Rencontre entre assassins [ PV: Erwan]

Ailen déambulait lentement dans les rues. Non pas les toits, les rues... Elle marchait dans les rues comme une femme normale. Ses yeux ne pétillaient pas, ils étaient perdus dans les vagues d'une mer tumultueuse de pensées. Par contre, un doux sourire était affiché sur ses lèvres. Loin du sourire de masque qu'elle affichait normalement. Elle venait de retrouver le propriétaire de son ancienne maison. Ne pouvant payer les impôts de deux maisons, il la lui avait céder sans demander de prix. Il lui avait donné... Elle se dirigeait donc vers son ancienne maison, la sienne désormais. Elle avait maintenant un point d'attache à Diantra. Un point d'attache pleins de souvenirs heureux !
Dans son bonheur, elle avait négliger ses défenses, et donc ces arrières. Pourtant. Lorsqu'elle sentit un léger picotement sur sa nuque, elle sut qu'elle était observer.
Elle ralentit légèrement. Lançant des regards sur les cotés sans changé son allure. Ses mains dans son dos et recouverte de ses foulards, descendant de ses épaules jusqu'à es genou environs, amortirent la chute de son nunchaku qu'elle fit délibérément descendre de ses épaules. Prête à se défendre si on l'attaquait.
Elle se retourna. Un sourire espiègle aux lèvres, la tête haute. Il n'y avait personne dans la ruelle... Évidemment.

- Bonjour.
dit-elle simplement d'une voix enjouée, un sourire aux lèvres.

Ses yeux parcouraient toutes les embouchures de ruelles, il était caché, mes où ?

- C'est très malpolie de ne pas se montrer quand on vous parle. Allons, ne soyez pas timide, je ne mord pas.

Rien. Personne ne se montra. Pourtant Ailen sentait qu'il était toujours là. Il l'inconnu peut être une femme après tout.
Elle avait également l'impression que celui ci se déplaçait. Un trouble envahit subitement Ailen. Qui était-il et que lui voulait-on ?
Dans cette petite ruelle, elle était seule ou du moins seule avec cet inconnu.
Un réflexe la fit se retourner vivement. Devant elle, a un mètre environ un homme. Roux ocre... Juste un peu plus foncé qu'elle mais de peu... De grand yeux bleus. Un bel homme il fallait le dire.
Ailen leva légèrement la tête en la tournant légèrement avec suffisance. Dévisageant de manière voilée l'homme. Elle ne se souvenait pas d'avoir vu cet homme quelque part avant. Qui était-il ?
Elle remonta son nunchaku sur ces épaules, faisant mine d'arranger ses foulards.

- Voilà qui est mieux.

Elle le gratifia d'un sourire plus conventionnel qu'autre chose. Cependant, elle avait un mauvais pressentiment.

- A qui ai-je l'honneur ? Je ne crois pas que nous nous connaissions.

Pendant qu'elle disait cela. Une de ses mains le long de son corps souleva doucement une extrémité de la robe, attrapant le couteau empoisonnée.
Peut être plus pour rassurer la jeune femme qu'autre chose, oui, la lame était aussi mortelle qu'elle était petite !
Il n'avait pas pu voir ce geste alors qu'elle dissimuler le couteau dans sa main. Mais... Qui était-il ?
Elle s'était laissé surprendre une fois. Elle ne recommencerait pas ! Et l'homme avait l'air d'avoir plus d'un tour dans son sac....

Cela faisait maintenant plusieurs jours Qu’Erwan pistait cette femme qui avait su le doubler. Il sentait qu’il était proche de son but, les ruelles de la villes n’avaient plus aucun secret pour lui, il sentait au fond de lui qu’il trouverait sa proie. Erwan sentait qu’il approchait de son but, puis il aperçu sa proie. La jeune femme qu’i avait aperçu la veille au soir , il fut frapper de stupeur par la beauté de la femme, mais il devait se rappeler tout au fond de lui qu’il s’agissait d’une assassin sanguinaire, et extrêmement douer en plus de ça. Erwan était dissimulé à la perfection, chacun de ses mouvements étaient calculé et maîtriser pour ne pas éveiller les soupçons de la jeune femme au cheveux Ocre.

- Bonjour.

Erwan ne comprit pas tout de suite, il chercha à qui cette jeune femme pouvait bien parler. Mais il n’y avait personne dans cette ruelle, a vrai dire qui aurait été assez fou pour s’aventurer dans une telle ruelle à une heure pareille.

- C'est très malpolie de ne pas se montrer quand on vous parle. Allons, ne soyez pas timide, je ne mord pas.

Erwan comprit enfin qu’il venait d’être repéré, peu être l’avait t’il été depuis longtemps, peu être même que la femme était au courant de sa présence depuis le début de son pistage, cela n’en faisait rien. Il avait eu l’avantage technique de la voir opérer et de maintenant connaître un morceau de son style de combat. Erwan en conclue qu’il était temps de se montrer , puis sortit de son coin d’ombre et révéla partiellement son visage à la lueur nocturne. La femme était étrangement belle, et attirante, mais Erwan ne céda pas à ses pulsion, il avait appris à se maîtriser et à faire preuve d’un sang froid inégalable.

