Entrainement (pv mon fils)

J'entra lentement et je vit qu'elle m'avais vu alors je continua mon chemin vers elle et elle ne saissa de tirer avec son arc comme d'habitude je ne su surpris qu'elle tire comme une déesse mais normallement elle touchais toute ces cible sauf que ce coup la elle en manqu'a une et je fût surprîs pour dix

- Mère . Qui à t'il ? Je ne vous ai point vu aussi mal depuit la mort de père ! ne me manter pas mère vous pouvez tout me dire .

Alors voyant que sa propre mère était ce jour la très silencieuse et renfermer je sorta ma lame de mon fourreau, et sur le coup mère me sourit elle avait reconnu la lame royal la lame que père avais le jour ou il mourru. Alors nous alliame sur le terrain d'entrainement a l'épé nous échagions quelque coup avant que je n'arrete (sans meme besser ma garde) et que je vis des larme sur les joue de ma mère.

- Mère ? Qu'avez vous ? Je ... je ne vous ai jamais vu pleurer je sais qu'il y a quelque chose en particulier alors parler en moi je vous prie de m'en perler ! Tout le monde même soeur dise que je vous suis semblabe alors vous pouvez tout me dire. Je vous prie ... !

N'étant plus capable moi même de parler nous échagiame quelque coup le temps qu'elle me réponde cela fût long au moin une bonne heure que nous échagions des coup et que j'attend toujours sa réponce ... ou plutôt la réponce de ces larme

Son fils poussa la porte en entra dans la salle d'arme. Elle revit alors le visage de sa fille, ce matin dans le jardin, absorbé par l'exercice de pouvoir, plus maigre que jamais et tellment différente. Elle chassa ses images de son cervaux et tenta de sourire a son fils.

-je vais bien.

Sa réponse laconique montrait pourtant le contraire. Mais elle ne voulait pas vraiment en parler, refusant d'accaparer son attention avec des problme secondaire. Ils étaient en guerre et elle ne devait pas réagir comme une simple humaine. Learza sortit alors une arme de son foureau. Elle reconnu alors immédiatement la lame de son père. Comment aurait-elle pu l'oublier ! C'est en combattant contre cette épée qu'elle en était tombé amoureuse. Elle sourita son fils et engagea alors un combat contre lui. Mais le visage de sa fille, si étranger ne pouvait s'éfacer de son esprit. Et contrairement a d'habitude, se plonger dans un combat contre le seul qui l'égalait a l'épée ne la distrait pas. Bientot, elle ne put empécher les larmes de couler sur ses joues. Lorsq'il lui parla et qu'il prononça le nom de sa soeur, elles redoublèrent. Elle ne pouvait lui répondre maintenant ainsi laissait-t'elle les larmes couler. Pendant plus d'une heure, il se combattirent, échangeant toute les passe imaginable.

Son fils était merveilleux a l'épée. Mais ils avait eu les meilleurs maitre du monde, elle et son mari. Soudain,elle pu distinguer de la fenètre sa fille marcher en compagnie d'un humain tenant une hache. Elle avait un visage sévère et son sourire avait disparu. Orelindë laissa alors sa peur et sa tristesse sortir et elle tomba en larme dans les bars de son fils.

-J'ai peur pour ta soeur.

La Reine des elfes qui n'avaiat jamais laissé sa tristesse sortir avait craqué. elle avait peur pour la chair de sa chair...

- Mais ... Enfin ... Mère ...


Tout à coup pour la première fois de toute sa vie Learza ce mît a pleurer lui même ... Des larme que personne n'y même sa mère aurrai du voir ... Car même a la mort du père qui lui était si cher il n'en versa aucunne ... Et Voyans sa mère intriguée ....

- Vous savez ... Je m'inquiéte aussi ... C'est dernière fréquentation ... Surtout même s'il sont nos allié ... Les humain je ne leurs ferais jamais a 100 % confiance ...

Sur ce Léarza eu un regard térifiant et remplis de larme ... Sa mère voyan les toute première larme du coeur fort de son fils faillît sécrouler a force de pleurer d'avantage dans ces bras mais léarza ne lacha point sa mère et assaya de la consoler tout de même sans succès alors ...

- Sur ce mère ... Nous arrêtons l'entrainement ... Allez vous reposer un peu ...

