[Crypte] Cryptographie..[terminé]

Ah oui, c'est vrai, c'est une sorte de gros pigeon de cathédrale.

Heu elle depassait pas un peu les bornes la . Un pigeon c'est nuisible, c'est enervant, ça fiente partout. Un actael c'est grand, majestueux, dangereux. Rien a voir.
Decidement la femme n'avait pas l'air d'avoir fait expres , mais bon, c'etait tout de meme tres desagrable a entendre.
Licsis pensa qu'i en verrait de toute les couleurs avec Mari si il s'atardait avec elle. Il n'etait pas sur de vouloir perndre ce risque.

Il y a de la companie qu'il vaut mieu eviter. Et des gens sur qui il vaut mieu ne jamais tomber. Mari etait uen femme sur qui il vallait mieu pas tomber quand on etait un guerrier sanguinaire et sans remord, quoi que, peut etre que par crainte de mourir , elle se comporterait de maniere exemplaire...

Sans vouloir vous offenser, bien sûr. Enfin, sans vouloir offenser votre pige... actael.
Et c'ets quelle recomençait en plus ! Licsis laissa couler, de toute façon meme si la femme faisait expres, il y avait des gens bien pire, des gens qui tuaient, des gens qui etait carement pas bien. Mari etait juste un peu bizarre. Licsis comprenait bien mais iln'arrivait pas vraimen a cerné Mari.

Bon, je ne veux vous importuner plus longtemps si vous preferez etre seule alors je vais vous laisser.

Mari n'avais jamasi dit vouloir etre seule, mais il vallait mieu la laisser seule avec ses scarabée. Nom pas que Licsis se debinait, mais leur conversation ne menais a nul part...

- Je ne préfère pas être seule, mais personne n'a envie de venir cueillir des scarabées et surtout pas dans une crypte. C'était juste plus pratique de venir seule, affirme-t-elle.

C'était pas faux. Marion n'aimait pas être seule. Elle n'aimait pas la compagnie, c'est tout. Sans compagnie dans la foule, ça c'était bien. Y'avait des tas de clients potentiels dans la foule. Et les clients, c'était bien pour faire des écus. Et les écus permettaient de vivre confortablement. Tout ça était d'une logique implacable qui contentait Marion.

- Mais bon, j'en ai assez pour l'instant, dit-elle en tapotant son raton-laveur mort. Je vais y aller, je crois, et vous laisser à votre balade. J'ai sans doute trop abusé de votre précieux temps de détente.

Mieux valait rester courtoise... enfin, un minimum courtoise, parce qu'un Prêtre... Haut Prêtre surtout, c'était souvent rapide sur l'immolation au nom de... et Marion avait encore es tas de choses à faire avant de crever. Ça tombait bien, elle avait une longue vie devant elle. Pas comme ces éphémères d'humains. Mais bon, ce type là, était un demi-elfe... ça c'était une problème en soi... il risquait de la reconnaître plus tard... bien plus tard. Boarf, elle aviserait en temps et lieux.

Maintenant, restait à sortir d'ici.

Elle jette un coup d'oeil autour d'elle.

Elle est arrivée par ici... euh.. non, par-là.

Licsis n'etait toujours pas partit. Quesqu'il attendait ? Que la dame se rende comte qu'elle etait completement paumé. La cause ? La salle dans laquelle elle etait ressemblait a exactement 12 autres salles. Pour un resultat final de 13. Hasard ? Peut etre pas.

J'ai sans doute trop abusé de votre précieux temps de détente.
Mon temps n'est pas plus precieux que le votre, ou du moins il ne devrait pas l'etre. Le temps n'est qu'une valeur, il a toute les valeurs et est parfois sans valeurs.
Enfin je ne vais pas deployer toute mes afabulations sur le temps et comme le disais mon pere, "On va pas extrapoler !".

Licsis commença a reflechir vraiment beaucoup sur une ultime phrase pour Mari. Il voulait etre sur de faire passer un message ni trop fort , ni trop doux. Pas quelque chose qui lui change la vie mais plutot quelque chose qui la fasse reflechir.

Pendant ce temps, Licsis racompagna la femme a la sortie. Il etait perdu dans ses pensées et ne disait mot. D'ailleurs comment avait til fait pour dire a la femme qu'il la racompagnerait a la sortie ? Surement lui avait t'il proposer inconsciament. Det out façon meme si sa tete etait ailleurs, ses pieds connaissaient le chemin et ils arrivrent rapidement devant la cathedrale.
La licsis sifla puis il se tourna vers Mari.

