Zan'ar Ba'erth - Rodeur

Nom/Prénom : Zan'ar Ba'erth
Âge : 90 ans / 30 ans d'apparence. Il ignore son age exact.
Sexe : Homme
Race : Demi-Drow (Sang dominant : Drow)
Particularité : Corps couvert de cicatrices

Alignement : Chaotique bon
Métier : Rôdeur
Classe d'arme : Corps à corps

Équipement :
Il possède une légère armure d'écaille en cuir noir, héritage de son passé d'assassin au service d'un noble drow. Il possède également un poignard dont il ne se sert plus. Il le conserve car c'est ce poignard qui ôta la vie de son père et du Patriarche. Il possède une épée longue drow à lame noire dont il s'est emparé en fuyant le Puy. Il ne possède rien de plus que ses quelques vêtements.

Description physique :
Zan'ar possède les caractéristique les plus classiques des Demi-Drows. Sa peau est pâle, blanche comme le lait ; des yeux aux pupilles d'un pourpre profond ; une musculature puissante typique des humains ; des traits fins et gracieux tout à fait elfiques et une stature imposante. Son visage est encadré par des cheveux aussi blanc que sa peau. Son visage reste le plus souvent impassible et il est difficile de deviner quels peuvent êtres les émotions qui habitent cet être. Les nombreuses cicatrices qui parsèment son corps d’albâtre son les témoins silencieux d'un passé des plus violent. Il arbore une vieille armure d'écaille drow, un pantalon de cuir, des bottes de mauvaise facture, le tout de couleur noir, ce qui tranche sévèrement avec sa peau pâle.

Description mentale :
Zan'ar est plutôt du genre à savoir garder son sang-froid. Il s'agit là d'un talent nécessaire à tout bon assassin, ce qu'il fut durant longtemps. Il n'a quasiment jamais eu aucun contact avec quiconque en dehors du Patriarche et de ses victimes, il est donc peu à l'aise lorsqu'il s'agit de communiquer. Certaines choses peuvent lui faire perdre tout contrôle, des choses liées à son passé, et le transformer rapidement en un tueur sanguinaire, prompt au massacre, des choses comme la torture, le meurtre gratuit, les victimes innocentes... Il ignore quasiment tout du monde qui l'entoure et aspire à y trouver la paix qui lui a tellement fait défaut dans ses toutes jeunes années, bien que ce monde qui lui est inconnu lui inspire la plus grande peur. Bien évidemment, il voue une haine farouche et implacable aux drows qu'il juge comme des monstres qu'il faut à tout prix supprimer. Il ne fait pas véritablement dans la dentelle et lorsque que quelqu'un se dresse sur sa route, il se retrouve le plus souvent avec la gorge tranchée. Tuer ne lui pose aucun problème, sa vie entière reposant sur le meurtre.

HRP

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Histoire :

Chapitre I : Abomination

Dans les profondeurs ténébreuses d'un ancien volcan, siège une cité. Cette cité fut creusée à même la roche, dans ce qui fut autrefois l'abri ardent de la fureur de la terre. Cette cité sombre, le Puy d'Elda, transpire la cruauté, la crainte et la malveillance, à l'image de ceux qui l'habitent, ceux que les autres peuples nomment « elfes noirs », les Drows.

Cette race, à la peau aussi noire que l'âme, est réputée pour ses jeux malsains et cruels et à ses velléités de conquêtes et de massacres. Nombreux sont ceux qui tombèrent sous les lames acérées des Drows durant les siècles passés. Mais, un sort bien plus funeste encore attendait ceux qui survivaient à ces sombres rencontres et qui n'avaient pas eu la chance de pouvoir s'enfuir. Ceux là étaient condamnés à une vie d'esclavage dans les entrailles du Puy d'Elda où cruauté, famine et maltraitance seraient leur lot quotidien jusqu'à la fin de leurs jours.

Hommes, nains, elfes... Les sombres possédaient de nombreux esclaves de toute sorte qu'ils traitaient inégalement en fonction de leurs origines.

C'est ainsi qu'une jeune femme humaine se retrouva captive des sombres lors d'un raid de ces derniers sur son village. Elle fut prise, violentée, ligotée et emmenée dans la sombre cité. Là, elle passa plusieurs années à servir les Drows, passant de maître en maître au gré des transactions et des assassinats. Sa vie était devenu un enfer : chaque jour recelait son lot de coups, de violence et de perfidie. La lueur qui donnait vie à son regard s'était éteinte comme son calvaire perdurait. Elle pensait avoir atteint l'enfer, elle se trompait...

