Mécanique d'un coeur [libre a qui veut]

La jeune femme marchait depuis plusieurs jours. Etais ce sa seule destinée ? Peut lui importer. Elle aimait parcourir le monde et rencontrer toute sorte de gens… se liant facilement, la vagabonde avait jusque là toujours trouvait un toit.

La chaleur lui faisait tourner la tête, la guerrière retira sa cape de façon à la laisser pendre à son bras. Ses armes maintenant révélées, elle sentit les regards suspicieux, des mourants alentour la fixer. ‘Les mourants’… en effet la demi-drow se trouvait dans les rues sombres et délaissé de Diantra, ce qui avait pour effet de lui faire baisser la tête.
Les pas de la mercenaire finirent par la menait au coin d’une petite ruelle. Deux hommes, qu’elle qualifia de ‘salops’ tenaient une fillette. La pauvre enfant se trouvait à quelques centimètres au-dessus du sol et gémissait face aux lames acérées de ses agresseurs. Mais plus que les deux imbéciles, Ayala fut pétrifier par un troisième homme. Il semblait être un jeune humain… de grande taille pour sa race, l’homme possédé de beaux cheveux gris qui lui tombaient sur les épaules. Sa peau pale laissait entrevoir un regard et des trais froid.

La nouvelle arrivante continua durant quelques secondes, d’observait la scène. Elle comprit alors que l’homme, pourtant armé, ne se déciderait pas à ouvrir les yeux, sens doute fermé pour rester en dehors du combat. La jeune femme scandalisée commença à faire quelques pas lorsque le ‘glaçon’ se leva. L’agressais venait de parler et d’enfin le faire réagir ! Sortant son arme noire, l’inconnu trancha la tête d’un premier et laissa agonisais le second qui venait de perdre un bras. Se retournant, il partit de l’allée. Passant devant la femme choquait, il ne sembla pas la voir. Ayala eu l’envi de lui criait une quelconque insulte mai se rattrapa. Il lui fallait aider l’enfant maintenant terroriser…
Après s’être avancé dans la noirceur du lieu, elle acheva le mourant et rassura l’enfant. Après quelques minutes de soins, la jeune femme décida de partir à la recherche de ‘l’autre’. il avait regardé son œuvre avec tant de d élection… bien qu’humain, le jeune homme rappelait les Drow…

Après de courtes recherches, Ayala fini par trouvait celui qu’elle cherchait. Il continuait à marcher, là dans ses rues aussi abandonné que son cœur ! Sa démarche semblait insouciante et frêle. Tout faisait pensé à un promeneur dans les bois contemplant une belle fleure. Ce rapprochement paru étrange à la vagabonde, pourtant s’étais bien ainsi qu’on voyait l’homme silencieux et poser.
Sans réfléchir, elle s’avança vers lui. Lui attrapant le bras elle le retourna plus violement qu’elle ne l’aurait souhaiter. Mais, choisissant de ne pas s’excusait, elle exposa son idée.

« Comment avez pus laisser cette gamine… elle ne trouvait plus ses mots. L’enfant aurrait pus mourir, torturer devant vos yeux, et vous… vous restez là… ! »

la jeune femme se tut incapable de continuait sans frapper l’humain. Enervé, elle attendait maintenant une réponse.
‘Et s’il ne dit rien alors… je risque de réellement m’énervé…’ pensa t elle en le contemplant d’un regard méprisant.

La jeune femme toujours pleine d’amertume, écouta attentivement les réponses de l’inconnu.
« Car je suis un démon ! Mes excuses ne changeraient rien a votre colère, peut êtres bien qu’elle aurait pus êtres torturé mais ce ne fut pas le cas non ? »
La phrase laissa Ayala perplexe et elle ne sut quoi répondre. Elle toisa de son regard perçant cet étranger. L’humain lui sembla toujours aussi grand et imposant. Son apparence restait toujours aussi froide, et la vagabonde n’ajouta que ses yeux jaunes et son arme, qu’il accrochait dans son dos, de couleur noir à sa première description. Fixant les pupilles de l’homme, elle se demanda s’il réalisait ses gestes. Oui, bien sur qu’il les réalisait… malheureusement beaucoup, et même humain, étaient sans cœur et sans pitié. Pourtant, la jeune femme avait l’étrange impression que l’étranger n’était pas un de ces infâmes êtres… l’homme semblai plutôt envahit d’une grande solitude… et puis, n’avait-il pas épargné l’agresseur une fois le combat gagner… ! un simple sadique l’aurait tué voir même torturer…

