Nerdhanel, la Renarde

Nom/Prénom : Nerdhanel Sin’Dalvir
Âge/Date de naissance : 135 ans
Sexe : Féminin
Race : Elfe
Faction : Noss
Particularité :  .
Elle est capable de dompter les animaux, quoi que ce domaine demande beaucoup d'attention, de concentration et de temps.
N'entend pas la symphonie

Alignement : Chaotique/ Bon
Métier : Rodeuse/ aventurière
Classe d'arme : /Arc/ corp à corp/

Elle utilise essentiellement l’arc pour la chasse. Il est sa principale arme. Par ailleurs, deux petites lames de la taille d’un index sont fixées à chaque extrémité, lui permettant de faire des attaques circulaires et d’éloigner ses adversaires. Néanmoins, ces petites lames sont utilisée en cas de réel nécessité ( Elle est utilisé pour vite se défendre quand on n'a pas le temps de changer d'arme.) Mais, il reste peu utilisé pour ne pas fragiliser l'arc même si le bois reste de la meilleure qualité d'Anaëh. Si le corps à corps venait à arriver. Elle utilisera un cimeterre elfique forgé par les elfes de cité pour pouvoir mieux se défendre. Si, elle n'a pas d'arme, elle utilise ses griffes pour défigurer ses adversaires.

Équipement :

La jeune femme porte un arc courbé composite parfaitement décoré de gravures sinusoïdales
A l'extrémité de l'arc, des petites lames sont fixées pour permettre d'utiliser son arme pour les combats de corps à corps. : Un cimeterre elfique est accroché derrière son dos forgé par les maîtres d'Adarmir
Elle porte essentiellement une armure en cuir bouilli qui permet à la jeune elfe de courir avec aisance et d'atténuer les bruits de pas. Néanmoins, l'armure est très sobre, sans fioriture. Nerdhanel porte souvent un sac en cuir à l'arrière de son dos pour voyager. Par ailleurs, elle porte souvent une écharpe pour voilé le bas de son visage

Description physique :

Son visage reste fin et allongé, l’elfe possède un petit nez et des lèvres très charnues. Son regard semble toujours curieux. Sa longue chevelure noire accompagne sa teinte basanée. Ses yeux sont ambrés, lui donnant une petite lueur de douceur.
Son corps est très élancé, ses formes sont légèrement développer mais, elle ne sort pas de la réel norme elfique. Sa taille est de 1m75, légèrement inférieur à la taille des Noss. Sa démarche est féline.

Description mentale :
La jeune femme demeure une personne très curieuse, sa vie est rythmée par sa soif insatiable de connaissance. Sa curiosité lui pousse à travers de nombreuses aventures pour nourrir sa curiosité. A ses yeux, le monde était tellement grand qu'elle n'avait qu'une envie: connaitre ses secrets.

Elle demeure une femme très simple d’esprit, sa philosophie ne cherche pas une vie complexe mais remplie de facilité. Rêveuse, flemmarde, elle adore flâner sur les arbres d’Anaëh.  A côté de sa passion pour la chasse, elle demeure ouverte à de nouvelles connaissances qu’elle a envie de connaitre davantage. Joueuse, la jeune femme se montre très taquine sans pour autant froisser les gens, mais juste pour le plaisir de faire rire. Parfois, on peut considérer cette elfe comme une petite femme naïve et capricieuse. Très gourmande, la nourriture est son péché mignon, elle adore manger. Par ailleurs, la chasse est le meilleur moyen de nourrir sa faim.  

Rusée et très intuitive, la femme suit beaucoup plus son instinct qu’une réelle logique. Dans une situation complexe, la femme optera la fuite pour mieux rebondir. Elle évitera tout combat inutile, mais ne reste pas moins dangereuse.

Capacités magiques :



Histoire :


Dans cette immense Anaeh ! la terre des elfes ! l’œuvre de la mère ! Le clan Sin’Dalvir était un clan de chasseur, réputée pour leurs adresses dans la chasse. Ils avaient la capacité de suivre les traces, de s’adapter à des situations les plus dangereuse. Ils étaient peu nombreux, mais ils étaient experts dans la survie. Le clan nomade vivait particulièrement de la traque et de la cueillette. Sa grande particularité était le pacifisme. Loin d’être hostile, ils étaient célèbres pour ne pas rentrer en conflit avec les différents clans et ils entretenaient une relation amicale avec la cité d’Adarmir. A leurs yeux, une guerre entre peuple étaient impensable, voir déplacer envers Kyria. Pour entretenir cette bonne entente, le clan empêchait les animaux dangereux de menacer la cité, de l’autre côté, il disposait quelques outils de bonne fabrication par les artisans des elfes de cités. Par cette douce harmonie, les deux peuples, d’une vie si différente, s’entendait bien et aucun conflit n’éclatait entre les Sin’Dalvir et l’armée du protectorat. Aujourd’hui, je pense que la paix restera toujours le meilleur moyen d’avoir une parfaite harmonie. Le conflit amènera toujours à la tristesse.

