Gorkim, Marteau de feu [MAJ]

Nom/Prénom : Gorkim Hargrund (Gorkim Marteau-de-feu)
Âge/Date de naissance : 78 ans (Altrommi),  né en l'an 930 du dixième cycle
Sexe : Masculin
Race : Nain
Faction : Thanor (Haute-Virnée)
Particularité : Il a un tatouage sur le biceps gauche. Il n'a pas de gros orteil au pied gauche. Conséquence, pertes d'équilibre plutôt fréquentes.

Alignement : Loyal bon
Métier : Forgeron (beaucoup), Armurier (peu)
Classe d'arme : Corps à corps (marteau à une main, sinon il a toujours ses deux poings) / Défensif (bouclier en bois aux contours en fer)
Équipement :
Gorkim n'a pas de véritable armure comme les soldats nains. Il s'est assemblé une cotte de maille qu'il met en dessous d'une veste de cuir lorsqu'il part en randonnée. Il a un sac qu'il met en bandoulière pouvant contenir quelques petits objets comme de la nourriture, des papiers ou autre. Il possède également des bottes à la semelle épaisse. À sa forge, il a quelques marteaux et d'autres outils pour forger, mais il les laisse là, car ça ne lui sert à rien de les amener évidemment (excepter un de ses marteaux, qu'il utilise comme arme et seulement comme arme).

Description physique :
Gorkim, comme tous les autres nains, est assez petit et trapu. Il mesure exactement 1,49 mètres de haut et pèse environ 60 kilogrammes. Il porte le plus souvent des vêtements en cuir ou en fourrure lorsqu'il fait froid. Il possède également un habit en lin qu'il a obtenu de son neveu (qui l'a probablement obtenu de quelqu'un d'autre), et, lorsqu'il travaille à sa forge, porte une salopette et est torse nu. Plus ou moins musclé, il porte fièrement sa barbe brune avec des reflets roux qui s'allonge jusqu'au milieu de son torse. Il a des cheveux, bruns également, seulement sur les côtés du crâne. Il est chauve sur le dessus. Il n'a pas de calvitie, il s'est seulement rasé. Il a un bracelet en fer sur le poignet droit. Dessus sont gravées des runes qui représentent le cri de guerre des nains. Il n'a pas de gros orteil sur le pied gauche. Il a, depuis le Voile, un tatouage sur le biceps gauche qui représente un marteau avec le visage de son père. Pas que cela représente la haine envers père, au contraire, ce tatouage représente l'amour de Gorkim pour la métallurgie, le forgeage et, bien-sûr, son père.

« Dawi arm bin af! »

« Les nains sont sur vous! »

L'inscription qui est sur le bracelet de Gorkim

Description mentale :
Gorkim a tendance à être très impatient. Il déteste attendre pour quoi ou qui que ce soit. Même s'il est forgeron et que se travaille requiert de la patience, il se défoule normalement dans ses coups de marteau. Ce nain est incroyablement altruiste. Dès qu'il voit quelqu'un qui a besoin d'aide, il n'hésite pas à faire le nécessaire pour l'aider. Pour son âge, Gorkim a un bon jugement, qu'il a pu acquérir de son grand-père depuis qu'il a environ 40 ans. Il est cependant loin d'avoir le même jugement que les grands sages nains. Lorsqu'il était jeune, il se fâchait plutôt facilement et cette caractéristique était très dure pour son père, qui l'élevait seul, mais plus Gorkim vieillit, plus ce défaut se fit rare et sa capacité à rester calme augmenta. Maintenant, il ne se fâche que si la raison est bonne.