Balayant ses pensés d’un hochement de tête, la jeune femme répondit à son tour.
« Un démon… qui a dit que les démons ne possédaient pas de cœur… !? Pour ma part, je suis une bâtarde promit à de tristes dessins et de nombreuses horreurs, et pourtant cela ne m’empêche pas de choisir mes gestes en rectifiant ma vie… elle s’interrompu de façon à reprendre son souffle. C’est vrai, cette fillette n’a pas subit de torture, mais cela aurait put être le cas… ! Pourquoi ne pas avoir réagit… ? »
La mercenaire commença à ce calmer et souffla d’incompréhension devant les gestes de l’homme. Pourquoi les êtres étaient ainsi ? Si seulement les vivants restaient comme cette douce nature qu’elle aimait tant. Les sentiments… oui les siens étaient parfois trop débordants, et cela tout particulièrement lorsqu’un enfant était en jeu, elle comprenait donc que les autres préfèrent les enfermer en eux.
Souhaitant reprendre son attitude sereine, la jeune femme secoua son épaisse crinière brune et bouclée. Une mèche lui retomba sur le visage, cachant ainsi une part de son œil gauche. Ce geste avait pour habitude de lui changer les idées ou de lui rendre son caractère poser et détacher. Son regard ambré balaya ensuite la rue déserte. Les pavés grisâtres étaient recouverts de crasse et d’eau croupie. Les habitations alentours étaient délabrées et miteuses.
‘Qu’elle misère… et dire que certains vivent ainsi…’ songea l’orpheline.
Attrister par se sombre décor, la voyageuse ne laissa néanmoins rien paraitre et retourna toute son attention sur cet étrange interlocuteur qui l’intriguer de plus en plus.
Qui était-il ? Et pourquoi ce regard sombre et seul ? Quel passé pouvait rendre un homme ainsi ? Avait-il comme elle subit de tristes sorts… ?

Un peut de silence elle semblait ne pas savoir pendant un instant quoi répondre ce qui laissa aux jeune homme un peut de réflexion il gardait ses yeux fixer sur l’étrangère sans jamais bouger sont regard , il ne changeait pas sa vision des y . Il l’écoutait sans rien dire , un démon possède un cœur cella est vrai ça lui sert a faire circuler le sang .. et oui ca vision du monde se limitait aux réalité , il n’avait pas place pour les rêves ou les jolie phrase comme avoir un cœur d’or pour c’est juste un organe qui lui sert a vivre , et quand il s’arrêtera , il sera un jouet casé bon jeté ..il finira sans doute a croupir aux fond d’une fosse commune ou manger par les loup , les deux impose lui sont égale .. C’était ses bien sombre pensée qu’il gardait pour lui ..elle se disait bâtarde , elle n’aura pas la moindre compassion ou paroles pour contredire cella , il n’a pas pour habitude de rassuré ou changer les idée des gens . Elle se dit bâtarde , et bien qu’elle continue a le pensé même si pour lui peut importe les parent ou la race , on est ce qu’on désire devenir .. lui c’est un humain dont ont a décider qu’il prendrait part aux mal et qu’il endosserait le rôle du méchant , il a accepter cella est a forgé sa vie de façon aussi minutieuse qu’il forge ses armes .

Il le faut bien quelqu’un , quelqu’un qu’on pourra accusé d toute les horreur , comme cell tout le monde s’entend bien a dire qui est le méchant .. si c’est clairement marqué sur sont front et dans ses acte les gens ne se disputeront pas a savoir qui est le méchant il seront tous d’accord ..même si cella n’était pas vraiment les plans de sa mère , non elle était juste aigrie est maudissait le monde entier …Lui aussi était un enfant bâtard , nés de deux clans opposé ont le surnom petit bâtard , l’enfant qu’on cachait pendant les visite familiale , caché comme un animal ou un objet pas présentable ..non désiré du monde cella énervait la mère .