Néanmoins, le clan n’appréciait pas la philosophie des elfes de pierre. Il avait peur de perdre cette efficacité, ce talent pour la survie. A leurs yeux, Les Sin’Dalvir reprochaient la cité de se reposer sur leurs acquis et cette reposée sur ses talents était le pire des défauts. Pourtant, quelques-uns désirait de vivre auprès des elfes de pierre, on ne les interdirait pas.

Au seins de cette immense tribu, chaque membre se devait de prendre soin de son prochain. La vie en communauté était très importante, on marchait ensemble. Le chef avait le rôle de guider, de trancher sur des avis partagés.  Les membres avaient de l’importance. Puis, lorsqu’un enfant venait d’arrivée au monde, il n’était pas l’enfant du couple mais du tribut elle-même. L’enfant devint sujette à toute ses attentions, il était éduqué par tout le clan, un maitre (qui est souvent un membre de la famille) l’accompagnait jusqu’à son âge adulte.

Le clan acceptait les elfes de cité dans la tribu après que ce dernier face ces preuves. Il n’était pas agressif envers le postulant, mais il devait savoir s’adapter à la rusticité du clan. On ne tolérait pas une personne qui était incapable de survivre dans cette grande famille. Si le clan acceptait l’étranger, on tolérait que le membre du clan de quitter sa grande famille. De plus, s’il décidait de revenir, le clan l’accepterait de nouveau.  Le clan accordait beaucoup d’importance sur la notion de liberté avec ses conséquences et sa vocation de ne rien rejetée mais de tout accepter. Depuis le voile, les elfes de cité tentait de suivre notre vie. Le chef de clan les  accueillit avec joie, mais, il avertissait toujours le risque à prendre de se relier avec la nature. Le chef refusa quelques un en raison de leurs incapacité de survivre, il ne voulait pas voir un enfant mourrir. Les elfes de cité capable de survivre, ils étaient entraîné dans une vie rustique et suivre la voie du clan pour oublier tout lien qui était lié à leurs cité.

Pour faciliter à leurs survie, les chasseurs du clans domptaient les animaux pour que ces derniers l'accompagnent dans la chasse. Les chasseurs connaissaient le risque de la chasse, un compagnon animalier permit en cas de solitude pour le chasseur de mieux se défendre contre les dangers de la nature. Le domptage était très différent à celui des humains. Le but n'était pas de contraindre l'animal mais créer une relation d'équilibre, une fusion avec la bête. Ce lien était issus du druidisme mais assez différent. Tout d'abord, il fallait sentir quel animale était plus appropriée à notre caractère, puis, on devait comprendre toute la psychologie de l'animale pour amener à créer une relation. Quand la relation se créer, l'animal et le maitre devait se comprendre et se communiquer pour ensuite être lié à jamais toujours dans cette idée d'équilibre. Pour faire simple, la relation entre nous et l'animal était semblable à un histoire d'amour. Une histoire de partage. Chaque animal était différent pour un chasseur, tout dépendez de la philosophie du chasseur.

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Scyllia était ma mère, on la nommait la grande chasseresse, reconnue au seins du clan et d’Adarmir. Son vieil âge qui situe vers la tranche du millénaire était au seins de la jeunesse elfique une légende vivante. Sa renommée était issue de son courage pour avoir protégée ses frère et sœurs d’Anaeh des animaux dangereux. Sa démarche était féline, majestueuse et parfaitement agile, la nature ne lui semblait pas être un réel obstacle, au contraire, elle était liée au caprice de la forêt.  Sa qualitée de chasseuse méritait le respect et de crainte parmi les voisins noss. Personne n’osait l’attaquer, la menacer de mort.