- Bonsoir … On me surnomme le souffle, vous êtes décidément bien plus forte que je ne le pensai. Vous avez réussit à me démasquer.

A ce moment précis Erwan aperçu un mouvement presque indicible de la part de la jeune femme. Il fonça sur elle, pris appuie sur le mur de droite et effectua un saut vriller au dessus d’elle tout en appuyant pour lui porter un coup de lame mortelle. Sa lame fut arrêté, jamais dans sa carrière quelqu’un n’était parvenu à bloquer une de ses attaque vrillé. Mais pourtant cette femme l’avait fait comme si de rien n’était, comme si elle s’attendait à se genre d’attaque.

- Eh bien je constate que votre habilité n’ a d’égale que votre beauté. Vous m’avez stopper net dans mon attaque. Mais je suppose qu’avant de nous entre tuer il serait plus judicieux de faire connaissance.

Erwan pris alors l’une des moitiés de son arme, puis la jeta au pied de la femme. Ainsi il faisait preuve d’un désarmement partiel, mais ne l’afficha point. Il s’avait qu’aucun assassin digne de ce nom ne se désarmerait totalement, et bien même s’il était obligé, ses mains lui suffirait.

- Heureux de voir et de trouver quelqu’un à mon égale. Mais il serait plus agréable pour moi de mettre un nom sur ce visage. Je ne sais comment vous nommer, mais pour ma part je me nomme véritablement Erwan.

- Bonsoir … On me surnomme le souffle, vous êtes décidément bien plus forte que je ne le pensai. Vous avez réussit à me démasquer.

Ailen sourit légèrement, mais sincèrement.

- Oooh peut être justement un souffle irrégulier ? VOyons... Vous devez connaître cela, ce picotement alarmant dans la nuque. A vrai dire, ça fait longtemps que je vous ai repéré mais... Si je me mettait à parler dans une rue peuplée de monde toute seule, on me prendrait pour une folle.

Encore un sourire, à vrai dire elle mentait un peu. Elle avait bien sentit une présence mais l'achat de son ancienne maison l'avait ms dans un état où elle avait négligé ses arrières et sécurités. Mais elle ne refairait pas cette erreur, toutes ses connexions d'alertes branchés résonnant en un signal d'alerte unifore. Elle calculer chaque mouvement de son adversaire, a chaque moment prète a ce qu'il l'attaque. A peine avait elle finit de dissimuler sa lame dans sa main précautionneusement qu'ell vit se diriger une lame en vrille à une vitesse affolante. Elle para de son petit couteau. Une chance que celui ci, en damas puissent résister a beaucoup, le coup étant très fort. Cependant une petite goutte perla et tomba de l'arme. le coup avait était suffisemment fort pour créer une onde de choc et faire sortir une précieuse goutte de poison. Il connaissait donc la différence de sa deuxième arme... Malheureusement.


- Eh bien je constate que votre habilité n’ a d’égale que votre beauté. Vous m’avez stopper net dans mon attaque. Mais je suppose qu’avant de nous entre tuer il serait plus judicieux de faire connaissance.

- Oh... Un confrère. Je n'ai l'intention de tuer personne rassurez vous, sauf si vous avez vraiment des envies sucidaires...

Un sourire espiègle ourlait les fines lèvres d'Ailen... Si il voulait mourir, ou si simplement il l'attaquait, il payerait le prix fort. Sans aucun doute. Il laissa tomber son arme, elle laissa tomber son couteau. Restant tout de même attentive à la moindre occasion d'utiliser son Nunchaku.

- Heureux de voir et de trouver quelqu’un à mon égale. Mais il serait plus agréable pour moi de mettre un nom sur ce visage. Je ne sais comment vous nommer, mais pour ma part je me nomme véritablement Erwan.

- Si vous êtes mon égal, alors votre niveau ne vas pas bien loin. Erwan.

Elle avait fait claquer le prénom de celui ci sur sa langue, comme pour se l'aproprier. Comme si il lui faisait du bien, pour se rapeller aussi... Non elle ne connaissait pas cette homme de toute évidence.

- On me surnomme, la danseuse ou l'insolente et plus couremment Kaili. Mais disons Ailen...

Elle lui avait fait un sourire franc. Elle lui avait donner son nom, il lui avait donné le tien. Bien qu'un des deux avait une chance de ne pas sortir de la ruelle.

- Je crois que nous ne nous connaissons pas. Cependant, entre assassains, nous pouvons nous tutoyer non ? Je suppose que si tu es venu c'est pour me tuer... Si seul un de nous deux doit survivre alors ne faisons pas cas des conventions. Tu veux bien ?

Elle croisa les bras.

- Bon maintenant j'aimerais bien savoir pourquoi tu me pistes mine de rien...

- Pour tout te dire, hier soir, tu as tuer l’une de mes proies. Cela faisait plusieurs heures que je guettait ma proie pour la prendre au moment le lus
propice, et au moment même ou je sentait qu’il était temps, tu t’es élancé et à tuer ma proie devant mes yeux.