« pourquoi ?…. »

cella il se le demande souvent sont esprit et si vide , il avait murmurer se pourquoi le regard ayant prit une teinte un peut perdue et cherchant une réponse dans sont esprit .

« si je savait pourquoi …la vie est un puzzle dont j’ai perdus les pièce »

dit-il dans uns sens cella ne donnait pas de réponse clair tout simplement car il n’en avait pas .. quand il repense a la jolie petite fille il a toujours celle douleur dans le corps , es que les sentiment sont possible dans sont corps ? Mais il se sentait un peut intriguer par l’inconnue car elle semblait débordé de sentiment et ne pas êtres dérangée d’en parler , cella formait une chose qu’il ne connaissait pas , il avait envi de savoir un peut plus sur ce qui lui était inconnus ..en parlant a cette étrangère il vas peut êtres savoir c’est quoi qui bloque en lui …Même si il aime pas parler , même si il a pour habitude d’êtres seul et arraché les vie a tout vas .

«Pourquoi devrait-on forcément aider les gens ? »

C’était une question qu’il se pausait il avait déjà eu des réponse mais elle ne lui était pas satisfaisante ..Lui na jamais vraiment ressentit l’obligation ou l’envi d’aider , du moins il ignorait cella , il n’aide que quand l’attaquant semble fort …ou qu’il semble pourrit jusqu’a l’os . Quand il voyait la misère du coin il se disait qu’il devrait tout réduire a néant , tout détruire pour obliger les gens reconstruire ou s’ionstaler ailleurs ou il serait mieux ..pourquoi les gens sont si bête ? il reste dans l’horreur de ses ruelle alors que hors des ville il y’a de quoi vivre et moins de maladie mortelle .

[:) :D ]

Les questions sourdes et sans réponse de la jeune femme s’éteignirent. L’inconnu avait reprit la parole. Il déclara ne pas savoir pourquoi il ne réagissait pas.
« La vie est un puzzle dont j’ai perdu les pièce » continua-t-il.
« Dans ce cas pourquoi ne pas les retrouvés… » ne put-elle s’empêcher de rétorquer.

L’homme sembla ne pas avoir entendu le murmure et enchaina avec une nouvelle question. Il demandait pourquoi devait-on aider les gens… en voilà une bonne interrogation… a vrai dire, Ayala n’avait jamais réfléchi à ce genre de chose. Cela lui semblait simplement normal… elle repensa à son enfance et se souvient de l’époque ou elle ne faisait que tuer sans merci. Aider les autres lui paraissait alors une abomination et seule elle compter ! Mais les temps avaient changé et on lui avait apprit à aimer. Elle avait ainsi réussi à rouvrir son cœur et à pardonner. Sa vie c’était transformer et ses envies aussi. Désormais, elle aidait sans rien demander en retour. Exactement comme on l’avait autrefois fait avec elle… que se serait-il passé si personne ne lui avait un jour tendu la main ?
« Nous ne devons pas forcément aider les gens mais… elle modifia sa position en s’appuyant sur sa hanche gauche. Ses mèches brunes dégringolèrent sur son épaule légèrement penchait et dégagèrent son visage. Pourquoi ne pas le faire ? Pourquoi laisser l’abomination perpétuer ? laisser un innocent aux tortures et à la mort… »
Elle laissa sa phrase en suspension de peur de replongeait dans un sentiment débordant d’amertume, de colère et de tristesse face à se monde. Un vent chaud se rependit dans l’allée, laissant ainsi remonter une forte odeur de pourriture venant des égouts. L’air souleva la chevelure brune de la jeune femme. Ses paupières se fermèrent un court instant. Sa paume se posa sur sa lourde épée couleur de sang. Cette teinte… elle l’avait acquise au court des turies pratiquer… la vagabonde se rappela une chanson que ses camarades lui chantaient :

‘tes ailes blanches,
son teinter de sangs,
couleur d’amour et de haine’

Les paroles pouvaient paraîtres sympathique jusqu’à ce qu’on sache leurs véritables connotations… les ailes blanches représentaient sa peau trop pale pour un drow pure, le sang d’amour était celui de ses parents qui avait coulaient et qu’ainsi elle ne serait plus jamais aimer, pour finir, le sang couleur de haine était le sien… étant battu son sang se répandait à terre et la faisait peu à peu haïr le monde…
Elle rouvrit ses yeux d’ambres et ainsi chassa ses tristes souvenirs.
La jeune femme repensa ensuite à l’étranger et ses lèvres pourpres s’entrouvrirent une nouvelle fois.
« N’avez-vous jamais souhaitait aider quelqu’un ? » La voix était douce et calme mais montrer à quel point la mercenaire était sur d’elle.
L’homme répondrait sûrement par une phrase détourner ou un non, mais la jeune femme tenait toute fois à la poser. Le vent continua à se répendre dans la ville et vient se brisait sur les toits rouge.

