Leonora, ou la recherche de la liberté

Nom/Prénom : Bon… Et comme Salami n’en fait qu’à sa tête, le nom sera Leonora ! :cheers: Et pas de nom de famille
Âge : 16 ans
Sexe : Fille
Race : Humaine
Particularité : Un farouche instinct de survie

Alignement : Neutre, elle ne recherche ni le bien ni le mal, que la liberté
Métier : Esclave
Classe d'Arme : Corps à corps / À distance, lorsqu’il y a des projectiles à proximité à lancer (couteau, pierres, sable…).

Équipement : Leonora n’a que pour seul équipement les vêtements qu’elle porte sur le dos et la peau sur les os. Autrement, elle vit de la miséricorde de ses maîtres (lorsqu’elle en a) ou de la pitié des passants. Elle se fie également à sa vivacité d’esprit pour imaginer l’usage qu’elle pourrait faire des objets de son environnement.

Description physique : Des cheveux si fins qu’on dirait ceux d’un ange. Un noir de jais. Une chevelure imposante, mais légère qui coule librement comme une rivière, comme un fleuve, - le Styx peut-être ? – lui donnant des allures de crinière. Et sa peau… contraste frappant ! Si pâle, diaphane, d’un blanc nacré, aux grains de beauté à peine perceptibles. Déjà couverte de tant de blessures, de cicatrices qui la marqueront à jamais ! Et ce numéro… 0340, incrusté au fer rouge dans sa tendre chair de bambin. Fouet, bâton, morsures, autant de supplices qui ont laissé leur signature sur son corps squelettique. Mais le visage reste intact. Comme si son maître avait voulu la torturer davantage.

« Quand tu observeras ton reflet, ton visage te rappellera ce que tu ne seras jamais, que les traits dont tu as hérité sont ta malédiction. »

Plus d’une fois, lorsque Leonora allait puiser l’eau au puits, faillit-elle suivre l’exemple de Narcisse, mais ses mains calleuses, écorchées, à vif, ramenaient ses pensées à l’ordre. Et de minuscules larmes s’échappaient de ses prunelles d’un vert luisant, pénétrant, farouche, larmes qu’elle s’empressait de chasser pour se rappeler sans cesse la promesse qu’elle s’était faite : vivre libre, ou mourir... Et elle osait affronter ce visage qui était le sien : ses lèvres pleines, ses joues rosées, ses yeux en amande, ses courbes délicates. Encore, encore et encore, les mots tournaient dans sa tête. Vivre libre, ou mourir… Vivre libre, ou mourir… Vivre libre, ou…

Description mentale : Ce n’est pas par hasard que ses parents l’ont baptisée Leonora. À peine sortie des entrailles de sa mère qu’elle rugissait comme une lionne ! Et ce surnom lui est resté. Leo, la lionne… L’esclave sauvage au goût féroce pour la liberté. Elle possède la méfiance des gens qui refusent toute servitude. Trop longtemps abusée, elle est désillusionnée face aux gens de sa race, à qui elle n’accorde que difficilement, voire pas du tout, sa confiance. Elle est tout sauf naïve et il faut vraiment la soumettre par la force pour qu’elle obéisse à quoi que ce soit. Elle ferait tout pour obtenir sa liberté, même à tuer, si besoin est, ce qu’elle a déjà fait d’ailleurs. Sa liberté obtenue, ce qu’elle aimerait le plus serait d’atteindre la mer, cette grande étendue d’eau salée brièvement entrevue un soir d’été alors qu’elle voyageait avec ses énièmes maîtres.

Histoire : Le jour où je suis née, il vantait tellement que les quelques planches malhabilement clouées sur les volets avaient failli s’envoler sous l’assaut répété des rafales de vent. Mon père me racontait qu’il n’avait jamais su qui, du vent ou de moi, avait hurlé le plus fort. Déjà bébé, je possédais ce féroce instinct de survie qui est le mien encore aujourd’hui, à seize ans. Je crois que si j’ai pu vivre assez longtemps pour vous raconter mon histoire, c’est grâce à cet instinct, cette force en moi qui me poussait à continuer à avancer malgré les peines, les douleurs, les craintes et les plaisirs. Je ne prétends pas être une martyre. Loin de moi cette idée. Et puis je le confesse, je suis loin d’être une sainte. Sainte Leonora, ça ne sonne pas bien de toute façon.

On me baptisa Leonora. Comme les lions de la savane.
Les cinq premières années de ma vie, je les vécus dans une quiète liberté. Je trottinais allègrement où bon me semblait. Même le tragique accident de travail dont fut victime mon père et qui lui coûta ses deux jambes ne parvint à ternir le bonheur de la liberté. J’ose croire que c’est grâce à l’impression que j’ai conservé de ces quelques années lointaines que j’ai pu exacerber ma volonté de vivre malgré tout. Sinon, je crois bien que j’aurais trépassé il y a longtemps déjà.