Ailen sourit embarrassée. Oui un drow don't elle n'avait d'ailleurs jamais connu le nom. Il s'était échappé et Ailen l'avait recherché avec pour ordre de le tuer. Ce qu'elle n'allait évidemment pas se priver de faire. La différence est quel avait attaqué sous l'effet de surprise alors qu'Erwan l'avait veillé des heures et des heures.
Une ambiance bizarre régnait. Elle n'aurait su dire si c'était la mort de ce drow et le contrat brisé du jeune homme ou son regard insistant sur elle. Ses joues se colorairent légrement comme rarement.

- Je ne vois aucune raison que nous nous battions, et je pense que ni toi ni moi n’avons réellement envie que cela ce passe de la sorte. Je vais probablement aller voir mon employeur pour lui expliquer que la cible à bien été éliminer mais pas par mes soins.

- Non c'est vrai. Je n'ai absolument pas envie de me battre. Quand à ton employeur, je ne savais même pas le nom de cette homme. Et je n'en est pas personnellement. J'ai agis sur l'impulsion alors fait passer ce crime pour tient, a vrai dire je m'en moque royalement. Un peu de sang en plus sur mes mains ou pas... Ca ne change malheureusement pas grand chose.

Il la regardait toujours aussi fixement, mais cette fois affronter son regard.

- Que dirais tu que nous travaillions ensemble plutôt que nous nous tirions dans les jambes à chercher de battre l’autre ? Je pense qu’un travaille en
équipe comme celui ci peu nous être utile et nous apporter de grandes choses.

Ailen aurait rit normalement, accompagnant son rire d'une ou deux paroles acerbes mais cette fois non. Elle n'en avait pas envie. Et cette homme... Il l'attirait bizarrement, comme si elle était attirée avec retenue.
Il continua a la regarder et elle détourna le regard.

- Non. Je suis seule et je travaille seule. Quand a nous tirer dans les pattes, tu ne sais rien de moi. Je ne travaille pour personne, mais je ne suis pas attirée par des contrats dans cette ville. Je me range du coté des gens normaux Erwan. J'ai une maison, des amis... Ma vie est parsemée de sang, il est temps que cela s'arrète. Je tuerais peut être encore. Mais simplement pour Diantra, pas par contrat.

Ailen était sombre. C'était vrai. Elle ne savait pas comment elle allait rompre avec son ancienne vie, mais elle allait stopper net toute activité. Ou du moins, elle espérait le faire. Elle avait relevé le visage, les beaux yeux bleus d'Erwan la dévisageant toujours.... Presque avec passion.
Elle ouvrit la bouche pour parler mais ses mots restèrent bloqué dans sa gorge. D'un autre elle aurait tué ou arracher les yeux pour l'avoir regardée de la moitié de ce qu'il faisait.

- S'il-te-plait... Arrète de me regarder comme ça.

Sa voix était un murmure plaintif. Elle avait l'impression de l'atirée et n'aimait pas ça, surtout lorsqu'elle était face a un assassain qui ne souhaiter pas se battre avec elle.
Elle inspira et tendit une main vers celui ci.

- Heureuse de t'avoir rencontré Erwan. Bon courage pour ton avenir, je crois qu'il est temps que nous nous séparions...

Elle était anormalement préssée de le quitter. Il l'attirait et elle avait l'impression qu'elle allait faire une grosse bétise. Elle pensa un " A bientôt " mais ne le dit pas. Non, il serait préférable qu'ils ne se revoient pas. Vraiment.
Elle ramassa son couteau qu'elle remit dans son étuit, soulevant le bas de sa robe sans pudeur pour le remettre en place, sans prendre compte de ses joues légèrement rougissante en imaginant les yeux avide d'Erwan sur sa peau soyeuse et douce. Elle se retourna, prête à s'en aller et commença a s'éloignée de sa démarche fière, agile et rapide.
Au fond elle espérait qu'il la retienne, mais elle ne savait pas tellement pourquoi. Lui manquait-il déja ???

[ Tu la retient heiin ! ]

Erwan resta là a attendre, il observait le moindre geste, la moindre attention d’Ailen. Il ne savait pourquoi mais quelque chose s’était produit en lui. C’était une chose’ qu’il n’avait encore jamais ressentit . Erwan se sentait si faible et si fort à la foi, comment cela est t’il possible ? Il ne le savait pas. Ses yeux ne quittait pas une seul seconde la belle Ailen, mais il se demandait quel était ce sentiments qui agissait au fond de lui. Il sentait son rythme cardiaque s’élever et une légère sueur froide perlait dans sa nuque. De la peur ? Non Erwan n’avait pas peur, c’était autre chose qu’il n’avait encore pas connu auparavant.

- Non. Je suis seule et je travaille seule. Quand a nous tirer dans les pattes, tu ne sais rien de moi. Je ne travaille pour personne, mais je ne suis pas attirée par des contrats dans cette ville. Je me range du coté des gens normaux Erwan. J'ai une maison, des amis... Ma vie est parsemée de sang, il est temps que cela s'arrête. Je tuerais peut être encore. Mais simplement pour Diantra, pas par contrat.

Erwan ne s’attendait pas vraiment à ça, mais cela ne faisait rien, il arriverait à la convaincre. Au fond de lui il sentait que cette femme exerçait un pouvoir inconnu sur lui. Il aurait bien eu du mal si devait définir l’origine exacte, mais pour ‘heure cela importait peu.

