Théos, le Bourreau d'Abyssea

Nom/Prénom : Je me prénomme Théos, juste Théos, mon nom n’existe pas, ma famille n’existe plus, je ne suis que Théos, enfant du Chaos

Âge : J’ai déjà vécu de nombreuses années, pour la plus part des années de douleurs et de malheureux, mais maintenant j’ai trouvé mon but dans le vie, et cela après 32 ans d’existence.

Sexe : Un homme dans toute sa virilité …

Race : La race qui profite le mieux de la vie, la race qui se croit trop fière, une race de misérable, rien de plus, je suis une saloperie d’humain.

Particularité : Hum, une particularité, j’en ai tellement, tellement qui me font que je me différencie de ceux que vous nommez Homme. Je suis grand, très grand, costaud, trop pour certains. J’ai une manie de décapiter tout ceux que je tue, et de les garder près de moi, soit sur mon armure, soit dans mon piteux logement, j’aime voir leur expression de peur figée à jamais dans le temps, sentir leur odeur de décomposition, bon sang, oui j’aime cela, sentir la peur, la gouter, et la provoquer …

Alignement : Enfant du Chaos, chaotique

Métier : Mon métier est le plus merveilleux du monde, je sers mon seigneur, le Chaos, je protège sa ville, j’y fait respecter l’ordre, dans cette cité je suis une des toute puissance, j’ai le droit de vie et de mort sur un grands nombres d’âmes, je suis le bourreau, protecteur et gardien d’Abyssea.

Classe d'arme : Corps à corps, quoi de mieux que de charger l’ennemis, la hache en avant, et de sentir le crâne de ses ennemis se briser sous vos pas, de sentir leur sang immaculé votre visage, d’humer leur excrément dû à la peur quand ils savent de quoi je suis capable.

Equipement : Ah comme c’est dommage qu’aucun de ceux que j’ai affronté ne peuvent témoigner de mes armes, hum, je vais vous le dire, comme cela lorsque vous me verrez arriver de loin, vous saurez qui je suis, et vous prendrez vos jambes à vos cous, mais sachez une chose, je vous retrouverez, au nom du Chaos.

Spoiler:

Quand je suis dans la ville, je porte mon armure de bourreau, une lourde armure, qu’aucun homme moyen ne peu porter, celle-ci est d’une couleur rouge, pour ne pas voir le couleur du sang, car voilà je suis le Bourreau d’Abyssea, je tue au nom du Chaos tout ceux qui ne respecte pas les lois au sein de ma ville. Sur cette armure son bien entendu graver les signes du Chaos. J’aime y accrocher les peaux de mes plus grands adversaires, soit la peau seule, que je colle sur mon armure, après avoir pris le temps de la décoller du crâne, soit les crânes en entier, que je place sur des piques positionnés à l’arrière de mon armure.
Mes armes dans la ville, rien de banale, juste un bâton représentant ma fonction, le signe du Chaos en son haut, surmontés de pointes, en mon arrière une hache à deux mains de près d’un mètre vingt, lourde et longue à manier, mais tellement efficace pour trancher les têtes.

Spoiler:

Hors de la ville je suis un autre, certes je n’y vais peu souvent, mais je suis un guerrier, un homme assoiffé de sang, je porte une lourde armure sombre comme la nuit, comme le cœur de mon Maître, des épaulières en pique recouverte de fourrure, et de cheveux d’humains, une longue cape est accroché à l’arrière, de couleur brun marron. Le reste de mon armure est plutôt simple, mais protecteur, quelques piques sur les coudes, et sur les gants, je suis aussi redoutable à mains nues qu’avec une hache.
Comme arme, je ne porte qu’une hache de combat à simple tranchant, faisait de moitié la taille de ma hache de cérémonie, certes certains hommes devront porter cette hache à deux mains, mais je fais partis de ceux qui peuvent la porter à deux. Pas de bouclier, je n’en ai pas besoin, du moins je pense ne pas en avoir besoin, trop présomptueux me dites vous ? L’avenir nous le dira.
Hum, ah oui, j’allais oublier mon casque, un heaume de couleur sombre lui aussi, orné de deux cornes aussi décoratif que mortel …

Spoiler:

