Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques)

Nota bene : Je saurai m'adapter à toute demande de modification en cas d'acceptation du rôle, ainsi qu'à son refus.

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~ Présentation du personnage ~
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INFORMATIONS DIVERSES

Nom :

Amrénor

Prénom :

Lyriel

Surnom :

Namriel

Âge :

Aux alentours de 520 ans

Sexe :

Masculin

Race :

Elfe

Particularité :

Cheveux argentés, œil droit d'un bleu céruléen et très clair, attitude parfois théâtrale.

Devise :

Il y a cent façons d'échouer ; une seule de réussir.

Alignement :

Communauté de la Lumière

Métier :

Classe d'Arme :

Corps-à-corps défensif

Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques) Liriel

Équipement
■ Armes

Vespéride (Hallebarde double) ; La hampe est faite d'une matière rouge, constellée d'une myriade de fragments aux teintes aurorales. Rejoignant les deux extrémités, il s'y enroule la représentation d'une guivre faite d'une soyeuse crinière chatoyante. Celle-ci brille d'un éclat argenté à la lumière sélène, et scintille telle une flamme vivante grâce aux rayons solaires.

Quant aux deux lames, elles sont faites d'un acier renforcé qui produit des courbes sinueuses et irrégulières, luisantes et iridescentes. Entre le fer et la hampe est également sculpté un aigle doré dont les ailes en acier, largement déployées, sont aussi tranchantes que les lames. Sur celle de droite est inscrit «élégance» tandis que sur celle de gauche est gravé le mot «honneur». Enfin, au centre de l'arme est écrit en lettres d'or l'objectif de son possesseur. La «Perfection».

Contrairement au style elfique, ce n'est pas une simple lance munie sobrement d'une lame au bout, mais bel et bien un chef d'oeuvre d'un forgeron humain. Si l'histoire ne nous dit plus comment elle se retrouva en terres elfiques, Lyriel l'a retrouvé dans les décombres d'une maison abandonnée, intact. Dès lors, ce devint son arme de prédilection.

■ Éléments divers

Lyriel possède un pendentif que sa mère lui a directement donné, c'est pourquoi il y tient plus que n'importe quel autre objet. La chaîne est constituée d'un cuir résistant et il y pend un phénix en obsidienne ; il est par ailleurs possible de l'ouvrir pour y découvrir à l'intérieur une sculpture du visage joyeux de ses parents naturels.

Personnalité
■ Reconnaissance physique

Sa démarche tout d'abord est agile, à l'instar de tout elfe, mais peut-être vous paraît-elle même théâtrale et il émane de ses mouvements une forte confiance en lui-même. Vous le voyez vêtu d'une sorte de léger pantalon large plissé servant à camoufler les mouvements de ses jambes et sous lequel se trouve un autre pantalon plus resserré. Puis retombant jusqu'au bas de ses hanches, une cotte d'un bleu clair, souple mais résistante, par-dessus de laquelle se trouve une tunique verte sans manches, possédant une légère saillie au-dessus des épaules. En effet, il possède sur les bras un tissu aussi vert que sa tunique et couvert de mailles, qui part du bout de la clavicule et redescend jusqu'à sa main, en protégeant le dos d'un triangle particulièrement résistant. Bien que peut-être surprenant, cet accoutrement vous parait singulièrement grandiose.

Mais cette prestance n'est pas impressionnante car ces vêtements laissent une sensation de fragilité, de légèreté, d'humilité. Aussi n'a-t-il pas l'air imposant car sa musculature n'est pas extrêmement développée, et l'apparente inflexibilité de ses vêtements est adoucie par des mouvements fluide et calculés. Vous le voyez d'abord se prendre gauchement un piéton dans la foule tandis que l'instant d'après, il esquive de quelques centimètres une poutre, qui en-dehors de son champ de vision aurait dû inexorablement l'écraser. Puis vous sentez son regard glisser vers vous, un regard que vous soutenez avec témérité.

Paralysé par l'éclat de son oeil céruléen, vous le fixez avec un mélange de sentiments impudents, dont la curiosité, peut-être l'envie, voire de l'émerveillement. Ses pupilles dilatées trahissent une joie de vivre pétillante, mais ce regard semble surtout vous traverser ou balayer nonchalamment le paysage. Ne tombez pas dans ce leurre, car il analyse en réalité chacun des détails qu'il perçoit et en tire souvent des conclusions justes. Prunelles qui vous semblent de plus parcourues par une myriade d'émotions et à chaque instant vous y discernez un flot de passions : une chose est sûre, cet individu vit pleinement chaque seconde.

Vous dressez ensuite un portrait plus général de l'elfe en question. Ses fins sourcils se contractent malicieusement et un sourire espiègle s'étire en creusant de petites fossettes. Enfin, il possède un nez droit qui s'élève discrètement au-dessus de lèvres incarnates. Un visage géométrique en somme, dont la complexion brillante est enjolivé par des vêtements clairs et qui inspire le respect et non la peur, la sincérité et non la sévérité. Une sereine ambition en anime les traits, dont la vénusté vous échappe tandis que vous clignez des yeux. Déjà a-t-il disparu de votre champ de vision.

■ Reconnaissance morale

La quête de la perfection, telle est sa philosophie. Pour lui, il faut chercher en chaque instant la précellence pour n'avoir aucun remord lorsque l'heure fatidique arrivera, et tendre à se surpasser autant que possible pour montrer sa gratitude envers la Nature. Son perfectionnisme entraîne donc inévitablement un altruisme et une abnégation non simulée, suppléé par un fort esprit patriotique. Ce ne sont cependant pas toujours des qualités, car cela signifie aussi que sa vie n'a à ses yeux pas plus d'importance qu'un quelconque autre elfe, toutefois il est assez clairvoyant pour faire passer ses responsabilités avant ses sentiments.

Peut-être est-ce en raison de celles-ci qu'il semble introverti et ne parle pas énormément ; il possède en effet des yeux plus actifs que sa langue. Calme et réfléchi, son esprit analytique ne se précipite jamais et quand bien même il serait insulté, il répondrait calmement, d'une voix à la fois claire et péremptoire, froide et tranchante, telle la glace. Cette apparente rigidité n'est pourtant qu'une image car il est surtout rêveur et hyperémotif, si bien que son esprit rancunier prend parfois le dessus. Il est alors très rare que sa vindicte ne cesse par la Raison, plutôt que par le châtiment du fautif. Néanmoins il a peu à peu appris à dominer cette brèche, qui subsiste cependant.

Par ailleurs, il est soucieux de l'avenir de son peuple et comprend l'importance des relations avec les humains et les nains, même si ces-derniers ont tendances à l'agacer. En outre, il sait reconnaître la valeur d'autrui et le respecter, quelle que soit son origine. De ce fait, il aime les personnes respectueuses envers leurs supérieurs, mais il apprécie également les audacieux qui savent remettre en question l'autorité qui leur est imposé lorsque cela est nécessaire, personnes qu'il distingue clairement des vulgaires arrogants. Encore une fois, son fort esprit patriotique lui permet une tolérance (bel et bien limitée toutefois) vis-à-vis de ces impudents, mais de manière générale il aime voir les elfes combattants s'améliorer ; d'où son plaisir à enseigner ce qu'il sait.