- S'il-te-plait... Arrète de me regarder comme ça.

Erwan sentit qu’Ailen n’était pas à son plus fort. Comment cela se faisait t’elle qu’elle baisse sa garde d’une façon si évidente. Il ne pouvais y avoir de raison réellement logique. Peu être le faisait t’elle exprès de façon à se montrer plus vulnérable qu’elle ne l’était.

- Heureuse de t'avoir rencontré Erwan. Bon courage pour ton avenir, je crois qu'il est temps que nous nous séparions...

Erwan, comprit alors instantanément qu’il n’était pas le seul à ressentir une certaine gène. Apparemment Ailen aussi se sentait comme gêné dans ces propos et ces gestes. Il la vit faire un mouvement de recule et détourné le regard. Avant qu’elle ne puisse aller trop loin, il la rattrapa par le poignet et la tira légèrement vers lui. Il se tourna vers elle, et prit d’une pulsion, il céda à ses envies et l’embrassa. La sensation qu’il éprouvait depuis avant et qu’il s’était forcé de repousser au fond de son être jaillit en lui avec une telle force qu’il ne pu l’arrêter. Il comprit alors qu’il venait de céder au sentiment le plus fort qu’il avait jamais ressentit en lui.
Lorsqu’il s’arrêta de l’embrasser, il la regarda et constata l’erreur qu’il venait de commettre, il avait agit sous l’impulsion et sous le sentiment, ce n’était pas bon pour un assassin professionnel.

- Je … Je suis désolé, je n’ai pu m’empêcher … ça à été plus fort que moi ….

Balbutia Erwan comme si il voulait s’excuser de ce qu’il venait de faire. Mais au fond de lui il se sentait apaiser. Il ne sentait plus ce sentiment étrange qu’il l’avait frapper tout à l’heure.

- Je suis désoler, j’ai agit sans réfléchir, je ne voulais pas … enfin … je ne sais pas ce qui ma prit d’agir de la sorte. Jamais je n’avais agit de la sorte, mais … je n’ai su me contrôler, c’était plus fort que moi .. Excuse moi Ailen.

Erwan avait beau s’excuser, l’irréparable avait été commit, il ne savait toujours pas comment il avait pu céder si facilement face à une de ses pulsions. Mais au fond de lui il ne le regrettait pas, il avait agit sans se contrôler et maintenant en regardant Ailen il se disait qu’il avait bien fait, car il ressentait quelque chose pour cette femme. Il avait beau le nier elle exerçait un étrange pouvoir sur lui.

Ailen sentit quelque chose attraper son poignet, la retourner... Erwan, il l'attira à lui et l'embrassa. Un peu surprise, Ailen se laissa faire, ne comprenannt pas trop ce qui lui arriver. Elle était plaquée contre le torse puissant du bel assassain... Comment étaient-il arrivés à cette situation ?
Aucun homme ne l'avait embrassé depuis... Son fiancé, il y a bien longtemps... Au moins 15 ans et elle frissonna légèrement à cette pensée avant de répondre passionnément au baiser d'Erwan. Celui ci tenait toujours son poignet, comme si il avait peur qu'elle s'échappe...

- Je … Je suis désolé, je n’ai pu m’empêcher … ça à été plus fort que moi ….
Il semblait confu... Vraiment... Plus fort que lui ? Il en avait donc envie depuis longtemps ...?

- Je suis désoler, j’ai agit sans réfléchir, je ne voulais pas … enfin … je ne sais pas ce qui ma prit d’agir de la sorte. Jamais je n’avais agit de la sorte,
mais … je n’ai su me contrôler, c’était plus fort que moi .. Excuse moi Ailen.

Ailen n'était pas encore remise mais elle recula d'un pas, se séparant du jeune homme et l'obligea à lacher son poignet. Ne sachant quoi faire, elle croisa les bras, comme à son habitude.

- Erreur de débutant. Ne pas se laisser envahir par ses pulsions, toujours controlé ses actes.

Elle en le regardait pas, détournant la tête. Elle avait essayer d'utiliser une voix dure et froide sans vraiment y réussir. Elle n'avait même pas réussi du tout. Sa voix avait était un peu vacillante, comme la flamme d'une bougie sur laqu'elle on souffle doucement.
Ailen ne savait pas où elle en était... Il l'avait embrassé, elle ne pouvait l'en blamer elle lui avait répondu et avait même aimé ça.

Au fond d'elle, Ailen se sentait vulnérable. Elle ne savait pas quoi faire, quoi dire. Toujours incapable de le regardr dans les yeux. Elle se retourna pour partir mais n'avança pas. Elle ferma les yeux mais finalement céda elle même à ses pulsions, beaucoup plus violente que celles du jeune homme. Elle se retourna encore rapidement, brisa la distance entre eux et l'embrassa passionnément, presque violement. Une de ses mains passa derrière le coup de celui ci, passant inlassablement dans ses cheveux alors que l'autre passa sur son torse pour passer derrière son cou. Elle avait fermé les yeux et se laisser aller à son instinct. Pourquoi lui, pourquoi maintenant ?
Peut lui importait... Elle n'entendait plus rien que son coeur à elle...
Elle rompit alors le fil de leur baiser, appuyant son front contre l'épaule du jeune assassain.

