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 Liliane Fausse-Patte

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Personnage
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MessageSujet: Liliane Fausse-Patte   Liliane Fausse-Patte I_icon_minitimeLun 29 Jan 2018 - 22:15

Identité
Nom/Prénom : Liliane Fausse-Patte
Âge/Date de naissance : 25 ans / 984e année du X cycle
Sexe : Femelle
Race : Humaine
Faction : Péninsule
Alignement : Chaotique Neutre
Liens notables : Connue de beaucoup de nobles de la Baronnie pour ses talents en tant que dame de compagnie, espionne, indique, saltimbanque, transformiste, receleuse, et autres bassesses desquelles elle peut s’acquitter avec élégance grâce à son bagou.

Particularités :
— La peau de son dos, si tant est qu'on ait la chance de pouvoir la contempler, est un véritable canevas, témoin des heures entières que Liliane passa chez un tatoueur réputé de l'île de Meca, qui dessina de son aiguille imbibée d'encre, l'image que lui inspirait le doux rêve idéalisé de la piraterie, bien qu'il ne put jamais devenir pirate lui-même, à cause d'un asthme très prononcé et d'un mal de mer incurable. La rumeur dit que l'on peut passer des heures à le contempler tant il est complexe tant dans sa précision que dans sa structure évocatrice. Des sirènes s'entrelaçant lascivement, des tonneaux de rhum débordants, des sabres émoussés, des crânes, des bijoux et des pièces d'or, de fabuleux vaisseaux, des vagues déferlantes et de féroces gaillards tenant entre leurs bras musclés par les batailles, des filles de mauvaise vie qui sourient pour mieux les pousser à leur payer davantage de boissons, et toutes ces choses là... La rumeur dit également que contempler le dos nu de Liliane coûte un argent que l'on ne regrette pas. Cependant, lorsque l'on sait qui est la plus vile lanceuse de rumeurs de Sybrondil...
— Elle possède également un accent typique, hérité du langage et de la manière de parler des pirates, assez reconnaissable, qu'elle atténue ou amplifie au besoin.
— Il est également quasiment impossible, dû à son attitude, sa carrure et son style vestimentaire, de dire avec certitude s'il s'agit d'une femme très rustre ou d'un jeune-homme androgyne, ce dont elle joue évidemment très souvent à renfort de déguisements.
— Dernier détails, mais pas des moindres, elle est gauchère. Ce qui lui a valu le nom de famille improvisé qu'elle se trimbale fièrement comme un titre de noblesse.
 


Métier : Saltimbanque et "dame à tout faire"
Classe d'arme : À distance


Possessions & Equipements :
Outre ses vêtements, qu'elle assortit comme ça lui chante selon ses besoins en terme de travestissement ou d'infiltration à une soirée de noble, Liliane ne possède qu'un seul objet qui soit véritablement de valeur.
En effet, sa possession la plus précieuse lui fut offerte par une noble dame au service de laquelle elle se met souvent et qui est fort contente de ses services. Il s'agit là de la seule arme véritable qu'elle possède, en dehors d'un couteau dont elle se sers surtout pour trancher le pain et le fromage.
Il s'agit d'une petite arbalète sobrement nommée " Le Frelon". Mais que d'ingéniosité dans un objet rectangulaire de la taille et de la forme d'une boite ouvragée, telle une boite à bijoux ou un reliquaire.
En effet, la hanse d'une drôle de forme présente sur le dessus de la boite et en fait la poignée de l'ingénieux ustensile qui, grâce à un loquet activé par le pouce, se tire de sa boite et se déplie en une petite arbalète. Mais ça n'est pas tout. L'ingéniosité exotique de l'objet va jusqu'à lui faire automatiquement armer un petit carreau lorsqu'elle est dégainée, la munition étant stockée dans la curieuse boite au nombre de six maximum. Le tout s'actionnant par de formidables et intelligents jeux de languettes métalliques et autres merveilles de serrurerie. Le mystérieux créateur de l'objet ayant même pensé la félonie de son oeuvre jusqu'à la dotée d'un minuscule trou dans lequel l'on peut déverser le poison de son choix qui viendra baigner la pointe des petits carreaux qu'elle stock.
Cependant, le tire est unique une fois l'arme dégainée, et il faut la ranger de nouveau pour que le mécanisme se charge de la ré-armer. De plus, le modèle de carreau utilisé ne dispose par de plumes stabilisant son vol, donc la chose n'est jamais efficace au-delà d'une petite dizaine de mètres. Sans parler de la relative fragilité de la chose, dont les précieux mécanismes supporteraient mal un coup directe.
Mais cela n'empêche pas Liliane de porter cet élégant et intriguant objet dans le bas de son dos. Et bien que le sangler le long de sa cuisse puisse sembler plus rapide à dégainer, elle s'est rapidement rendue compte qu'elle l'utilisait souvent lorsqu'elle avait déjà les deux mains dans le dos, et un large sourire au visage. Tandis que sa victime lui tournait préférablement le dos.
C'est ainsi que Le Frelon agit, petit, discret et inoffensif, piquant là ou on ne le voit pas de son dard fulgurant.