Alors qu'elle servait la maison noble d'Eriol Baenar Lirth, dit Erbaen'Li, le plus jeune fils de la lignée, considéré comme le plus faible à cause de ses tendances à la compassion et à l'émotion, tomba sous le charme de l'humaine. Sa détresse et sa fragilité le touchèrent ; l'image de la belle vint hanter ses jours comme ses nuits et il décida alors de tout faire pour la protéger et la séduire. L'humaine, qui n'osait plus espérer pareils gestes de compassion, fut séduite à son tour par le beau jeune homme. Ils commencèrent alors à se fréquenter en secret. Il faut comprendre à quel point une union de ce genre pouvait être mal vue au sein de la société, les humains étant considérés comme des créatures inférieures, faibles et inutiles par les Drows. Dans le meilleurs des cas, le châtiment pouvait se résumer à un exil pour le Drow, bien qu'il s'agisse plus généralement d'une condamnation à mort. Mais, l'amour rend idiot même le plus sage des mortels.

Durant de longs mois, les deux amants se retrouvèrent aussi souvent que faire se peut, en secret, afin de vivre leur amour. De nombreuses fois, il manquèrent d'être découvert ce qui les incita à chaque fois à redoubler de prudence. Leur bonheur atteint son paroxysme quand l'humaine découvrit qu'elle attendait un enfant, symbole de leur amour. Mais, ce bonheur allait brutalement prendre fin.

Quelques mois plus tard, la femme mit au monde un garçon à la peau aussi pâle que la lune et au regard d'un pourpre aussi profond que le soleil couchant. C'est alors que des hommes armés, arborant le blason des Erbaen'Li, firent irruption dans la grotte où se cachait le couple, avec à leur tête Renin Erbaen'Li, Patriarche de la maison et Mage du C'nros. Face à la trahison et la faiblesse de son fils, la Patriarche fut pris d'une fureur sans nom et ordonna à ses hommes de tuer la femme. Le bruit d'une lame déchirant l'air et la chaire, un hurlement dans les ténèbres et un piwafwi maculé de sang marquèrent la fin de la vie de l'humaine. Face aux protestations et aux pleures de son fils, Renin Erbaen'Li dégaina un poignard à lame noire, arborant un saphir sur sa garde, qu'il enfonça dans le sternum de sa progéniture dégénérée. Au milieu du carnage, des pleures retentirent, celles d'un nouveau né orphelin, mi-humain, mi-drow. Un métis.

Alors que le Patriarche s'apprêtait à ôter la vie impure qui animait cette abomination, il eut une vision de l'avenir. Personne ne sut jamais avec exactitude ce qu'avait vu Renin ce jour là, mais il décida alors d'épargner l'enfant et de l'élever dans le plus grand secret afin de ne pas jeter le discrédit sur la Maison Erbaen'Li. Il en ferait son arme secrète. Il baptisa l'enfant Zan'ar, « Arme impure » en langue drow.

Chapitre II : La souffrance est la récompense

Les années passèrent, puis les décennies. Le jeune Zan'ar occupait une salle secrète dans les geôles puantes de la maison Erbaen'Li dont il ne sortait jamais. Chaque journée était semblable à la précédente et identique à la suivante. Formation à l'art du combat, à l'art de la dissimulation, à l'art du meurtre, à se défendre face à la magie... Tout n'était que violence et mort. Chaque échec entraînait de violents châtiments : coups de fouet, tortures, privation de nourriture. Les réussites n'étaient récompensées que par de nouveaux défis à relevés, sous peine de châtiments. On lui enseignait les rudiment de la langue et de l'écrit, mais jamais plus. On lui appris qu'il était une abomination, une erreur, que sa vie n'avait aucune importance et que sa seule raison d'être était le meurtre.

Le Patriarche s'occupait en personne de l'éducation et de la formation de son arme secrète. Durant trente longues années, il subit un entraînement et un endoctrinement sans nul autre pareil.

Sa première sortie du domaine eu lieu le jour de ses trente ans. Renin avait décidé qu'il était temps que son arme entre en scène afin d'assurer la promotion sociale de la maison Erbaen'Li. Ainsi, il envoya Zan'ar sur sa première tâche qui servirait également de test. L'échec signifiait la mort, et le jeune métis en avait conscience. Il devait assassiner un rival du Patriarche, un mage du C'nros. Renin offrit à l'enfant un poignard à lame noire avec un saphir incrusté sur la garde. Se faufilant dans les ombres, sans un bruit, il pénétra dans les appartements du dit mage, dégaina le poignard à lame noire que le Patriarche lui avait donné et, d'un coup sec, lui trancha la gorge. Ce fut le premier meurtre de Zan'ar.