Sur C'est Mots: Réposer ... Arretons l'entrainement ... La douce beauter de mère de Learza fût plus que surpris car en plus des première larme .... Les première fois l'ou il disa de tels mots ... Arrêter l'enttrainement ET ce reposer n'était point le fort de Learza qui n'arrêta au grand point jamais ... Mais tout de même, Learza ne lacha point sa mère jusque .... la dernière de c'est larme autant pour lui que pour elle ... ne sois tomber

Orelinde pleuraut dans les bras de son fils lorsqu'elle sentit quelques chose couler dans son cou. Learza pleurait lui aussi. Elle releva la tète et regarda dans les yeux celui qui était si chèr a son coeur. pendant un bref instant, elle pu voir l'image de son époux disparu briller dans ses yeux brouillé de larme. Les siennes redoublèrent d'ardeur, laissant enfin partir toute la tristesse acumulé depuis tant d'année. Elle pleurait la mort de son mari, elle pleurait le changement de sa fille, elle pleurait la guerre qui allait détruire son pays, elle pleurait les gens qui mourrait au combats...

-Learza, pourquoi tout cela arrive t-il ? Pourquoi la mort de ton père alors que le monde sombre dans le chaos ? Lui seul aurait eu le pouvoir d'empécher cela...

Lorsqu'elle eu laisser son cri du coeur sortir, son fils prononça alors une phrase qu'elle n'avait jamais entendu.

- Sur ce mère ... Nous arrêtons l'entrainement ... Allez vous reposer un peu ...


Pour la première fois de sa vie, on lui demandait d'arréter de se battre et de se reposer. Orelindë azvait toujours été forte, jamais elle n'avait baissé les bras. Toute sa vie, elle avait tenu bon et aider son époux. Mais maintenant, qu'il n'était plus là... Ellefut alors saisi d'une hantise de retourner dans se appartement ou elle sombrerait a nouveau dans des souvenirs ou son mari faisait sauter une fillette sur ses genoux. Elle refusa donc d'un signe de tète et resta quelques minutes dans les bras de Learza. Au bout d'un certain temps, elle releva la tète et fixa ses beau yeux gris bleu et embué de reste de larme vers son fils. Ayant repris sa voix habituel, un peu plus lasse, elle lui sourit et lui dit :

-Je suis désolé...

Orelinde était plus qu'étonné de voir son fils comme ça dans ses bras. Depuis la mort de son père, il s'était forgé une carapace qu'elle n'arivait que très rarement a percer. Elle se souvint alors...

Un rire résonnait dans le jardin, les dernierers feuille de l'automne tombait, illuminant le jardin de leur couleurs, rouge doré, brune... Un petit elfe d'une dizaine d'année courait joyeusement, faisant tourbilloner sur son passage les feuilles. Il tomba mille fois, se releva mille fois, heureux de vivre... Une jeune femme au cheveux blond arriva finalement. Elle prit l'enfant dans se bars et le chatouilla. Lorsqu'elle lacha son fils, il s'aggrippa a ses genoux et la fit tomber par terre. ils se roulèrent pendant quelques minutes sur l'épaix tapis de mousse. Puis, Orelinde se releva et, tendant une main a Learza regagna le palais.

La reine rouvrant alors ses yeux vit son fils la regarder et pleurer toute les larmes de son corp... Elle comprist alors qu'il n'était jamais partit, son fils était rester, il fallait juste qu'elle gratte les couches qui le recouvrait... Elle ouvrit la bouche et alors, comme lorsqu'il était nfant, lui chanta une berceuse pour calmer les larme de celui qui comptait le plus pour elle. Son fils...

-" A Elbereth Gilthoniel,
silivren penna míriel
o menel aglar elenath!
Na-chaered palan-díriel
o galadhremmin ennorath
Fanuilos le linnathon
nel aer, sí nef aearon!"

Elle lui sourit a travers les dernières trace de larme qui était inscrit sur son beau visage.

-Oh si, tu as beaucoup pleuré il ya très longtemps. Quant tu était petit, tu t'était ouvert le genoux et tu avait pleuré pendant une heure.