À l'instar de tout autre elfe sa façon de se battre n'est pas brutale et il se sert de son arme pour contre-attaquer. Une fois que le premier coup a été donné, tout s'enchaîne dans un seul et même mouvement et il utilise alors son agilité et sa réactivité pour s'adapter très rapidement. Sa volonté lui confère de plus une pugnacité surprenante et il se relève toujours, dût-il s'évanouir debout, en position de combat... Son moral joue par ailleurs un rôle important car une guerre juste et désespérée décuplera ses forces. A contrario, une guerre tournant au bain de sang l'affaiblira car pour lui, l'art de la guerre est d'en minimiser les pertes.

■ Reconnaissance vocale

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~ Histoire du personnage ~
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~ Introduction ~

Tel était le parfum de la liberté.
Le vent caressant ses joues avant de sombrer dans son ample coiffure argentée, les perles de rosée constellant la flore diamantée, les murmures de l'aube et ses veines dorées à travers les nuages écarlates de pureté ; voilà ce qu'était le parfum de la liberté. Contemplant ce lever de Soleil avec une candeur subjuguée, il se délectait de chaque seconde devant ce spectacle coloré. Le rideau était levé.

L'alerte avait créé un véritable chaos au sein du village frontalier, mais les habitants capables de se battre s'étaient promptement équipés pour l'imminente bataille. Un raid humain comme il y en avait parfois s'était infiltré jusqu'ici, l'oeil brillant de rage et la haine brûlante d'orgueil. Une première salve de flèches éteignit quelques flammes, mais l'impétueux brasier allait inéluctablement se déchaîner. À leur violence pourpre vint se mêler quelques gouttes de vermeil, plusieurs roses de feu sur certaines maisons, et de rougeoyantes traînées sanglantes. Peu d'elfes y laissèrent la vie, mais ce tableau incandescent laissa une marque au plus profond de l'enfant. Devant son regard innocent, sa prunelle sanglante de larmes, gisait un elfe et une femme, gisait un père et une mère. Auprès de lui ne restèrent que des chimères, et l'odeur des corps autrefois tant aimés. Tel était le parfum de la liberté.

Une brume vespérale inondait le village proche de Wyslena, comme un voile de sérénité émanant du domaine sylvestre. Mais à ses yeux, la fadeur de ces ténèbres avait tout d'une prison et les jours, les mois et les années glissaient sur lui sans qu'il n'eût véritablement l'impression de les vivre. Il rêvait de voyager, mais il ne savait quelle voie choisir, tandis que son père ne lui laissait pas la liberté du choix.
Il était certes libre d'agir, de penser et même de vivre comme il l'entendait, mais cette liberté possédait néanmoins des chaînes qui l'entravaient, les chaînes du Temps. Un temps trop lent, dont les liens se dénouaient toutefois lorsqu'il admirait le soleil se coucher et se lever.
Tel était le parfum de la liberté.
Le vent caressant ses joues avant de sombrer dans son ample coiffure argentée, les perles de rosée constellant la flore diamantée, les murmures de l'aube et ses veines dorées à travers les nuages écarlates de pureté ; voilà ce qu'était le parfum de la liberté...

~ Premier chapitre ~

Spoiler:

Noir et blanc, tout était noir et blanc. Peut-être car les quelques images dont il avait souvenir se teintaient de neige et de peine, dans laquelle s'incrustait froid et désarroi. De tristes palabres paternelles, la découverte d'une soeur aînée dénommée Kyrélia, et un pendentif, seul souvenir de cette tragédie. Quelques détails flous, des flocons ondulant lentement et des figures affligées, des larmes frôlant ses joues et une déchirante fureur, voilà ce qui le poussait à chevaucher la monture familiale, pour la première fois, comme une aisance innée. Pour s'éloigner le plus vite et loin de ce cauchemar.

La colère ayant laissé place à l'harassement, c'est un mi-mort empli de remords qui se tenait tant bien que mal sur l'étalon aux crins de grenat. Le paysage tremblait, défilant confusément, et la constriction de son coeur était un supplice de chaque seconde. Pourtant il trouva la force de réfléchir quelques instants, se demandant pourquoi il avait réagi aussi précipitamment. La honte d'avoir été incapable de protéger ses parents, la frayeur de la solitude, le dégoût envers ceux qui n'avaient rien fait, la volonté de voir cette soeur dont il n'avait jamais entendu parler ainsi qu'une force attractive irrésistible ; tel était le délicieux cocktail qui s'agitait en son cerveau tourmenté, qui s'évanouissait peu à peu dans un rêve enténébré...

∴

Il lui fallut un peu plus de trois jours avant d'entrevoir, en contrebas, Alëandir la mirifique. La capitale elfique fit frémir d'admiration l'enfant qui descendit souplement de son cheval alors que celui-ci s'échappait sans qu'il ne s'en rende compte. Alëandir la féérique, Alëandir la merveilleuse, Alëandir. Érigée en symbiose avec la Nature, au milieu des arbres qu'elle épousait à la perfection, il émanait de la splendide cité une aura de sérénité. Quelques tours graciles s'envolaient vers des nuages qui les auréolaient et plusieurs monuments resplendissaient de vénusté, mélange d'hardiesse et de finesse, de force et de légèreté. Tout autour, les rues s'entrelaçaient avec organisation au milieu des bâtiments simples, toutefois radieux. Devant une telle grâce angélique, chaque exhalation du jeune elfe était un soupir de béatitude mais au fur et à mesure qu'il s'approchait du joyau elfique, la somptueuse vue se voilait à ses yeux alors que son coeur commençait à battre la chamade. Il passa l'arche principale en balayant les lieux de son regard exalté. Il en avait presque oublié son objectif...
Après de nombreuses heures de marche durant lesquelles il s'était imprégné des merveilles de la capitale sylvestre, l'enfant pensait qu'il parvenait à s'y retrouver, mais dans la solitude on est toujours perdu. Pour se reposer, il se dirigea donc vers une auberge peu animée mais accueillante, dont les murs étaient ornés de chaudes couleurs. Affamé, il commanda un repas sans même songer qu'il n'aurait pas de quoi le payer et se perdit dans l'ombre de son passé avec un regard absent. Lorsqu'une elfe adulte aux cheveux bouclés s'installa devant lui, il sentit toutefois une agréable chaleur qui le fit frémir et émerger de ses mélancoliques pensées. Et tandis qu'il avalait son plat avec la même expression préoccupé, il ne remarqua pas l'inconnue qui l'observait avec attention. Lorsqu'elle eût terminé, elle brisa le silence de sa voix d'apparence faible, mais également nette et pure.

«Voilà un bien étrange collier, remarqua-t-elle à voix haute.
-Pourquoi vous intéresse-t-il ?
Oh, tu te trompes. Je regrette juste que tu doives l'utiliser comme monnaie. Car tu ne possèdes rien d'autre pour payer, n'est-ce pas ?»

L'enfant rougissait déjà légèrement lorsqu'elle eût achevé sa phrase, mais les pupilles irisée d'espièglerie qui le fixait l'empourprèrent davantage encore.

«Ou sinon, je peux te l'échanger contre de quoi satisfaire le patron qui commence à te dévisager... Qu'en dis-tu ?»