- Je suis débutante et stupide mais qu'es ce que ça fait du bien...
murmura-t-elle dans un souffle. Un souffle et un sourire.

Elle était toujours contre lui, perdue dans ses bras protecteur et pour rien au monde elle n'aurait aimé bouger.
Même si elle sentait qu'elle était entrain de faire une de ses énormes bétises qui vous changent une vie...
Mais réfléchir n'est pas toujours la bonne solution, il faut savoir vivre ce dont on a envie des fois...

Erwan était tout confus, il sentait au fond de lui qu’il avait répondu à une de ses pulsions, mais dès qu’il s’était arrêté, déjà cette sensation étrange revenait au galop pour être assouvit. Il ne connaissait pas vraiment ce sentiment, du moins il l’avait enfouit en tréfonds de son âme pour que jamais il n’interfère jamais dans ses contrats. Il s’avait pertinemment que la dernière fois c’était ce même sentiment qui l’avait mener à sa perte et faillit le tuer. Que sans cela il aurait peu être pu sauver la vie de son tuteur. C’était son amour pour son épouse qui avait tuer son maître et elle même. Au moment ou il reprenait un peu ses esprits et commencer à reprendre complètement conscience de ses actes. Ailen se rapprocha subitement en l’embrassa à son tour. Le baiser long et tendre qu’elle lui fit était si intense qu’Erwan. Il la saisit par la nuque et commença à y déposer quelque baiser, l’amour qu’il éprouvait en ce moment même effaça tout les maux qui le tracassait. Il se sentait comme libre, comme apaisé, comme soulagé de tout. Lorsqu’il saisit Ailen dans ses bras, il ne voulu ne plus jamais la lâcher, il se sentait si bien à ses côtés. Elle qui en connaissait pourtant que depuis si peu de temps, mais qui s’était placé dans son cœur en un rien de temps.

- Je suis débutante et stupide mais qu'es ce que ça fait du bien...

Erwan en pu s’empêcher de sourire à cette remarque de la jeune femme. C’était horriblement vrai, mais qui aurait pu leur reprocher ? Personne au monde ne pouvais faire changer d’avis Erwan, il avait prit se décision, il se sentait si bien avec elle, il se sentait près à se sacrifier pour elle, qui pourtant était un parfaite inconnu.

- Je te l’accorde, mais je ne peu me résoudre à te repousser. Au diable les normes, je suis incapable de les respecter. Je voudrais rester ainsi tout la nuit durant, je suis si bien ici avec toi.

Erwan se sentit quelque peu ridicule, mais ces mots lui était sortit du cœur et il n’avait pas prit garde à réfléchir à pesé le pour et le contre. Une fois encore il déposa un baiser tendre sur le front de la belle, descendit pour lui embrasser le coups. Chacun des ses baisers étaient tendre et venait de plus pur sentiment qu’était l’amour.

- Cela faisait si longtemps que je n’avait éprouver pareil sentiments, je me sens prêts à tout pour toi, mais je n’ai aucun points d’attache dans cette ville aucune maison ni chambre. Si seulement nous trouvions un lieu accueillant pour y finir la nuit, car cette nuit m’est tout d’agréable.

Erwan regarda la jeune et belle femme droit dans les yeux, sentant qu’elle aussi désirait la même chose que lui. Mais était ce bien raisonnable ? Après tout Erwan sentait au fond de lui que c’était elle. Qu’il aimait cette femme comme il n’avait encore jamais aimé personne d’autre. Mais il ne pouvais se l’avouer, il était encore trop tôt pour cela. Son esprit divaguait et ses sentiments semblaient ne jamais s’éteindre, comme un feu que l’on ne peu éteindre par des moyens conventionnel. Il ne pu s’empêcher d’avoir une pensé envers son maître qui l’avait prévenu qu’un jour il devrait passé cette épreuve, mais maintenant qu’elle était là il comprenait. Soit céder aux sentiments et le regretter à jamais, soit s’affaiblir considérablement et peu être mourir le cœur à vif. Mais en cette soirée, ou la nuit était fraîche et la lune éclairait à peine la ruelle. Erwan avait déjà fait son choix, il ne pouvais passé une vie entière aux regret. Il sentait qu’au fond de lui il ne le l’aurait supporter, et qu’il préférait s’affaiblir considérablement comme son maître le ressassait sans cesse.

- Je suis si bien avec toi dans mes bras, je sens au fond de âme que cette nuit était inscrite et que notre rencontre n’est pas du au hasard.

Erwan regarda Ailen dans les yeux, tout en la gardant dans ses bras, il se sentait si léger, comme si un poids lui avait été enlevé. Au fond, cela ne faisait que une petit heure qu’ils s’étaient rencontré et pourtant il avait le sentiment d’une vie entière passé en sa compagnie. Bien que la chaleur du jour avait été replacé par la fraîcheur nocturne il avait chaud, mais cette chaleur était en lui. Il était prêt à tout pour elle tant sa beauté le subjuguait et émerveillait. Il saisit la main d’Ailen et a retourna doucement afin qu’elle se retrouve dos au mur. Doucement il l’embrassa à nouveau et descendit le long de son coup pour déposer un baiser langoureux sur la poitrine généreuse d’Ailen. Si il avait eu le choix, il serait rester en sa compagnie toute la nuit …

- Je te l’accorde, mais je ne peu me résoudre à te repousser. Au diable les normes, je suis incapable de les respecter. Je voudrais rester ainsi tout la nuit durant, je suis si bien ici avec toi.