Puis, une ombre triste passa sur son visage. Oui, depuis que son mari était mort, le royaume tombait, son fils s'enfermait dans la haine, sa fille dans le pouvoir et elle dans le chagrin. Elle serra alors son fils chéri dans ses bras, tentant se lui communiquer toute sa force. Sa fille allait tenter de sauver son pays grace a des coup bas. Mais Orelindë et son fils devait sauver le royaume comme son mari l'aurait fait, en se battant face a face avec ses immondes elfes noire. Aucune alliance, aucun compromis ne serait possible. sa fille s'occuperait du pouvoir et eux deux de la guerre. Lui, maître d'arme et elle capitaine de l'armée d'élite... Il pouvait sauver le royaume. Learza en était capable, sa mère en était sur maintenant.

Elle se détacha finalement du jeune homme et, en lui souriant lui demanda de l'attendre ici. Elle s'éloigna vers l'autre cotés de la salle d'entrainement, près d'un fenètre. C'était ici que le couple royal avait fini tout ses combat, aucun des deux ne l'emportant, s'écroulant de fatigue. Il ya quelques année,Telrunya avait gravé grace a un sort quelques mots sur la parois de la salle. la reine posa sa main sur un endroit bien spécifique et prononça quelques mots.

-Lheben teil brann i·annon ar neledhneledhi gar godrebh.

Le puissant enchantement qu'il avait créé se leva alors et apparu inscrit sur le mur : "Telrunya aime Orelindë" C'était un jeu d'enfant, un jeu d'amoureux a cette époque. Puis, la place s'était révélmé très utile. Grace a différents enchantement, la jeune femme l'avait protéger et l'avait creuser a l'intérieur. En glissant ses ongles dans une rainure, elle ouvrit le mur. Un trou carré apparaissait miantenant, d'une trentaine de centimètre de coté. Elle plongea la main a l'intérieur et retira un objet assez volumineux, entouré de soir bleu nuit. Orelindë retourna vers son fils et lui placa cérémonieusement dans les mains.

-Ton père savait que tu ne voudrait pas plus du pouvoir que moi. mais il m'a fait jurer de te donner ça quant tu serait près. Tu es près...

Learza étant intrigué eu sur le coup l'impréssion d'une présence que fort longtemps il n'avais point sentie ... il senti sur son épaule gauche la main de son père et sa mère lui fesant un sourire en regardant a moitier en arrière comme si elle aussi le savais ... Learza fût troubler pour dix mais il savais qu'il n'avais rien a perdre de ce qu'il senti et voit présentement sous les dernière lueur du soleil abondant sur ce monde de felon ...

- Mère ... vous n'allez point le croire mais père ma donner il y a fort longtemps un objet qu'il voulais que je vous donne je croit que je devais avoir 12 ans (elfique bien sur) alors je ne comprenais pas vraiment mais il ma jurer que ceci fesai parti de votre histoire et que tu aimerai avoir cet objet mais maintenant je n'ai qu'une question ...

Sur ces mots la mère de Learza ce mit un petit sourire rabaisser avec un air intriguer que Learza n'avais jamais vu ... sans doute a cause que cet objet elle en avais p-e deja entendu parler mais jamais vu ... alors Learza ce mit doucement de l'autre coter du mur en disant dans l'ancien language elfique (language inpratiquer depuit plusieur centaine d'anné) que personne sauf lui et sa mère connaissais ...

- Hır Fìŋ Foŀıŋam (secret invisible en francais)

un objet dans une toile de tussue multicolore apparrut peux a peux et Learza eu compris que cet objet était une grande relique qui pouvais autant détruire le monde et le faire sombrer dans le chaos que lui donner la lumière qu'il mérite ...

- Mère ... Voulez vous cet objet ? Si oui je doit vous aviser que cet objet est aussi merveilleux que chaotique ...

Orelindë n'était pas vraiment étonné que son mari est confié a Learza un cadeau pour elle. Elle s'en doutais. Elle pensait mème savoir ce que c'était. Une seule fois, il y a très longtemps, ell était rentrer dans leurs appartement et Telrunya s'était empréssé de cacher quelque chose sous sa cape. Il avait refusé de lui dire ce que c'était mais lui avait promis qu'un jours viendrait ou elle l'aurait. Lorsque cela s'était passé, son fils avait 12 ans. Il lui avait probablement donné juste après l'objet en question.

Elle observa son fils s'approcher du mur et prononçer qulques mots en ancien langage elfique. Très peu de gens connaissait encore ce langage. Orelindë avait les plus grande connaissance avec son mari en ce domaine. Ils avait tout enseigner a leur fils. Un objet enveloppé d'un tissu multicolore apparu peu a peu.