Clan :
Gorkim fait fièrement partie du Hargrund, le clan des « Marteau-de-feu ». Une famille de forgerons et d'armuriers qui se trouve principalement à Thanor, mais dont six membres ont décidé de se rendre à Lante pour des raisons personnelles. Ce clan, composé uniquement des membre de la famille et des enfants adoptés, s'étend jusqu'aux cousins, neveux, grands-oncles, etc. Il est donc composé d'une trentaine d'individus. Hargrund est allié avec un autre clan, l'Azulboki (Mineurs robustes ou Mineurs de métal) avec qui il effectue des échanges (ce clan est composé de mineurs donc ces derniers apportent des métaux aux Hargrund et en échange, ils reçoivent des outils, bijoux, armes, etc).

Histoire :
Gorkim est né en 930 du 10e cycle, dans des circonstances normales et dans l'ancienne cité de Kirgan. Il ne s'est pas passé plusieurs événements importants dans sa vie avant l'âge de 30 ans à part le fait qu'il a commencé à apprendre les bases du forgeage avec son père vers 25 ans. À 30 ans par contre, sa vie a basculé avec son Kumenouth, vers l'an 960. Son père meurt pendant le Voile. Il part donc vivre à Lante pendant un bout avec son grand-père. Après, ils partent vivre à Thanor. Quelques semaines après qu'ils soient arrivés, Gorkim entreprend la fabrication d'un objet qui lui fera perdre son statut d'apprenti. Il choisit de faire un Thastok classique, sur lequel il gravera des écritures et des motifs. Dans certaines de ces gravures, il coule de l'argent fondu. Après environ trois semaines, la conception est entièrement terminée et Gorkim décide de remettre son arme à son grand-père, le chef du clan. De plus, c'est à Thanor qu'il aura un fils (et se séparera de sa femme peu de temps après, soit 1 ou 2 ans).



Vers l'an 960. Dans une grande et longue maison, des chandelles étaient allumées dans toute la cuisine et la salle à manger. Plusieurs personnes étaient présentes, toute la famille, des nains et des naines. Il y avait de tous les âges : quelques nouveaux-nés de 2 ans aux vieux sages de 150 ans et plus vieux encore. L'ambiance était très festive, avec un banquet plein de viande, de fromage et de la bière pour les adultes.

C'était le Kumenouth de Gorkim. Normalement, lorsqu'un nain naît, la famille proche vient fêter cet événement, mais c'est le clan au grand complet qui vient fêter les 30 ans de chaque nain. Ce jour-là, c'était au tour de Gorkim.

Autour de la table, le monde se rassemblèrent et Dargolin, le grand-père de Gorkim, l'aîné (et aussi Thane) du clan et à peu près âgé de 250 ans (il avait arrêté de compter son âge après 200 ans), cria haut et fort à tous les invités « La viande est prête! ». Les nains utilisaient cette expression au lieu de dire « La table est prête » ou « Le repas est prêt », parce qu'ils mangeaient exclusivement (ou presque) de la viande. Tout le monde se mit à sa place respective et le clan se mit à manger comme des affamés.

Après le souper, les gens se séparèrent et se mirent à se parler entre eux jusqu'à tard dans la nuit. Les jeunes avec les jeunes, les sages avec les sages. Cependant, ces derniers prenaient de temps en temps des nouvelles des jeunes pour s'assurer que tous allait bien. Dans la cuisine, Glorond vint rejoindre son fils, qui était entrain de se refaire à manger comme s'il n'était pas encore rassasié.

- Je n'arrive pas à croire que le temps passe si vite, dit Glorond, tu es déjà un adulte.

- Vais-je enfin pouvoir explorer les montagnes du nord, demanda Gorkim, déjà impatient d'entendre la réponse de son père.

Gorkim, bien qu'il sache que les montagnes étaient dangereuses, avait toujours voulu voyager au-delà de la région de Kirgam. Son clan et lui n'avaient jamais été de grands voyageurs. Parfois, ils faisaient des randonnées dans la Nanie pour prendre l'air, mais jamais de grandes expéditions. Gorkim était bien décidé à en faire une un jour.