Ailen sourit, toujours contre son épaule. Elle avait tuer pour moin que ça. Ils ne se connaissaient pourtant que depuis moins d'une heure. Et pourtant elle était blottie dans ses bras.

- Cela faisait si longtemps que je n’avait éprouver pareil sentiments, je me sens prêts à tout pour toi, mais je n’ai aucun points d’attache dans cette ville aucune maison ni chambre. Si seulement nous trouvions un lieu accueillant pour y finir la nuit, car cette nuit m’est tout d’agréable.

Elle se tut cette fois. Il voulait passer la nuit avec elle ?
Oui c'est bien ce qu'elle avait compris aussi, bien que cela ne lui déplaise pas vraiment elle se sentit tout de même... Génée par quelque chose qu'elle n'identifiée pas... Alors se laissant faire.

- Vaudrait mieux élir domicile dans une auberge... Je ne sais pas dans quel état je vais retrouver ma maison.
murmura-t- elle en fermant les yeux, un sourire aux lèvres.

Lorsqu'elle les rouvrit, il la regardait dans les yeux... Au fond de ses yeux elle lisait du désir pour elle, elle en frissona légèrement. Depuis combien de temps ne l'avait-on pas regardée ainsi ?

- Je suis si bien avec toi dans mes bras, je sens au fond de âme que cette nuit était inscrite et que notre rencontre n’est pas du au hasard.

Ailen ne dit rien. Beau parleur ? Même si il ne voulait que la posséder cette
nuit elle s'en moquait. Elle en avait bien besoin. Besoin de se sentir en sécuritée dans les bras de quelqu'un tout simplement.... De se sentir aimée un peu aussi...
Il la plaqua en douceur contre le mur et commença à dévorer son cou avant de déscendre vers sa poitrine bien mise en valeur. Elle l'arrêta alors. Saisissant son menton pour relever sa tête au niveau de ses yeux.

- Attend... Pas ici....
Ailen referma la porte de la chambre après le passage d'Erwan. Ils avaient
choisis une petite auberge -en réalitée la première qu'ils vu- Elle était petite mais assez coquette. Ailen sourit, toujours la main sur le poignet, s'adossant a la porte.

- Et si nous continions ce que nous avions si bien commencait ...?

Elle avait toujours ce joli petit sourire en coin et un nouveau regard brulant alors que la pièce devenait étouffante même sans que rien n'est commencait.

Erwan se rapprocha d'elle en souriant, l'enlaçant de son corp, posant ses mains sur la porte de chaque coté de son corp. Il se pencha légèrement et commença à embrasser le cou d'Ailen. Sous ses baisers humide, celle ci ne put que pencher la tête, comme pour allonger son cou et lui permettant de l'embrasser encore. Ailen l'enlaça de ses bras, passant ses mains dans le dos de celui ci... Ses baisers déscendirent alors que ses mains prenait le relais en caresse tellement douces qu'on pouvait les dires retenus. Il ne semblait pas vouloir préssé les choses.
Dommage pour l'impatiente jeune femme...

Il commença a la déshabiller, première cible: sa magnifique poitrine.
Une fois celle ci découverte il entraina Ailen vers le lit au centre de la pièce. Il l'y déposa doucement, se laissant entrainer par l'étreinte d'Ailen.

- Tu me donne tellement envie.

