Nom/Prénom : Elkafein Barrimtor
Âge : 427
Sexe : Masculin
Race : Drow
Particularité : tatouage en forme d’araignée repose sur son muscle pectorale droit
Alignement : Chaotique Mauvais
Métier : Espion
Classe d'arme : Corps à corps
Équipement :Elkafein peu aussi bien avoir l'apparence de la haute société que d'un problème ambulant. Ayant été élevé par une famille noble il lui arrive de porter
une tunique brodé d'or et seulement lors de rencontre familiale, ce qui est rare. Encore là, le drow préfère porter son
armure, histoire d'être prêt à toute éventualité. Ayant pour but d'espionner ou, de temps à autre, semer le chaos, il porte souvent un petit masque, sans oublier la cape. Il lui arrive aussi d'arborer l'emblème de différent famille, quand cela est possible, pour qu'un autre soit accusé à tord. Ayant un penchant pour les araignées, les morceaux de cuirs composants son armure sont placé de sorte à former la toile d'une araignée. Un
cimeterre à manche long ainsi que, bien entendu, une
dague compose son arsenal principale. Plume, encre, parchemin, une trousse à crocheter contenant : piques, petit marteau, une mini-scie et une loupe.
Description physique :
- Spoiler:
Pour ce qui est de la grandeur Elkafein est dans la moyenne de ceux de sa race, avec ses 1m90, ce qui peu le nuire lors de personnification. Il est doté du musculature bien découpé, surtout au niveau du torse et des abdominaux. Les bras et les jambes sont plus élastique pour des mouvements rapide et fluide. Une chevelure au teint grisâtre et courte et des yeux ambrés. Il garde un visage doux et calme la majorité du temps, mais il lui arrive très souvent d'arboré un sourire mesquin et suffisant, peu importe la situation. Un tatouage en forme d’araignée repose sur son muscle pectorale droit. Quelques cicatrices lui zèbre le dos, suite à quelques "entraînements" à supporter la torture.
Description mentale :
Chaotique, trompeur, menteur. Il tentera de mener qui que ce soit par le bout du nez, de tirer les ficelles en douce, de vous avoir sur le bout des doigts et ce, simplement pour le plaisir. De belles paroles, suave, douce et surtout envenimées vous brouillera les sens. Il convoite la bonne compagnie, la beauté, un rafraîchissement fin et riche et quelques fois l'art. Le tout pour compenser le fait qu'il peu souvent et longtemps parcourir les bas fond, les endroits crasseux, insalubre, et cette nourriture infecte qui semble empoisonné sans l'être. Il affectionne particulièrement les femmes de grande beauté et plus elle sera difficilement atteignable, au caractère fort, plus le jeu en vaudra la chandelle.
Histoire :Elkafein est issue d'une famille noble, provenant du troisième niveau de la couche , la famille pouvait donc aisément subvenir à ses besoins. La mère dirigeait la famille avec une poigne solide, un jugement précis et un calcul méticuleux pour renflouer les coffres en cas de crise.
| Le père était un bon soldat, habille avec les armes, fin stratège. Il avait aussi un excellent sens de l'observation et prodiguait de judicieux conseils sur la protection de la maison. Il avait aussi fait parti de l'armée drow où il s'était construit une certaine renommée.
|De leur côté, ils eurent plusieurs enfants, cinq en tout, trois filles et deux fils. La première fille s'avéra recevoir l'un des traits de sa mère et devint l'une des principales tisserandes de la noblesses. La deuxième suivie la voie des dieux pour devenir prêtresse. Vint ensuite le premier fils, dont le père souhaita ardemment qu'il ait une poigne forte pour suivre ses traces. Malheureusement la voie de la magie fut sa vocation. La troisième fille devint guerrière, augmentait la haine du père envers son fils unique. Naquit alors Elkafein, petit être silencieux, si silencieux qu'on se demanda s'il n'était pas mort né. Habituellement, les nouveaux-né braille lorsqu'ils sont extirpés du ventre de leur mère, ou une claque sur les fesses les aides dans ce sens. Hors Elkafein n'a pas pleuré, même après la claque. On l'avait déposé dans les bras de sa mère pour qu'elle rende son jugement. Elle allait le déclarer mort lorsque, petit vilain qu'il est, prit une bouffé d'air, éternua, extirpant du mucus de son petit nez fin et ouvrit un regard rougeoyant vers une génitrice visiblement soulagé. Elle plaça un doigt dans l'une de ses petites mains qui se referma avec force.