-Vas y mon chéri. ouvre le pour moi.

En fait, elkle avait un peu peur de le toucher. Elle savait qu'elle en était digne. Autrement, Telrunya n'aurait pas demander a leur fils de lui remmettre. Mais elle avait un peu peur tout de mème. Son mari voulait absolument qu'elle continue a se battre pour la défense du royaume. Après la mort de Telrunya, Orelindë avait en effet failli mourir. Elle ne pensait plus pouvoir vivre sans sa moitié. Elle avait eu l'impression d'ètre déchiré. Mais une nuit, elle avait sentit une présence auprès d'elel. Sa porte s'était alors ouverte et son fiksl et sa fille était venu se consoler dans ses bras. Telrunya veillait sur eux...

[HJ : désolé, vraiment pas d'imagination ! ]

Orelindë sourit. Elle comprenait enfin le sens de la phophétie. Lors de la création de Nienna, l'anneau qu'elle portait au doigt, un sage avait énoncer une prophétie.

"L'anneau possédera le plus grands pouvoirs. Mais lorsque un soleil noir tombera sur la terre, lorsque les loups hurlerons, lorsque les alliances seront brisé, de la mort surgira une étoile. Cette étoile viendra s'accrocher sur Nienna et son pouvoir déppassera les mers. Pourtant, seule une personne pourra le controler. par delà la mort, l'étole reviendra..."

Orelindë comprenait enfin la prophétie. Elle savait qu'elle était plus forte que n'importe qu'elle homme, plus forte que n'importe qu'elle elfe. Son pouvoir dépassait celui de son fils. Elle était désigné, par delà la mort pour porter l'anneau complet. Elle saisit donc le rubis et délicatement, le posa a la place qui était prévu sur Nienna en murmurant quelques mots :

-Ónen i-Estel Edain. Ú-chebin Estel anim

Cette phrase, plus personne ne la connaissait. Telrunya le lui avait révélé avant de mourir, en lui disant qu'elle comprendrait un jours. C'était un des sort les plus puissant qui existait. il permettait de lier entre ux deux puissance magique et de pouvoir en retirer su pouvoir. Depuis que son époux était mort, seul elle et quelque très vieux sage connaissait ses mots. Mais aucun n'aurait penser devoir les utiliser un jour...

Juste après avoir pronocer ses mots, Orelindë sentit que quelques chose rentrait a travers elle. Mais cette puissance était si extraordinaire que la jeune reine ne put la soutenir. Elle s'écroula sur le sol. Elle sentit son fils la rattraper. Elle sentait le pouvoir déferler en elle et prendre ses place, prèt a ressortir dès qu'elle l'apelerait. Soudain, une conscience apparut dans son esprit. Une autre âme était venu l'aider. Et cette âme, Orelindë la connaissait bien. Telrunya...

-Na palan-guruth. //Par delà la mort//

Sa voix n'était qu'un murmure, un souffle. Tout fut fini alors. Nienna était enfin complet, et elle le sentait pulser dans son sang. Ils avaient maintenaant une grande chance de remporter la geurre.

[HJ : désolé pour la présentation qu'est pas très belle mais je peux plus mettre de couleur... J'ai écrit que tu était moins puissant que moi parsque tu as 60/500 de puissance et moi 90/500. ]

Learza ce mit à ratrapper sa mère d'un mouvement très rapide et vut une fois qu'elle était écrouler vu dans ces yeux encore ouvert l'image de son père et cela le réjouissa et même si il disa quelque chose a sa mère il lui disa aussi dans l'ancien language elfique que lui Telrunya sn père et Órelindë sa mère lui avais aprise :

- Hıŋ ÆLmerÆL Ŧshıŋıss (Mon fils ... je suis fier de toi)

Quand la mère de Learza ce réveillit elle eu l'air combler pour la première fois depuit la mort de son mari, le père de Learza.

-Mère ... ... ...

Learza incapable de parler ne fut qu'un sourire et laissa attendit les parole de sa mère qui en plus d'avoir l'air combler avais tout aussi l'air très heureuse peux etre presque aussi heureuse qu'à la naissance de son fils ...

[HJ: bah c'est pas grave de toute facon c'est un peux normal que tu sois la plus puissante contenant du fait que tu est la reine mais peux importe la puissance en tant que tel je parlais puissance spirituel dont mon perso doit etre près du tien]