-Arc et flèches -Couteau -Une corde et plusieurs cordelettes -De quoi écrire et dessiner -Remède fait de plantes -Fil et aiguilles -Briquet à amadou -Gourde d’eau ou de vin, Lestis -Uniforme de l’Armée Royale (broche, cape brune, ceinture, coutelas)
Apparence :
Sandriël est plutôt petit pour un elfe. Ses cheveux sont bruns foncés, presque noirs; il les portes longs jusqu'à la taille pour le moment. Ils sont la plupart du temps noués en queue de cheval, ou parfois, en chignon, ou encore, tressés. Sa peau est plutôt bronzée; ses yeux sont d'une couleur ocre jaune, bordés de longs cils noirs. Ses sourcils sont bien dessinés, lui donnant un air décidé et farouche. Son corps est celui d'un guerrier, fin et musclé. Pour les vêtements, il porte un manteau à capuche lorsqu'il fait froid, de couleur bleu foncé. Il porte des chemises, de couleur simples (vertes, bleu, écru) et des pantalons brun ou noir, et des bottes en cuir toutes simples aussi.
Taille : 1,80 mètres environs
Couleur des yeux : Ocre jaune.
Personnalité :
C'est un elfe assez timide qui ne s’exprime pas beaucoup. C’est comme si sa vraie personnalité était inaccessible, même pour lui-même. C’est pourquoi il se dit qu’il devrait éviter de parler, afin de ne pas risquer de dire n’importe quoi. Pourtant, peut-être que c’est en parlant et grâce aux mots qu’il pourrait se retrouver, comme pour lui les autres sont très importants. Autrefois quand il était plus équilibré, il pouvait passer de longues périodes sans parler, à dessiner le plus souvent. C’était peut-être sa vraie voie d’expression. Parfois, malgré lui, il parle désespérément, peut-être pour ne rien dire, parce qu’il se sent perdu. A d’autres moments, c’est comme s’il ne pouvait pas prononcer un mot. Si un jour il se remet vraiment à dessiner, on pourra penser alors qu’il est redevenu lui-même.
Il a perdu certaines personnes qu’il aimait, dont sa femme, et il a aussi cessé de croire en lui, en le fait qu’il pouvait aider et sauver les autres. Cela l’a conduit à devenir en partie fou. Il retrouve peu à peu la raison, grâce aux soins faits de plantes puissantes, et grâce à autrui. Malgré ça intérieurement il n’est pas très stable, il reste fragile après ce qu’il a vécu. Sa relation à ses souvenirs est difficile. Par moments il s’immerge dans ses souvenirs heureux ; il fuit ses mauvais souvenirs, qui le rattrapent contre sa volonté. Il y a des barrages dans son esprit, des limites imposées pour garder ou retrouver la raison. Malgré ça, il demeure obligé de se soigner, les blessures intérieures et son esprit ne sont pas guéris.
Donc il est assez tourmenté. L’amour pour autrui et pour sa famille tiens une place importante dans sa personnalité. Y compris l’amour aux être disparus. Il portait autrefois un grand amour à la nature, et tente de renouer avec. Il aime les femmes en général, surtout lorsqu’il voit en elles la pureté et la grâce qui lui rappelle celle qu’il aime plus que tout, son épouse, Mari Elerrína. Même s’il est séparé de celle-ci, parce qu’elle est dans un monde et lui dans l'autre, il continue de lui appartenir pour toujours.
Pour lui l’intuition, l’invisible sont des notions importantes. Sandriël est assez intuitif, il voit dans la nature et partout autour de lui des signes qui lui indiquent ce qu’il doit faire. Il suit son intuition avant tout. Il a ses propres idées sur la moralité, et il s’efforce d’être une personne la plus morale possible, même si parfois c’est une épreuve de rester en accord avec sa conscience.
Capacités magiques : - Symphonie des Arbres
Histoire
Comme si je retrouvais des parties de moi-même perdues. Des plumes éparpillées dans le vent.
:
Mon ancien monde… C’est ce que j’ai l’impression de découvrir aujourd’hui, tandis que je marche dans ces rues et que je croise tous ces visages pourtant totalement inconnus. Est-ce qu’il n’est pas ancien, est-ce qu’il n’est pas le mien ? Mais je me sens si loin de tout.
«Nous appartenons au même monde.»
Un monde qui était le nôtre, un royaume dont elle était la Reine ; j’étais son protecteur.
