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 Sur le chemin de l'Autel

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Cécilie de Missède
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Cécilie de Missède


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MessageSujet: Sur le chemin de l'Autel   Sur le chemin de l'Autel I_icon_minitimeDim 11 Sep 2016 - 17:43

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Fin Karfias de l'an 9 du XIe Cycle
Sur le chemin de Lourmel à Diantra


L'air s'était réchauffé au fur et à mesure que les voyageuses descendaient vers le sud. Arrivée à Serram, la brise iodée avait été comme une renaissance. Le son perpétuel du ressac pendant la traversé une symphonie extraordinaire. Comme a chaque voyage, elle craignait que le roulis la désoriente mais il suffisait de quelques heures pour qu'il devienne une part de son univers. Si elle n'avait pas le pied marin, peut-être autant par sa condition que par le manque d'habitude, elle voyager sur mer était l'une des façons qu'elle préférait. Le navire faisait des escales régulières mais descendre a chaque fois était plus un poids qu'une libération, alors elle avait pris le parti de rester à bord. Les premières heures, Colombe avait été plus exalté que jamais en voyant le paysage, mais elle avait été rapidement rattraper par un léger mal de mer. Leur mère et Rose étaient restées égales à elle-même.

Puis Colombe mis pied à terre à Beaurivages, et Cécilie retrouva la musique des étés de son enfance l'espace d'un battement de cil. Elle aurait voulu pouvoir passer quelques jours au palais de la citadelle, mais sa mère avait déjà tout planifié dans les moindres détails et finalement, elles passeraient par Langehack pour régler les détails du trousseau. Une brève embrassade, c'est tout ce Cécilie et sa sœur purent partager avant que le bateau ne reparte.

Le lendemain midi, une calèche arrivait devant le manoir d'une amie de la famille dans la ville même de Langehack.

« Mathilde ! Ma chère ! Et je vois que vous êtes en bonne compagnie. Messieurs, je vous présente Elisabeth, ma gouvernante, n'hésitez pas à faire appel à elle. Allons Mathilde, il faut que vous me racontiez tout cela plus en détail. A force de voyager je ne sais même plus ou envoyer mes lettres.»

La voix aiguë et aigrelette se précipita vers les trois femmes qui mettaient pied à terre en dégringolant une volée de marche.

-Berthe ! Je suis ravie de vous voir de nouveau ! Vous n'avez pas changé !
-Assez de flagornerie ma fille, ma peau pend lamentablement et j'ose espérer que ce n'était pas le cas il y a six ans. Mais qui voilàààà ! Ne me dites pas que c'est votre fille ! Cécilie ?
-Ravie de vous rencontrer à nouveau, dame Berthe.

Ne sachant trop a quelle distance elle se tenait, la jeune musicienne opta pour une profonde et lente révérence. Elle s'était à peine redressée qu'on s'emparait de sa main. Des doigts longs et agiles aux ongles parfaitement taillés. La peau était douce mais affinée par le temps, tout comme la voix semblait érodées pour qui tendait l'oreille.

-Appelez moi Berthe voyons. Par les Cinq... Vous êtes devenue une femme absolument ravissante ! Bon il y a tout de même ce menton un peu volontaire, ces joues et ce nez un peu... Mais qu'importe ! Heureusement que la nature est clémente avec vous, il était tant que vous trouviez preneur!

La main qui s'était emparée d'elle poussa Cécilie à s'appuyer sur un bras épais gainé dans un tissus d'une incroyable douceur. Sans ménagement, on la tira vers l'avant. Une main sur ses jupons pour éviter de trébucher, la jeune femme du se résoudre à suivre tant bien que mal, buttant plusieurs fois sur les marches pour manquant de tomber à plat ventre.

-Vous allez voir, avec la robe que votre mère a commandé, vous allez être la plus ravissante des mariées !
-Je... Je vous crois sur parole... articula-t-elle, son attention fixée sur ses pieds.
-J'ai préparer votre mère pour son mariage alors vous pouvez me faire confiance ! Suivez-moi, nous allons l'essayer tout de suite, comme ça les retouches seront faites avant votre départ demain matin. Oh Mathilde. Ce soir nous dîneront avec les Morange leur plus jeune fils vient d'arriver en ville pour trouver un bon parti à la cour.
-J'ai entendu de forts jolies choses à leur propos.
-Et tout est vrai ! Absolument tout !
-Faites attention à la harpe, jeta Cécilie par dessus son épaule avant qu'elle ne soit définitivement attirée à l'intérieur par la fougueuse propriétaire des lieux.