Le père arriva plus tard, ayant reçu la nouvelle de la naissance d'un fils. Depuis longtemps avait-il perdu tout espoir d'avoir le descendant rêvé, hors entra-t-il en demanda :
- Alors, un autre bon à rien?
- Vérifie toi-même. Fut la réponse de la matriarche, qui lui présenta le bébé.
Le mâle regarda le poupon pendant quelques instants, sans rien dire ni rien faire. Une sueur froide longea la colonne vertébrale du guerrier suivi d'un sentiment de vide. Outre les yeux rouges, il ne voyait rien, aucun mouvement. Perplexe, il regarda la femelle et lui demanda :
- Est-il vivant?
Cette dernière éclata de rire, faisant sursauté le bébé reposant sur son ventre qui poussa une plainte unique, comme si on venait de le déranger. Alors, il se mit à bouger. Le père détermina qu'il avait une bonne poigne, même pour un jeune bébé.
Le lerg, maintenant âgé d'un an commençait à faire ses premiers pas, debout. Pour ce qui est du langage, il n'avait toujours pas prononcé le « mama ». Quittant rarement sa mère, même lorsqu'elle avait des rencontres d'affaires importantes, il était toujours d'un calme énervant, surtout pour la « visite ». Il restait là, assit, sans bouger ni quitter des yeux la personne qui se trouvait devant lui. C'est lors d'un entretien avec l'une des candidates au « poste » de nourrice qu'Elkafein surpris sa mère. La nourrice était une connaissance de la matriarche, bien que toujours à la recherche de la vocation du bébé, qui ne laisse rien de côté quant aux différentes possibilités. La nouvelle venue était une drow d'une grande beauté, elle portait une robe au corsage sans manche, d'une couleur doré et aux lacets argenté. Elle jeta un coup d'oeil à la pièce et poussa un sifflement d'admiration. Elle prit place sur un sofa, se plaçant devant la matriarche de la maison et son bambin. Alors que les deux femmes conversaient le lerg poussa soudainement un sifflement d'admiration. Les deux femmes posèrent un regard sur le petit qui jouait avec ses pieds. Il leva vers les dames son regard rougeoyant, qu'il observa tour à tour et poussa un rire. C'était la première fois que quiconque l'entendait s'exprimer ouvertement. La drow à la robe doré s'approcha du petit et sortit une émeraude qu'elle plaça à hauteur de vue de l'enfant. Elkafein observa la pierre et ne la quitta pas des yeux lorsque celle-ci ce déplaça vers la gauche, vers la droite. Alors que l'attention de l'enfant était fixée sur l'émeraude, l'inconnue approcha de lui sa main libre pour lui toucher la joue. Une petite main potelé se leva, se plaça contre la paume de la main. Lorsque la femelle porta son attention sur le petit, il la regardait, ses petits sourcils froncés, comme si elle le dérangeait :
- Non.
Plus que satisfaite par la réaction de son fils la matriarche poursuivit la conversation avec la drow et conclu qu'elle deviendrait sa tutrice. Elle n'avait pas choisi cette femme par hasard. Bien qu'elle soit l'une des courtisanes en demande, elle avait aussi d'autre talent, comme tout le puy et c'était précisément pour ces autres tallent que la mère l'avait choisie. Elle fut donc en charge de son éducation lorsqu'il devint un Dalharen et pour environ une quarantaine d'années. Comme elle avait carte blanche, avec une certaine marge de manoeuvre, la « courtisane » lui appris la rudesse de la vie. Il passa près d'une dizaine d'années à ses côtés, ayant peu de contact avec sa famille, vivant de subsistance et travaillant pour le bien-être de la femelle, qui faisait tout pour l'épuiser. Bien entendu, elle lui enseigna certaine chose, comme la subtilité de certains gestes, une caresse bien placée pouvait délester une personne d'un poids de trop. Un style de combat rapproché où la lame la plus courte avait le plus de chance d'être vainqueur. Elle lui enseigna aussi à se mouvoir dans une foule bondé, sans accrocher qui que ce soit. Elle l'initia au plaisir de la chair et, selon elle, personne n'était mieux placé qu'elle pour cet apprentissage.
Les cinquante années suivantes, Elkafein les passa à la demeure familiale. La lecture, l'écriture et l'histoire furent enseigné par un précepteur. Le combat et les stratégies militaires furent donner par le patriarche lui-même qui, finalement, avait un fils désireux de prendre les armes.