«Si tu es si fort, pourquoi n’as-tu pas pu empêcher que tout ça arrive ?»
Je vois devant mes yeux ces êtres que je n’ai pas pu sauver.
Il neigeait. Tout se mélangeait dans son esprit alors qu’il avançait lentement sous ces flocons glacés. Le monde semblait privé de couleurs, alors que le ciel était blanc ; les bâtiments commençaient à être recouverts et disparaissaient à moitié. Des passants dans la rue se croisaient aussi vivement que tourbillonnaient les flocons, chacun allait dans son sens, pressé et vaquant à ses occupations. Leurs pas légers sur le pavé résonnaient fort et se mêlaient dans ce souffle de neige. Comme son souffle à lui qui se transformait en nuages. La neige étincelante et ses cristaux se déposaient sur lui. Ils fondaient au début sur sa peau, qui rougissait ; il ressentait la morsure ou la brûlure du froid. A présent les grands flocons se déposaient sur son pull de laine vert sapin, le nappant de neige, tout comme son manteau gris était troué et presque en lambeaux ; il avait les mains trop froides pour ressentir encore la différence de température.
La beauté de la neige aurait dû mettre de la joie dans son cœur. Mais il lui semblait que tous les êtres qu’il croisait étaient vêtus de couleurs ternes, tout comme les bâtiments, et qu’il n’y avait aucune couleur nulle part. Cependant, les arbres de forêt natale étaient visibles à présent ; leur vert si vif tranchait avec l’immaculé de la neige. C’était ce vert si vivant ce qu’il avait voulu voir. Je me souviens du temps où j'étais si proche d’Anaëh. La quitter pour une journée me faisait mal. Il se souvenait aussi de la ville, encore clairement peinte dans son esprit, avec ses bâtiments et ses pavés, son immense tas de terre, car les hommes creusaient pour construire quelque chose. Pour lui c’était de la folie, toutes ces constructions qui rendaient à chaque fois la nature moins présente dans les villes. Il avait vu cette terre et pensé aux lieux que les hommes avaient encore oubliés. Mais chaque pas l’éloignait de ces lieux invivables et le rapprochait du coeur d'Anaëh. A mesure qu’il s’éloignait de l’orée de la forêt, il s’éloignait et quittait un monde pour entrer dans un autre. Et il se demandait comment il avait pu quitter le secret de ce monde qui était le sien.
Sandriël a passé la majorité de son enfance à escalader dans les arbres et à courir ; c’était un enfant elfe très énergique qui aimait beaucoup bouger, même s’il avait aussi ses moments où il était très calme et restait simplement à contempler la nature. De manière générale, Sandriël était un enfant ingénieux, qui apprenait vite et devenait doué dans tout qu’il décidait d’apprendre. Il était attiré par la musique au départ, il essaya la sculpture, mais ce à quoi il s’attacha réellement, c’était le dessin, car sa mère peignait et cela lui plaisait. Son père avait un caractère très difficile et se comportait parfois très mal envers sa mère, et de plus, il était l’aîné de deux sœurs ; cela développa un côté très protecteur en lui : il se sentait le devoir de protéger les femmes de sa famille.
Lorsqu’il eût atteint sa majorité, 120 ans, il vécut la cérémonie du choix avec le prêtre de Kyriä, dans laquelle il choisit le nom de sa grand-mère, Kerenza. Il décida, principalement parce qu’il aimait la forêt et souhaitait de tout son être la protéger, d’entrer dans l’armée. Il devint donc soldat dans son protectorat d’origine, Ardamir. Après avoir fait les années obligatoires à l’académie d’Ostirion, il partit pour Aleandir, dans le but d’en apprendre davantage ou d’avoir un enseignement différent. Bien que très attaché à la terre de son enfance, Sandriël avait un côté aventureux ; il n’avait pas peur des voyages. Cette fois-là il ne partait pas extrêmement loin. Son père et sa mère s’étaient éloignés l’un de l’autre, Sandriël les savait en sécurité, et ils resteraient en contact grâce aux messagers ailés. Il pouvait donc partir sans se faire de souci. Il suivit la Voie Blanche pour se rendre à Aelendir. Lorsqu’il parvint enfin à l’académie militaire et la découvrit, il pensa qu’il avait eu raison de faire ce choix.
