[Surface] Auprès d'une cascade

Celui qui troubla la tranquillité de l’enfant celui lui, Ant’zar, mais pas celui qui folâtre auprès des femmes, non, cette nuit c’était le prédateur qui avait eu plaisir de sortir et de prendre possession de son corps. Vêtues de son armure de cuir, les cheveux libre au vent et laissé sauvage, sa peau bleu nuit comme un ciel sans étoile était, tout comme son armure, tachées de sang. S’approchant doucement de l’eau il glissa ses mains rougissent du liquide vital ce qui laissa des dans l’eau des arabesques ma fois bien étrange.

Passant a présent la main dans ses cheveux il remarqua l’enfant, la jeune fille a peine femme. Se redressant il ne lui fallut pas très longtemps pour savoir que c’était celle que Tebryn avant pris sous son aile en tant que fille. Elle était peu prudente, porter une chemise de nuit blanche et se glisser dans l’eau n’était pas fait pour protéger sa pudeur. Ne le savait-elle pas ? L’eau a pour malin plaisir a rendre presque invisible le tissus blanc.

C’était sans doute elle qui avait chantée un peu avant et l’avait attiré ici. D’une voix assez sombre, profonde et grave il lui avoua tout simplement.

« La chanson n’est pas finie je me trompe ? C’est dommage, elle était particulièrement intéressante. »

Puis les yeux du prédateur vérifièrent les lieux par sécurité à la fois pour lui et pour l’enfant. Non il n‘était pas poursuivie et de toute façon la n’était pas le problème. Il voulait surtout savoir s’il risquait de se retrouver en position fâcheuse pour avoir trop approchée l’enfant. Mais non, personne… Se tournant vers la petite il dit simplement.

« Ce n’est pas sérieux de laissez une enfant seule se promener. Vous êtes si précieux pour notre peuple, bien que je ne doute point de ta capacité à te défendre. »

Il ajouta les derniers mots en connaissance de cause, enfant il aurait interdit a qui que se soit de parler de lui comme d’un être faible. Ainsi vas l’honneur des drows, ou du moins ce qui s’en approche. Il était toujours a demi couvert de sang, tachant sa peau de manière qu’il jugeait agréable.

Ant’zar était occupée à regarder la jeune femme. Quand soudain elle leva ses bras et fit glisser le tissu sur son corps. Se dévoilant ainsi nue devant les yeux de l’homme. Manque de chance pour elle, il ne la jugeait pas digne d’intérêt, quand bien même elle tenterait de lui échauffer les sangs. Ce n’était qu’une enfant après tout, et même si notre coureur de jupon n’avait aucune préférence entre les hommes et les femmes, il n’en restait pas moins qu’il n’avait jamais eu de penchant pour les enfants.

La suite fut bien plus complexe, l’enfant changea d’expression, de visage l’oubliant même, puis enfin la peur et la colère. Elle avait tant de personnalité, une multitude de façade très intéressante. La laissant se vêtir de sa cape, il se leva et plongea dans l’eau. En sortant il tenait dans ses bras la robe trempé.

« Petite, je ne suis que Personne, rien qu’un ami qui ne désire que t’aider. Vien, je vais te raccompagner chez toi, jolie demoiselle. »

Il se fit doux, calme et terriblement tendre, comme un père protecteur mais rien de plus. Il ne fallait pas confondre sa douceur avec de l’affection ou de la tendresse. Il ne voulait simplement pas la laisser ainsi voila tout.

Ant’zar loin d’être pris de panique mémorisa chaque mots dans son esprit sombre. Il s’approcha du corps une fois celui-ci libéré de la présence du dieu. Uriz ? Peut être, c’était bien son genre. Bref, la voyant gire sans vie il prit le temps de la repoussant, la déposant sur le dos et glissant ses doigts dans sa gorge. Ant’zar n’était pas un de ses hommes sans savoir et ce que la petite venait de nous faire n’était qu’une crise d’épilepsie. Il suffisait de l’empêcher d’avaler sa langue et tout allait bien, mais il n’avait pas eu le temps d’agir alors il vérifiait avec ses doigts.

Non, la langue était toujours la, il posa donc ses mains sur son torse a la poitrine menue et aux rythme de son propre cœur donna de fin mouvement qui firent appuie sur son torse. Un… deux… trois… Il s’arrêtait et souffla dans sa bouche, faisait fit de la salive et de ce qu’on aurait pu penser. Alors elle se mit à respirer a nouveau, toussant, souffrant surement mais peux importe. Ant’zar effaça d’un revers de main le gout de ses lèvres et soupira doucement.

« Sylnea… »

Il ne lui laissa pas le choix en la soulevant pour la ramener auprès de Tebryn. Il n’y avait que ça à faire.