Prénom/Nom : Aïris Isildùr
Âge : 100 ans
Sexe : féminin
Race : elfe noir (drow)
Particularité : elle est toujours accompagné de Nàmo sa panther
Alignement : mauvais,neutre selon l'humeur
Métier : :Noble manipulant la magie et les armes
Classe d'arme : À distance+ magie (élément :air)
Équipement : Ne voulant pas s'encombrer d'un équipement lourd et criard, Aïris ne possède que peu d'armes, préférant la discrétion, à un étalages d'armes, ne fesant de vous qu'une cible plus voyante.. En effet, celui-ci est constitué d'un long, fin et robuste arc écarlate et noir, lui venant de son père, et d'un petit et fin poignard, qu'Aïris garde attaché à son poignet grâce à de fines lamelles de cuir, afin de le cacher des regards. Enfin, Aïris possède aussi plusieurs sortes de poisons, qu'elle garde dans des fioles attachées à sa ceintures, et dans quelques innocentes bagues.
Description physique : Aïris était une drow tous ce qu’il y a de plus normale. Elle n’était n’y moche n’y jolie. Certes, elle était belle à regarder, et la grâce de chacun de ces mouvement aurais subjugué n’importe qui, mais Aïris n’avais réellement rien de bien surprenant pour une drow ; du moins, c’étais la vision qu’elle avait d’elle même.
Pourtant, si Aïris c’était vue à travers les yeux d’un autre que les siens aux travers d’une glace, peut-être aurait-elle compris se qui la rendait si exceptionnel aux yeux d’un drow normal; Aïris était une drow, belle comme n’importe qu’elle drow à première vue, mais dès que l’on s’approchait d’elle, sous la lumière de la lune, sa différence se révélait alors instentanément ; sa peau était étrangement trop clair pour une drow normale, trop douce pouvait-on dire aussi, ses yeux quand à eux, étaients fins et raffinés et brillaient d’une étrange couleur ocre sang...quand à sa voie, c’était un chant enchanteur qui donnait des frissons, tel une source d’eau glacée.... Aïris était lumineuse, éblouissante et douce à voir ; donnant l’ impression qu’un voile en soie avait été posé dessus comme pour préserver une fleur fragile...
Chaque jour, plusieurs serviteur prenaient soin de cette fleur promu à un avenir sanglant. Car bien loin de cette image plutôt angélique, l’esprit de cette enfant trop protéger n’était pas celui d’une fragile fleur qu’un souffle de vent aurait pu briser. Dans ses yeux brillaient le regard impertubable d’un assassin, et chaque membres de son corps raisonnait alors d’une soif sang fin de liberté. Lorsque sa voie raisonnait, toujours impassible, ne se laissant démonter, impossible alors de détourner le regard, de ces yeux qui vous fixait, de cette princesse, de la mort elle même.
Description mentale :Petite histoire de Hazkal :
« Vicieuse, sournoise, menteuse, sadique, monstrueuse...voici quelque sobriquets par lequel on la désigne ici. Moi ? Qui suis-je ? Je suis le nain de la maison, pour vous servir. Ou si vous voulez, je suis le serviteur numéro 1 de la famille car je suis celui qui s'occupe de tout les sales petits boulots.
Ainsi, je vous racontait un peu comment nous définissons la princesse de ce pays. Vous voulez tous savoir sûr elle, alors écoutez moi : Mademoiselle est une vrai girouette, méfiez vous. J’ai dit qu’elle était monstrueuse, c’est vrai ! Oh, pas sur le plan physique, pour sûr ! Sur le plan mental par contre ! Je n’est jamais vue une drow si impossible à cerner ! Et c’est en cela que je la concidère monstrueuse. Comme tout drows bien sûr, elle ne ressent rien pour les autres, sauf peut-être, pour son frère. Ce qui est selon moi très bizarre...un drow qui apprécie un autre drow... mais bon, passons ! Pour elle, autant vous prévenir, vous n’êtes tous que des pions, qui resterons en vie tant qu’eux vous lui rapporterez quelque chose. Après... Enfin, nous les serviteurs, c’est différents bien sûr !