Le chemin lui parut long et semé d’embûches mais quand, après avoir monté une infinité d'escalier et passé une infinité de porte, Berthe la planta là, elle en fut mille fois soulagée. Deux pairs de bruit de pas supplémentaires.

-Occupez-vous d'elle. Qu'elle se rafraîchisse nous avons des essayages à faire.
-Bien madame.

Des mains s'emparèrent immédiatement du lacet de sa robe... Mains qu'elle immobilisa violemment. Elle sentit comme un flottement dans l'atmosphère... Le silence était trop lourd, sa réaction trop brusque.

-Cécilie ! Claqua la voix de sa mère, étouffée entre ses dents.

Elle relâcha les poignets de la malheureuse qu'elle entendit reculer d'un pas.

Tout cela allait trop vite. Son arrivé, tout ces changements, ces gens qui gravitaient autour d'elle à grande vitesse, tout semblait vouloir la prendre de court, comme si elle n'avait pas le droit de trouver ses marques. Cette sensation était de loin la plus désagréable de sa condition : la sensation d'être totalement perdue, de ne pouvoir faire un geste sans risquer de briser quelque chose.  Et cela la tendait...

-Pardonnez moi... Mais peut-être que Rose... Rose ? Redemanda-t-elle un ton au dessus
-Oui demoiselle, je suis là.
-Peut-être que Rose pourrait s'occuper de moi. J'espère que vous pardonnez le caprice d'une aveugle...

Il y eut un petit silence avant que la voix de Berthe ne s'abaisse à lui répondre.

-Oui, je comprend. Bien sûr. Faites donc. J'ai une chose à montrer a votre mère, nous nous retrouverons dans l'atelier. Venez Mathilde, je vous assure que vous allez rester sans voix !

Et les pas précipités s'éloignèrent de nouveau. Cécilie soupire de soulagement alors que Rose congédiait gentiment les deux filles qui étaient sensées l'aider à préparer la demoiselle.

-Vous pouvez y aller. Je vous appelle dès que nous en avons fini.

Tout en aidant son amie à se dévêtir, mue par une longue habitude, la suivante décrivait la pièce avec force détails et repères. A force, elle avait appris à mêler les sons et les sensations à ses descriptions pour se rapporter le plus possible du monde de la musicienne. Hélas, malgré tout le soin que Rose porta à sa tache ce moment de calme fut bien trop court au goût de la demoiselle. Son esprit ne pouvait s'empêcher de vagabonder vers le chevalier qu'elle avait été forcée d'abandonné à l'entrée de cette maison de fou. Que faisait-il, où était-il... et surtout, comment supportait-il d'entendre sans cesse parlé du mariage. Elle avait faillit lui proposer de rester à Beaurivages pour le temps de la noce, mais elle n'avait pas réussi à poser la question aussi directement. Et maintenant, elle allait essayer pour la première fois cette robe qui la destinait à un autre. Sans l'avoir jamais portée, elle détestait déjà cette tenue. Elle était l'exemple même de toutes ces petites choses qui rendaient l'inéluctable plus réel...

Et une fois de plus, le temps la rattrapait. Rose ouvrit la porte pour appeler les deux aides. Dans une robe fort simple, elle fut conduite à travers d'autres couloirs, d'autres mystérieuses pièces. Rose était une guide bien plus adroite et plus attentive que leur hôtesse, c'était au moins ça de pris...

Une nouvelle fois, quelques descriptions lui furent offertes. Une grande pièce très bien éclairée qui avait des airs d'atelier de couture. Ici, un paravent. Là, une causeuse. A droite, des fauteuils. Au fond des rouleaux de tissus. On lui proposa un thé en attendant que Berthe ne reparaisse. A peine avait elle porté la tasse à ses lèvres que la pièces accueillait déjà l'exubérante Dame.

-Ah parfait ! On va prendre vos mensurations et après on vous passera la robe, d'accord ?
-Je n'ai pas trop le choix je suppose. Sourit-elle malgré elle.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Le tour d'épaule, de poitrine, de bras, de poignet, de cou, de taille de hanche, de fesse, la longueur des bras et des jambe, la taille des épaules au sol. Tout ce qui pouvait être mesuré fut mesuré. Et c'est sans une pause qu'on l'aida a monter sur une sorte d'estrade pour lui passa une brassière particulièrement travaillée puis une chemise étriquée coupée dans un tissus extrêmement fin au travers duquel elle pouvait encore sentir l'air se faufiler. Quelques boutons le long de son épaule et le tissus l'enserrait jusqu'au menton.