Expliquant que ce bijou avait trop de valeur pour lui, il crut apercevoir une étincelle de nostalgie dans les yeux de son interlocutrice. Elle eut un sourire rêveur mais finit par se lever après avoir laissé quelques gemmes sur la table. Sans le consulter du regard, elle se dirigeait vers la sortie, sachant qu'il la suivrait. Car cette démarche, souple et assurée, il la connaissait déjà.

~ Second chapitre ~

Spoiler:

Lyriel était perché sur l'un des bâtiments les pus élevés de la capitale. Il contemplait l'astre argenté et les cinquante dernières années passées avec sa soeur. Tout était passé si vite... La première nuit tout d'abord, lorsqu'il l'avait rencontrée et où elle lui avait parlé de son père, pendant qu'il essayait de grimper ce même bâtiment. Son enseignement avait ensuite été particulièrement rude, mais il en tirait surtout de bons souvenirs et se rappelait parfaitement de chacune des fois où elle lui avait révélé sa vision des choses. La vie disait-elle, n'est rien d'autre qu'une droite. Verte de vertue, nette de pureté, claire de courage ou brillante de grandeur. Une droite qui doit éviter les courbes et les angles, une droite qu'il faut rendre la plus harmonieuse possible...
Quant au combat, elle voulait lui enseigner à affaiblir les attaques ennemies pour augmenter son influence. En outre, que le duel dure quelques secondes ou plusieurs heures, tout devait se dérouler en un seul mouvement pour éviter de perdre de l'énergie. Et chose étrange, l'enfant avait pris une hallebarde pourvue d'une lame à chaque extrémité comme arme de prédilection, arme qui avait dû couter à son mentor bien plus qu'elle ne voulait l'avouer.
Enfin, elle lui avait appris à connaître les autres grâce à leurs gestes et leurs mimiques, ce qui permettait de savoir sur qui compter. Aussi, il savait qu'en regardant légèrement en haut à gauche, les souvenirs se matérialisaient devant ses yeux vitreux.
Elle lui avait tant appris...

«Je pars pour un long voyage, quant à toi... Mon enseignement prend fin aujourd'hui.»

Il faisait encore nuit, et dehors la pluie, ombre sonore de minuit, arborait son ennui. Cette séparation l'inquiétait depuis peu, mais elle était arrivée si vite qu'il n'avait pas eu le temps de s'y préparer ; néanmoins, la nuit l'apaisait et il commençait à se calmer. D'abord il lui faudrait s'engager dans l'armée elfique pour continuer à progresser et ensuite il la retrouverait... Plus tard, quand il le pourrait.
Prenant appui sur une corniche incertaine, saisissant d'infimes prises, il redescendit tel une ombre qu'il était.

∴

Les battements de son coeur s'accéléraient peu à peu tandis qu'on le guidait à travers ce qui allait devenir sa maison. La ballade s'acheva dans sa chambre, qu'il allait apparemment partager avec quelques autres elfes. À peine eût-il balayé la salle du regard qu'il fut averti que l'entraînement allait commencer. Comment allait-il se dérouler ? Combien de temps durerait-il ? Harcelant de questions son guide, celui-ci lui répondit que les emplois du temps étaient plutôt libres mais il y avait une séance obligatoire. Plusieurs instructeurs, de niveaux différents, donnaient alors des consignes que les recrues devaient suivre et tous avaient déjà démontré leur valeur sur le champ de bataille. Aucun n'utilisait son hallebarde ; l'obligation de s'entraîner à l'épée ou avec d'autres armes qu'il aimait encore moins, les premiers jours, était la première désillusion. Mais non la dernière.
Malgré sa déception lorsqu'il se mit gauchement en garde, une ardeur inconnue faisait bouillonner son sang. La plupart des recrues se concentraient sur leur exercice et le regard de l'instructeur était rivé sur un élève plus talentueux que lui, toutefois il était nerveux sans savoir pourquoi. Un susurrement intérieure lui intimait de fléchir les jambes, de se placer dans l'axe de sa lame et il semblait y parvenir comme s'il en avait toujours été capable. Puis la voix de l'instructeur brisa son effort en lui ordonnant d'imiter la garde qu'il préconisait. Celle-ci s'avérait certes beaucoup plus simple, mais également beaucoup moins efficaces : la lame en l'air et les jambes parallèles, il devait utiliser le poids de son corps pour attaquer et se défendre. Les coups lui paraissaient bien trop droits et il savait que des mouvements circulaires repousseraient facilement cette défense, pourtant il espérait que cette garde ne fût qu'un avant-goût.
Ce n'était pas le cas.

Passées deux semaines, il perdit l'espoir d'apprendre quoi que ce soit d'intéressant, même lors des enseignements facultatifs. Pourtant il ne réprouvait pas les entraînements en groupe, quoiqu'il fût l'un des bretteurs les plus faibles. Plus précisément, personne ne souhaitait plus l'affronter en raison de sa faiblesse, tout comme personne n'osait faire face au plus dextre de ce groupe. Ils devaient alors coopérer et combattre ensemble... Dénommé Ferëliand, celui-ci posa sur Lyriel un regard qui trahissait son opiniâtreté. Nulle condescendance ni présemption n'altéraient ses iris, simplement de l'intérêt et de la candeur. Avait-il seulement remarqué qu'il effrayait les autres grâce à l'aura qui semblait émaner de ses gestes vastes et précis ? Menant le premier assaut, il avait débordé son opposant en un clin d'oeil et avec grâce comme si l'arme faisait partie de lui. Lors de sa phase de défense, il avait repoussé toute offensive en contre-attaquant aussitôt.
Plusieurs jours durant, ils s'étaient entraînés ensemble et Lyriel s'améliorait à une vitesse vertigineuse, si bien qu'au bout d'une semaine peu étaient capable de leur tenir tête. Leur groupe était l'un des plus faibles pourtant leur habileté était telle qu'un instructeur bien meilleur répondant au nom de Lendrethar leur proposa de le suivre. Il entraînait une catégorie d'elfes qu'il choisissait lui-même, c'est pourquoi les deux jeunes soldats s'étaient sentis flattés. En outre, en dépit de l'obligation d'utiliser une épée lors des entraînements obligatoires, Lyriel pouvait porter l'arme de son choix lors des séances facultatives.
Tandis que les années passèrent, l'unité de Lendrethar gagnait en réputation. Ce-dernier était un chef d'une extrême audace, dont les plans qui paraissaient les plus suicidaires étaient une source d'éloges inépuisable en son nom. Chacun des soldats qu'il avait réunis avait ainsi acquis du prestige grâce à leur efficacité sur le terrain, si bien qu'il leur arrivait de donner des ordres à d'autres soldats, nonobstant la hiérarchie. Ils étaient souvent ignorés mais leur autorité se renforçait à chaque bataille, si bien que leur dirigeant préféra dissoudre le groupe avant qu'ils ne sèment le chaos dans l'organisation de l'armée elfique. Mais alors qu'ils s'enrôlèrent dans différents groupes, ils trépassaient un à un dans des embuscades. Lendrethar qui était un guerrier accompli survécut néanmoins, ainsi que Ferëliand et Lyriel qui étaient restés ensemble.
C'était il y a trois siècles.

~ Troisième chapitre ~

Spoiler:

Je fais parfois des rêves étranges... Cette odeur de cadavres, cette bravade due à la colère... Pourquoi est-ce si sombre ?