Apparence :
Liliane est une fière gaillarde à la peau tannée par son passée de pirate et au corps sculpté par l'effort physique éprouvant mêlé à la malnutrition. Ce qui se traduit par une musculature sèche, qui se cisèle par-dessous sa peau comme autant de muscles noueux de travailleuse. Cependant, depuis qu'elle s'arrange pour fréquenter la noblesse, elle dispose de la douceur et de la pureté de peau que l'on attribut à ceux qui ont les moyens de se laver régulièrement et de s'appliquer quelques produits de beauté. Et lorsqu'elle se fait dame de compagnie le temps d'une soirée, afin que l'un(e) ou l'autre noble puisse se montrer en son exotique compagnie et se vanter d'avoir une telle amie, il lui arrive presque systématiquement d'être apprêtée pour l'occasion par quelques servantes chargées de la mettre en beauté. Et bien qu'habituellement vêtue de ses oripeaux mêlant tissu de mauvaise qualité et cuir délavé par les embruns, Liliane se déguise parfois, lorsque cela lui permet d'arriver à ses fins.
En outre, elle porte toujours ses cheveux sombres assez courts, quelque part entre le gentil garçon et la mauvaise fille, que son sourire souvent malicieux souligne avec une inquiétante élégance.  

  • Taille : 1M75
  • Couleur des yeux : Marrons clairs, tirant sur le rouge.


Personnalité :
Liliane est une sacrée gaillarde, cela se voit dés le moment où elle se met à parler franchement et sans ambages. Elle possède le culot et le détachement d'un véritable pirate, et dispose de très nombreux talents qui font d'elle la parfaite femme à tout faire qu'elle est rapidement devenue. Sa fierté, elle est capable de la tirée même des situation les plus humiliantes, par une cabriole, un trait d'esprit, un mot d'humour. Pour ne jamais être prise au dépourvu, elle n'est jamais sérieuse, et pour ne jamais être heurtée dans ses convictions, elle ne les partagent jamais. L'ancienne pirate porte ainsi de nombreux masques qui l'amusent ou lui sont utiles, et ne laisse ainsi jamais son visage être abîmé.
Contrairement à bien des demoiselles, elle sait être franche et directe, appeler les choses par leurs noms et proférer les pires jurons, chanter les chansons les plus grivoises et tenir les alcool les plus forts.
Et, contrairement à bien des catins du port, elle sait être classe, discrète et mystérieuse, tantôt complice tantôt délicate, avec cet air de malice qui éveil en chacun, homme ou femme, le désire de percer le secret qu'elle donne l'air de cacher, comme le désire fou de vouloir sortir une belle lame de son fourreau afin de pouvoir l'admirer.
Elle sait définitivement tout faire, si l'on écoute les rumeurs, celles-là mêmes qu'elle lance à travers les docks de Sybrondil. Actrice de théâtre, dame de compagnie, danseuse, saltimbanque, jongleuse, escrimeuse, meilleure amie ou amante, maîtresse fougueuse ou servante dévouée, espionne, racoleuse et spécialiste en toutes roublardise, qu'elle soit mondaine ou sordide... Et sans doute qu'elle ne se fait pas de publicité mensongère, mais tous ces talents, si l'on cesse d'exagérer, n'en sont en réalité qu'un seul, car la demoiselle est simplement rusée.  