Vers l'an 999. Une explosion se faisait entendre. Peu de temps après, certains nains purent apercevoir de la lave jaillissant de la montagne. Son flanc gauche avait explosé. Le sol tremblait. À Kirgan, peu de temps après avoir appris la nouvelle, les habitants étaient terrorisés. Ce liquide brûlant, il y en avait en quantité phénoménale. Continuant de se rapprocher de la cité, la chaleur pouvait déjà se faire sentir. Un grand danger approchait et la population prit tous les objets nécessaire et fuirent en vitesse leur demeure, les plus chanceux se rendirent à l'extérieur à temps. La colère des dieux ne pouvait pas être arrêtée.

À l'intérieur de Kirgan :

- Aller papa! Il faut partir, cria Gorkim à son père.

- J'arrive bientôt! J'ai oublié d'aller chercher mon collier, répondit Glorond, en mettant ses bagages au sol et courut vers la maison.

Il partit, en promettant à son fils de revenir rapidement. Glorond adorait le collier que sa mère lui avait donné, mais ne le portait jamais, car il avait peur de l’abîmer. Il le gardait donc sur sa table de chevet. Le grand-père de Gorkim, Dargolin, était là et regardait toute la scène. Son grand-père lui avait raconté le Voile précédent, comment cela s'était passé, mais celui-ci n'étais pas comme les autres. Il était pire. Dargolin se dit bien que Glorond n'aurait pas le temps, mais il était déjà parti. Le grand-père et Gorkim ne pouvaient qu'espérer que Glorond revienne à temps. Ce dernier ne revenait toujours pas et la chaleur se faisait de plus en plus intense. Dargolin ordonna à son petit-fils de partir, sinon ils mourraient eux aussi. Quelques temps plus tard, sur le haut d'une petite colline à environ 300 mètres, ils virent la lave traverser la grande porte et entrer dans la cité. Glorond n'avait aucune chance de s'en sortir. Gorkim, accablé, s'agenouilla et émit un si grand cri que Dargolin, lui aussi extrêmement peiné, dut se boucher les oreilles. S'était un cri de douleur, un cri d'amour, un cri qui était pour son père, mais aussi qui représentait toutes les frustrations qu'il avait vécues au long de sa vie. Les deux restèrent là, à genoux, et pleurèrent Glorond pendant des heures.



Le 11e cycle avait commencé. Après le Voile, le monde avait repris son calme. Les dégâts étaient loin d'être réparés, mais la vie reprenait peu à peu. Gorkim et son grand-père s'étaient réfugiés depuis peu à Lante comme beaucoup d'autres rescapés d'ailleurs. Ils étaient, pour la majorité, venus d'Almia et de Kirgan. Dans les premiers jours de leur arrivée, les deux nains ne savaient plus trop quoi faire, encore chagrinés par la mort de Glorond. Ils dormirent au sol, faute de place dans les auberges et chez les gentils hébergeurs. Le lendemain matin, Gorkim se réveilla tôt. Il avait l'air songeur, comme s'il pensait encore au Voile. Il se demandait comment, mais surtout pourquoi cela est-il arrivé. Après tout, il n'avait jamais vu ce genre d'événement de sa vie. Il attendit que son grand-père se réveille. Dès que ce dernier ouvrit un premier œil, Gorkim lui demanda ce qu'était le Voile. Dargolin prit environ 2 heures pour lui expliquer, et surtout ce que son propre grand-père lui avait raconté. Ils passèrent quelques semaines à Lante puisqu'ils ne pouvaient pas retourner chez-eux. Puis, lorsque la vie « recommença », que l'économie fut relancée, que les mineurs regagnaient leurs mines, Gorkim et Dargolin décidèrent de se rendre à Thanor où, d'après les nouvelles qu'ils avaient entendues, ils préféraient la hiérarchie. Ils commencèrent à se construire une maison et même une forge, recommencèrent à forger, vendre leurs armes et leurs outils, se faire un peu d'argent et revivre comme avant, mais sans Glorond...