Des fragments de feuilles, jaunes et légères, flottaient délicatement dans l'air frais. Ils brillaient dans les reflets de lumière tels de petit éclats d'étoile, mais formaient un tapis de pourriture ; dans l'air ambiant planait une émanation malsaine, mais tout était parfaitement calme. Pas de bruit, ni de mouvement ni d'animal ; trop calme. Tandis qu'un groupe s'apprêtait à passer de l'autre côté de la rive, les plus aguerris des bretteurs dégainèrent, se transformant en cibles prioritaires qu'une subite salve de flèches vint cueillir. Une fine pluie de sang éclaboussa Lyriel qui évita un trait de justesse bien qu'elle trouvât malgré tout une cible...
Des taches rouges et brillantes sur une boue empourprée, des traces floues et luisantes, des cris agonisants ; tel était le tableau de cette embuscade. Utilisant les arbres comme égides naturelles, les troupes elfiques firent une percée mais les unités s'étaient rapidement dispersées et étaient devenues des proies faciles. Lyriel avait beau être au côté de nombre de guerriers de valeur, il y avait des héros dans les deux camps. Une brume vermeille inonda peu à peu les lieux, brouillée par la douleur et le vacarme, aveuglant lentement l'elfe, comme en un rêve le privant de conscience.

∴

Je fais parfois des rêves étranges... Mon reflet semble englouti par un être incroyable mais inconnu, invincible mais invisible. Un elfe admirable mais sans visage, un guerrier capable mais sans arme. Il me lorgne, me pousse à m'améliorer, veut s'approcher mais n'y parvient pas. Il est à côté de moi, de l'autre côté. Je le sens, le vois, l'entends. Parfois, il me force à bouger ou je le laisse me contrôler. Il a disparu, mais je sais que je le reverrai, car il incarne l'idéal que je souhaite atteindre.
Lendrethar et Lyriel se retrouvaient seuls ; presque. C'était une sorte de duel à l'épée, mais le maître ne parvenait pas à comprendre pourquoi son disciple souhaitait utiliser une arme qu'il maitrisât moins que son hallebarde. Il accepta néanmoins, remarquant très vite qu'il n'avait pas affaire à son ancien soldat. Telle était sa première défaite depuis plusieurs siècles... Par la suite, Lyriel apprit à communiquer avec celui qui disait avoir pour nom Namriel, acquiérant ainsi une aisance presque innée pour le combat.

∴

Cette odeur de cadavres, cette bravade due à la colère... Pourquoi est-ce si sombre ?
Pantelant, Lyriel reprit conscience, épée à la main, une pléthore de drows morts à ses pieds. À ses côtés, plusieurs elfes étaient réunis mais derrière s'élevait un mur et devant se tenait l'ennemi. Ferëliand était leur otage. L'ivresse de la bataille faisait papiter son coeur et son corps ; intrépide, il ne flancherait toutefois pas. Son cerveau marchait à vive allure pour trouver une solution. Il avait la confiance des autres elfes et ils pourraient faire une percée... Mais abandonner Ferëliand ? Il le regarda une seconde qui dura plusieurs minutes. Il était prêt à mourir pour la Merveille Sylvestre, mais Lyriel ne parvenait pas à abandonner son camarade.
Un clin d'oeil, une larme. Refusant la reddition, les quelques elfes autour de Lyriel s'élancèrent en même temps que lui. Une traînée sanguine émergea tel un geyser et quelques perles atteignirent le visage du seul ami que Ferëliand n'avait jamais eu. La blessure lui promettait une mort longue et douloureuse mais souhaitant lui épargner cette fin tragique, Lyriel le transperça tout en portant un coup à l'assassin de son alter ego. Retirant son arme, il put voir les tripes ressortir mais s'enfonça immédiatement dans la mêlée en utilisant la haine comme une drogue. L'opium de la survie.

La bataille dura encore d'interminables heures, durant lesquelles chaque camp subissait des pertes inestimables si bien qu'à la fin du carnage, il aurait été impossible de définir un vainqueur. Lorsque le petit groupe d'elfes auquel appartenait Lyriel parvint à s'échapper, ils rencontrèrent une unité alliée que se joignit à eux. Harassés et horrifiés, ils chevauchaient avec difficulté en direction de la capitale. C'est pendant le trajet que les nouveaux membres du groupe informèrent les autres de la mort de Caranthir, provoquant un profond émoi en leur poitrine. La Merveille Sylvestre avait perdu bien plus que des habitants ce jour-là.
En effet, la capitale avait été victime d'un assaut conjoint quand Lyriel arriva enfin en Alëandir. Toutefois les combats étaient déjà fini car il avait perdu un temps précieux à se reposer et soigner ses blessures, tant physiques que morales. L'armée elfique avait subi un choc important, mais elle avait repoussé l'invasion drow et avait permis à Lyriel de prouver sa valeur.

Nuit et jour s'alternaient jusqu'à ce qu'il en perde la notion du temps, néanmoins son entraînement et ses nouvelles tâches de capitaine l'éloignaient de la morosité. Plusieurs siècles s'écoulèrent lentement, jusqu'à ce que survienne le bannissement d'Elverion. Capitaine des éclaireurs, il était également un grand bretteur qui alliait escrime et magie avec maestria, ainsi qu'un elfe juste et fidèle. Son accusation calomnieuse était la preuve que la Merveille Sylvestre n'était plus exempte d'impureté. Quelque chose se préparait, tapi dans l'ombre mais prêt à ressurgir. En outre, le capitaine d'infanterie, Ethleryth, était l'un des elfes les plus âgés et il n'était pas improbable qu'il prît sa retraite dans le siècle à venir. On envisageait alors Lyriel parmi quelques autres pour lui succéder.
Une nouvelle vague d'inquiétude résulta de la disparition du régent Rima Marcil peu avant qu'il ne devienne roi. Bien qu'inquiétant, cet évènement tragique laissa vacant le poste de Commandant en chef des Armées alors qu'Ethleryth libérait également sa place. Lyriel était donc devenu le plus âgé des prétendants, ce qui fut la raison qu'invoqua le Conseil des Ducs pour qu'il remplaçât Rima Marcil au rang de Commandant en chef des armées. Cette décision surprit d'autant plus qu'il n'avait pas servi en tant que capitaine, mais il avait déjà prouvé qu'il avait plus d'expérience que les autres aspirants. Sagesse de l'âge ou qualités établies, toujours est-il qu'il fut sollicité.
Il accepta toutefois, convaincu qu'il pourrait empêcher un nouvel assaut des drows. La rancune elfique est particulièrement développé et en perdant son meilleur ami à cause d'une embuscade drow, qui par la même occasion avait ravi aux elfes l'un des plus brillants mages de tous les temps ; en affrontant les drows il y a si longtemps, il avait compris combien le danger était important. Il devait à tout prix empêcher l'histoire de se répéter.

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~ Bonus : À propos de Namriel ~
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Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques) Rundy-12

INFORMATIONS DIVERSES.

Nom :

Amrénor

Prénom :

Namidakiel

Surnom :

Namriel

Âge :

Inconnu

Sexe :

Masculin

Race :

Elfe

Particularité :

Ne peut être vu que par ceux qui touchent son médaillon.

Devise :

Longtemps, les Dieux ne surent où cacher la sagesse ultime. Longtemps ils cherchèrent un lieu inacessible, impénétrable. En vain. Puis ils pensèrent à l'insérer au plus profond de l'homme. En son coeur.