Capacités magiques :
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Histoire
L'histoire de Liliane commence tragiquement sur l'île de Meca, fille d'une prostituée qui avait pour habitude de séduire les hommes de tous âges, de tous métiers et de toutes races ; elle n'a donc jamais su le nom où la nationalité de son père. Et comment lui en vouloir ? Quiconque venait sur cette île avait forcément comme projet d'en repartir une fois ses affaires terminées. Seuls les pirates, des anciens prisonniers, rebus de la société, malade mentaux, amputés ou anciens soldat déserteurs, peuplaient vraiment ces lieux sordides et froid, fouetté par les embruns glacés tout au long de l'année.
Deux destins attendaient donc la jeune fille qui traînait déjà depuis toute petite le long des docks moisis de l'île : devenir prostituée à son tour, ou partir en mer pour devenir pirate, jusqu'à ce qu'elle meurt de l'une des nombreuses cause de mortalités du métier. Parmi lesquelles blessures et maladies n'étaient sans doute même pas les pires.
Cependant, Liliane grandit sous l’œil certes indifférent de sa mère, mais sous celui, plutôt bienveillant, de quelques pirates de renoms qui l'asseyaient sur le comptoir des bistrots mal famé dés son plus jeune âge, s'entichant d'elle tant ils la trouvaient mignonne et hardie. Elle entendit donc très tôt les histoires des pirates, contempla très tôt leurs habitudes, leurs coutumes et leur langage. Elle s'habitua rapidement au brassage culturel qu'ils emportaient avec eux et, discrète et silencieuse, retenait absolument tout ce qui se passait autour d'elle, étant en plein âge où l'esprit s'éveil et cherche à s'abreuver des choses de la vie.
Déjà toute petite, elle était choisie comme main innocente pour distribuer les cartes. Elle surveillait le verre ou l'assiette de ceux devant s'absenter de leur siège, gardait le compte du nombre de chopes descendues, chantait et dansait à la demande, transmettait les messages et arbitrait les jeux.