Description physique : Certains m’appelle la montagne, d’autre le monstre, cela varie, mais ce qui est sur c’est que je ne suis pas un Humain comme les autres, comme ceux que vous voyez tout les jours. A Abyssea tout le monde me craint, ma carrure impressionne, imaginez un homme de plus de deux mètres pesant au bas mot 110 kilos se promenant dans la rue avec une hache de près de un mètre vingt. Car oui voilà, je ne suis pas un grassouillet, pour pouvoir porter cette hache, même a deux mains, nécessite une force surhumaine, mon physique est surhumain, mes mains, plus grandes qu’une tête d’homme moyen, me permet d’écraser ces même têtes comme si elles n’étaient que de simple noisettes.
Mais voilà, comme un homme ne peut avoir que des points positifs, je vais vous révéler mon plus grand défauts, je suis quelqu’un de lent, ma force, mes muscles me ralentissent énormément, de plus je me fatigue vite, contre quelqu’un de rapide je me sens inutile, mais j’ai plusieurs atouts dans ma poches, regardez mon armure, aucune faille, rien, regardez mes piques sur mon armure, pauvre de vous, si je suis votre ennemis, vous mourrez de ma main, rassurez ce sera rapide.
Vous voulez connaître mon visage ? Pauvre fous personne ne le connais, seul ceux qui sont accueillis dans Abyssea on vus mon visage à découvert, les autres ne connaissent que mon casque à cornes. Mon visage est celui d’une personne défiguré par mon Maître, par son fils, une longue cicatrice part du haut front et arrive au coin de ma lèvre, j’ai désobéis, je fus punis. Mon visage porte la marque de ma désobéissance. Mon crâne chauve me rend plus énigmatique, de plus mes cheveux ne repoussent plus, pour une raison qui m’est inconnus.



Description mentale : Peu de monde arrive à voir qui je suis réellement, ce que je ressens, mes malheurs je les ai enfuis depuis bien longtemps, au point de n’avoir plus de sentiments, la douleur je la ressens, mais j’ai appris a vivre avec, elle est mon quotidien, j’ai appris à l’apprécier, elle fait partis de moi. Certain penseront en arrivant a Abyssea que je suis une montagne qui ne ressens rien, détrompez vous, mais je ressens juste la douleur moins que vous.
Je ne connais pas non plus le mot parlementer, je discute rarement, j’agis, ou plutôt j’exécute, car voilà, dans ma ville je sais ce que je dois faire car on me l’a dit, je ne prends pas mes décisions moi-même, j’ai besoin d’une personne au dessus de moi, quelqu’un qui me dit quoi faire, qui me dit comment agir.
On peut dire aussi que je suis un amateur de bagarre, j’aime le bruit de la taverne, j’aime provoquer les plus téméraires qui veulent me défier, j’aime me battre, j’aime sentir le sang couler, que ce soit le miens ou celui de mon ennemis, sentir ces os se broyer sous ma hache, sous mes mains. Mon plus grand plaisir est de décoller la peau du visage pour la mettre sur mon armure, sentir l’odeur de la décomposition, avoir les entrailles dans les mains, voilà pour moi le bonheur …

Histoire :

Ma jeunesse.
Tout commença il y’a de cela 32 ans, lors d’un hiver les plus froid qu’ai connus Miradelphia lors de ce siècle, je naquis dans une petite cabane de pêcheur sur l’île de Méca, bien avant que ces racailles de soit disant héros pour un mondes nouveaux en firent leur repère. L’île de Méca était peuplée de petit village, pour la plus part des pêcheurs, mais aussi des forgerons, des taverniers, ou autre métier qui font qu’un village fonctionne. Non loin de mon petit village se trouvait un grand pénitencier, le plus grand de Miradelphia, là où des salopards sont envoyés pour crevé, du moins c’était mon père qui me le disait, oui mon père était quelqu’un d’apprécié dans notre village, au début il était pêcheur, mais très vite il devint gardien dans ce pénitencier. Ma mère était aimante, mon frère un vrai idiot, ma sœur une femme à homme, bref une famille normal. Mais je ne me sentais pas à mon aise, j’étais le second de cette famille, les responsabilités allait à mon frère, l’amour à ma sœur. Mais très vite mon père me trouva une utilité, il me frappait, oui car voilà, j’avais 12ans, mon père travaillait dans cette prison depuis maintenant dix ans, la misère qu’il voyait tout les jours fit qu’il se mit à boire, mon frère avait quitté la maison, et ma mère refusait qu’il touche ma sœur, qui restait-il ? Moi bien entendu, un enfant banale, ni trop grand, ni trop maigre, je subissais les violences de mon père, qui à mon plus grand malheur avait changé. Pour échapper à ce quotidien je me fis employer en tant qu’apprentis forgeron, très vite mon corps changea, je n’avais que quatorze ans, mais j’accomplissais le travail d’un homme de trente, je grandis aussi, trop vite, j’étais plus grand que la plus part des hommes, alors que j’avais la moitié de leur âge. C’est durant cette période que j’appris le maniement des armes, il me fut appris par le forgeron du village, un gardien, ancien garde de Diantra, maintenant à la retraite. Il était mon père, celui qui m’apprit tout, qui fit de moi un homme. Mais un jour, comme tout homme il mourra, la forge fut abandonné, car je n’avais pas les moyens de la reprendre. Je dus donc rentrer chez moi, cela faisait maintenant deux ans que je vivais dans la forge, revoyant mes parents de temps en temps. Mon père voulus reprendre très vite ces vieilles habitude, mais voilà j’avais maintenant seize ans, je mesurais près d’un mètre quatre vingt cinq, et mon corps avait changé, mon père s’en rendu compte lorsqu’il reçu le marteau e forgeron dans sa sale figure d’ivrogne, la force fut telle que son cerveau éclata, que ses yeux sortir de leur orbites, il n’était plus rien, il n’avait jamais été rien pour moi. Je fus chassé de mon village, ma mère était en pleure, les habitants en colère, et moi souriant, je quittai cette foutue île, pour me rendre a Diantra, j’avais seize ans, et aucun projet.