Alignement :

Communauté de la Lumière

Métier :

Esprit tutélaire

Classe d'Arme :

Corps-à-corps défensif

Équipement
■ Armes

Vespéride

Voir la présentation de l'arme de Lyriel.

■ Armure

Ne possède pas d'armure...

Personnalité
■ Reconnaissance morale

Ancien combattant et stratège de génie, il possède un excellent esprit d'analyse et a appris à interpréter chaque mouvement du corps humain. Bien qu'intelligent, ses remarques sont dénuées d'intérêt personnel ou de cruauté gratuite car il possède un égocentrisme totalement inexistant. Son espiègle alacrité lui confère parfois une apparente fragilité et son corps n'est en outre pas particulièrement imposant ; néanmoins sa démarche fluide et discrète ainsi que son allure forcent le respect.

En effet, ses vêtements d'une autre époque dégagent une grâce séraphique. L'apparence a pour lui une très grande importance, ce qui se ressent dans l'escrime (parfois inutilement acrobatique) qu'il enseigne à Lyriel. Toutefois, grâce à son disciple il a appris que le Mouvement Parfait ne se trouvait pas dans la magnificence des enchaînements mais dans quelque chose de plus pragmatique.
Le Mouvement Parfait... Tel est, en réalité, ce qui lie les deux elfes. L'un d'abord car il considère qu'il faut saisir la perfection en chaque instant, l'autre puisqu'il n'a pu l'atteindre dans sa vie naturelle. Acteur d'une tragédie dont il fut le protagoniste, sa vie fut courte mais sa persévérance a traversé les ères pour que lui soit attribué une seconde chance.
Et cette fois, il compte bien la saisir...

■ Reconnaissance vocale

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Comment trouves-tu le forum ? : Un background très complet et beaucoup de détails intéressants ; beaucoup d'activité à ce que j'ai pu voir, que j'espère retrouver IRP malgré l'important taux d'humains =) .
Comment as-tu connu le forum ? : Bouche à oreille, grâce à quelqu'un qui a choisi l'anonymat (anonymat que je lui ai d'ailleurs imposé... Bref xD)
Crédit avatar et signature (lien vers l'image d'origine et non de l'artiste dans la mesure du possible) : Personnage - Cadre

Salut.

~~Je t'annonce que tu vas avoir l'extrême déplaisir de te taper mes commentaires odieux~~

Non, plus sérieusement, je m'occupe de cette fiche tout en couleurs assez prochainement, mais je préfère prévenir tout de suite, tu as posté au moment où je m'attelais à remettre le BG de l'armée elfe au goût du jour, et y a du ménage à faire crois moi. En plus je fais tout ça dans une période où je n'ai pas forcément le plus de temps pour moi donc cela pourrait prendre pas mal de temps surtout s'il faut adapter ta fiche aux modifications (la nouvelle armée reprendra les même bases mais en étant normalement plus claire dans son organisation et en la rendant un peu plus elfique). Bref, ça risque de trainer mais c'est pour ton bien Razz

Vu le temps que j'ai mis à faire ma fiche, attendre encore un peu ne me dérange pas ; néanmoins j'aimerais savoir si quelques détails moins précis sont à changer ou pas. Notamment par rapport à cet "ange gardien", car si je peux apporter une explication, elle n'est peut-être pas suffisante et si je dois recommencer toute mon histoire, j'aimerais bien en être averti sans avoir à attendre une refonte du BG ^^" . De plus, j'ai mis en avant l'histoire de mon perso et n'ai que peu développé sa montée en grade, alors si là encore je dois faire des ajouts, à moins que ça ne concerne la mise à jour de l'armée elfique, j'aimerais bien en être averti...

Sinon, merci de t'occuper de ma fiche, en espérant que la longueur ne sera pas lassante, et que tes commentaires ne seront pas aussi odieux que ça =S ...

Bon, j'ai pas été là de la journée, je passe rapidement ce soir.

J'ai lu le premier cadre. Alors, point de vue cohérence à rien à redire, à part, le coup de la photo What a Face

une petite peinture, une gravure, un dessin à la limite, mais non, on a pas encore fondé Kodak...

A part ça je tenais surtout à faire quelques petits conseils qui je l'espère pourront t'être utiles.

La hallebarde double et la grosse armure bien massive, évidemment c'est toi choisit comment tu construis ton perso, tu n'est pas obligé de suivre les habitudes de tous les elfes, mais sache quand même que tu es un cas très particulier. L'infanterie elfe elfe est essentiellement composée d'escrimeurs agiles, et pas de manieurs de fléaux d'armes ou de hallebardes ou gros braquemarts. Les armures sont généralement composées de lames métalliques et de quelques éléments de plates avec de la côte de maille pour finir de renforcer. Les grosses armures de plates complètes sont généralement considérées comme inutiles par la plupart des elfes et ce d'autant plus qu'ils ont de toute façon une musculature beaucoup plus vive et agile qu'endurante et puissante.
Et puis du point de vue esthétique également, il a tout fait le droit d'avoir ces goûts, mais la majorité des elfes, s'ils aiment les choses élégantes et bien décorées, sont d'accord pour dire que de manière générale quelque chose de relativement sobre est bien plus joli qu'une profusion de matériaux riches agrémentée d'une constellation de pierres précieuses diverses et variées.
C'est plutôt le style des palais humains les plus récent ça, un style qui commence à se rapprocher de celui de notre renaissance, un style où on entasse pelle-mêle des tas de dorures en forme de feuilles en espérant que ça sera aussi joli que ce que font les elfes.

Le charmeur et la dame à forte poitrine c'est pas vraiment des stéréotypes elfiques, simple détail en passant.

Même si je me doute bien que c'est pour aider à la compréhension il est préférable d'éviter les références à des choses un peu trop hors contexte telles que le hakama, mais là c'est moi qui titille sans aucun doute.

J'attaquerai la suite plus tard.
Pour l'ange gardien, j'ai pas encore lu. Cela dit sur Mira le terme d'ange ne fait référence à rien en terme de religion. Après j'imagine que des joueurs ont du glisser quelques allusions du style "un sourire d'ange" dans leur RP, donc ça peut être la forme de l'ange, qui est en fait la représentation qu'on associe souvent à Néera, la fille ailée, et qui a sans aucun doute pu être déclinée par des artistes, d'où l'existence potentielle du terme. Mais à part ça il n'y pas d'anges sur Mira Wink

Concernant la réforme de l'armée, je pense qu'on va garder exactement les mêmes sections (sauf très certainement la balistique qui risque bien de sauter), tout ce qui va changer ça va être déjà les descriptions des sections et leurs méthodes de combat (par exemple tu as actuellement la cavalerie qu'est du genre à aller s'empaler sur des piques en criant "Chargez !", ça fait plus humain que elfe, il va donc s'agir de faire quelque chose de plus elfique) et l'administration de l'armée. On devrait garder quelque chose de semblable avec à peu près les même grades, mais le système actuel est un peu emberlificoté et on sait pas bien qui fait quoi, j'essaye de trouver une solution qui soit viable sans pour autant tout foutre en l'air.

A bientôt quand j'aurai un peu de temps Wink

D'abord, un grand merci pour être passé si vite !
Ça va me permettre de changer plusieurs (beaucoup Rolling Eyes

) de détails. Dont l'armure, mais je tiens à garder la hallebarde double pour diverses raisons. Ce n'est pas une arme lourde en tout cas, de mon point de vue =s .