A son retour à la maison Erbaen'Li, il fut accueillis par le fouet du Patriarche en guise de récompense. « La souffrance est la récompense ».

Chapitre III : Ombre pâle

Durant des années, le jeune demi-drow enchaîna les meurtres violents au service de Renin. Au fil du temps, sa soif de sang grandit pour le plus grand bonheur de son maître. Il devint de plus en plus grand et finit par dépasser largement les elfes noirs. Sa forte musculature, héritage de sa mère humaine, couplé à sa taille et à la pâleur de sa peau lui donnait l'allure d'un colosse de marbre. Chacune de ses apparitions signifiait la mort. Les rares témoins de sa présence virent en lui une sorte de spectre, symbole de malédiction, annonciateur de mort. On le surnomma «  Ba'erth », « l'Ombre pâle » et il devint une sorte de légende urbaine au sein du Puy.

Sa vie se résumait à traquer et à tuer. Violence, cruauté, meurtre, mort, torture, morts... Ces années de violences ne firent qu'accroître le ressentiment du demi-drow envers son sombre maître et envers les drows en général. Il rêvait du jour où il pourrait quitter cet endroit et partir à la recherche d'une vie de paix, sans meurtre ni violence. Il lui semblait se souvenir d'avoir connu l'amour et la compassion longtemps auparavant. Cela ressemblait plus à des sensations qu'à des souvenirs. Cependant, une image le hantait: le visage emplit d'amour d'une femme humaine. Mais, il ignorait d'où pouvait venir cette image. Il passa toute sa vie à s'accrocher à ce visage, persuadé qu'il symbolisait son bonheur. Il s'était juré de le retrouver.

Le Patriarche, grâce à son arme secrète, parvint à s'élever de plus en plus haut dans la hiérarchie du C'nros jusqu'à devenir Jabbuk d'Iloun de l'Ombre. Il avait acquis une véritable reconnaissance, un vrai pouvoir. Sa parole était entendue et écoutée. Mais, son ambition ne s'arrêtait pas ici. Ce qu'il désirait ardemment, par dessus tout, c'était le pouvoir suprême. Ainsi, le quatrième jour de Vérimios, de l'an 999 du Xème cycle, il chargea Zan'ar de la plus dangereuse mission de sa courte existence : le meurtre du Ditronw Da’re en personne.

Chapitre IV : Révélations

Zan'ar infiltra le C'nros à la recherche du Ditronw Da're. Durant de longues minutes il arpenta les sombres couloirs de l'organisation à la recherche de sa proie. Dans ses errance, il passa près d'une salle d'où jaillissait une couleur bleu. A l'approche de la porte, il entendit une voix susurrer à son oreille. La voix l'appelait.

Il entra dans la salle. Cette dernière était pleine d'alambic et de tables de divination. Au centre de la pièce trônait un cristal d'une taille gigantesque. La voix semblait provenir du cristal. A mesure qu'il s'en approchait, les faces du cristal semblèrent s'animer et briller. Quand il fut tout près, il pouvait y distinguer des visages. Il étendit la main pour toucher le cristal et c'est alors qu'il fut assaillit de vision. Il vit une femme humaine être capturée, réduite en esclavage, battue, meurtrie...

Le déferlement de violence, de haine, de cruauté lui souleva l'estomac. Le visage de cette femme ne lui était pas inconnu, loin de là. C'était le visage de son bonheur, celui qui le hantait depuis tant d'année. Lui qui avait tant fait couler le sang, ne supportait pas de voir cet être innocent être ainsi torturé. Après tout, à chaque fois qu'il tranchait la gorge d'un drow, il s'imaginait tranchant celle du Patriarche, cet homme qu'il haïssait tellement. Soudainement, les visions changèrent. Il aperçu le visage d'un elfe noir qui lui était inconnu. De ce visage émanait douceur, compassion, amour...

Il vit l'humaine et le drow s'aimer et de leur amour, il vit naître un enfant. Un enfant à la peau aussi pâle que la lune et aux yeux d'un pourpre aussi profond que le soleil couchant. Il compris alors qu'il voyait ses parents. Face à cette scène, des larmes coulèrent sur les joues de l'Ombre pâle. Il contemplait le bonheur, le véritable bonheur, pour la toute première fois. Mais, la violence n'est jamais loin dans la Cité Sombre et il assista alors aux meurtres sanglants de ces deux êtres par celui qui est l'objet principal de sa haine : Renin Erbaen'Li. Il le vit ordonner la mise à mort de sa mère et ôter la vie de son père avec un poignard des plus particulier. Le poignard arborait une lame noire et un saphir ornait la garde. L'Ombre pâle dégaina sa propre lame, celle que la Patriarche lui avait donnée des années auparavant. Les deux armes étaient identiques. C'est à cet instant précis qu'il compris jusqu'où la cruauté et le sadisme du drow pouvaient aller.

