendant qu’Elisabeth était soucieuse de sa rencontre avec la nonne de l’abbaye. Les trois demoiselles attendaient l’arrivée de la nonne de l’abbaye.

Depuis quelques jours, Lyarra avait mis au courant de la proposition de cécilie de lui rendre service dans une Abbaye en rénovation qui accueillerait exclusivement des femmes meurtrie, ravagé par la guerre. En sommes des victimes des affres de la vie. Lyarra était contente d’avoir un toit et de quoi manger. Pour Elisabeth, la joie était très différente. En effet, on lui proposait d’être une abbesse qui lui donner beaucoup de responsabilité.  Quant à Elia, elle se contentait juste à sourire, se contentant de suivre la joie de ces deux femmes.

Lyarra regarda la prêtresse avec attention. Elle lui lança un sourire taquin et répliqua à son soucis

« Tu te fais bien des soucis, Mère
-il ne faut pas se faire de soucis, mamie. Elle va venir ta sœur, rassura Elia »
Elisabeth gratta la longue chevelure de l’enfant, puis, porta son attention sur Lyarra
« Je me fais du souci avec l’hiver. Elle peut avoir un soucis et tout le tralalala….Puis, je n’ai pas envie de faire une mauvaise impression
-Missède n’est pas Oesgard ! C’est une région sur rassure toi, mère ! Tu te fais trop de soucis. Ne t’en fais pas, tu seras une bonne abesse et tu vas convaincre.
-Il y a tant de chose à faire
-je t’aiderais. Ne te fais pas de soucis. Du moins, je ferais en sorte de me rendre utile.
-Merci, Lyarra
- Pas de quoi. Puis, arrêtes d’être toujours soucieuse…Tu vas vieillir avant l’heure »
Elisabeth fusilla un moment du regard Lyarra. Elle n’aimait pas particulièrement qu’on lui jette à la figure sa quarantaine et qu’on la taquine là-dessus. La guerrière s’en moque totalement. Toute façon, ce n’était qu’une taquinerie gentille


Trois coups légers toquaient la porte. Puis, une voix d’adolescent raisonnait à travers la pièce interrompant la discussion entre les deux femmes et la lecture de l’enfant.

« -Escusez moi, mes demoiselles ! Mais, une nonne d’Espérines vous attends en bas, dans la grande salle.
-Bien ! On arrive. Prévenez là »
Lyarra s’arrangea brièvement. Elisabeth sortit du lit, arrangeant sa robe blanche et sa longue chevelure dorée. La prêtresse va embrasser le crâne de l’enfant. Elia lui accorda un sourire très chaleureux.
« Elia, tu veux venir ?
-Je veux rester, maman. Je veux continuer ma lecture
-Comme tu te sens, termina Lyarra »

Les deux femmes sortirent de la chambre, prenant soin de fermer la porte. Elles descendaient de l’escalier, arrivant par la suite dans la grande salle de l’auberge encore calme. Puis, deux nonnes étaient devant elle. La première était une femme d’âge très avancé, le visage ridées par le temps. La seconde, lui semblait beaucoup plus jeune et rayonnante. La première nonne s’approcha et lui adressa un sourire chaleureux, teinté d’amour

« Bonjour, mes demoiselles, je suis Séléna Mervilla, ancienne de l’abbaye. Voici, Héloïse, ma protégée et sœur de l’abbaye. A ce que je vois, vous êtes la prêtresse, désignant Elisabeth, non ? Et vous, vous êtes Lyarra ? »
-Oui, ma chère sœur. C’est bien nous. La comtesse a-t-elle mis au courant de sa proposition ?
-Oui, peu de temps après votre lettre»

Elisabeth l’accueillie d’un sourire chaleureux et l’invita à s’asseoir. Héloise gardait le bras de l’Ancienne. Les quatre femmes étaient assises tout autour d’une table. Après un bref échange de politesse. Elisabeth rentra directement dans le vif du sujet tout en gardant un ton doux et reposante.

« Ma fille a eu une audience avec la Comtesse. La comtesse proposa à ma fille de protégé l’abbaye en cas d’intrusion et de former au pensionnaire à se défendre. Bien entendue, sur le consentement des pensionnaires et prenant des mesures adéquate pour éviter des risques vains. D’ailleurs, j’ai entendu dure que l’Abbaye était en rénovation et que vous cherchez une abbesse. J’aimerais vous aider et gérer avec vous, cette Abbaye.
-Nous avons bien besoin d’une mais j’aimerais connaitre votre expérience dans le domaine. Du moins, j’aimerais connaitre votre expérience. »

Elisabeth lui raconta brièvement sa formation religieuse jusqu’à devenir prêtresse à Diantra. Puis, elle détailla plus en détails son effort pendant la crise d’Oesgard d’éduquait les enfants, de protéger et d’aider les gens dans le besoin. De plus, elle détailla la quasi adoption de Lyarra, pendant l’absence du Vieux Loups en campagne et l’incapacité de sa mère biologique d’éduquer son enfant. La vielle nonne regarda un moment Lyarra, fronçant un peu les sourcils.