Au début lorsqu’il vit des elfes manier la lance, il ressentait beaucoup d’intérêt, de fascination et il ressentait une grande volonté d’essayer, de pratiquer cet art guerrier. Il était comme un papillon attiré par une lumière. Aussitôt qu’il a tenu une lance pour la première fois dans ses mains, il a senti qu’il était fait pour cette arme. C’était facile pour lui de la manier, la lance semblait tellement légère dans ses mains, et c’était comme s’il pouvait en faire tout ce qu’il voulait. Même s’il n’a pas été le meilleur dès cet instant, il a rapidement rattrapé les autres. Il ressentait d’instinct comment manier cette arme, son poids, son équilibre, son harmonie. Il ne désirait pas tuer d’autres êtres vivants, mais il voulait être prêt à défendre sa famille, son peuple, et aussi son « royaume », Anaëh. Après un certain temps, le trouvant doué, le capitaine des Aigles demanda à Sandriël de rejoindre ce corps d’élite de l’armée. L’orgueil de Sandriël lui fit penser que ce n’était pas aussi étonnant que cela.
Il entra donc dans les Aigles, et il rencontra Mari Elerrína, une jeune femme elfe, qui un peu plus tard devint son épouse. Au départ Sandriël ressentait seulement beaucoup de respect pour elle. Mais il se rendit compte avec le temps qu’elle était la seule qu’il pouvait aimer, à qui il pourrait vouer son cœur, son corps et son âme. Elle était telle une image de Kyriä vivante, elle semblait un être divin et céleste. Il ressentait le désir de lui appartenir et de la protéger. Pourtant, Sandriël ne comprendrait jamais pourquoi Mari Elerrína l’avait choisi lui et pas un autre homme. Mais sentant qu’il lui serait toujours dévoué et qu’aucune autre femme ne pouvait ravir son cœur, il la demanda en mariage. Avant de rencontrer son épouse, la déesse Kyriä était la seule femme qui régnait dans son cœur. Mais quand il rencontra Mari Elerrína, elle prit cette place. A travers cet amour idéaliste de Kyriä, c’était en fait probablement elle qu’il avait aimé, un être de chair et de sang. Ils se marièrent donc, et même à présent, jamais il n’en aimera une autre qu’elle.
Pourtant, il y avait d’autres femmes qu’il adorait. Ses sœurs, Estelen et Elvaë, sa mère Erya bien que leurs relations soient tendues, et enfin Halya, son amie. Celle qu’il aimait le plus après Mari Elerrína. Il était proche d’Halya autant que de ses sœurs. S’il n’était pas amoureux de Mari Elerrína, il aurait pu tomber amoureux d’Halya, mais il aimait cette dernière avec tendresse et fraternellement.
Mais peu de temps après le mariage de Sandriël et Mari Elerrína, le fort d’Ellyrion fut attaqué. Ils furent appelés à combattre là-bas, avec les autres Aigles, qui étaient devenus des amis pour eux. Sandriël se battit bravement, mais il ne put empêcher la mort de certains de ses amis, et celle de sa femme. Voyant qu’il n’était pas le protecteur qu’il aurait dû être, puisqu’il avait échoué à sauver ceux qu’il aimait, il brisa sa lance en renonçant à être ce guerrier protecteur qu’il avait voulu être. Sans le soutien de son peuple et celui d’Halya, il aurait certainement perdu définitivement toute envie de vivre. Ce fut également très difficile pour la mère de Sandriël, qui avait accepté Mari Elerrína comme si elle était sa fille. Sandriël se sentait fautif de ce qui était arrivé. La mort de Mari Elerrína, la défaite de Sandriël en quelque sorte, avait aussi brisé quelque chose entre sa mère et lui. Juste que là très proches, leurs relations semblèrent ne plus jamais vouloir être les mêmes. Sandriël n’arrivait plus à peindre désormais, un autre domaine pourtant dans lequel il avait été très doué, et un art qu’il aimait énormément. Cela l’avait également toujours rapproché de sa mère, et une fois ce lien presque brisé, seul lui restait l’amour de ses sœurs et celui de quelques amis, dont Halya.