Mais bon revenons à nos moutons ! Comme je disais, seul son frère compte un temps soi peu à ses yeux. Il est le seul qui la comprend je pense...et c’est surtout la seule qui comprend quelque chose à cette tête de pioche ! Il est pire que sa soeur lui! Je ne comprend rien à cette énergumène ! C’est un être bizarre...Mais bon ! Revenons à la soeur de la famille Isildùr ! Nous disions : vicieuse, sournoise, menteuse, sadique et monstrueuse. Vicieuse ?Alors là, méfiez vous ! Sournoise ? Peut-être moins que son frère...Menteuse ?Il se pourrait...mais je ne sais jamais de toute façon, si quand elle parle se qu’elle dit est vrai. De toute façon, elle ne nous adresse jamais la parole à nous, les larbins... Sadique ? cela dépend de ce que vous entendez par sadique. Tout est relatif ici. Cela dépend. Pour ma part, voir des drows torturer un elf et réussir à lui arracher des cris que je n’aurais jamais soupçonner exister je trouve cela plutôt amusant et divertissant ! Comme je dis, tout est relatif... »
Histoire : Son souffle se faisait cour. Elle courait depuis longtemps, comme un lièvre fuyant le chasseur...Mais qu'aurait-elle pu faire d'autre? Intrus indésirable sur ces terres, elle était le gibier et le savait. A travers toute la forêt, le chasseur la traquerait jusqu’à ce qu’elle rende son dernier souffle.
« L’ambition prévaut sur la raison et la compassion ne compte pas face à elle »
Les battements de son coeur s’accéléraient à chaque pas, et le froid de cette douce nuit d’hiver l’engourdissait peu à peu. Son temps s’écoulait petit à petit, goutte par goutte. On aurait pu voir les grains de sa vie tomber petit à petit dans un immense sablier, et voir que bientôt elle ne serait plus. Elle le savait mais voulait encore croire. Croire en un monde meilleur, où les drows n’existe pas.
« L’ambition prévaut sur la raison et la compassion ne compte pas face à elle »
Soudain, quelque chose lui transperçât le coeur. L’elfe n’eut pas le temps de se retourner pour voir le visage de son assassin qu’il se prit une deuxième flèche, et mourut sur le coup.
« L’ambition prévaut sur la raison et la compassion ne compte pas face à elle». Ce fut là les premiers mots de ma préceptrices... Je m’appelle Aïris Isildùr, et ceci est mon premier mort. Je n’avais alors que 75 ans en âge drow, une enfant...
Entant que noble drow, ma vie tourna essentiellement ces 89 dernières années autour de mes précepteurs, de mon éducations, et de mon frère.
Tout au long de ma vie, ont m’appris à obéir, les fondements de notre civilisations, nos lois, et ce que je devais devenir si je voulais rester en vie.
Jusqu’à une certaine époque, mon frère Amrod n’occupa qu’un plan secondaire à mes yeux. Je ne lui avais jamais prêtée une grande attention quand j'étais petite . Mon seul « frère » jusque là, avait été Nàmo, ma panthère, et ma seule amie. Mon frère et moi étions de faux jumeaux. Nés en même en temps, si différents et proches pourtant...
À mes 40 ans on me confia au soin de maître Valandil, avec qui j’appris le maniement des armes. J’adorais me battre, pouvoir déchener toute ma fureur. J’attendais ces moments de pur plaisir chaque jour avec impatience. Petit à petit, mon goût des armes se prononça clairement en la faveur de Nòlò, un arc puissant et d’une beauté incomparable. Mais mon amour trouva affection pour un deuxième allié, mon poignard Vorondil. Mon frère ne commença quand à lui son enseignement qu’à ses 60 ans. Ensemble nous combattions et chaque jours nous apprenions à mieux nous connaître, et même peut-être, à nous apprécier...Mais qu’est-ce que apprécier ou même aimer pour un drow ? Je ne saurais le dire. Mais je crois pouvoir dire que lors de ces entrevues, j’appréciait mon frère, et peut-être même plus que je ne le croyais à l’époque.