MàJ (ellipse)

Jamais Gorkim ne se serait douté que les choses changeraient autant après son arrivée à Lante. Comme prévu, il alla rencontrer les Hargrund qui habitent dans la cité : Braggon, Yorbuk, Greyir, Kura et le maître Geirral. Au moment où Gorkim voulut discuter avec Harald pour pouvoir récupérer un des bâtiments désaffectés du quartier des forges de Lante, celui-ci était indisponible. Il contacta donc un des intendants de la ville et négocia un établissement pour quelques souverains et beaucoup de services. Il offrirait un lot de pièces d’équipement dès que les rénovations seraient terminées. Cela prit d’ailleurs un mois complet, après quoi le travail commença.

Par la suite, il adopta un jeune Gakorth bien en forme, une femelle : Lankag (un nom lui avait déjà été donné par l’éleveur et Gorkim ne voulut pas la renommer). Une monture serait bien pratique pour voyager entre Lante et Thanor. Ainsi, pendant plusieurs mois, il fit maints aller-retours entre les deux cités et fit office de messager, distributeur ; il conclut de nouveaux accords avec le clan Azulboki et bien sûr, il prit plaisir, à rester une ennéade ou deux, parfois à Lante et parfois à Thanor, pour compléter ou avancer un projet. Un jour, alors qu'il était, par chance, de séjour à Lante, le Gazanundi de la cité, le grand Harald Barbe-Sanglante fit l'honneur de rendre une petite visite dans la forge Hargrund nouvellement rénovée. Tout en visitant, un petit entretient eut lieu entre les deux Dawis et plusieurs sujets furent abordés : la guerre, les matériaux, l'équipement des soldats, les Longues-Jambes (Gorkim s'abstint bien de mentionner qu'il était aller vivre chez eux pendant un an, connaissant la réputation de Harald et son aversion des non-Dawis). La fierté, non seulement individuelle mais aussi de toute la nation, du Gazanundi de Lante était contagieuse, et Gorkim sortit de cette discussion plus motivé que jamais.

La routine était bien ancrée dans les habitudes du forgeron, mais comme chaque fois qu’une habitude redevient habituelle, Gorkim trouvait qu’il lui manquait quelque chose. Il fallait faire plus, faire mieux, pour pouvoir un jour espérer devenir maître dans son domaine. Il fallait faire plus beau, plus solide, plus performant… Jour après jour, Gorkim réfléchissait de plus en plus. Et finalement vint le moment où, admirant son arme gravée de magnifiques symboles nains, il eut une idée folle. Probablement l’idée la plus folle, mais aussi la plus captivante de toute sa vie : il imagina ces gravures imprégnées de magie… runique. Le forgeron se dit que c’était une chose impensable.

Mais il finit bien vite par y repenser ; et de plus en plus sérieusement. Il se mit à y rêver, et un jour d’automne de l’an 13, il passa devant la tombe du grand Alaric Œil-de-Tempête, le maître runiste. Même si la croyance générale voulait qu’il soit mort, certains Dawis – et c’était le cas parmi les Hargrund – le pensaient et le disaient seulement disparu, car son corps n’avait jamais été retrouvé après la bataille d’Almis. Gorkim se mit à sa recherche… mais il ne savait pas où chercher. Il commença par trouver des indices, des gens qui l’avaient connu par le passé, mais au fond tout ce qu’il entendait n’était que choses incertaines, des « je pense que », « il me semble que » ; et surtout beaucoup de nains qui répétaient à Gorkim qu’Alaric était décédé. Mais il ne voulait pas le croire, il avait besoin d’un maître runiste.

Il continua de chercher ici et là de misérables indices jusqu’à ce qu’il tombe, après des ennéades, sur un guerrier qui dit au forgeron « j’étais là, moi » et qui finit par le convaincre que même si son corps demeurait introuvable ou inaccessible, Alaric n’avait pas pu survivre.

Gorkim devait trouver un autre moyen. La route serait longue, mais le but était clair. Il allait devoir trouver un autre runiste. Il abandonna l’idée de trouver un maître : un runiste « simplement » avancé serait suffisant pour lui apprendre les bases nécessaires. Il ne voulait pas non plus se risquer à déranger les clans runistes – de toute façon presque tous décimés – bien connus qui, pour la plupart, gardaient jalousement leurs savoirs.

