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 L'illusionniste [Arlequin]

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L'Illusionniste
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MessageSujet: L'illusionniste [Arlequin]   L'illusionniste [Arlequin] I_icon_minitimeMar 16 Juin 2009 - 12:12

Nom/Prénom : L’Illusionniste est son seul patronyme.

Âge : Lorsque l’éternité frappe de cécité le temps lui-même, les années n’ont guère d’importance…

Sexe : Male.

Race : Elfe est son sang.

Particularité : Il est atteint d’une maladie d’autant plus rare qu’il est de sang elfique : l'hypertrichose, se manifestant par un développement anormal de la pilosité du corps.
Alignement : Profondément indifférent au monde.

Métier : Arlequin du Clair Obscur est son nouveau passe-temps.
Classe d'arme : Il régit sur les illusions, réelle magie ou simples tours de passe-passe nul ne le sait vraiment.

Équipement : Armé de sa seule pensée, l’Illusionniste ne semble par s’encombrer d’une fioriture d’équipement. Son nécessaire se trouve dans une boite en bois simple, qu’il porte à l’aide de lanières de cuirs prévu à cet effet. Dedans se concentre divers petits accessoires : quelques pièces disons « spéciales », des anneaux de fer concentriques, une balle en tissus pourpre, et bien sûr, Kléos, un pantin de bois avec lequel il amuse, de par ses tours, les enfants oubliés et miséreux.

Description physique :

Vous avancez, comme à votre habitude, sur le dallage de cette rue. Votre pas est rapide, l’endroit n’est pas si sur, mais le raccourci n’est pas négligeable. Il n’y a personne… personne ? En êtes vous si sûr ?

Fermez les yeux et contemplez le vide de votre âme, sa noirceur… Devant le néant abandonnez vous vous-même… Ouvrez les yeux et…

Devant vous comme apparaissant de la noirceur même de la ville, il est là. Les vestiges de l’habitude vous pousseraient presque à le rend flou, invisible. Les mendiants n’ont pas à être vu. Pourtant cet être vous semble singulier.

Clopin-clopant, sa démarche cahoteuse vous amuserait presque. Il n’est ni grand, ni petit, et sa stature vous évoque la faim et la pauvreté. Rien ne pourrait le distinguer d’un autre. Cependant vous ne pouvait vous empêcher de détourner le regard de ses petits yeux onyx, deux tombes grises d’où s’échappent des lueurs de malignité. Son visage ne semble être qu’un amas de rides et de creux, symbole du temps qui passe, à moitié caché sous un cascade de poils poivre et sel broussailleux. Rien… non rien ne pourrait supposer de sa nature elfique. Cachant la majorité de son corps derrière une sorte de poncho de toile fine sale et abîmé, il ne laisse apparent que ses deux mains usées mais pourtant fines, ainsi que deux jambes maigres, des pieds sales et nus. On croirait des ramures noueuses dépassant d’un sac de patates.

Si banale et pourtant. De tout son être se dégage une aura de mystère, laissant ses interlocuteurs mal à l’aise et nerveux.

Description mentale :


Certains le disent fou, d’autre encore pense qu’il est immensément sage. Pourtant ce que cet être, muraille de barbe grisonnante, est, est bien plus simple… et tellement plus complexe à la fois…

Il touche ce que certains érudits nomment ataraxie, cette étrange paix de l’âme, sagesse tranquille et profonde, un bien être immense, divin, éternel et simple. Une extase suprême palliant l’ennuie…

Son âme est comme une fleur cristalline sur un océan de fange…
Beaucoup pourrait penser, à tort ou à raison, qu’il n’a pas d’âme, aucune compassion, vide de conscience, au vu de son appartenance sinistre à cette dangereuse et méconnue organisation qu’on nomme le clair obscur… Encore faut-il connaître l’ombre de ce petit regroupement d’artiste. Derrière le rideau pourpre du spectacle se cache bien souvent les ténèbres des coulisses…

Mais toutes ces questions sont d’un ennui… Ne vous fourvoyez pas inutilement, l’Illusionniste à pleinement conscience de ses actes, de sa cruauté froide, de son indifférente bienveillance. Il estime juste que votre morale résulte d’un contrat social auquel il ne veut appartenir, une règle auquel il ne veut se plier.