Alagorn, mon père, était moins connue. Son altitude réservée ne permettait pas d’avoir la même notoriété que ma mère. Son coté diplomate méritait d’être reconnue parmis le clan pour permettre au peuple d’avoir toute la science des elfes de pierre à son avantage. On le respectait pour sa qualité de diplomate. Au contraire de ma mère qui était féline, il était plus maitrisé, moins enclin à partir à l’aventure. Mon père préférait de gérer toute la vie quotidienne du clan, de structurer son bon fonctionnement.
Le couple se complétait par leurs différences. Ils avaient 500 ans de différence, mais leurs amours oublièrent tout de ce fossé générationnel. A travers ma mère, il était mature. A travers mon père, elle rajeunissait.  Ils étaient parfaitement Unis
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Quand je fus mise au monde par mes parents, il était clair que j’étais le fruit de leurs unions. Ma naissance était la bénédiction de mon clan, j’étais sujette à une attention particulière. Mes parents me protégeaient contre les menaces de la nature, le clan s’occupait de moi pour éviter qu’un moindre souci pourrait ma mettre en danger. Mon père prenait en charge le début de mon éducation par des petites bases : écrire, parler etc...

Dans la tradition, à la période d’enfance, un membre des parents prenne en charge avec rigueur le développement de l’enfant. Ainsi, ma mère était ma principale guide. A travers ses yeux, j’apprennais à comprendre Kyria et son œuvre. Elle m’apprit les meilleurs moyens de subvenir à mes besoins, de survivre dans la forêt hostile d’Anaeh. Son apprentissage était très rigoureux, car ma mère estimait que la nature ne permettait pas une éducation trop frêle. La nature était en perpétuel changement, j’apprenais à m’adapter. Par ailleurs, son expérience m’avait permis d’apprendre à tirer à l’arc. Sous ses conseils avisés, je permis de développer ma maitrise dans le domaine de l’arc.

Ma mère m’apprit de nombreuse vertue, son coté marginale me poussa à prendre conscience de ma future liberté que la nature pourrait m’offrir. Si, pour elle, la communauté était importante, l’individu était tout aussi importante à ses yeux. Son expérience m’avait permis de prendre un peu conscience de ma volonté de savoir qui je voulais être. C’était à travers son expérience, ses conseils que je formais mon premier regard. Ma curiosité se développa à travers son parcourt et la vie nomade du clan.

Dans ma période d’adolescence, l’enfant devait prendre un choix sur sa voie qui devait prendre. A travers l’éducation maternelle, je pris le choix de devenir chasseuse et l’idée de liberté afin de suivre mon instinct commencer à naître en moi. Ainsi, comme toujours, ma mère devenu mon maitre, l’éducation était plus stricte. Je devais connaitre la nature au bout de mes doigts, apprendre à comprendre les animaux et de connaitre les enjeux de la chasse. La voie du chasseur était très difficile, il demandait beaucoup d'attention et sa particularité était de se lier à la nature de manière très différente. Ma mère m'apprit à utilisé mes sens, à observer la faune et la flore. L'environnement devait être en symbiose. Au contraire des miens, je n'entendais pas la symphonie, la voie de l'arbre mais je voyais autre chose qu'eux. Je sentais la nature d'une autre façon, j'avais une autre écoute, je comprenais l'oeuvre d'Anaeh par le fait d'observer, de sentir et d'écouter la nature. A la fin de l'adolescence, je devais apprendre à apprivoiser,puis dompter un animale. Au yeux de ma mère, cet épreuve était importante pour pouvoir survivre en Anaeh, les étapes furent longue, elle demande plusieurs jours de tentative, d'écoute, de compréhension. Quand vient le premier contact, tout comme un enfant noss, il fallait l'éduquer et instaurer une hierarchie. La base de tout était le respect mutuel entre l'animale que je voulais et moi. Il devait avoir une douce équlibre, car l'animale était libre à partir. Le domptage n'était pas comme les humains, mais plus un lien fusionnel. De ce lien fusionnel était la base de tout d'une bonne réussite.Le plus dangereux était de se faire tuer par l'animale.

Quand vint l’âge adulte, je reçus mon premier arc façonné par ma mère, un arc courbée remplie de motif elfique signe de l’appartenance de mon clan. Le chaman fit une procession pour bénir ma vie d’adulte et me protégée contre les mauvaises choses de la vie.  Mais, je pris rapidement conscience que toute une vie s’offrait à moi que je pouvais être ce que je voulais.  Pour l’instant, je me contentais de vivre au sein du clan, les aidants dans la chasse.

Puis, lorsque vint le Voile. Kyria c’était renouée avec nous et renforça l’idée à nous les elfes de s'unir. Mais, au seins du clan, tout le monde avait une vision différente. Peu à peu, le conflit se naissait au sein du clan et avec les autres elfes. De mon point de vue, Kyria renouait avec nous. Dans les heures les plus sombre pour certains elfe, Kyria était là pour nous soutenir et nous accompagner à la moindre de nos pas. Néanmoins, je ne comprenais pas le conflit qu'il se mettait en place entre les elfes de cité et les elfes des bois. Nous étions pareils, nous avions une philosophie différente. A quoi bon se battre? La nature n'était déjà pas assez difficile pour survivre. J'apercevais que parfois quelques elfes aimaient se battre pour des futilité, ceci, n'était pas de mon gout.