-Elle est magnifique, murmura Mathilde.
-Il fallait au moins cela pour un mariage dans la capitale. Vous le vouliez tout de même pas que votre fille ressemble à une souillon au milieu de la Cathédrale.
-Mais je ne sais pas si Arnaud...
-C'est déjà entendu.
-Dans ce cas je peux dire sans complexe qu'elle est magnifique!
-Bien... Voyons... La longueur est bonne. raccourcir les manches de deux pouces de long et d'un de large... un et demi à partir du coude pour que cela suive parfaitement le bras. Vous avez les poignets fins, c'est une bonne chose. Un demi pouce au cou... Hmmm... vous avez perdu du poids récemment, ma chère ?

Elle n'eut pas le temps de répondre que sa mère prenait déjà le relais.

-Et encore, elle en a repris ce mois-ci. Si vous l'aviez vue l'année dernière... Douce Mère...
-Je vois... Vous avez bien fait de me l'amener. Les retouches vont être plus nombreuses que ce que je pensais.
-Oh...
-Ne vous inquiétez pas, elles seront prêtes à temps. Marguerite, va chercher les épingles, nous avons des repères à poser.

Trois bonnes heures et une bonne dizaine de piqûre d'épingle plus tard, Cécilie fut enfin libérée. Tous les repères étaient posés, que ce soit sur la chemise étrangement légère, sur la robe, le jupon, la sur-robe ou la ceinture. Et comme prévu, Cécilie détestait tous les morceaux de cette fichue tenue.

A peine le temps de se remettre et le dîné surgissait à son tour avec son lot de mondanité habituelle. Mathilde était intarissable, comme à l’accoutumée. Des gens plus ou moins charmants, plus ou moins hypocrites, plus ou moins obtus. Mais Cécilie fit bonne figure, toujours aimable bien que silencieuse la plupart du temps.

La soirée s'étendit sur un jeu de carte pour ses messieurs et quelques jeux de lettres pour ces dames, puis, plus tôt qu'elle ne le pensait, Berthe s'excusa pour regagner son atelier... Et entraîner Cécilie à sa suite, arguant qu'elle avait besoin du modèle.

Le tête à tête, bien qu'effectivement dévolu au travail dans le cas de Berthe, dériva sur une conversation fort sérieuse... Une conversation dont Cécilie se serait bien passée et qui fit rougir ses joues plus d'une fois.

Déjà, lorsque Berthe avait commencé sa première phrase, elle aurait préféré trouvé n'importe quelle excuse pour fuir...

« Et dites-moi donc, que votre mère vous a-t-elle appris au sujet des hommes ? Je me souviens de mon mariage... dieux que j'étais godiche. J'espère au moins qu'elle vous a donné des bases qui pourront contenter votre époux...
-... Et... et bien... N'est-ce pas au mari de faire découvrir ce... ces choses à sa promise... ?
-Oh mon enfant... rit elle à demie. Voyons, on ne tient pas son mari qu'avec un jolie minois... surtout que cet attrait, vous le verrez, passe plus vite que de raison. La nature à doté les femmes d'atouts qu'elles se doivent de savoir utiliser pour le bien de leur ménage et la tranquillité d'esprit de leur époux. Il y a aussi des choses importantes à savoir sur vous et sur les hommes. Allez. Dites moi donc. Ne soyez pas timide, nous sommes toutes passées par là. Je vous conseillerai. »

Cette nuit fut l'une des plus longues que Cécilie eut en mémoire pendant longtemps...

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Jindanor Numanor
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MessageSujet: Re: Sur le chemin de l'Autel   Sur le chemin de l'Autel I_icon_minitimeMer 14 Sep 2016 - 19:01




Hache à la main, vieille hache de son paternel, dernière relique de celui-ci, des Bärvelike, de son véritable nom, de ce qu'il était vraiment, Jindanor s'était élancé sur un coups de tête en direction des murs extérieurs, d'un petit bosquets qu'ils avaient alors croisés en venant... Hache en main, rage au coeur, et Anthoine qui le suivait, il marchait d'un pas rapide, prompte à réagir violemment, et sur un coups de tête.

-Jinda'...Non sérieux, j'sais pas si c'est une très bonne idée que de se lancer dans ce... "Projet"... Baragouinait-il en suivant le géant au poil redressé, des jours à marcher aux côtés de cette caravane, à sentir se rapprocher cette FOUTUE JOURNEE... Journée de merde ?! Tsah, c'était si peu dire qu'il n'y avait même pas pensé.. Pire journée de sa vie oui. Fin de son monde, destruction pure et simple de touts ses foutues espoirs, destruction à la moulinette de chaque bonnes pensées, destructions de chaque chaînes qu'il avait voulu immuables...