Puis, les visions cessèrent comme elles avaient commencées. Zan'ar sentait son sang bouillir et battre à ses tempes. Cet hommes si mauvais, perfide et cruel avait oser ôter la vie à deux êtres purs et innocents. Face à cette réalité, l'Ombre pâle décida que son poignard ne mordrait pas les chaires de Ditronw Da’re cette nuit là, mais les chaires du Patriarche. L'Ombre pâle allait rendre la justice.

Chapitre V : Vengeance & salut

En rentrant au domaine Erbaen'Li cette nuit là, Zan'ar découvrit, comme à l'accoutumé, le Patriarche qui l'attendait dans les geôles, un fouet à la main. Lorsque ce dernier demanda à son arme si le Ditronw Da're avait bien été tué, la réponse de l'hybride fut de dégainer son poignard à lame noire et de l'enfoncer profondément dans le sternum du Patriarche en poussant un hurlement de rage. Ce dernier, pris par surprise, ne parvint à esquiver assez rapidement. Il s'écroula sur le dos, son maigre sang s'écoulant lentement depuis la plaie béante sur son torse. Le Patriarche avait quitté ce monde.

Sachant que seule la mort l'attendait en ces lieux, Zan'ar décida de quitter la Cité sombre pour ne plus jamais y revenir. Il ignorait tout du monde extérieur mais il espérait y trouver ce qu'il avait pu apercevoir dans le cristal peu avant, ce qu'on lui avait arraché : l'amour, la compassion. Il ignorait totalement si il parviendrait à ressentir ces choses. Son conditionnement était fort et le goût du meurtre avait finir par devenir agréable pour le métis.

Sa fuite dura quelques semaines. De nombreuses fois, il se perdit dans les méandres de la cité et fut obliger d'ôter la vie de certains drows afin de ne pas être repéré. Usant des subterfuges et de ses talents en dissimulation, il parvint finalement à remonter à la surface et à quitter le Puy d'Elda, non sans difficultés.

Alors qu'il arrivait aux frontières des terres drows, il fut pris d'un sentiment nouveau, quelque chose qu'il n'avait alors jamais ressenti. Il était libre. Il quitta donc ces terres sans aucun regrets, prêt à découvrir le monde. Il adopta le nom de « Ba'erth », l'Ombre pâle en langue drow alors qu'il laissait derrière lui le Puy d'Elda et sa cruauté. Reniant ainsi son héritage, il quitta définitivement sa terre natale. Mais, la cruauté sans limite des drows à profondément marqué le métis, faisant de lui une machine à tuer implacable. Alors qu'il quittait cette terre de cauchemar, la peur vint hanter son bas-ventre. Peur de ce qu'il allait découvrir au delà des terres drows, peur de ne pas y trouver ce qu'il recherche et peur de ne pas y être à sa place. C'est ainsi qu'il referma définitivement ce chapitre de sa vie.

Bonjour et bienvenue.

La fiche est-elle terminée ?
Si tu as besoin d'aide, n'hésite pas à te manifester

Salut et merci de l'accueil !

Oui, la fiche est terminée, je ne pense pas avoir rien oublié.

Je ne suis pas contre, mais étant rôdeur, je voulais éviter de jouer un Drizzt Do'Urden. Après, si c'est vraiment embêtant, je modifie sans soucis :)

Je me permet d'intervenir afin de préciser que le terme "rôdeur" n'a pas le même sens sur Miradelphia qu'il pourrait avoir dans l'univers de D&D. Il s'agit pas d'une "classe de perso", mais tout simplement d'un vagabond, quelqu'un qui vit sur les routes en marge de la société.

De plus, il est tout à fait possible de faire un drow rôdeur sans pour autant jouer une copie de Drizzt. Un personnage ne se résume pas à une combinaison race / classe que je sache...

Merci pour la précision sur le rôdeur. Vu comme ça, les ressemblances sont moins frappantes.