Ensuite vient son enrôlement dans l'armée. Avec quelques-uns, ils reçurent une sorte d'initiation. À tous on commença par leur enseigner à monter un morgal, une base rien de plus, ainsi on pouvait tout de suite savoir qui serait un cavalier ou non. Ceux qui réussissaient à tenir suffisamment longtemps était lancé au « galot » dans un long tunnel décrivant un cercle, où plusieurs obstacles étaient naturellement disposé et où quelques surprises devait être découverte. Ces surprises étaient en vérité ce qui distinguait les uns des autres. Ceux qui arrivaient à tenir jusqu'à la fin étaient ensuite pris à part, un à un. Pour les malheureux du départ qui n'arrivait pas à tenir sur leur morgal, y était sanglé solidement et tout de même envoyer, devenant la proie de rigolade, quolibet et ouvrant des paris. Elkafein faisait partie de ceux là, au nombre de trois. On lui avait fixé les jambes contre la scelle, une corde reliait ses bras autour du corps de l'animal, le forçant à être couché. Lors de la « course » Elkafein crut voir quelques choses, haussa les épaules et attendit que tout soit terminé. À deux endroits plus loin il vit à nouveau ce qui lui semblait être des chiffres, rapidement gravé dans la roche. Son morgal arriva le dernier, devenant ainsi le nouveau « souffre douleur » de tous, ce qui ne dura pas. Alors qu'on lui inventait des surnoms il lança aux évaluateurs : « 19, 56 et ce signe. » Désigna-t-il, en pointant du doigt un cercle renfermant un triangle et « t » inversé. Tous firent silence, s'observant tour à tour. Puis plus un mot. Les recrues furent alors séparées en plusieurs groupes et tous dirigés vers différent endroits.
Pour Elkafein les années suivantes furent passées au sein de la Dothka. Il fut entraîné à supporter plusieurs formes de tortures, physique ou mentale. Il fut presque noyé, empoisonné, piqué par divers objets ou créatures, drogué, soûlé. L'objectif était, bien entendu, de ne pas craquer. On lui enseigna à se mouvoir silencieusement, avec le moins de mouvement possible, à adopter une respiration si faible qu'on semblait être mort. La mémoire était stimulée par divers exercices destinés habituellement aux mages. La confection de poison et de leurs antidotes. De plus vint l'entraînement au combat, qu'on soit assassin ou espion, il fallait savoir se servir d'une lame, d'un arc ou d'une arbalète en cas de besoin. Certains développaient leur forme avec l'une de ses armes, d'autre se trouvait des talents nouveau. Elkafein améliora sa maîtrise du « combat rapproché ». Apprenant à frapper plus précisément les points considérer faible : le coup, les poignets, entre les os de la cage thoracique, l'aine et *l'arrière des genoux quand cela est possible. Dans le cas où l'adversaire porte une armure, on vise les interstices : joint entre les armures, orifice pour les yeux ou les sangles qui retiennent les pièces ensemble.
Avec les années, Elkafein devint une ombre parmi les ombres. Il multiplia les assassinats et, sa spécialité, le trafic d'informations. Ses déguisements étaient remarquables, ses changements de voix impeccables. Falsification de documents, de sceau, il avait même personnifié le maître d'une famille du milieu populaire, qu'il avait lui-même assassiné. Soupçonné de divers trafic important, il avait étudié le chef de famille jusqu'à le connaître par coeur, que cela soit ses habitudes alimentaires, ses tics nerveux, même sa manière de satisfaire sa femme ou ses maîtresses. Cette dernière partie avait été des plus coriace de réussir. Mais au finale, la famille était tombée et la Dothka, qui s'était emparé des coffres de la famille, avait largement profité des gains de cette chute.
Aujourd'hui, Elkafein doit se forcer pour ne pas sombrer à la tentation. Le puy est dans un état de chaos, chose qui lui plait au plus haut point, mais l'heure est présentement à la recherche d'une nouvelle autorité. Il sait bien qu'en ce moment même, des complots sont mis en place, des espions dans tous les coins. Enfin bref le sang risque de couler pour avoir le droit de gouverner le puy. Il n'espère qu'une chose, s'amuser au détriment des autres.
( *l'arrière des genoux : je veux dire l'endroit où sa plie, je connais pas le nom )
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Comment trouves-tu le forum ? : Très bien, beaucoup d'histoire à lire.
Comment as-tu connu le forum ? : Je l'avais des mes favoris depuis un bout.
Crédit avatar et signature : Cyzra----