Ailen sourit encore une fois mais ne répondit rien qu'un petit gémissement sous les caresses d'Erwan. Il se sépara d'elle et elle ne comprit pas tellement, une moue désapprobative envahit le visage d'Ailen, à l'inverse du grand sourire qui l'envahit quelques secondes à peine plus tard lorsqu'elle le vit commencer à se déshabiller. Commençait-il a vouloir préssé les choses. Il revint contre elle, Ailen se mordit la lèvre alors qu'elle pssait un doigt sur le torse de son amant. Caresse sensuelle et simple suivant les contours du torse musclé d'Erwan.
Lui semblait pourtant avoir perdu sa retenue. Il caressait avec une douceur impressionnante tout le corps d'Ailen, l'embrassant également sur chaque centimètre de peau. L'ambiance était étouffante et les deux amants haletaient, respirant avec difficulté.
Ailen n'était pas novice en ce domaine mais elle ne controlait en ce jour pratiquement rien, d'un comportement très. Passant une main sur son torse et l'autre dans les beaux cheveux. Finalement il revint vers elle, l'embrassant langoureusement, Ailen aggripa avidement ses lèvres, elle remonta sa jambe le long du corps d'Erwan, l'enroulant autour de lui.
Lorsque le baiser prit fin, ils étaient tous deux éssouflés, il la regarda dans les yeux... Finissant de couper le souffe à Ailen.
Il l'aimait. Il l'aime même !
Elle avait l'impression de lire en lui tel un livre ouvert...
Il détourna le regard et commença à l'embrasser et à la caresser. Ailen ne bougeait plus, comme tétanisée. Il s'attaqua alors à sa robe qui s'était nichée sur son ventre quand il avait découvert sa poitrine. Il l'enleva complètement et l'envoya en boule quelque part dans la chambre. Ailen réaprenait à respirer doucement... Il finit de se déshabiller comme si un accord tacite avait été établi, sous l'oeil visiblement apréciateur de la jeune femme. Prouvant ce qu'elle supposait déja, elle n'était pas la seule à trouver l'ambiance étouffante.
Il posa sa tête contre son ventre, collant son oreille à son coeur. Ailen reprit ses caresses sur le cuir chevelu de celui ci. Elle sentit ses mains monter le long de ses jambes et se glisser sur le tissu qui les empéchaient maintenant d'accrocher le bonheur.
Il fit glisser la dentelle doucement, suivant de près son opération... Faisant rougir légèrement Ailen tellement il y mettait d'attention. Il l'enleva complètement et l'envoya dans la pièce. Peut être près ou loin de sa robe ?
Il appocha alors ses lèvres de son intimité et commença un traitement particulier arrachant un gémissement à la jeune femme.
A chaque coup de langue elle frémissait, la chaleur augmentant d'un cran encore et encore. Elle ferma les yeux comme pour se controlée... A chaque coup de langue elle ne pouvait s'empécher de gémir, même en y mettant la meilleure volontée du monde.
N'y tenant plus, elle se releva légèrement et obligea Erwan a remonté vers elle. Elle passa ses bras autour de la nuque de celui ci et l'embrasa tendrement, plaquant sa poitrine déja pleine de sueur et celle d'Erwan.
Après plusieurs minutes d'un baiser tendre et langoureux, Ailen rompit le fil et posa son front contre celui d'Erwan. Le regardant dans les yeux.
L'invitant à la faire sienne pour un moment unique et éffémère. D'ailleurs il ne se fit pas prié et la pénétra délicatement, arrachant un petit gémissement plaintif a la jeune femme.
Mais a la place d'y ressentir un plaisir insassiable ou une délivrance, elle se sentit comme... Enfermée ?
Elle avait l'impression d'avoir trahit. Trahit l'amour en personne... C'est en ce moment qu'elle se rendit compte qu'elle n'avait toujours pas fait son deuil. A lui. Son fiancé.... l'homme qu'elle aimait, mort par sa faute.
De longues larmes coulèrent le long de ses joues, elle se plaqua d'autant plus contre lui, sa tête dans le creu de son épaule.
Il ne devait pas la voir pleurer, elle ne voulait pas avoir à ce justifier...

- Erwan...
murmura-t-elle a son oreille, lui intimant de continuer.

C'était trop tard pour elle de toute façon. Elle essaya de montrer du plaisir mais cette évènement l'avait instentanément douchée, elle ne ressentait plus rien du tout...
Elle n'espérait plus qu'une chose: Que tout se termine vite.

Le toucher si agréable de la peau qui subit mille agressions, la chaleur qui se diffuse progressivement dans tout le corps, la pupille qui se rétracte et fait place à une multitude de sensations plus forte les une que les autres. Erwan se sentait si bien, chacun de ses coups, de plus en plus brusque, lui arrachait un frémissement. Puis le moment absolue ou l’extase était à son apogée. Erwan s’immobilisa un moment, puis tout retomba, il sentait fragile, mais cette état second de fatigue était du au plus beau des cadeau qu’on pouvais faire. Il retomba mollement sur le lit de la chambre. Son regard se porta alors instinctivement vers Ailen, avec qui il avait partagée un moment unique et inoubliable. Mais au lieu d’y voir un visage radieux, elle avait une mine d’enterrement. Erwan ne réalisa pas tout de suite, il était encore sous l’effet de l’extase suprême qu’il venait d’avoir avec elle.

Il regarda alors un autour de lui et eu un long soupir. Il sentit au fond de lui que quelque chose ne tournait pas correctement. Il regarda à nouveau Ailen, son visage était toujours aussi attristé, Erwan ne comprit pas, était ce lui qui s’était si mal débrouillé ? Non c’était probablement autre chose. Mais de la à savoir ce que c’était, Erwan était quelque peu dépassé par les évènements. Il porta sa main sur la joue de la jeune femme et la caressa, à ce moment il sentit qu’elle était humide. Ailen avait pleurer, cette découverte calma les instincts d’Erwan. Ailen, elle qui lui avait donné tant de plaisirs, donné un tel sentiments de légèreté, pleurait, et c’état probablement de sa faute.

- Ailen … dit moi ce qui ne va pas ? Je sens bien que quelque chose te tracasse. On ne se connaît pas depuis très longtemps, mais je sens au fond de moi que quelque chose ne va pas. Alors ?

Erwan ne savait comment lui dire, mais il sentait qu’il était de son devoir de calmé ses esprits et de consoler sa belle. Il avait certainement fait quelque chose qui aurait rappelé des souvenirs terriblement tragique à Ailen. Mais Erwan les ignorait et tendait à les découvrir. C’était dans son caractère, il ne pouvais pas laissé ses amis dans le besoin et encore moins si c’était par sa faute qu’ils étaient dans cet état.