Il n’a pas tout perdu, contrairement à ces centaines de mendiants fades et insignifiants, mouvant en marge de la vie elle-même, simples objets ternes de la cité, indispensables cependant. Non il n’a pas perdu, il a abandonné…

Fou ? Non, juste pleinement libre…

C’est ce qui fait sa force. C’est ce qui fait sa faiblesse.

Rien ne peut l’extraire de son schéma de pensées chaotiques où seul son être, son propre esprit, compte vraiment. Et s’il doit tuer… Les temps sont durs, pour continuer de penser librement il faut être plus dur qu’eux.

Etre d’une complexe simplicité, érudit ennuyé, démon altruiste, mendiant mais tellement riche.

C’est de ses contradictions, entre conscience malveillante et pulsion eudémonique, que tout son être s’emplit pour que, grandissant en rameaux tordus, son individualité se forme pleinement.

Et toi. Oui toi, insignifiant être si raffiné, serait-ce de la peur que je lis dans tes yeux ? Serais-tu, toi, créature sociale et pourtant si seule, terrifiée par la part d’ombre qu’il représente dans ton frêle cœur, dans ton propre inconscient ? Aurais-tu peur de lui ? Aurais-tu peur du noir ?


Dernière édition par L’Illusionniste le Mer 17 Juin 2009 - 10:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'illusionniste [Arlequin]   L'illusionniste [Arlequin] I_icon_minitimeMar 16 Juin 2009 - 12:12

Histoire :


I/ De La Vision D’un Domestique

L’aube.
Alors que le monde semblait s’éveiller d’un nouveau jour, l’astre solaire, paresseux et lourd, s’étire de rayons pales mais pourtant si chaleureux. Ces lances de lumières venaient doucement mourir en un flot continu sur les murs de la cité.

Diantra.

Capitale des hommes, resplendissant de tout son éclat matinal.
Dedans, on s’affairait, oh ils n’étaient point encore nombreux à ce moment du jour. Mais déjà, on pouvait sentir les prémices d’une de ces journées de sueurs, de fatigue et de douleur : une de ces journées comme tant d’autre à Diantra.
Miroir obscur de la cité florissante, les ruelles sombre et biscornues des quartiers pauvres semblaient quant à elle, à contre temps. Ses êtres fuyant le jour comme on fuit la peste. Pourtant un personnage, la stature digne, le menton haut, les habits ni riche ni en haillons, éveillait de son pas rapide et décidé, la poussière des pavés.


* Sacré nom de nom ! Pourquoi c’est toujours à moi de me fourrer dans la fange, et à cette heure ! *

Il fulminait, rouge et suant presque, ses vêtements entachés par la boue. Isendar, valet de profession, travaillait pour le compte de messire Edmond De La Rollianc. Ne voyait en ce gentilhomme un quelconque aristocrate du royaume. Non, De La Rollianc n’es qu’un, et ce n’est déjà pas rien, riche marchand dont la réputation tout comme le titre fut achetés il y a fort longtemps. Certains cependant médiront sur son statut social, le disant corrompus et ayant les mains sales d’affaires peu avouables. Laissons les médisants médirent et retournons à notre propos.

Isendar n’en a cure. Tant qu’on le nourrit, le loge et le blanchit, pourquoi soulever les tapis pour y voir la poussière accumulée ? Et qu’importe ce que contenaient ces mystérieuses missives qu’il devait apporter en main propre aux premiers points du jour…

Alors que les ruelles défilaient sous les yeux encore quelque peu ensommeillés du domestique, ce dernier, à un carrefour comme tant d’autre, stoppa net. La raison elle-même surprise par ce brusque mouvement ne savait plus où donner de la tête. A présent, il attendait, dans un silence des plus total. Une ombre fugace d’un rongeur titilla le coin de son regard, quand depuis l’ombre d’une ruelle adjacente, quelqu’un s’approcha. Depuis tant de voyage dans ce dédale de rues brunes et glauques, la surprise ne manquait jamais de le frapper de son sceau imprévisible. Devant lui, un gamin, sale, une bouille rieuse et coquine, les cheveux noirs de cette vie de mendiant : un simple chiard des rues. Le problème en soit n’était pas gênant, son guide revêtait toujours les traits d’un enfant. Cependant, Isendar ne put que constater qu’à chaque mission ce n’était jamais le même enfant. La peste avait rongé Diantra bien plus que ce que les bonnes gens le racontaient dans les marchés. Tant de mort… Tant d’enfants lâchés à la rue.