[Hrp Le titre signalait toujours que le Rp était libre... j'espère que je ne gêne pas ^^]


Cheilan était sorti des bois depuis quelques jours déjà. Son expérience l'avait conduit à choisir le chemin de la ville, les routes de pavés qui filaient vers la capitale.
L'immense Loup-Mage avait traversé une petite bourgade au lever du jour. Au détour de l'une de ces ruelles qui la parcouraient, il était tombé nez à nez avec un humain: la face du jeune homme s'était cognée avec violence contre son museau noir. Il n'avait pas bronché, l'autre était tombé par terre, les yeux écarquillés. Il manquait le bras droit à cet être, victime d'un autre humain, forcément. Sans réfléchir, Cheilan le savait.
De par son essence même, il ne ressentait pas la pitié. Mais il se pencha vers l'être terrifié, gémissant devant la bête qu'il était, et il planta sans haine ses crocs dans son épaule. Sans en broyer les os, ni même déchirer les muscles. Simplement, avec douceur, pour goûter son sang.
Ce n'était pas elle. Le Loup-Mage continua donc son chemin. Mais au fond de lui, au plus profond de son être, il sentait un malaise le gagner. Le goût du sang humain... Quelque chose le heurtait.

Dans l'après-midi Cheilan s'engouffra dans Diantra. Sur son sillage germaient l'effarement et la panique. Il n'avait pu tous les goûter. Comme avant, ces êtres fourmillaient...
Mais il sentait que sa position à lui avait changé. Il n'était plus frêle louveteau, ni le protégé faible de l'Humaine. Et il savait qu'il devait cela à la croissance de son corps. Il était très loin d'être idiot... Son intelligence aurait égalé celle des humains si l'on aurait pu comparer. Mais elle était différente. Il ne parlait pas, ne pensait pas avec des mots, et percevait tant de choses qu'ils n'eussent seulement pu concevoir !
Elle... La reconnaîtrait-il ? Il avait vécu une partie de son existence à son coté, durant laquelle elle avait grandi, évolué. Cela le faisait douter immensement.

Aussi était-il dans un drôle d'état d'esprit lorsqu'il la vite, cette fillette qui tremblait, les pieds dans une mare de sang. Il hésita quelques secondes. Elle avait besoin de quelque chose, et à cet instant il pensait encore à ce qu'il était, petit. Alors il s'avança sur elle, et saisissant dans sa gueule un pan de son vêtement, d'un coup de tête, jeta l'enfant pétrifiée sur son dos. Il la garderait là un peu, si elle ne sautait pas à terre. Ce qui était peu probable; elle aurait sauté de deux fois sa hauteur. Ou très probable, si l'on se plaçait de son point de vue.
Jamais il n'avait eu d'humain vraiment sur son dos, enfoui dans son épaisse fourrure, et qui lui tint chaud...
Le Loup-Mage ne s'arrêtait pas, cependant. Il tourna à gauche, et de nouveau lui parvint l'odeur du sang de la ruelle. Un humain, un humanoïde.

La fente qui lui tenait lieu de pupille s'amoindrit jusqu'à n'être plus qu'un fin trait vertical. Il sentit sa magie affluer en lui.