Très peu de temps après avoir perdu sa femme, Sandriël comprit qu’il ne pouvait plus demeurer en Anaëh, il y avait trop de douleur en lui et dans sa famille, et il devenait fou. Peut-être que la seule chose qui pouvait le sauver était de s’éloigner. Il partit donc d’Anaëh, dans la confusion et la souffrance. Même sa petite sœur Estelen n’avait pas pu le retenir. Malgré qu’il ait pris une décision, en brisant sa lance, un abîme de noirceur s’était ouvert dans son être. En quittant Anaëh, il semblait qu’il avait aussi quitté sa raison. Il errait dans la folie et dans ses souvenirs, perdant le contact avec la réalité. De plus, dans le même temps, le Voile s’était abattu sur le monde et la nuit ne prenait pas fin. Complètement incertain, il se demandait si c’était son imagination ou la réalité. Le monde semblait n’avoir plus de sens, la réalité était devenue fragile et instable. Sans qu’il s’en rende compte, plus Sandriël s’éloignait d’Anaëh et plus son état s’aggravait.
Malgré qu’il ait quitté sa forêt natale, son peuple continuait de veiller sur lui. Il croisa la route d’un elfe âgé, qui le prit sous sa protection et le soigna. Sandriël ne le savait pas, mais cet elfe était en fait en contact avec sa mère, et le remède de plantes qu’il lui donnait avait été décidé par cette dernière, et par d’autres guérisseurs, pour l’aider à retrouver son esprit, et sa raison.
Après plusieurs années d’errance, de maladie et de soins, Sandriël redevint davantage lucide. Il pensait, jour après jour, à retourner auprès des siens. Il avait été très gravement malade, et ne serait plus jamais semblable à celui qu’il avait été. Pourtant avec le temps, sa décision devenait une certitude, il devait retourner auprès de son peuple. Il se sentait assez fort pour entreprendre ce voyage, ou peut-être qu’il n’accordait plus une si grande importance à sa vie. La longue nuit qui s’était auparavant abattue sur le monde s’était achevée et la clarté du matin existait de nouveau. Il quitta donc les terres humaines, l’elfe qui avait pris soin de lui, et revint en Anaëh et en Ardamir. Les saisons passaient, et Sandriël arriva toujours un peu affaibli chez lui. Son état fit peur à sa famille, qui vit pourtant qu’il avait été préservé par le remède de plantes. Son esprit errait toujours ailleurs, dans des souvenirs ou des visions, mais plus le temps passait, plus il revenait à la réalité. Il ne parvenait pas à se remettre dans la peinture, mais il avait à nouveau envie d’essayer, et il semblait qu’il pouvait commencer à rassembler doucement les fragments de sa vie brisée. Revenu depuis quelques années en Anaëh, il restait beaucoup confiné chez lui au début. Sa sœur Estelen était comme un baume sur les blessures de son âme, et elle aidait son frère à réparer ses relations avec leur mère. Sandriël reprenait un peu goût à la vie, il menait une vie assez solitaire, n’ayant toujours pas guéri de ses souffrances. Il ne sera plus jamais le combattant qu’il a été, mais le temps le guérira peut-être ; c’est l’espoir qu’ont ceux qui l’aiment.
HRP:
Dernière édition par Sandriël Kerenza le Lun 2 Avr 2018 - 16:26, édité 58 fois
Yenaël
Ancien
Nombre de messages : 222 Âge : 29 Date d'inscription : 17/05/2016
J'ai un peu de mal, merci pour cette prévenante attention.
Faut que je réfléchisse à tout ça, que je m'y plonge, mais je n'ai pas trop la tête à mon personnage ces jours-cis. D'ici quelques temps ça sera mieux possible de m'y consacrer.
Merci de tout cœur en tout cas ! ^^
Yenaël
Ancien
Nombre de messages : 222 Âge : 29 Date d'inscription : 17/05/2016
Je vais essayer de reprendre la fiche. Je me sens assez inspiré, par contre je ne suis pas très sûr de moi, j'espère qu'on voudra bien m'accepter et me guider... Avec amour, comme on l'avait fait jusqu'à présent ! ^.^
D'ailleurs, j'aimerais savoir si l'avatar que je pense choisir convient à celle qui avait créer le personnage prédéfini au départ ? Car c'est son personnage, alors je ne peux choisir cet avatar s'il ne lui convient pas un minimum, j'aimerais mieux qu'elle l'aime bien. :)
Je pense avoir fini ma fiche, je sais que le texte est court et que il ne dit pas tout; au départ je voulais établir une chronologie, je pense que je le ferais plus tard, quand je connaîtrait mieux le personnage. Même si je pense l'avoir bien apprivoisé, je n'ai pas toutes les dates. X)
Je suis prêt à améliorer s'il le faut, mais aussi à abandonner, si ce que j'ai fait ne plait pas à Halyalindë, parce que je respecte sa création. Et bien sûr, ce n'est qu'une simple interprétation de Sandriël que j'ai faite.