« Messire… »

Le gamin, sans un regard en arrière, partait déjà, tirant le mandaté de sa grave réflexion, sautillant presque dans la boue. Oui la boue. Car à présent, le dallage si régulier des grands axes laissait la place à la terre, indécente de nudité. Diantra ne s’encombre pas des détails, l’important est de rester belle pour les nantis.

« Prenez garde, messire, l’endroit n’est pas sûr ! »

Lançait l’enfant, un immense sourire moqueur peignant sa face d’un air polisson.

*Maudit soit ces mouflards*

Isendar ne pris pas la peine d’user son souffle et sa salive pour de la marmaille sans éducation. Mais le marmot disait juste, l’endroit n’était certes pas sûr, mais le petit matin le protégeait des soulards et des voleurs. Il souhaita intérieurement que les dieux ne place aucun couche-tard ivre et kleptomane sur son chemin. Tâtonnant de sa main droite, il se rassura contre la poigne de la dague qui battait au gré de ses pas sur sa cuisse.

Prudence est une mer de sureté.

Après avoir bifurqué maintes et maintes fois, monté, descendu des escaliers de pierre, tourné tantôt à droite, tantôt à gauche, le pauvre messager était complètement déboussolé. Mais il n’y prêter plus vraiment attention sachant que cette curieuse escapade relevait à présent d’une routine bien huilée.

Au début, il ne comprit pas bien. A la différence des anciens « entretiens », le lieu de rendez vous n’était pas un carrefour ou une ruelle plus ou moins sombre. Non, devant ses yeux s’offrait le spectacle d’une petite place… ou plutôt une sorte de cour. Sur la terre battu, deux gamins poursuivaient un rat à coups de bout de bois pourfendeurs. A son approche ils stoppèrent net, le temps d’un battement de cœur, avant de filer, la mine boudeuse cependant, vers une ruelle adjacente. Son guide accouru vers le fond de la cour. Assis contre un mur, un vieillard sale semblait conter une histoire à trois marmots émerveillés.

Isendar attendait, n’osant s’approcher plus. La tension qu’il ressentait en ce lieu le rendait au paroxysme de la nervosité. Mécaniquement, ses doigts couraient le long de la poigne de sa petite dague, plus un totem protecteur qu’une véritable arme.

Le gamin chuchota trois mots au vieillard. Ce dernier leva enfin la tête vers l’intrus et un sourire mystérieux éclata sa face. Cette caricature de chaleur le fit frémir, simulacre malsain, plus une grimace qu’un réel sourire.

Sans un bruit, il se leva, emportant quelques volutes de poussières dans son mouvement.


« Bien, il faut me laisser à présent les enfants. »

Isendar ne put que remarquer le regard que lança la seule petite fille du lot. Un regard hostile et farouche, il sentit alors toute la foudre de son effronterie.

*Je suis le bienvenu on dirait* pensa-t-il ironiquement.

Accompagné du gamin qui semblait finalement être le plus vieux et qui lui avait servit de guide, le vieillard s’approcha doucement, son éternel grimace aux lèvres. Isendar ne porta pas vraiment attention à la démarche étrangement saccadé du vieux, trop obnubilé par cette fissure qui s’étendait dans cette forêt de barbe. Ce sourire… décidément il lui donnait froid dans le dos.

Il en aurait presque oublié le gamin si celui-ci ne le pressait pas du regard. Il n’y avait pas besoin de mots, le domestique compris ce qu’attendait cette petite vermine.


« Voyons Julian, tu ne vas pas rançonner notre invité.»

Ces paroles étaient sorties avec un tel calme, mais avec une telle violence à la fois que le messager sentit la menace qui lui était destiné parcourir le long de sa colonne vertébrale. L’affaire ne souffrait aucune discussion.