Ils passaient dans une rue des plus imposante, longue et vaste, peuplée sans pareil après le passage d'une à deux heures de cette caravane de nobles, il bousculait sans un regard en arrière, attrapait la première personne qui osait s'arrêter un instant devant lui pour l'envoyer valdingue dans la boue et la merde qui glissait dans le centre de la rue, dans ce caveau destiné à tout les déchets et matières fécales de cette région... Ha ça, il ne donnait pas envie de l'emmerder, du haut de sa stature et de son armure reluisante -si l'on oubliait les quelques marques de guerres qu'elle gardait encore- l'Ours n'eut pas réellement à se faire respecter ou autre, une haie fut rapidement créée pour le laisser passer à l'occasion...

Anthoine, lui, peinait cependant à le suivre, non pas parcequ'il se déplaçait trop vite, mais bien parcequ'il ressentait une peur insidieuse qui lui murmurait à l'oreille que d'emmerder Jindanor n'était pas vraiment la chose à faire aujourd'hui...  S'il avait quitté les bâtiments si précipitemment c'était suite a la quarantième expositions du Mariage de Sir de Montecale, et de la dame Cécilie de Laval, dents serrées et poings écrasés sur une chaise, il s'était retourné si violemment qu'il avait manqué d'envoyer celle-ci dans le visage de celui qui lui avait encore mis ça sous le nez, Grémin, avec son foutue pif de six pieds d'longs, avait été sauvé in-extremis par Georges, un de ces comparses au visage dur, à la barbe drue et le nez imposant, l'arcade sourcilière présente et le menton fier, un de ces gars qui en impose aisément, ce n'était pas de l'embonpoint qu'il portait mais bien une carrure fière et majestueuse... Il avait la gueule d'un de ces gars qui mèneraient des troupes en enfer et ce sans les forcer, il avait la tête du meneur, de l'homme que l'on respectait, et Jindanor était marqué par ce visage et cette allure, car elle était celle de son propre paternel, disparu depuis bien trop longtemps à son goût maintenant... Tout cela lui avait cependant permis de s'éclipser, de s'emparer de sa hache, qui traînait là depuis des mois, dans son tas d'affaires, alors qu'il portait toujours sa longue lame à la ceinture.

C'est le pas donc décidé qu'il passa les portes de la ville, toujours de ce pas décidé qu'il parvint au premier bosquet d'arbres qui trainait en bordures de routes, avec cette rage immense qu'il vint abattre sa hache toujours aussi tranchante dans le bois qui se trouvait devant lui, avec la hargne d'un animal qu'il se mit à hurler à chaque coups, avec la peur insidieuse qui le rongeait depuis des jours qu'il versa des larmes en continuant de hurler à chacun de ses coups vifs, frappant à s'en fatiguer outre-mesure, ses muscles se secouant à chacun des coups, l'arbre lui, voyant sa chair s'écharpper, se déchiqueter sous les coups multiples de cette hache magnifiquement entretenue, qu'il suinta alors de sa sève...

Il frappa à s'en faire saigner les mains à force de frottement, écrasa ses poings avec toute la violence possible dans ce qui restait de tronc, s'enfonçant des échardes d'un pouce dans la chair alors qu'il tombait lentement à genoux, sous le regard décontenancé d'Anthoine... L'arbre n'avait pas tenus plus de deux minutes, et pourtant c'était là l'un des plus magnifiques chêne qu'il n'avait encore jamais vu, large, épais, son hurlement s'était entendu sur des lieux alors qu'il s'écrasait lourdement de tout son long sur la plaine qui le juxtaposait... Fier qu'il était, imbattable qu'il se pensait, il venait de se faire mettre à mal par un homme seul, certes monstrueux et virulent, mais seul..

Anthoine observa l'homme qu'il avait devant lui, les battoirs qui lui servaient de mains tremblants alors comme milles feuilles au mistral. Le sang s'écoulant des cloques déchirées par petites lichées, et les quelques échardes qui avaient managée leur voir vers sa chair qui se trouvait bien mal dans ces mains... L'Ours observa celles-ci, en grognant, sous la douleur physique, et sous les larmes, et la douleur qu'il subissait intérieurement.

Finit les hommes fort, finit les apparences, il en avait marre, il n'en pouvait plus de tout contenir, de se retenir, c'est alors qu'il ne cessa de laisser couler ses larmes, tout en arrachant les deux trois échardes qui s'était dirigée dans ses mains, le coeur lourd de ressentis, et les yeux larmoyants, il resta là bien une heure, sous le regard effaré d'Anthoine. La hache restée quant à elle, fichée dans la souche de cet arbre imposant, le manche s'étant brisé sous la violence des coups.


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