Bien entendu, un personnage ne se résume pas à quelques caractéristiques physiques et statistiques, cependant, lorsqu'on croise un rôdeur drow, chaotique bon... On peut facilement penser à ce bon vieux Drizzt. Après, ça va dépendre de ma façon de le jouer. C'est mon boulot de faire en sorte qu'il ne soit un pas Drizzt.

Et pour finir, j'ai modifié la fiche en gardant le plus possible les grandes lignes de mon histoire. J'espère que ça conviendra :)

Je me permet de faire un petit up :)

Elan ayant peu de temps devant lui en ce moment, j'ai l'autorisation de corriger ta fiche.

Tout d'abord, bienvenue à toi !


Pour la correction :

-Déjà, tu as oublié de mettre le prénom de ton personnage dans la partie "Nom/Prénom".

-Ensuite, au niveau de l'histoire :

Citation :

"Hommes, nains, elfes... Les sombres ne faisaient aucune distinction quand à la nature de leurs esclaves tant que ceux ci étaient en état de les servir."

Je ne suis vraiment pas sûre que nos chers Drows ne fassent aucune distinction entre un simple mortel n'ayant de ce fait pas grande valeur, un Elfe haï pour la simple raison qu'il existe et un Nain généralement apprécié comme guerrier/forgeron/mineur (du moins la race naine). Même si tous peuvent être utiles comme esclaves, il y aura des tendances à faire un minimum de distinction en fonction de la race.

Pour ce qui est des rencontres aux premières heures de la nuit, cela m'étonne fort qu'une esclave puisse toutes les nuits sortir sans se faire attraper. Si elle avait la chance d'être assez libre de ses actes car inoffensive, ses maîtres se seraient très rapidement rendus compte de ses petites escapades nocturnes et auraient résolu le problème en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire... Point à corriger donc.

(Chapitre 4)

Citation :

"Sa fuite dura des années. De nombreuses fois, il se perdit dans les méandres de la cité et fut obliger d'ôter la vie de certains drows afin de ne pas être repéré. Usant des subterfuges et de ses talents en dissimulation, il parvint finalement à remonter à la surface et à quitter le Puy d'Elda sans que quiconque ne s'en aperçoive."

Là on n'est pas dans La légende de Drizzt, les portes de sorties sont plus faciles à trouver que dans le livre !
Soit tu parts de l'un des niveaux inférieurs pour sortir par la Faille, soit tu remontes au premier étage... Et étant en danger de mort, Zan'ar n'a pas dû rester très longtemps au Puy (un mois miradelphien max ?), de plus qu'il devait déjà connaître un minimum le fonctionnement de cet endroit, ne serait-ce que pour trouver ses cibles. Tu peux donc supprimer la première phrase.
Et le "sans que quiconque ne s'en apperçoive" est un peu exagéré.^^


-La mentalité du perso :

Alors hum... Le côté gentil/plein d'espoir de Zan'ar est franchement trop prononcé ! Certes qu'un demi éprouve des sentiments, c'est normal vu qu'il a du sang humain (ou un père sentimental comme ici^^). Mais de là à ce que ton perso rêve d'amour, d'eau fraîche et et d'un monde tout heureux sans connaître celui dans lequel il va, il y a tout un monde !!! Ton perso a été élevé dans la haine, la soumission et la douleur. Cela a forcément déteint en mal sur lui.


Voilà donc une première correction et, en effet, ton personnage ressemble beaucoup à Drizzt Do'Urden ! Il faudra que tu fasses bien attention à ne pas imiter ce personnage lors de tes rps...

Si tu as des questions n'hésite pas !
Bonne continuation pour ta fiche en tout cas.

Glinaina a écrit:

Voilà donc une première correction et, en effet, ton personnage ressemble beaucoup à Drizzt Do'Urden ! Il faudra que tu fasses bien attention à ne pas imiter ce personnage lors de tes rps...

C'est justement ce que je voulais éviter, c'est donc un bon gros fail pour moi !

J'ai donc changé quelques petites choses comme tu me l'as demandé, j'espère que ça conviendra. Après, je te rassure, je n'ai pas l'intention de le jouer comme un ersatz de Drizzt.

Bon, pour moi ça me parrait bon.

Je t'invite donc à visiter ces quelques liens qui pourront toujours t'être utiles. Dès que tu auras ta couleur tu pourras commencer à rp (sans oublier de faire l'inventaire) !

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {facultatif}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.


Manuscrit :

Code:

[Métier & Classe] : Rôdeur

[Race & Sexe] : Demi-Drow & Masculin

[Classe d'arme] : Corps-à-corps

[Alignement] : Chaotique Bon

Bon jeu à toi !!!