Dans un grognement rauque, il fouilla dans sa bourse pour en retirer une pièce doré qu’il jeta dédaigneusement au garçonnet. Celui-ci l’attrapa au vol et s’enfuit, tout content, retrouver la petite fille qui l’attendait devant le gouffre d’une ruelle. Puis tout deux s’en allèrent tranquillement disparaissant dans l’ombre de la ville.


« Bien, je suppose que vous avez ce que je veux ? »

Décidemment les mots qu’il crachait au vent avaient quelque chose d’inquiétant… d’effrayant même…

« Bien sûr, je ne me ballade pas en ces lieux putrides par pur plaisir. »

« Hahaha ! Il est vrai que les visites de courtoisie sont plutôt rares. »

Sans autre forme de procès, Isendar lui tendit la lettre cacheté. Il voulait en finir vite… très vite. Dans un mouvement exaspérément lent, le vieux débris pris la missive et tendit une bourse pleine. On aurait dit que ce vieux rabougris sentait les états d’âmes du messager. Il s’empressa de prendre la bourse.

« Heureux de faire affaire avec vous… »

Encore cette horrible voix épouvantablement froide.

« … prenez cette rue, Julian vous raccompagnera vers la civilisation. »

« Bien. »

Les jambes un peu raides, Isendar s’en alla d’un pas énergique… toujours plus loin de ce sordide endroit… toujours plus loin de l’Illusionniste…


II/ De l’Innocence


Bonjour, moi c’est Callíh. Moi je fais partie de la bande des « Chiens sauvages » de Diantra, les plus forts de la ville c’est nous !! Et même que mon frère Julian en est le chef. Il est très fort et se fait respecter par tous les membres du groupe.

Mes parents ils sont partis loin pour nous protéger même qu’il m’a dit mon frère, alors c’est lui qui s’occupe de moi. On vit comme les autres dans la rue mais c’est pas grave on s’amusent plus que les fils de nobles. D’abord ils sont nul les nobles il dit mon frère, ils savent pas ce que c’est la vrai vie même. Moi je m’en fiche, tant que je suis avec lui.

L’illusionniste ? Il st gentil. C’est le seul grand a pas nous insulter quand on passe, ils comprennent rien les grands, ils nous traitent que de « voleurs » et « petits monstres » mais je sais que je suis pas une monstre d’abord, en plus mon frère il m’a dit qu’on volait pas, on « emprunte » c’est pas pareil il m’a dit.

Parfois même le papi illusio… illo… bref « Papi » il nous donne des sous, il dit que c’est parce qu’on est gentil mais des fois je l’entend discuter longtemps avec mon frère sur des sujets difficiles, mais on me dit que je suis trop petite pour comprendre… C’est pas vrai d’abord j’suis pas petite !

M’en fiche d’abord de leurs histoires na ! Car en plus Papi il nous en raconte des beaucoup plus mieux, des histoires de princesses, des histoires de grande plaine toute verte faite en sucre : c’est la pleine d’Ataa… d’Atrol… aaah je sais plus.

En tout cas moi j’aime bien Papi, même si les aut’grands ils disent qu’il est dangereux et fou, ils en ont peur, pfff ils le connaissent pas d’abord. Y’en a qui disent même que c’est le « Seigneur des parias » mais c’est des mots compliqués que je comprend pas alors je sais pas si c’est vrai.

Moi j’aime bien Papi même si y’en a qui l’aime pas.

C’est comme une fois, y’avait Ockar la Fouine qui s’est disputé avec Papi, même qu’ils se sont disputés tellement fort que les gardes ont faillit venir voir pourquoi y’avait du bruit. Même que depuis ben on a plus jamais revu la Fouine, mais Papi il m’a dit que c’était parce que il avait préféré partir.

Moi j’aime bien Papi, je comprends pas pourquoi les grands ils en ont peur. Il a toujours été gentil d’abord.




III/ De l’Indifférence à La Liberté



Cette nuit là…

La lune affichait son sourire étincelant, déchirant le voile des songes. Cette fissure dans les cieux reflétait de ses dents jaunâtres et pourris toute la vanité des êtres pensants, donnant au lieu, un éclat putride de corruption.