« Une certaine Elia devait être avec vous, non ?
-Elle se repose dans sa chambre, elle est fatiguée
-laissons là se reposer dans ce cas, souria la vielle femme. Vous avez une grande expérience. Je n’ose pas imaginer les horreurs des guerres Oesgardiennes. Vous en avez-vous des choses. Pour les pensionnaires, il faut une prêtresse qui sache gérait nos enfants meurtries, subissant les sévices cruels de la part de certains. Vue les conflits dans le nord, la proposition de la comtesse est très judicieuse. »
Puis, un moment, elle regarda la guerrière avec attention. Elle lui adressa un regard curieux, sans jugement. Néanmoins, son visage témoigna une certaine surprise
« - Par contre, pour votre fille d’adoption, vous avez dit formé et à se défendre. Je déduis que vous êtes une femme d’épée ?
-oui, répondit Lyarra
-Dans un lieu saint et de paix, une femme d’épée lié par l’esprit d’Othar ne serait pas une grande utilité pour ces femmes, voir un possible danger d’éveiller des traumatismes. Je ne doute pas en vous, jeune fille que vous avez l’esprit d’Othar. Vous avez un regard très différent de certain homme d’arme qui sont des fervents Néerite.

Lyarra déduisit que la vielle femme savait bien faire la différente entre les guerrier d’Othar et les chevalier Néerite. Elle fut surprise que sa ferveur pour ce dieu guerrier soit si visible. Pourtant, dans ces derniers moments, la guerrière prit pour les cinqs qu’un dieu particulier.

« - Oui, dans votre raisonnement, je peux comprendre. Vous parlez que j’ai l’esprit d’Othar. Oui, au fond, je partage avec lui la même vocation qui est la rechercher de la vérité et du courage. Pourtant, pour protéger la paix, il faut savoir se défendre. La tranquillité est fragile, il faut savoir la défendre et faire quelque sacrifice.
-j’en suis sûr. Dans Othar, il y a des fanatiques qui aiment générer le conflit et le désordre. C’est bien une chose qui m’attriste
-Au départ, j’étais un peu comme l’un d’eux. Je cherchais à faire bataille par gout du combat. Aujourd’hui, pour être tomber dans un ordre Otharique que je juge mauvais, j’ai appris que chercher le combat est une mauvaise chose. Oui madame vous avez raison. Maintenant, j’aspire à une chose…Protéger ma mère, ma fille et aspirer à la paix. Qui plus est, j’aimerais aider mon prochain en puisant sur la volonté d’Othar et l’amour de Néera. Vous le savez autant que moi,  c’est l’homme qui choisit qu’importe le dieu patron qu’on choisit.

La vielle femme se mit à hocher la tête. Ses vielles mains se posèrent sur la table et fixa un moment Lyarra

« -En quoi votre expérience va nous aider ? jeune demoiselle
-Protéger et aider les femmes d’aller plus loin et de dépasser l’impossible.
-C’est-à-dire ?
-Cher sœur, vous avez devant vous, une femme meurtrie par une jeunesse gâchait par la guerre et le danger d’être une femme dans un milieu tumultueux. Tout comme ces futures femmes, j’ai subi les extrémités des hommes jusqu’à faire des extrémités pour survivre. Puis, à devenir une guerrière pour affichait fièrement mon indépendance. D’après vous, pour ces futurs pensionnaires, une guerrière n’est pas le symbole pour se relever et avancer ?
-Il y a d’autre moyen de montrer à ses femmes de se relever et de reprendre le destin en main. Mademoiselle. Former n’est peut-être pas une bonne solution. Qui plus est…en vous regardant, vous avez le sang bouillonnant de ces bandits de grand chemin appâtait par le gain.

Elisabeth regarda un moment sa fille qui semblait conserver son calme. Néanmoins, Lyarra regarda sérieusement la nonne qui était en train de cerner la jeune guerrière avec un réel soucis de voir si la louve noire était viable et sur. L’Ancienne était bien réticente. Lyarra allait droit au but à la grande surprise de la nonne qui accompagnait l’ancienne

-Oui, j’ai tué plein de gens pour manger et perfectionner mon art à l’épée. Oui, je suis une guerrière qui a une trainée de sang derrière moi. J’en ai tuée oui. Beaucoup même. Néanmoins, ne vous y trompez pas. Ne me comparez pas à ces bandits de grands chemins qui massacre des innocents. Je ne tue pas les innocents. Il n’y a pas que les chevaliers qui ont un code. Un simple guerrier en a.
-je comprends votre comportement, mademoiselle. Ne soyez pas insulter et ne voyez aucune offense dans mon questionnement
-Je comprends votre doute, répondit Lyarra sans hausser le ton. Une guerrière n’aide pas, mais vous vous tromper. Une guerrière peut aider les gens. Vous, madame, vous allez apporter le réconfort, la joie et la tendresse. Moi, j’apporterai le courage réel qu’elles auront besoin et pouvoir enfin se défendre. Ces femmes ont aussi besoin de ça et d’un modèle.
La vielle femme resta silencieuse un moment. Elle semblait réfléchir à la discussion pendant un petit moment. Héloise était toujours silencieuse, préférant rester en retrait de la discussion. Puis, la vielle femme prit la main de Lyarra et lui adressa un sourire
« -Vous m’avez convaincue. Dans cet angle, je conçois que c’est une bonne solution, ma petite. Pour vous, regardant Elisabeth, je suis d’accord que vous soyez l’abesse. Il est certain que l’abbaye a besoin de vous deux. »

Lyarra garda la main de la vielle, sentant le regard bienveillant de sa mère.

«- Merci. »
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