Cependant, quant au mentor immatériel, (le terme "ange gardien" est inapproprié je crois), je ne sait pas trop ce qu'il va en advenir car cela semble relever du domaine de la magie, celle de Tari...

Bref, je vais me remettre sur ma fiche, te remercie d'avoir répondu si vite et te souhaite bon courage pour la réforme de l'armée !

Concernant son style, vestimentaire de combat et autre, comme je l'ai dit tu fais comme tu veux, je ne fais que pointer des spécificités que tu as choisies pour t'aider à bien les intégrer en jeu, histoire de te dire, "ça c'est pas courant, tu gardes et tu prends en compte que tu joues un perso pas courant, ou bien tu avais dans l'idée de faire un perso plus courant et je t'aide à améliorer", c'est ma démarche pour ce genre de point Wink

Pour la hallebarde, pas de problème. Je pense que c'est le terme qui fait immédiatement penser à un truc bien bourrin et massif. Après, ton prédécesseur, Rima (qu'on ne voit malheureusement plus) maniait lui aussi une arme un peu lourde, une grosse épée je crois, et avait une musculature en conséquence d'ailleurs. Bref, fais-toi plaisir :)

Bon, j'viens de rentrer j'vais tâcher de bosser un peu et d'examiner ta fiche en même temps.

Edit : Des fois que ça t'intéresserait, les lances elfiques seraient plutôt d'un genre proche de la guisarme ou du naginata, parfois avec une lame un peu stylisée qui fait que ça pourrait se rapprocher de la hallebarde. Ton arme pourrait bien être un dérivé un peu original de la lance classique Wink

Edit² : J'ai oublié, en général chez les elfes même les plus patriotiques de tous les patriotes le sont en général assez raisonnablement... si tu vois ce que je veux dire. Et c'est comme ça partout, les elfes sont pas vraiment le genre à te fonder une doctrine politique et à entrainer un maximum des leurs dans leurs idées, chaque elfe est un peu l'unique représentant de ses convictions politiques. Bref, même si bien entendu aucun elfe ne laisserait sa chère forêt brûler sous leurs yeux, les royalistes convaincus sont aussi rares que les révolutionnaires engagés. Après pour un soldat ça se comprend tout à fait qu'il puisse avoir des tendances assez patriotique mais n'oublie pas que chez les elfes tout peut se remettre en question (à condition d'avoir de solides arguments) et qu'on obéit rarement à un ordre sans réfléchir. Une fois de plus je ne dis pas que tu dois changer ça, mais prend quand même en compte que si tu décides de grimper sur le toit d'Alëandir pour brandir un drapeau en chantant l'hymne elfique (si elle existe), les gens vont plutôt te regarder bizarrement Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques) 657689250

Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques) 657689250

Alors, alors, j'ai fini de tout lire.
Déjà comprend que les complots, les assassinats en série et autre coups-bas c'est typiquement humain mais en aucun cas elfique. Ou alors l'elfe en question a pété un bon gros câble et il lui sera très rapidement fait justice. Devoir en recourir au meurtre est une véritable indignation pour les elfes, ils ont des tas de moyens mille fois plus subtils de s'occuper des gêneurs What a Face

De même pour son père, pour rendre un elfe taré, il faut mettre la dose de champignons hallucinogènes, de magie et autre. Ça a le mental solide un elfe (bon, ça meurt de chagrin dès qu'un ami passe l'arme à gauche, mais ça n'empêche pas qu'ils ont un esprit fort). Et puis qu'un elfe devienne fou au point de vouloir tuer sa famille c'est extrêmement rare, et si en plus sa femme le savait à l'avance ça fait longtemps qu'elle aurait pu prévenir la garde, qui se serait immédiatement mis à son service, l'aurait déménagé, bref, fait quelque chose. On est chez les elfes, un homme qui tue sa femme c'est la tragédie du siècle (chez les humains en revanche, c'est même plus un fait divers...).

Les pilules n'ont pas encore été inventées et ne sont donc pas disponibles en pharmacies (qui n'existent pas non plus d'ailleurs, enfin pas avec la croix verte et la banderole "pharmacie" avec les horaires d'ouverture....).

L'ange gardien, je vais demander mais je pense que ça va être niet. Si tout le monde peut avoir son fantôme personnel on frise la catastrophe ectoplasmique.

Caranthir n'a pas été remplacé, il a été forcé à partager son pouvoir en laissant ses fonctions de conseiller militaire à un autre Wink

le titre de Capitaine des armées du Sud est une erreur des Chroniques elfes. Le vrai titre qu'on a pu voir sur le forum est Commandant en chef des armées du Sud. La hiérarchie elfe est très floue à ce niveau là, mais il apparait finalement que ça équivaut à Commandant en chef des armées tout court. Je compte expliquer ça dans le BG de l'armée en disant que chaque région à des troupes locales, qui servent de garde ou de milice, et qu'elles mettent une partie de ces troupes au service de l'armée principale, l'armée royale, l'armée d'Ellyrion, et le fort étant situé dans le Sud, on a également pu appeler ça les armées du Sud.
Ensuite il serait effectivement bien d'expliquer comment il arrive à être commandant en chef. Le poste était occupé par Rima Marcil il y a pas si longtemps. Le joueur ayant disparu de la circulation il y a eu pas mal de trucs mis en place pour gérer sa disparition (et ce d'autant plus qu'il était censé devenir le nouveau roi). Mais je sais plus exactement où ça en est vraiment, je demanderai.
Quoiqu'il en soit pour la montée en grade, il faut qu'au moment où on cherche un remplaçant tu sois repéré dans l'armée comme étant le plus apte à diriger les armées. Le mieux pour cela étant d'être déjà un haut gradé, soit dans l'armée d'Ellyrion, soit à la limite d'être le commandant des armées locales d'un territoire (duché, marquisat, compté ou baronnie)

L'attaque du village par les humains, c'était à quelle époque ?

petits trucs qui m'ont gêné à la lecture : le mot "incontinent", tu l'utilises à plusieurs reprises, mais je comprends pas vraiment pourquoi.
"régurgiter", tu voulais pas plutôt dire "déglutir" ?
"malgré que" :arg:

pas ça par pitié !
(c'est juste deux trois conseils en passant, le reste étant plutôt bien rédigé Wink

)

A bientôt Wink

Bonsoir

...

Bon, alors déjà, par rapport à l'histoire familiale des plus joyeuses, je voulais clarifier le fait que c'est un fait isolé de tout l'reste. On ne sait pas où, on ne sait pas quand et on ne sait pas pourquoi. À vrai dire, est-ce un complot, une histoire d'amour etc ? De plus, il ne faut pas oublier que l'histoire est contée sous la forme d'un roman... Certaines choses peuvent donc être magnifiées, et des informations erronées peuvent s'infiltrer.

Quant à l'être qui le suit, j'en parle à Callista et ferai les modifications nécessaires pour le préserver ; le but n'est pas d'avoir un compagnon de voyage personnel, mais ce serait plutôt comme une sorte de conscience et donc, si quelqu'un d'autre pouvait le voir, ça ne serait pas grave tant que ce "quelqu'un" ne s'étendrait pas à une population entière ; sinon, ce serait un point qu'il me faudrait revoir entièrement.