Et c'est à à peu près à ce moment qu'une parenthèse s'ouvrit sur sa vie... Une parenthèse gigantesque et menaçante, qui, en réalité, semblait s'être ouverte sur l'intégralité de ce monde. La terrible période dont on se souvient aujourd'hui avec horreur, sous le nom du "Voile".
Liliane n'avait cependant pas une conscience très élevée du monde qui l'entourait, ce dernier se limitant à son île, voir même tout simplement les docks du port de son enfance, le tout étant cerné par des flots qu'elle jugeait infinis. Tout ce qu'elle savait d'un hypothétique monde extérieur, elle l'avait appris de la bouche des marins et autres pirates. Alors, à l'époque, toute adolescente révoltée qu'elle était, elle n'avait pas compris la porté de ce désastre. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'il faisait nuit, tout le temps, et ça la rendait dépressive, ça lui faisait peur. Ça n'était pas le genre de nuit à la faveur de laquelle on peut plus facilement truander ou aller faire la fête, non. Il s'agissait d'une nuit surnaturelle qui évoquait quelque chose de malsain. Et pendant cette longue, trop longue période, Liliane se souvient surtout de deux choses : premièrement, tout manquait.
Les navires de naviguaient plus, et Meca étant une île, elle était dépendante de son trafic maritime. Il fallait donc se contenter de ce qui poussait sur l'île et qui était trop cher, et de ce que l'on pouvait pêcher prêt des cotes.
D'ailleurs, c'est à cette période que la toute jeune demoiselle avait commencé à véritablement prié, même des dieux qu'elle n'avait jamais remercié auparavant. Elle avait serré des centaines de fois sa petite médaille de bronze représentant une version d'Arcam très efféminé. Petit objet qu'elle avait volé sur le cadavre d'une prostituée, mais sur le coup, elle s'était dit qu'Arcam validerait certainement ce geste. Et puis à quel autre divinité pouvait-elle se fier ?
La question ne se posait pas alors. Si Othar était tellement en colère qu'il en avait décidé de confisquer le soleil, il fallait prier pour le supplier de s'apaiser. Il fallait également prier Néera pour la supplier d'éventuellement ramener le soleil, puisque dans l'esprit de Liliane, la créatrice du monde pouvait recréer un soleil manquant. Les autels improvisés étaient fleurissant pendant cette période, et même la jeune adolescente de quinze ans priait avec la même ferveur que les vieux pirate cinquantenaires, coincés ici, qui priaient des dieux qu'elle ne connaissait même pas.
Une des nombreuses théories qui tournaient sur l'île au sujet du Voile, était que s'il durait aussi longtemps, c'était à cause des gens qui priaient pour des dieux ne s'entendant pas entre eux, et que ça ne faisait rien pour apaiser leur colère. Liliane a longtemps cru à cette théorie. Mais elle avait également la sienne propre. Elle était tellement terrifiée par la proportion de la catastrophe, qu'elle se disait parfois que les Dieux eux-même avaient peur, et éprouvaient des difficultés à ramener le soleil.