C'était par une décision réfléchis, je voulais connaitre par moi même les secrets de l'oeuvre de Kyria,je voulais voir bien plus que mon clan. Le monde était un immense secret à lequel je voulais comprendre, le connaitre et nourrir ma connaissance. Ainsi, je quittais mon clan pour explorer ce monde vaste et remplie d'épreuves.


***

Animal de compagnie:
Nom: Adrilah
Sexe: feminin
Race: Renard
Taille: 45 cm
Poid : 5 kg
Age: 2 ans.

Caractère : Elle est rusée et taquin. Adrilah est une renarde qui aime me charrier, m'embêter sur diverse choses. Gourmande, elle apprécie la viande et n'hésita pas son côté chasseuse pour mon plus grand plaisir. Très observatrice, elle me guide pour m'aider à sortir d'une situation complexe. .  C'est une renarde fière, elle ne cesse jamais de prouver sa valeur !

Physique : Elle est rousse avec un pelage blanc, son museau est très allongé et ses oreilles très longues et pointue.

Histoire:
Au cours de mon épreuve, Arassa était ma première bête qui m'avait accepté. Néanmoins, après le voile, la petite Arassa tomba malade et mourus. Elle me légua son enfant Adrilah. Le bébé était pris avec soin, je m'occupais avec elle et je tentais de l'éduquer comme sa mère, c'est-à-dire, je l'entraînais à la chasse, à prendre ses repères dans la nature. Au cours de son évolution, elle ne cessa jamais de me suivre, parfois, elle se demeura protectrice. Son aide était précieuse. Pour m'aider à me nourrir, elle n'hésita pas à chasser pour que je puisse survivre. Très fière, voir orgueilleuse, elle aime prouver sa force et sa ruse. Je m'extasie de son intelligence et ne cessa jamais de m'étonner.

HRP

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Comment as-tu connu le forum ? : Par google
Crédit avatar et signature : Je ne sais plus du tout.
Compte autorisé par : Halya

• La situation de son enlèvement n'est absolument pas crédible, aucun mariage n'a lieu dans une foteresse militaire et les Drows auraient du dépasser Ellyrion pour venir t'enlever (de plus le convoie n'avait rien d'important à piller, c'est donc une prise de risque non nécessaire d'un point de vue purement martial)
  
• "détecter" la sensibilité magique d'un individu est absolument impossible sur un simple coup de tête (ça comme essayé de détecter si quelqu'un à l'oreille musicale ou pas... )
  
• Ton histoire manque de repère chronologiques (les durées sont très vagues, on a pas l'âge de ton personnage, difficile de replacé dans les grands évènements de Mira) et géographique (ou est-elle durant les grands évènements de son histoire. Tu ne précise même pas qu'Haldren la ramène au Puy d'Elda il me semble)
  
• Tu ne parle pas du Voile, ni d'Ellyrion, ni d'Eraison, hors si tu es en Anaëh depuis 10ans, au moins certains d'entre eux ont du avoir un grand impacte sur Nerd
  
• Les deux PNJ importants dans l'histoire de Nerd manquent totalement de descriptions alors qu'ils sont atypiques (on ne sait pas qui elles sont, pourquoi elle l'aident ect...)
  
• En 10ans, elle ne peut pas apprendre à tirer à l'arc et à se battre au corps à corps avec un arc et à se battre au cimeterre et à se battre avec deux cimeterre. Elle peut aprèndre un peu à tirer à l'arc, ou à se défendre un peut avec un cimeterre c'est à peu près tout. Les elfes ont une durée d'apprentissage bien supérieur à celles des humains et prennent leur temps pour maîtriser et comprendre un art.
  
• Elle ne peut pas avoir été mentalement brisée et apprendre la magie, donc il va falloir trouver un vrai compris avec l'histoire d'Haldren. Un mage a besoin d'une concentration et d'une volonté hors norme, le principe de briser quelqu'un au point de le terrifier et de représenter tout pour lui est justement de le priver de toute volonté propre... tu comprends le problème... La sera surement le point le pus compliqué à règlé puisque si tu veux garder la magie (même à bas niveau vu l'âge de ton personnage) cela risque d'impacter beaucoup ton histoire.
  

Code:

[Métier] : Rodeuse/ aventurière

[Sexe] : femme

[Classe d'arme] :  /Arc/ corp à corp/

[Alignement] : Chaotique/ Bon