(non tu gêne pas t’inquiète ^^)

]Pourquoi pas en effet , ça ne doit pas êtres si dur que ça de retrouver les pièce d’un puzzle même si le monde est vaste , cette idée semblait amusante , mais il vas peut êtres , se retrouver vite lassé de chercher ce qu’il ne comprend pas . Il serait bien tenté de partir visité le monde en cherche de ses réponse qui lui manque , mais cella n verrat peut êtres que plus renforcé sont état incertain ou le faîte qu’il se dit démon ? allez savoir mais cette proposition serait tentante de chercher les pièce manquante . Il valut un peut de temps pour que l’inconnue réponde a sa question , la réponse n’était pas très clair mais la tournure lui plait car elle laisse place a encor plus de question .. temps mieux il aime bien trouvé les réponse par lui même . Pour elle ça semblait êtres un geste naturelle , que devait-il dire car c’est lui le tortionnaire et le torturer en général , car il combat jusqu’a ce que la personne en face s’avoue vaincue ou qu’elle ne sache plus bouger et rétorqué .. cella sembla parfois cruelle et sans pitié , il lui arrive d’arracher membre après membre a un êtres vivant jusqu’a quand il s’avoue vaincu . ..le vent chaud qui soufflait dans la ruelle fessait volé quelque mèches des cheveux blanc de l’homme troublant un peut sa vue a certain moment et ne laissant plus qu’un seul œil de serpent fixant la demoiselle .. pupille de serpent car il sont jaune et froid , un peut perdus dans le fond . La rue sentait assez mauvais , une remontée d’odeur de pourriture venant des égout mais sans doute aussi des moisissure qui traînait dans les maison et les rue .Mais les odeur nauséabonde ne lui fessait rien , juste un léger dérangement aux narine mais rien de plus .

« Je ne me souvient pas avoir fait cella un jours…..je n’ai jamais rencontré personne qui ma donné l’envie de l’aider …..on peut très bien survivre en ayant subit la torture «

étrange point du vue , ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort non ? il a subit lui même des chose proche de l torture de la part de sa mère et il ne sent sort que plus fort .. pour le moment il y’a juste la gaminE qu’il a aider sinon jamais personne na bénéficier de cella de sa part . Il se demande se qu’on ressent en aidant spontanément quelqu’un ? es que ça fait du bien es que ça remplis le vide dans un cœur ? il essayera une prochaine fois pour le moment il vas réfléchir un peut . Il voulut répondre encor a la douce voix de l’inconnue mais il sentit une présence , pas humain mais animal . Sont regard se posât sur un belle animal noir mais surtout sur ce qu’il portait sur sont dos ..l’enfant …Il le fixa sans rien dire , es que cette animal veut du mal a la jeune fille ? peut lui importe cella ne le regarde pas il a encor sur ses main le sang des homme de tout l’heure . La petite avait toujours peur de tout a l’heure , ont l lisait dans ses yeux quand elle avait tourné ça tête vers belphegor .. mais après un moment elle eu quand même un léger sourire , es qu’elle est folle ? elle ne vas tout de même pas croire qu’il la aider car il avait de bonne intention , es c la naïveté d’un enfant ?Un voyant se sourire le regard de l’homme t tout ont visage ont eu une mine étrange , un mélange de tristesse et d’incompréhension . Ce loup paraissait étrange , il savait qu’il devrait sans méfier ..le visage étrange laissa place a un léger sourire un peut sombre et inquiétant .. ses mèche de cheveux cachant un peut ses yeux . Es que l’animal veut attaqué , qu’il vienne , belphegor n’attaque jamais pour rien t n premier ..puit étrangement il aimerait se débarrasser de la douleur dans sont cœur quand il regarde la jeune fille dans cette état de peur .

" Es de voir les gens sourire qui peut faire mal aux cœur ? "
demanda t’il en tourna légèrement sont regard vers l femme dont il ne savait toujours pas le nom .Une de ses main posée sur sont propre cœur Et l’autre sur sont épée . froissant le tissus de sa cape noir ..il s’en posait des drôle de question , mais personne ne lui a vraiment jamais parlé , en général on l’attaque ou ont l’ignore . Alors il devait paraître assez étrange dans ses question , ou sa façon de pensé , un petit monde pleins de question .