Pour le titre de "Capitaine des armées du Sud", j'ai été trahi par le BG T.T . Pour ce qui est de l'explication de la montée en grade, je ne trouvais pas de renseignements sur la fin de Rima Marcil et ne sachant pas les prérequis pour monter en grade (valeur ? objectifs à atteindre ? ), je suis resté dans le flou =s .

Quant à l'attaque du village, deux possibilités : soit à l'époque de l'autre personnage, soit comme il serait plus cohérent, jamais. C'est un rêve, et les rêves peuvent avoir une signification (mais on laissera Freud de côté -.-) . Cela peut être un souvenir qui ressurgit sous forme de métaphore, ou un récit plus ou moins inexact de certains faits antérieurs, et ça peut donc être n'importe quand. Ce n'est pas la forme qui importe, mais le fond.

Pour "incontinent" (je n'ai pas l'habitude de l'utiliser, mais je viens de lire un livre où il apparaît souvent, or je suis souvent influencé par ce que je lis =/) et "régurgiter", défaut de relecture x_X . Quant à "malgré que" je n'étais pas au courant Surprised

.

J'ai l'impression que l'intrigue principale doit être revue, ce qui impose des changements conséquents. Malheureusement, je reprends les cours demain (et n'ai pas commencé mes devoirs, mais les faire, c'est un luxe =P), alors je risque de ne pas terminer. Je vais néanmoins avancer autant que possible et t'enverrai un MP dès que j'aurai fini ma correction.

Encore merci et bonne fin de week-end !

Edit de Lyriel

autre

Pourquoi j'oublie toujours un bout de ce que je veux dire ? u_u
Concernant les acrobaties en combat qui fleurissent tout au long de l'histoire. Tu le dis toi même ce sont des acrobaties inutiles, alors, peut-être, mais elles sont surtout dangereuses, complexes et parfois pratiquement impossibles. Dis-toi bien qu'un acrobate en fait son métier, il passe des années de sa vie à s'entrainer et ça lui demande toujours beaucoup de concentration. Aussi même si j'en conviens que la mobilité, avec quelques saut simples et des tournoiements peut être un moyen assez efficace de maintenir l'ennemi à distance, faut pas non plus oublier que tu es en plein combat contre une à plusieurs personnes. Donc même si les personnages de FF par exemple s'en donnent à coeur joie pour tout ce qui est sauts périlleux et autres voltiges en plein combat, dans la réalité c'est surtout un excellent moyen de se ramasser par terre par accident et/ou de se faire choper en plein vol What a Face

Pour l'histoire familiale, si c'est un cas isolé dans ce cas j'aurais tendance à penser que c'est pas très judicieux de placer ça au beau milieu d'Alëandir, vu que la garde là bas met neuf minutes treize secondes et vingt-deux centièmes pour faire le tour de la ville en cas d'urgence :mrgreen:

Pour l'autre, si Callista dit que c'est bon je vais pas contester Surprised

Pour les histoires des petits meurtres entre élèves. Je dit pas non plus que les elfes s'entretuent pas gaiement dans certaines situations (bon, peut-être pas si gaiement que ça...). Mais disons qu'il leur faut de bonnes grosses raisons, de quoi les mettre sacrément en colère, ça comprend donc une atteinte très sévère à leur honneur, accompagné de pas mal d'autres accusations assez graves. Mais en général les elfes n'aiment pas trop faire couler le sang de leurs semblables.

(L'histoire de l'incontinence. Après vérification c'est un terme philosophique qui désigne l'acrasie, c'est à dire le fait d'agir à l'encontre de son meilleur jugement. Mais de nos jours ça désigne surtout le fait de pas pouvoir retenir une envie d'uriner, chez les bébés ou chez les personnes âgées par exemple. Ne connaissant que la seconde version je comprends mieux pourquoi ça me semblait vraiment étrange Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques) 657689250

mais vérifie quand même que ça soit bien ce que tu voulais dire Wink

)

(Allez, j'commence par la fin =p
Donc pour en revenir au "incontinent", c'est un terme archaïque qui veut dire immédiatement. On le retrouve par exemple dans Gargantua ^^" . Et d'ailleurs, pour le plaisir =P : "[Piccrochole] incontinent entra en courroux furieux et, sans plus oultre s'interroguer quoy ne comment, feist crier par son pays ban et arrière ban[...].")

Pour les pirouettes, je rappelle que l'histoire est présentée sous la forme d'un roman ; il est évident que ce n'est pas le genre de liberté que l'on possède lorsque l'on se veut impartial, mais là, c'est un peu comme Star Wars avec Dooku, Mace Windu et les trois autres randoms (remarquez d'ailleurs avec quelle simplicité il tue les trois jedi "d'élites"...). Quant au prologue, c'est la même idée, néanmoins je n'ai pas insisté sur le caractère fictif alors qu'il est bien davantage présent. Plus flou qu'un fait, c'est une hypothèse probablement fausse, de la même manière que l'on magnifie les parents d'un enfant qui l'ont rejeté pour évité qu'il soit écoeuré par son propre sang.

Quant à l'histoire interne, elle est corrompue tant à cause de la pureté des elfes que par mon imagination, fleurissante mais rapidement hors-sujet, donc pas si fleurissante que ça =/ . Je vais donc modifier nombre d'éléments, mais t'enverrai cette fois un résumé par MP avant, par crainte que mon erreur ne se reproduise.

Et au passage, y aurait-il une guerre ou des affrontements dans les 500 dernières années elfiques qui me permettraient de montrer la valeur de mon personnage sur le terrain ? Il y a bien cette "quête" lancée par Glorfindel, celle qui a pour but de trouver les incarnations des dieux sur Miradelphia... Mais je ne pense pas que cela eut engendré des batailles, batailles dont le peuple elfe n'est à mon plus grand dam que très peu friand...

(le incontinent tu fais comme tu veux, mais tu viendras pas te plaindre si les gens qui te l'iront l'ont mal compris Wink

)

J'veux bien que ça soit un roman, il n'empêche que si dans les prochaines candidatures on commence à retrouver les mêmes exagérations de partout on saura d'où ça vient :niark:

Et j'ai tendance à penser que même si les elfes aiment bien qu'on embellisse un peu ils ont horreur qu'on les prenne pour des cons, m'enfin je dis aussi ça pour faire un peu chier mon monde What a Face

Quant aux affrontement, effectivement le BG n'en mentionne que trop peu :/
On peut supposer qu'il y a environ 500 ans, les guerres avec les nains et les humains pouvaient commencer à bien se tasser, mais qu'il y avait encore quelques petites actions isolée aux frontières.
Et ensuite, après l'intrusion des drows en Alëandir on peut supposer que de la même manière, on commence à voir de plus en plus de troupes drows trainer de ci de là dans Aduram ou plus au Sud.
Après il y a toujours les éventuels bandits de grand chemin, et puis la Dross qui est censée être pas très loin mais je sais pas exactement ce qu'elle fait, et elle est en gros stand-by pour le moment, je vais demander Wink

Je suis en présence limitée demain après-midi et pendant tout le week-end. J'essayerai de mettre en forme ce que j'ai prévu pour l'organisation des armées elfes et des hautes instances. Que tu puisse connaître exactement ton rôle dans l'armée sans avoir à attendre le postage définitif du BG Wink