Mais bientôt, même si elle était désormais marquée au fer rouge par ces événements, tout comme l'intégralité des êtres encore vivants à ce moment là, la vie de Liliane reprit son cours presque normale.
L'activité était même plutôt florissante. Les plus faibles étaient morts, réduisant la trop importante population de l'île, et la circulation sur les voies maritimes avait reprise de plus belle.
En tous cas, assez rapidement après tout ceci, Liliane commença à truquer les distributions de cartes contre rémunération, racontait les ragots et les secrets de chacun contre quelques pièces, gagnait ses premiers duels du plus gros buveur, et faisait bien plus que chanter et danser si on lui faisait une offre particulièrement généreuse.
C'est ainsi qu'elle parvint jusqu'à l'âge adulte et s'embarqua sur un vaisseau pirate, n'y tenant plus d'entendre de merveilleux récit sans jamais pouvoir les vivre par elle-même.
Cependant, pour ce faire, elle dû se faire passer pour un homme, car l'équipage qu’elle souhaitait intégrer refusait catégoriquement d'embarquer des femmes qui, selon eux, sèmeraient la discorde en plus de ne pas être à la hauteur. C'est depuis ce jour qu'elle garde ses cheveux courts et, dit-on pour plaisanter ou non, c'est à cause de faire semblant d'être un homme que sa poitrine n'eut pas prit le même développement que celle de sa mère. Cette dernière qui mourut seule, dans l'anonymat, suite à une étrange maladie vénérienne que personne n'avait jamais vu auparavant ; le tout tandis que sa fille qu'elle n'avait pas vu depuis des jours, était partie en mer pour son dernier voyage entant que pirate.
Et, en effet, comme le sort est parfois étrange et que l'humour des dieux est parfois douteux, ce fut ce jour là, très précisément, que son vaisseau fut arrêté par les forces de la marine. Tout un équipage de corsaires au service d'une noble qui s'ennuyait et qui voulait se faire bien voir, soit des victimes de la piraterie, soit de ses amis nobles sois-disant bien-pensant. Ce jour-là, Liliane ne l'oublierait jamais, car il fut pour elle l'un des plus frustrant mais des plus rétrospectivement joyeux de son existence.
En effet, la féminité qu'elle s'était évertuée à cacher pendant si longtemps l'avait finalement sauvée. Les membres encore vivant de son équipage avaient tous été exécutés froidement sous les yeux d'une noble au sourire satisfait, dans l'ordre de leur rangs. Le capitaine ayant donc été décapité en premier.
Et comme Liliane était au plus bas de l'échelle, elle fut exécutée en dernier... Cependant, la noble dame qui avait commandé cette expédition punitive en trouvant vraisemblablement l'idée distrayante, avait retenu le bras de son corsaire d'un geste de la main.
Comment avait-elle eut l’intuition ? Quel dieu lui avait donc soufflé la réponse ce jour là ? Le mystère était longtemps resté entier. Cependant, elle s'enticha à son tour de la jeune pirate et s'occupa de la ramener à Sybrondil entant que "femme libre", du moment que cette dernière acceptait de payer le prix de sa liberté... Elle tira donc profit d'elle avec beaucoup de joie, la soumettant à tous ses caprices et l'envoyant exécuter de sales besognes lorsqu'elle s'en trouvait le besoin.
Puis un jour, peut-être lassée ou peut-être frappée d'un soudain accès de bonté, la noble dame déclara que Liliane ne lui devait plus rien, et lui offrit "Le Frelon" comme cadeau d'adieu, avec la confession suivante :
"Si, en vérité, j'ai su que tu étais une demoiselle ce jour là, c'est qu'il existe entre nous autres les femmes certaines choses que nous partageons malgré nous. Et je me rendais bien vite compte que le sang qui s'accumulait à tes pieds n'était pas seulement celui de tes amis. Et comme en ce jour, je partageais la même incommodité, je t'ai prise en pitié."
À propos de son cadeau d'adieu, Liliane ne comprit pas tout de suite. Ce bidule semblait être d'un fonctionnement trop complexe pour être plus efficace qu'un couteau dans le dos, cependant, son questionnement trouva rapidement une réponse. Il s’avérait en fait que le noble époux de la noble dame avait des affaires de gros sous dans le domaine militaire, et il avait profité de la montée du conflit actuel pour s'enrichir. Il semblerait qu'il ait récemment injecté beaucoup d'argent dans un petit groupe de forgerons spécialisés chacun dans leurs domaines, que ce soit la balistique lourde, l'archerie ou d'autres choses du genre auxquelles l'ancienne pirate n'entendait rien. Cependant, elle retint rapidement que la Péninsule encourageait énormément les progrès technologiques, quitte à pratiquer l'espionnage industriel sous toutes ses formes. Il semblerait, en définitive, que "Le Frelon" soit un prototype n'ayant pas été retenu pour armer les fantassins les moins gradés. Il fallait une arme peu coûteuse, préférablement à distance pour éviter que la couardise des hommes ne rentre en jeu, facile à produire et très facile à utiliser, histoire que même un paysan fraîchement enrôlé puisse apprendre à l'utiliser rapidement. Mais l'objet coûtait trop cher à produire et n'était pas pratique sur un chant de bataille. Même s'il remplissait la condition d'être facile d'utilisation, son champ d'efficacité était trop restreint.
Mais alors, pourquoi lui faire ce cadeau à elle ?
Pour la symbolique semblait-il. "Toi qui était une petite chose en laquelle personne ne croyait car elle était trop décalée, je t'ai recueilli et j'ai trouvé le moyen de te rendre utile et appréciable. Donc, à ton tour maintenant. Et puis après tout, cet objets n'a-t-il pas quelque chose de profondément poétique ?"  
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MessageSujet: Re: Liliane Fausse-Patte   Liliane Fausse-Patte I_icon_minitimeVen 2 Fév 2018 - 1:37

Et accueillons un peu de joie dans cet océan de sérieux bleu !


Liliane Fausse-Patte Tampon13

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[Métier] : Dame-à-tout-faire

[Sexe] : Féminin

[Classe d'arme] : Distance ( arbalète )

[Alignement] : Chaotique Neutre


Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}.
Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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Liliane Fausse-Patte
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