Pendant presque une année entière, donc, il se résolut à prendre une pause dans ses recherches et ses activités en général. De toute façon, c’était devenu trop dangereux de voyager seul à travers les plaines ; Gorkim s’en rendit compte lorsque Lankag et lui-même faillirent perdre la vie lors de l’assaut d’un groupe de gobelins. Heureusement qu’une patrouille naine passa dans le coin au bon moment. Cette année-là fut l’année des oreilles de gobs, et le forgeron reprit la recherche d’un mentor à la fin de celle-ci.

Ce n’est qu’un mois plus tard qu’il entendit parler des événements récents à Almis, et de la présence de non pas un, ni deux, mais de plusieurs runistes à cet endroit. À peine une ennéade plus tard, Gorkim se trouvait dans un convoi en direction du nord-est. Même si la plupart étaient occupés, il pu finalement rencontrer un runiste, Yalgran. Il n’était pas encore maître, mais souhaitait bien le devenir, et il se cherchait d’ailleurs un apprenti avec qui partager son savoir. Il raconta au forgeron que son clan fut décimé pendant le Voile et qu’il se vit obligé de se tourner vers des clans non-runistes pour respecter le troisième point du Thinthrynaz, code d’honneur que Gorkim se verrait bien jurer de respecter, lorsque Yalgran le prendrait sous son aile. Mais pour l’instant il était occupé, et il assura à Gorkim qu’ils se reverraient dans une prochaine rencontre, le plus tôt possible, et que pour l’avertir il lui enverrait un corbeau.

Les frontières sont maintenant ouvertes aux Longues-jambes… Norgrim, le thane des Hargrund, le sait bien, mais il n’a encore nommé aucun Ongrumthrong. Peut-être que l’occasion ne s’est pas encore présentée, ou qu’il n’en voit simplement pas la nécessité…

HRP

Comment trouves-tu le forum ? : Super!... compliqué Nah sérieusement je le trouve super bien. C'est l'univers que je trouve compliqué, mais à la fois fantastique!
Comment as-tu connu le forum ? : Si je me souviens bien, c'est sur TopSites
Crédit avatar et signature : Avatar : Aucune idée pour l'original (l'image est sur plus qu'un site). Apparement, c'est une vue d'artiste d'Aulë. Signature (seulement l'image, j'ai écrit le texte) : firesandfire.centerblog.net

Citation :

Clan :
Gorkim fait fièrement partie du Dinin, le clan des forgerons nains. Une famille de forgerons et d'armuriers (il y a même quelques mineurs qui rapportent les métaux aux autres membres du clan) qui se répartit dans presque toute la Nanie, mais surtout à Thanor. Ce clan, composé uniquement des membre de la famille et des enfants adoptés, s'étend jusqu'aux cousins, neveux, grands-oncles, etc. Il est donc composé d'une cinquantaine d'individus.

Citation :

Quelques temps plus tard, sur le haut d'une colline, ils voyaient la lave approcher et détruire les premières maisons. Ils virent Glorond sortir de la maison.

Code:

[Métier] : Forgeron / Armurier

[Sexe] : Masculin

[Classe d'armes] : Corps à Corps / Défensif

[Alignement] :  Loyal Bon

Ancienne fiche:

D'un point de vue histoire, une ellipse, de l'an 12 à 16, a été jouée il y a peu sur plusieurs mois IRL. Je t'invite à lire le résumé des événements d'ellipse au Zagazorn et à contacter les joueurs nains, afin de placer ton personnage par rapport à ces événements, et tous ceux étant survenu depuis ton départ.

Sur ce, bon courage, et si tu as la moindre question n'hésite pas à MP le staff comme à venir discuter sur le Discord :D

Re-bienvenu parmi nous, maître nain !