Ayala avait retrouvé sa nature poser. Et si les questions et réponses de l’inconnu n’avaient pas étaient aussi étranges, elle aurait même reprit son habituel sourire chaleureux… attentive, elle écouta la nouvelle réponse. Alors il n’avait jamais ressenti le besoin d’aider… soufflant de tristesse pour cet être dont elle ignorait tout, mais dont la solitude la heurter, elle se demanda s’il elle avait un jour était ainsi. Oui… elle l’avait été ! Mais elle avait changé… si une gamine rejetait, torturer, tueuse et ayant pour premier souvenir la mort des siens, avait pu sortir de ses longs et interminables couloirs noirs et glacials, alors avec un peu d’aide tous le pouvait ! Certes la rancœur, la haine, et l’impression de vide était dure à effacer une fois encrer en quelqu’un, mais la mercenaire restait persuader que rien n’était perdu d’avance. Il fallait simplement le vouloir au plus profond de soit, être près à tout abandonné, et surtout avoir la chance de rencontrer la ou les personnes provoquant les réponses secrètement attendues ainsi que l’espoir…

Ses yeux mi-clos retournèrent des années en arrière. Une femme au regard pourpre se battait sur un champ de bataille empourpré de milles feux par l’aurore. Au loin le soleil enflammer le ciel et couvrait la terre d’une lumière rouge. Le sable avait prit la teinte noire du sang sec au court de la nuit. Des dizaines de morts jonchés sous ses semelles de cuire, sa peau mate et ses vêtements étaient recouverts du liquide poisseux qu’était le sang. Ses cheveux au vent balayés sont regard aussi froid et dure que la pierre. La lame levait, les bras à hauteur sa tête, les mains sure d’elles s’abattaient sur le corps d’êtres vivants. Cette femme… elle ne les connaissait pas… elle n’avait nullement de raison pour ainsi agir, mais elle n’y pouvait rien. Seule le sang la recouvrant avait le pouvoir de comblait le vide l’habitant… rouvrant pleinement les paupières, Ayala fit de nouveau face à l’humain. Un bruit sourd se fit alors entendre. La jeune femme ne détourna pas le visage. Elle n’en avait pas besoin pour apercevoir le nouvel arrivant… en effet, les yeux jaunes de l’homme fixer désormais l’animal. La demi-drow se servait donc de ce reflet pour le voir…

Un étrange animal venait de surgir. De grande taille pour un chien, l’animal avait un pelage soyeux et noir accompagner de deux yeux perçants et glacials. Le loup possédait une allure impressionnante, mais la voyageuse ne s’en trouva nullement effrayer. Elle avait en effet vu plus d’un ‘géant’ au court de ses périples… non, ce qui fit légèrement sursauter la jeune femme fut d’apercevoir la fillette de plutôt incruster dans la chaude fourrure. Que faisait- elle là ? et sur le dos d’un tel animal qui semblait plus un féroce tueur qu’un inoffensif sauveur…
L’enfant paru d’abord effrayé au vu de l’homme aux cheveux blanc. Puis retrouvant son innocence elle lui sourit. Attendrit par cette petite vie, Ayala sourit à son tour. Une nouvelle question surgit et coupa court aux réflexions de la vagabonde.
" Es de voir les gens sourire qui peut faire mal aux cœur ? "

La question insolite laissa perplexe la jeune femme qui trouva néanmoins rapidement une réponse. Avant d’ouvrir une fois de plus ses lèvres rouges, le regard observateur de la demi-drow perçut la nouvelle position de l’humain. L’une de ses mains était poser sur son cœur et l’autre sur son arme. Cette information fit mouche et pénétra le cerveau de l’orpheline.
‘La fillette produirait-elle un quelconque effet ? pour quelqu’un pensant que les sentiments lui sont inconnus cela doit lui être étrange…’

« Cela dépend… il y a toute sorte de sourire et chacun les interprètes à sa façon et selon son caractère… le sourire narquois de mon maitre aujourd’hui mort, m’a longtemps fait souffrir… puis il m’a laissé de marbre… pour d’autre se sont les sourires de haines, hautains ou au contraire chaleureux qui crée la douleur… rappelant mauvais souvenirs, douleurs oubliés, ou sentiments incompréhensibles… cela serait d’ailleurs votre cas… répondit-elle calmement et souriante. Cette petite ne transformerait-elle pas votre perpétuel vide ? » Demanda-t-elle en se fondant son propre oignon et désignant la cavalière du loup.
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Cheilan se souvint. Il était dans cette forêt, cette forêt qui l'avait vu naître, et il y retrouvait sa mère.