En même temps que le maniement des armes, on m’enseigna celui de la magie, élément
incontournable dans l’éducation d’un noble drow.
Immédiatement, je me passionna pour cet art. Avez-vous déjà vue le visage d’un homme se tordre de douleur et se plier en deux seulement grâce à un geste de votre doigt ? Grâce à votre simple volonté, votre magie ? Pouvez-vous imaginer un seul instant le sentiment de puissance que cela vous procure ? Je crains hélàs que parmis nos cobaye, il ne fut jamais un seul pour se rendre compte du service et de l’honneur que nous lui fesions...Car, qu’est-ce qu’une vie insignifiante face à l’éducation d’un drow ?
Ma famille était réputé pour la fabrications de poisons et de filtres incroyables. Ma mère, Matrone Elwë, devint mon professeur pendant 20 ans. Ce fut 20 ans de pure isolement pour comprendre, assimiler et percer les mystère du succès de notre famille... Que sont 20 ans pour un drow ? Rien. Mais pendant ces 20 ans, je ne pu voir mon frère. Car seules les femmes avait le droit de fabriquer les filtres dans ma famille. Et aucun mâle insignifiant, même noble, n’avait alors le droit de comprendre. Ce que je regretta. Car les moments de pure combats entre nous étaients de pures moments de plaisir. Et à vrai dire, je m’ennuya un peu durant cette formation.
À mes 80 ans, j’étais une drow accomplie et qui savait manipuler tous le savoir que l’on m’avait desservie avec une grande discipline. Mais qu’étais devenu mon frère ? Avec satisfaction je remarqua par la suite que rien n’avait changé entre nous et que bien au contraire, un lien étrange et solide c’était tissé entre nous. Mon frère et moi devinrent très proches : Mon frère était mauvais, menteur, et sournois. Trois qualité qui faisait de lui un allié précieux et redoutable.
Jusqu’à nos 99 ans, notre vie consista exclusivement à servir les intérêts de notre famille (Cela consistait essentiellement à jouer les assassins). Nous étions les chasseurs les plus craint de tout le pays et le sang du gibier coulait à flot, comme une onde imperceptible, mais que le gibier entendait, qui l’effrayait et qui nous excitaient.
C’est alors qu’à nos 100 ans, nous nous vîmes confié une « mission » particulière. Notre famille avait toujours eux une grande soif de pouvoir...et chaques chose qui nous permettait de l’agrandire un peu plus était acquérie de suite.
Aussi, quand on nous dit que notre famille avait achetées de nouvelle terres sur une Ile du nom de Miradelphia, je n’eux pas besoin de plus d’explication. Notre temps était venu...
C’était la première fois que nous quittions nos terres. Nous primes un bateau avec 150 serviteurs, plus de 250 hommes et beaucoup d’or. Nous débarquâmes après une traversé de 14 jours sur un port du nom d’Idrill. Nous rejoignîmes alors nos terres et notre château, qui se trouvaient entre la forêt d’Aduram et la plaine d’Atral.
Comment trouves-tu le forum ? :Bien.Mais je trouve bizarre cette règle pour blesser quelqu’un. En effet, si j’ai bien lu, pour blesser quelqu’un, nous devons demander. Dans ce cas là, quelqu’un qui sera aux niveau 50 ne pourras jamais toucher quelqu’un de niveau 1 si celui si n’est pas d’accord... C’est un peu bizarre mais bon, ce n’est que mon avis, ne le prenez pas trop en compte^^’
[b]Comment as-tu connu le forum ? : Au hasard