[ désolé de la longueur et si le RP est pas terrib, mais je suis pas motive à RP aujourd'hui ]

Ailen ferma les yeux et se laissa faire... Erwan ne se rendit pas compte de ses larmes, elle devait donc plutôt bien les cachés.
Ses coups de reins devenant plus puissant et profond mais Ailen ne sentait plus rien. Ses larmes se calmèrent rapidement.
Elle sentit alors une vague chaude se répendre en elle et Erwan les fit tomber doucement sur le lit. Elle rouvrit les yeux, respirant doucement...

Erwan ne sembla pas remarqué tout de suite son visage déformé par les larmes, Ailen tenta un sourire mais il n'y avait pas le coeur... Non elle ne pouvait pas.
Il soupira avant de passer une main sur sa joue comme pour chasser ses larmes...

- Ailen … dit moi ce qui ne va pas ? Je sens bien que quelque chose te tracasse. On ne se connaît pas depuis très longtemps, mais je sens au fond de moi que quelque chose ne va pas. Alors ?

Celle-ci fronça les sourcils un peu surprise. Elle se sépara de lui et s'assit sur le lit, plaquant ses jambes contre sa poitrine.

- Je.. Je... C'est pas toi.. Ne... T'inquiète pas.

Elle éclata alors en pleure devant le regard bleu de celui qui avait été son amant. Elle mis sa tête dans ses mains,comme si elle voulait cacher ses larmes...

- Nous... Nous n'aurions pas du. Je... Je suis désolé Erwan.
bégaya-t-elle entre deux sanglots...

Oui elle était désolée, génée et désormais incapable de regarder Erwan.

"Je fairais mieux de partir" pensea-t-elle et elle se dirigea vers le bord du lit pour en sortir finalement.
Elle jeta un regard à la pièce pour récupérer ses vêtements à droite à gauche et de se rhabiller rapidement.
Oh oui elle s'en voulait de le laisser ainsi, elle l'avait engagé, avait passer un bon moment avec lui et elle le quittait comme s'envole un oiseau...

[ Désolé il est nul ce post je peux pas faire mieux... ]

Erwan était là, ne bougeait pas un pouce. Il était stupéfait de la réaction d’Ailen. Qu’avait t’il bien pu faire de travers, il aurait pourtant jurer qu’il avait été tout à fait capable et même plus. Il avait eu la certitude que la belle avait eu du plaisir avec Erwan. Mais à en juger par cette réaction, quelque chose était allé de travers. Il la regarda dans les yeux, puis subitement, elle se rétracta et se replia sur elle même au bord du lit. Dans un élan de tristesse elle éclata en sanglots et sera un peu plus ses genoux sur sa poitrine dénudé.

- Je.. Je... C'est pas toi.. Ne... T'inquiète pas.

Erwan nu pu s’empêcher d’en douter. Comment cela pouvais être possible de se trouver dans un tel état après avoir passer un tel moment d’érotisme et de plaisirs intense. L’idée que ce n’était peu pas lui commençait à peine à germer dans l’esprit d’Erwan. Il s’approcha d’Ailen doucement, puis pausa sa main sur l’épaule d’Ailen. Puis la serra légèrement contre lui, pour lui procurer un semblant d’environnement sécurisant. Mais Ailen, se leva brusquement et récupéra ses habilles, qui avait été éparpiller dans toutes la chambre. Elle se rhabilla si vite, Erwan eu à peine le temps de se lever et d’enfiler lui même ses sous vêtements. Il tenta à plusieurs reprise de la retenir et de soulager sa douleur, mais il ne pu rien y faire.

- Nous... Nous n'aurions pas du. Je... Je suis désolé Erwan.

Erwan prit cette phrase aux mots contant, mais il réalisa bien vite, qu’il y avait autre chose, le cœur d’Ailen semblait si lourd, mais Erwan ne pouvais rien faire pour la soulager. Il tenta bien, en la caressant et lui glisser des mots doux, mais rien n’y faisait. Elle ne semblait pas aller mieux pour autant. Bien que cela attristait profondément Erwan, il fut obligé de laisser partir sa belle conquête dont il semblait bien être tombé profondément amoureux. Il regarda Ailen une dernière fois, les larmes coulaient toujours sur son visage et lui donnait une allure si fragile. Erwan craqua en voyant son regard, il était emplie de tristesse et de douceur. Mais n’exprimait en rien la haine. Au tréfonds de son âme il sentait que quelque chose de plus gros s’était produit dans le cœur d’Ailen. Peu être une blessure profonde, qui ce serait subitement réveillé lors de l’acte que venait de faire Ailen et Erwan ensemble. Il ne s’avait pas, mais il comprit qu’il ne pouvais plus la retenir, il devait la laisser partir. Ailen s’enfuit alors par la porte, celle ci claqua et fit disparaître Ailen du champs de vision d’Erwan. Après être resté là, sans bougé, il réalisa et rassembla le reste de ses affaire, puis partit à son tour. Il ferma la porte derrière lui, puis descendit, il passa devant l’aubergiste et paya la note de l’auberge.