Cette nuit là, l’Illusionniste naquit dans la sueur de la liberté.

Son nom ? Depuis longtemps il l’avait oublié. Vestige d’un personnage social qu’il n’était pas, hérité de quoi ? D’un sang, d’une société, d’un clan. Tous ces mots sont bien vides face à la véritable conscience. Abject poids qu’on traine et dont on cherche inlassablement à s’émanciper.

Non, son enfance ne fut pas heureuse. Là-bas il n’était rien. Immonde créature parmi les dieux, pas un elfe, au grand damne de ses créateurs, non plus un homme, car privé de la mortalité.

Sa… particularité lui valu d’être rejeté de ses paires… Comment quelques poils peuvent provoquer autant de dégout ?

Oui il était de sang elfe, mais un elfe maudit. Ne pouvant le haïr comme on hait un drow, la communauté ne lui distillat qu’indifférence et mépris.

Le pire poison n’est pas toujours celui qu’on pourrait croire.

Il était seul, abandonné de tous, en marge de la vie elle-même avant même de l’avoir vraiment vécu. Il était seul…

Mais ce soir, cette nuit, il quitterait enfin le masque de son héritage. Il marchait, une douce brise estivale appuyant son choix de caresses légères. Certes il était seul, mais à présent, au fil de ses pensées, il se créa son identité.

Il était lui.

Ne voyait dans ce choix aventureux, aucune main divine. Ces pantins ne sont que balivernes lancer aux crédules.

Croire c’est déjà espérer pour après. Alors pourquoi croire si on n’espère rien, si, éternel spectateur du théâtre de la vie, on est condamné à contempler son déclin.

Les temps sont durs, il faut être plus dur qu’eux.

Très vite, ses pas vagabonds le conduisirent à son véritable monde, parmi ses semblables, les parias. Un ramassis de crotteux délaissés. Des êtres à l’image de l’homme, sales, avares et orgueilleux.

Qu’importe l’important n’est que de penser. Penser pour continuer de vivre, penser pour rester soi, penser pour être libre.

Et le clair-obscur ?
Depuis toujours un mal le ronge, une curiosité presque enfantine pour toutes les choses de ce monde, et l’art…
Quoi de plus fantastique que l’art ? De plus vrai ? Peinture de la vie, éternellement éphémère, cachant sous le voile du gout le lyrisme de la pensée elle-même. L’art à quelque chose d’excitant, de terrible. L’art rend les hommes dieux, l’art les rend diables.

Lecteur soit indulgent avec cet être, à trop vouloir penser on devient fou, à trop penser on devient sage.


~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : Toujours aussi complet et cohérent.

Comment as-tu connu le forum ? : Because I’m THE SURVIVOR ! (qui peut comprendre qu’il comprenne)

Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et nom de l'artiste dans la mesure du possible) : avatar : Old_Man by pyrotechnician
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MessageSujet: Re: L'illusionniste [Arlequin]   L'illusionniste [Arlequin] I_icon_minitimeMar 16 Juin 2009 - 16:18

Bonjour et rebienvenue =)

Personnage intéressant , mais je te demande de détailler un peu plus ta description physique et de te trouver un avatar.

Voilà Wink
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MessageSujet: Re: L'illusionniste [Arlequin]   L'illusionniste [Arlequin] I_icon_minitimeMer 17 Juin 2009 - 10:20

Voila c'est modifié en espérant que cela te convienne j'ai toujours des difficultés avec l'apparence physique ^^
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MessageSujet: Re: L'illusionniste [Arlequin]   L'illusionniste [Arlequin] I_icon_minitimeMer 17 Juin 2009 - 10:30

C'est bon je valide Wink

Trouve toi vite un avatar pour pouvoir RP !

Like a Star @ heaven Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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MessageSujet: Re: L'illusionniste [Arlequin]   L'illusionniste [Arlequin] I_icon_minitimeMer 17 Juin 2009 - 10:33

Milles merci ôh ma reine :dieu:

justement pour le vava je suis en discussion L'illusionniste [Arlequin] 629873
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