Vous devriez faire plus confiance aux gens et ne pas avoir peur de ce qui pourait arriver. Car a trop faire, vous finissez par vous enfermer dans une bulle qui vous empeche de profiter pleinement de la vie. La lonnnnnngue vie qui vous attend.Il y a des gens qui sont pas dupes et qui doutent. ces gens la se souviendront toujours. Vous ne pourrez vivre eternellement deriere ce mur que vous vous etes construit. On il va casser, ou quelqun va passer au travers.
Si vous tenez tellement a la vie, pourquoi ne pas aussi decider de profiter ce cette derniere ? Vous devez surement vous dires que c'est ce que vous faites et "de quoi je me mele". Je ne vous sent pas heurese, mais je dis , vraiment heureuse.
Une femme comme vous merite mieu...

Licsis avait dit cette phrase comme ça, en fait il avait laisser des sous entendus a interpreter comme il fallait. Licsis avait remarqué qu'elle evitait les details su sa vie le plus possible, que ses oreillles etaient caché par une chevelure ( ça compte) qu'elle repetait certaine phrase comme si elle l'avait deja dite un million de fois, etrange. Qu'elle degageait quelque chose de pas humain. Quelque chose de plus...
La partie elfique de Licsis avait tilté. La femme etait trop etrange pour etre normale. Et parfis les gens qui cachent trop de choses deviennent etrange. Licsis etait presque sur d'avoir raison mais il ne chercha pas a le savoir, il elle voulait lui dire elle lui ferait signe.

Que Tira decide de vous garder en vie le plus longtemps possible ! Et que notre route se croise a nouveau !

Et la Licsis monta sur son actael fraichement arrivé et s'envola vers d'autre cieuxxxxx...Mari n'allait peut etre pas l'apecrier pour ce qu'il venait de dire, mais Licsis se serait sentit mal si il n'avait pas dit ce qu'il pensait. Non assistance a presonne gachant de bonnes choses...
Que de droles de rencontres pour une heure ou deux dans la crypte ! Licsis se souviendrait ce cette Mari...Si c'etait son vrai nom...

Marion n'était pas perdue. Elle savait exactement où elle était. Elle ne savait plus trop où était la sortie, mais c'était qu'une question de temps. Elle choisit une direction et s'y engage, tandis que Licsis y va de son monologue sur le temps. Court monologue, pour au final lui dire qu'il ne va pas extrapoler. Elle lui adresse un sourire poli. Et se remet en marche. Et il la suit. Ou peut-être que c'est elle qui le suit. Après un moment, ça devient pas très clair. Mais ça se fait en silence. Il semble en proie à de profonde réflexion. Puis ils arrivent à la sortie et il siffle.

Ah non, pourquoi il sifflait ? Ce genre de truc à la sortie de la cathédrale ne lui disait rien de bon. Elle jette un coup d'oeil autour d'elle, puis le Haut Prêtre y va pour un autre monologue. Ouais, ok, c'est bel et bien un prêtre. Il veut sauver le monde semble-t-il. Mais elle ne veut pas être sauvée. Elle est très bien comme ça. Une femme comme elle méritait mieux ? Ouais, tu parles, passer sa vie à tirer des flèches dans les airs et à jouer les bonnes filles ? Non merci, très peu pour elle.

Pendant ce temps, le gros pigeon était arrivé. Marion recule de quelques pas prudents, de manière parfaitement naturelle. Elle n'aimait pas ce qui était très gros. Surtout quand c'était potentiellement dangereux.

- Que Tira decide de vous garder en vie le plus longtemps possible !

Quel étrangeté que la déesse de la Mort veuille la garder en vie... mais bon, c'était qu'un Haut Prêtre, pas la déesse lui-même. Elle se contente de sourire, parce qu'elle se demande franchement si un "J'vous souhaite la même chose" aurait été acceptable.

- Et que notre route se croise a nouveau !
- Pourquoi pas, conclue-t-elle, avec un sourire de circonstance.

Et il grimpe sur son zozio et il décolle. Elle assiste en silence au décollage et n'ajoute rien d'autre. À quoi bon de toute façon. Il aura eu l'impression de faire une bonne action ? Bah pourquoi pas.

Marion hausse les épaules et fait demi-tour. Elle est dehors, à l'air libre. Elle retire le foulard de sur ses cheveux et replace quelques mèches rebelles, pour parfaire sa coiffure soigneusement étudiée pour camoufler quelques traits physique qu'elle préfère cacher. Puis elle se dirige d'un pas léger vers la ville, la partie saine de la ville.