Sapientia
Admin
Nombre de messages : 1011 Âge : 33 Date d'inscription : 10/02/2010
| Sujet: [Compagnie] Les Bastres Sam 6 Juil 2013 - 15:04 | |
| Nom de la compagnie : La Compagnie des Bastres (aussi connus sous le nom des Orphelins ou encore les Coquillards d'Oriabel) Capitaine : Oriabel, dit la Bastre Créateur : Oriabel Nombre d'hommes : Une quarantaine de vaillants coquins au sang-mêlé. Description :
Sang-mêlés issus des terres dédaignées par la civilisation, ces mercenaires, volontiers coquillards ou verts galants, ne présentent pas la bonne mine des nobles équipages aux pourpoints à crevés et aux cottes d'armes galonnées. Toutefois, il convient de ne pas s'arrêter à leur armement hétéroclite : ces drôles sont tous des vétérans des conflits contre les moricauds ou des guerres privées de la noblesse péninsulaire. Ces spadassins placides, rompus à la manœuvre et connaissant toutes les ruses du vieux soldat forment d'hardis adversaires. Ayant abandonné les nobles causes, tenant en mésestime tant l'Humanité que le bien cagnard peuple sylvain, il n'y a plus que le chant des sequins pour aguicher ces malandrins. Plutôt que de servir comme vaillant dernier carré, ils destinent davantage leurs services aux coquins fortunés en quête de porte-glaives pour d'obscures règlements de comptes. Vague description de la composition des troupes :La diversité des origines de ces faisans est manifeste lorsqu'ils ont la grâce de se réunir. Ainsi, les quelques demi-armures brunies côtoient des broignes treillissées manifestement reprisées ainsi que des pourpoints de cuir. Une dizaine de ces maraudeurs, originaires des Wandres, manient des armes déplacées dans les mains de demi-elfes telles que des espadons à lame de flamberge, des scramasaxes, des doloires de guerre et autres bardiches. D'ordinaires, ils agissent sous le couvert d'une quinzaine d'arbalètes à cric et d'un quarteron d'archers. Enfin, quelques pillards, plus finauds, arborent fièrement rapières, main-gauches ainsi que des yatagans. Les guets-apens ont été élevés au rang d'art par ces ruffians. Pour conclure, pourrait-on dresser un portrait fidèle de la coterie sans aborder leurs croyances chtoniennes? De leurs origines glaiseuses, ils ont hérité des reliquats des cultes déviants des Wandres et des marches du marquisat. Ainsi, il n'est rare de les voir arborer d'étranges oripeaux, d'indécentes peintures corporelles et autres pendentifs impies. |
|