Merci à celui/celle qui modérera ma fiche :)
Halyalindë
Ancien
Nombre de messages : 1722 Âge : 97 Date d'inscription : 17/12/2014
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 480ans (né en 531) Taille : 1m96 Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Re: Sandriël Dim 25 Mar 2018 - 12:58
Hello,
comme je suis indiquée comme marraine, les autres staffeux m'ont permis de te faire un premier retour.
Déjà un tout petit détail :
Citation :
Même s’il est séparé d’elle, parce qu’elle est aux cieux et lui sur la terre, il continue de lui appartenir pour toujours.
C'est un détail mais le royaume des morts, gouverné par Tari, se trouve sous la terre dans les croyances elfes.
Après pour le gros de la fiche, la qualité de l'écriture est vraiment bonne et j'ai hate de te lire en RP, mais la partie Histoire de ta fiche n'en est pas une. On ne sais rien sur le personnage. Ni d'ou il vient, ni ou il vit, ni pourquoi il a (visiblement) quitté plusieurs fois l'Anaëh. De plus, sa personnalité ne colle pas dutout avec un Capitaine de l'armée royale, nous te conseillons donc de choisir un autre métier (ou aucun métier, de rester un vétéran de guerre et de voir comment ça se goupille IRP)
Le but d'une fiche est de vérifier que tu as compris les bases de l'univers et que ton personnage rentre bien dans ce cadre, il faut donc donner quand même les grandes lignes.
Pour conserver sa personnalité, nous te conseillons donc de faire une fiche simple qui te permettra des ajustements IRP et qui nous permettra de vérifier que tu as compris et assimilé un minimum le BG de Mira. Tu peux résumer les points importants de sa vie en quelques lignes d'explication, même si c'est pas narrativement jolie.
Par exemple : -Entré dans l'armée de son Protectorat d'origine à 120 ans (749:X) -Rencontre de sa femme -Les évènements difficiles qui lui ont fait perdre sa famille et la famille qu'il lui reste -Sa décision d'arrêter de se battre (précisé son arme de prédilection) -Son départ d'Anaëh -Son retour en Anaëh -Sa situation actuelle
Un petit mot sur le Voile et ce sera bon, pas besoin de le faire beaucoup plus étoffé.
Pour l'arme de prédilection, je te conseille l'épée et pour le métier actuel, de laisser ouvert et de ne rien spécifier d'autre que "vétéran de guerre" dans ta fiche, comme ça tu pourras le faire évoluer comme tu l'entends IRP.
D'accord, je vais essayer de faire ça au plus tôt, et je vais modifier comme tu me l'as conseillé. Merci. Comme arme de prédilection j'aime vraiment la lance, ou bien un bâton de combat, ou encore, un arc et des flèches, je ne sais pas si je suis très doué avec une épée.
Moi aussi, j'ai hâte de te lire (même si c'est pas pareil) ça me plairait si on rp ensemble.
Bon, et bien cette fois je pense avoir fini ma fiche, sauf s'il y a des choses à changer, corriger, améliorer.
C'est sans doute parce que c'est le soir, mais j'ai pas vraiment le moral à ce sujet. J'arrive pas à dire ça en étant vraiment content, j'ai fait ce qu'on m'avait dit de faire, je trouve pas ça super pour autant, mais peut-être que j'ai juste pas le moral.
Enfin bon, je serais content si quelqu'un viens me dire quelque chose à ce sujet (de préférence des mots positifs qui aident haha).
Voilà voilà :)
Lœthwil
Ancien
Nombre de messages : 761 Âge : 27 Date d'inscription : 20/10/2015
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 966 ans Taille : 2m08 Niveau Magique : Archimage.
Sujet: Re: Sandriël Jeu 5 Avr 2018 - 13:16
Et voilà enfin ton ticket d'entrée officiel pour l'Anaëh ! Bienvenue chez les elfes o7
Code:
[Métier] : Vétéran de guerre
[Sexe] : Masculin
[Classe d'arme] : Corps-à-corps / À Distance
[Alignement] : Chaotique Bon
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.