Elle ne l'avait pas oublié, mais lorsqu'elle le vit, elle choisit de faire comme si cela était le cas. Elle avait tant souffert de sa disparition qu'elle avait décidé qu'il était mort, qu'il n'y avait plus rien à faire. Ce fut la seule chose qui ait pu calmer son esprit. Et maintenant, il se tenait là, devant elle, de retour des limbes, le poil collé par le sang -du sang humain mêlé au sien.
Elle ne le connaissait plus.

Toujours, elle guidait la meute, elle était chef, tenant par son intelligence une cinquantaine de loups cendrés. Mais elle était de la race des Loup-Mage, aussi les tréfonds de son âme se sentirent obligés de guider ce jeune Loup égaré qu'elle venait de renier. Elle le conduisit à l'entrée d'une grotte et l'y abandonna. Cette grotte menait jusqu'aux entrailles de la terre...
Perdu, il s'y enfonça, et dans la cavité résonna longtemps ces grondements mêlés d'effroi, d'incompréhension et de haine.

De nouveau, l'image de la ruelle s'imposa à son esprit. Mais elle demeurait trouble.
Sa magie courut sur le sol, sans but, ou alors au contraire possédant un but trop profond pour que quiconque n'en comprenne le sens. Il se trouvait une plante, misérable liseron écrasé à l'instant par l'humain. Elle s'y concentra et y insuffla la vie tandis que la plante se redressait, que ses fleurs fanaient et donnaient de petites graines mûres. Mais cette magie incontrôlée était violente, ainsi la plante acheva son vieillissement, aussi vite qu'il en avait été de sa renaissance. En quelques secondes à peine, elle gisait flétrie et morte sur le sol de terre battue.
Cheilan, dans son trouble, n'y avait prêté attention. Il avait perçu les paroles des humains, qui résonnaient encore dans son esprit, agitant quelque chose après toute ces années.

" Est-ce de voir les gens sourire qui peut faire mal au cœur ? "
« Cela dépend… il y a toute sorte de sourire et chacun les interprètes à sa façon et selon son caractère… le sourire narquois de mon maitre aujourd’hui mort, m’a longtemps fait souffrir… puis il m’a laissé de marbre… pour d’autre se sont les sourires de haines, hautains ou au contraire chaleureux qui crée la douleur… rappelant mauvais souvenirs, douleurs oubliés, ou sentiments incompréhensibles… cela serait d’ailleurs votre cas... Cette petite ne transformerait-elle pas votre perpétuel vide ? »

Ces mots se frayaient un chemin dans son esprit, et peu à peu, au fil de sa réflexion, leur sens lui apparut. Pas dans son intégralité, toutefois; il était là des notions qu'il n'avaient jamais saisies en tant que telles. Quoi qu'il en fut, c'était plus le ton, la force mise à parler qui le renseignaient. Ainsi que le geste, évident: une arme. Mais une arme faible, une simple lame, pas de celles qui brûlent ou qui empoisonnent.

Le grand Loup-Mage fixa l'humain dans les yeux, des yeux bien étranges au regard chargé d'une promesse de violence. Il était à sa hauteur, face à face, il aurait pu en éclair se jeter sur lui. Mais il n'était pas l'Humaine, cela il l'avait su depuis le début.
Alors, il redressa ses oreilles jusque là orientées vers les cotés, et les planta face à l'autre, rigides et bien tendues vers lui.
Les humains étaient si bornés... Comprendrait-il seulement sa curiosité ?

Sur son dos, la petite s'était assise. A quoi pouvait-elle bien penser pour ne point s'enfuir, terrifiée ? Mais cela était mieux ainsi, il ne s'en trouvait pas mal, même pas alourdi. Le contraire aurait été étonnant, point du fait de son point plume, mais de celui de la force du Loup-Mage. Celle-ci n'avait rien à envier à ce qui l'entourait.
Car ils étaient nombreux, tous ces êtres vivants. Ces animaux et ces plantes, et ces humanoïdes - bien qu'ils fussent d'une importance moindre au regard de ce qui les environnait.

Cheilan pencha légèrement la tête sur le coté, et fixa celle qui était de plus petite taille. Il était à une distance respectable, aussi amorça-t-il une courte marche qui devait le mener à leur contact.