Mes premières années d’adulte.
Je ne passerais que rapidement dessus, ce que vous devez savoir, c’est que c’est à ce moment là que je devins un rejeté, vers mes vingt j’atteignis ma taille et mon poids actuelle, j’étais dévisagé, craint, et connus de toute les polices de Diantra, j’avais tué beaucoup d’homme pour survivre. Je dus quitter la ville qui fut mon foyer pendant quatre ans, de nouveau je fus rejeté.
Puis je fis la connaissance d’un guerrier qui m’appris beaucoup, trop sans doute, il mourra lors d’un combat, mais c’est à ce moment que tout bascula, j’étais devenus un grand guerrier, sans doute l’un des plus puissant, mais j’étais recherché, rejeté, mal aimé, bref j’étais devenus un paria pour ce monde. S’en suivirent plusieurs années d’errance, de taverne, de bagarre, de meurtre, de prostitués, jusqu’au jour …

Quand ma vie commença
J’avais aux alentours de 28ans, après huit années de misères, je pris la décision de me rendre dans le territoire drow, quitte à vivre, autant que ce soit avec le danger.
Mais je fis la rencontre d’un étrange être humain, je ne te dirais pas son nom, ni son but, mais sache une chose, espèce de chien, il est ce que j’ai de plus cher au monde, il ma fait découvrir ma vrai nature, qui j’étais, et quel était mon but, il sait me parler, et sait m’écouter, ose le regarder dans les yeux et tu mourras. Il a fait de moi un enfant du chaos, il m’a fait passer durant près de quatre ans des testes dont rare en sont les survivant. Il a fait de moi un guerrier encore plus puissant, il est le fils de mon Maître, celui pour qui je dédie ma vie, pour qui je me bats. De ma sueur et de ma force, j’ai participé à la construction de la ville d’Abyssea, j’en suis devenu le gardien, le protecteur. Pour en arriver là j’ai subis des choses horribles, mais tellement excitante, j’ai du tuer des vierges, des enfants, en faire souffrir certains. Mais mon maître le veut, donc je le fais. Je n’en dirais pas plus sur ma vie, tes descendants et ta race, ainsi que ton monde connaitra bientôt qui je suis, je me nomme Théos, enfin du Chaos, Bourreau d’Abyssea, serviteur du Chaos, et tu viens de pénétrer dans ma ville sans aucune autorisation. Pourquoi à tu fais ca malheureux ? Tu demandes pourquoi je t’ai raconté mon histoire sans entrer dans les détails ? Que ferait un mort de détail, oui mon amis, un mort, car voilà, j’ai pour mon mission de te tuer, tu sais qui je suis, je ne te connais pas, mais sache que ta tête va orner mon pieux dorénavant, au revoir aventurier …



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Comment trouves-tu le forum ? : Miam
Comment as-tu connu le forum ? : Il parait que je suis un vieux papy * sifflote *

sublime fiche, tu as bien fait de poser pas mal de question parce que le résulta est la!

fiche validée!

Marci beaucoup !!

A moi les Rp's maintenant

Ca donne envie de le caliner ce gros nounours musculeux

Freyja a écrit:

Ca donne envie de le caliner ce gros nounours musculeux

Moi aussi j'aimerais bien te caliner , chère soeur du Chaos

faite gaffe quand même... des fois j'ai tendance a riper des tentacules ....

Oh un nouveauuuuu =O