Tauril, en attendant, on ne peut pas le valider ? Non parce que là, ça fait un moment qu'il attend ^^

Tu permets ? é.è
Il finit sa fiche, morceau par morceau, je lis ça et je vérifie qu'il y ait plus rien qui cloche et on expédie le morceau. Y a des trucs qui se passent par MP que tu ne vois pas forcément What a Face

Et puis d'abord il parait qu'il faut pas poster sur les fiches qu'on prend pas patati patata... n'est-ce pas ? Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques) Icon_tongue

Alors juste deux trucs.
Le premier tu ne pouvais pas vraiment le savoir, et à vrai dire ce n'est pas vraiment un problème.
Au plus bas niveau de l'armée, on a des caporaux, qui servent à faire appliquer les ordres aux différents groupes en action sur le terrain. Ça ça existe déjà dans l'ancien BG mais y a rien de bien précis.
En gros les caporaux sont un peu choisis une fois sur place en fonction des qualités qu'on leur connait. On peut donc tout à fait avoir des cas comme Lyriel qui ont été entrainés à part du reste et ont un niveau d'élite ou presque. Pour des gens comme ça, on a le choix : soit on les garde ensemble et on les envoie chez les Aigles. Mais s'ils n'ont pas le niveau et/ou pas assez d'expérience du terrain etc... on peut en faire des unités à part qui sont le genre à être désignés caporal d'office quand on les croise, voire à être assez vite promu lieutenant.
Comme ils peuvent avoir des manières assez particulières de se battre ils ne sont pas forcément adaptés pour intégrer les stratégies de groupe couramment employées par les soldats elfes "classiques". Donc on profite de leur statut de caporal pour qu'ils soient plutôt à l'arrière du groupe en train de distribuer des ordres mais ils n'interviennent dans le combat que si ça déraille en gros, ça leur offre néanmoins une belle approche de la tactique.
Ou sinon en dehors des mouvements de troupes de masses et des affrontements réguliers (ce qui est plutôt le cas à son époque) on peut allègrement les envoyer dans des groupes réduits et un peu libres qui font davantage de la patrouille qu'autre chose. Comme ici il est un peu insensé de vouloir s'assemble dans une formation technique avancée style mur de lance ça leur permet d'exploiter leur grand potentiel de combat.
Bref, à quelques nuances prêt c'est un peu ce que tu racontes. Y a nécessité de les dispatcher, entre autre pour aller équilibrer l'armée régulière et tout et tout, pas vraiment pour sauver l'armée d'un grand chaos qui s'abattrait sur son organisation même s'il faut bien avouer que des gens qui se la pètent avec leurs armes et techniques pas courantes ça doit faire grincer des dents dans la hiérarchie, surtout quand on leur laisse du pouvoir. :D

Ensuite, tu t'arrêtes sans qu'on sache comment il a fini Commandant en Chef. A l'époque du récit Rima n'a pas encore disparu, c'est tout récent. Ce n'est pas incroyablement nécessaire que tu rajoutes des trucs mais faut au moins qu'on soit au clair sur le fait qu'il a pratiquement obligatoirement monté en grade. Donc lieutenant, voire capitaine (d'infanterie de toute évidence), pour ça je vérifierais qu'il n'a pas été déjà pris (quoiqu'il me semble l'avoir déjà cherché). Et qu'une fois que Rima a été porté disparu on a pensé à lui. Il peut tout à fait être passé de lieutenant à commandant sans passer par la case capitaine, on peut imaginer que c'est pas très courant, mais si on estime qu'il a les capacités rien ne l'empêche.

Voilà, et le reste c'est tout bon, très bonne fiche, tu vas pouvoir être validé (en dépit de tous mes efforts pour t'en empêcher

)

++

L'idée en fait, c'était surtout qu'un groupe à part émerge, dans l'armée régulière et non parmi les aigles. Un groupe dont le caporal choisirait directement ses membres, mais ceux-ci seraient choisis pour des qualités spécifiques (donc pas forcément que des bourrins ou des intellectuels, mais des personnages aux qualités diverses ; ils sont quand même dans l'armée régulière) . Or si ce groupe prenait de l'importance en acquérant un certain renom, ils se surévalueraient et voudraient parfois donner des ordres à d'autres groupes. Parfois, les caporaux de ces autres groupes ne pourraient pas empêcher leur soldats d'écouter ces ordres, donc ça créerait une instabilité, d'où la nécessité de dissoudre l'unité.
Je le répète donc, ce ne sont pas forcément des unités d'élite mais des soldats qui ont profité de leurs victoires pour renforcer leur autorité, qui utilisée illégitimement aurait été dangereuse pour l'armée.
Par ailleurs, pour le cas de Lyriel, il n'est pas particulièrement puissant à ce moment-là - comparé aux Aigles -, seulement il sort de l'ordinaire car il commence en étant le pire épéiste et s'améliore très rapidement, sans pour autant devenir réellement talentueux.

Quant à la fin, j'ai hésité à continuer puis à parler de Rima-Marcil, mais j'ai préféré ne pas m'y aventurer car les raisons de montées en grade me semblent assez pragmatiques et floue : il faut "avoir le niveau" aux yeux des instances supérieures, mais si jamais on l'a, comment le montrer ? Et comment se passe la montée en grade ('faut signer un papier ._. ?) ? D'où le fait que je me sois arrêté en faisant simplement allusion à un appel des instances supérieures ; je crois que je vais quand même préciser du coup, en essayant de balayer l'époque de Rima-Marcil.

Pour le groupe, oui, vu dans ce sens ça marche. Quelque part j'avais l'idée d'une séparation entre le système de formation et l'armée régulière. Ce qui n'est pas vraiment justifié.
Bref.

Pour les grades, je vais répondre à ton MP. Mais en attendant, je me dis, tu peux pas juste survoler ? En gros faire comme tu t'es arrêté, mais en poussant juste un poil plus loin pour bien préciser que t'es pas passé Commandant en Chef juste après l'attaque d'Aleändir, mais récemment, après la disparition de Rima. C'est surtout ça qui dérangeait, le reste c'est bon :)

Ok ! Après vérification, c'est tout bon, tu es donc :

Lyriel Amrénor (Commandant en chef des armées elfiques) Tampon14

Le petit rituel des liens utiles :)
Like a Star @ heaven

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven

Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.

Voilà, bienvenue sur le forum. J'espère pouvoir affirmer que j'arriverais à terminer l'armée elfe dans pas trop longtemps Wink

Pour les n'admins :

Code:: [Métier & Classe] : Commandant en chef des armées elfiques

[Âge & Sexe] : 520 ans

[Classe d'arme] : Corps à corps - Défensif

[Alignement] : Communauté de la lumière

Fiche débloquée sur demande du joueur.

Youps, ça ne devait durer que le temps de re-archiver ma fiche dans mes messages Embarassed

.
Du coup, j'me suis senti obligé de faire quelques corrections ^^" . La fiche peut de nouveau être bloquée, encore merci Wink

!

» Valandil Elessar [Commandant en chef des armées de l'ouest]
» Alterion Elendrille - Commandant des armées de l'Est
» Armées Protectorales elfiques [EN COURS]
» Kelendil - Commandant de l'armée royale elfique [Terminé]
» Vargal, Chef de la Horde du Cerf, Chef de la Grande Meute, Fils de Toriuk

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