Ma mère mourut lorsque j’eus cinq ans. Et ce fut le début de ma lutte mortelle pour ma survie. Mon père, incapable de s’occuper de moi et terrassé par le chagrin de la perte de sa chère et tendre, comme il se plaisait à la nommer, dut se résoudre à l’ultime sacrifice pour s’assurer de quoi rembourser ses nombreuses dettes contractées suite à son accident. Et après, il comptait se laisser mourir. Non sans douleur et sans peine, il me vendit comme esclave. Je fus marquée au fer rouge d’un chiffre qui ferait office d’identité pour les nombreuses transactions à venir. 0340. C’était ce qu’on pouvait lire dans le bas du dos, entre mes reins. Et ce ne fut que la première d’une longue suite de marques que je conserverai jusqu’à la fin de mes jours. Mes premiers maîtres furent plutôt indulgents avec la fillette que j’étais. On tâcha de m’apprendre à compter, au moins jusqu’à 20 et à écrire mon nom, c’est-à-dire 0340. Au début, je me refusais à obéir lorsqu’on utilisait cette… matricule pour m’interpeller. Mais j’avais beau leur dire et leur répéter que je m’appelais Leonora, je ne reçus que colère et coups pour ma soi-disant impertinence. Mais était-ce de l’impertinence que de se refuser à se débarrasser de son identité, de son moi…?

À quatorze ans, je crus ma chance arrivée et je tentai de m’enfuir. Me glissant de la couche de mon maître, j’en profitai pour l’étouffer à mort avec son oreiller, puis je pris mes jambes à mon cou. Malheureusement, on me rattrapa et je fus condamnée à 50 coups de fouet et à l’écartèlement. Mais une femme d’âge mûre, dégoûtée, accepta de m’acheter pour une bagatelle. Mais devant mon côté sauvage, elle commença à regretter de m’avoir laissée la vie sauve et elle me refila à mon maître actuel.

Tous les maîtres que j’eus eurent beau me déposséder de mon corps et en faire ce que bon leur semblait, jamais ils ne réussirent à me faire oublier mon passé et ce que j’étais au plus profond de moi : je m’appelle Leonora. J’ai seize ans. Et je compte tout faire pour reprendre les rênes de ma destinée entre mes mains. Je veux être libre. Et au diable les conséquences. L’enfer, je l’ai déjà connu.

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Bonjour et bienvenue! (tiens ça dirait bien a hélios une esclave xD *sifflote*)

bienvenue a toi**, amuses toi bien ici surtout, c' est le principal^^

Je prends aussi l'esclave, si elle parle un langage normal, qu'elle accepte qu'on redresse son éducation morale, de faire de basses tâches scolaires, et bien entendu qu'elle ne coute pas trop cher en salaire mensuel.

Bienvenue surtout, Moera, petite soeur de Wendy.

Normalement par définition, une esclave n'a pas de salaire, ça devrait donc aller de ce côté là^^

Bon courage pour la suite de ta fiche et bienvenue^^

Bienvenue à toi Moera!

Regardez-moi tous ces mecs qui veulent se jeter sur une pauvre petite esclave! Je vous jure! ^^

Non je plaisante. Eldis est contre l'esclavage, donc il lui rendrait probablement sa liberté, mais bon, je vais pas proposer ma candidature, tu en as déja deux (sauf si tu tiens vraiment à moi! ^^)

En tout cas, bon courage pour ta fiche. Je repasserais quand elle sera finie!

Et puis Eldis, il a déjà la moitié de l'humanité en esclavage... Et en plus ! C'est la moitié féminine !

Dis donc toi! J'ai pas d'esclaves moi!

C'est pas ma faute s'il y a que des filles qui veulent me suivre pour sauver le monde! Les mecs c'est tous des planqués! xD

Oh chouette une autre adolescente de 16 ans! On est trois!

Bienvenue jeune esclave, puisses-tu tomber sur un maître pas trop cruel^^

Insinuerais-tu que je suis cruel?

Nan nan, pas du tout, enfin Eldinouchet, je sais bien que t'es un gros lapin en peluche tout gentil

Hep les cocos, le flood c'est par là ---->



Bienvenue a toi en tout cas petite esclace !

salut jeune fille

Uh hmm...

Ça me va, La Ronce ! :D

Et éventuellement, Moera pourrait s'enfuir et tomber sur Eldis... :cheers:

Je suis inspirée ! :D C'est bon signe !

Merci à vous ! Z'êtes chous !

*toujours pas prête à continuer sa fiche !XD*

.... merci moi je compte pour du beurre! *boude et vas caliner son dragon*

Ouah! Une fille qui rêve de s'enfuir avec moi! :drunken:

Rho Hélios! Fais pas cette tête!

Ah non ! Le beurre c'est bon ! :D

Free hug ! :cheers:

*sort*

Une esclave pour Hélios? Et dire que Moera cherche à être libre!^^
Allez! En attendant la fin de ta fiche, je te souhaite la bienvenue!^^

Je repasserais, lorsqu'elle sera enfin finie! *Fichu bug!! *

Bienvenue :cheers: Amuses-toi bien ! :bounce:

Bonne chance pour la suite de ta fiche :)

Bienvenue "collègue" =P

Vivemebt la fin de ta fiche =)

Je te souhaite la bienvenue, j'attends la suite!

Bienvenue à toi jeune dame sous l'emprise de tyran...

Bienvenue à toi!

Bel avatar

Sois la bienvenue parmi nous Moera, j'espère un jour te faire connaître la liberté, drogue qui, une fois goûtée, ne peut plus s'oublier...

Bienvenue j'ai mis Ciara ca fait plus humain