Isabaut Garosa
Humain
Nombre de messages : 79 Âge : 38 Date d'inscription : 09/04/2008
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Non-Initié
| Sujet: Isabaut Garosa Mer 9 Avr 2008 - 20:05 | |
| Nom/Prénom : Garosa Isabaut Âge : 26 ans Sexe : Féminin Race : Humaine (mais des origines lointaine elfique lui offre des oreilles pointues et assez longues) Particularité : Possède plusieurs tatouage sur tout son corps, le plus grand est sur l’intérieur de sa cuisse et remonte sur son bas ventre jusqu’au nombril. Dans cet immense tatouage se cache la rose des Vents. Elle en a aussi plusieurs tribaux sur les bras, le dos et au bas des reins. Tous sont fait de façon à ce que se soit agréable et homogène à regarder, ne contrastant pas vraiment les uns des autres. Le premier tatouage fait, fut celui sur son bas-ventre, offert par Triss durant sa jeunesse. Alignement : Neutre stricte Métier : Seconde de Triss sur le Fossoyeur, Marin et Voleuse. Classe d'Arme : C’est une femme de corps a corps, pourtant elle se sert d’une magie ancienne, héritée de sa mère, lui permettant uniquement de rendre son épée aussi ardente que ses cheveux. Sa magie se limite Hélas à cela. Équipement : - Spoiler:
Isa possède des vêtements habituels, veste de cuir, chemise à manches amples, pantalon, bottes lui arrivant a mi-cuisse et ceinture. A cette ceinture une bourse d’or, une autre d’herbe à l’utilisation douteuse ou une pipe traine et une dernière de produits dit guérisseurs. Elle possède souvent une flasque de rhum ou de vodka à sa hanche, juste a coté de son arme. Justement, son arme a une particularité, c’est un fin mélange de sabre et de rapière. Une lame courbe, longue mais plutôt fine avec un pommeau protecteur sur sa main. Elle possède un anneau, une bague qu’elle porte en collier, seul Triss sait d’où il vient et ce qu’il veut dire. Elle possède aussi un couteau, petit, caché dans sa botte sur la cuisse. Il lui sert pour tailler du bois en mer, ou pour se battre si jamais elle perd son arme.
Description physique :
Tu sais Susanne, je crois que l’Isabaut a encore fait des siennes. Tu ne vois pas ? Mais si ! Tu sais, c’est cette Femme qui accompagne souvent le Captaine. Celle qu’on dit être la seule femme qui porte d’avantage malheur à ne pas être sur un bateau plutôt que de la laisser a terre. Oui voila, c’est Elle, exactement. L’Isabaut à la crinière de feu et aux yeux couleur de mer. C’est surement pour ça que le Cap’tain l’adore autant, parce que ses yeux son plus bleu et profond que l’océan lui-même. Ouais, bon elle à la peau légèrement dorée par le soleil, ça lui va bien je trouve mais elle a beau ressembler aux demi-elfes avec ses oreilles pointues, il ne faut pas oublier qu'elle est humaine. Puis c’est pas ses vêtements qui vont nous aider à changer d’avis, rien ne la met en valeur avec ses chemises blanches de boucanier et ses longues vestes. Elle a une bonne poitrine ça je l’avoue, mais c’est tout. Puis c’est quoi ces façon de se tenir comme un homme ? De marcher sans onduler les hanches d’un pas sur et à la fois autoritaire. Non franchement, avec son mètre quatre-vingt elle me fout la frousse. D’elle émane une sorte d’aura, j’crois que j’ai jamais vue la belle avoir à se battre. Elle fronce les sourcils et les messieurs préfèrent repartir la queue entre les jambes. Puis tu l’as déjà vue se baigner ? Ca lui arrive tôt au levé du jour de se laver dans un lac prés de Méca. Elle a le corps presque tatoué de partout ! C’est étrange je trouve, ces courbes et arabesques. Puis elle a une énorme cicatrice. Un truc affreux au niveau de l’épaule. Parait que se serait en sauvant Triss qu’elle aurait reçu ça. Perso ça m’étonnerais fortement qu’une nana comme elle ait réussi à sauver un homme aussi charmant que le Cap’tain. Enfin ouais, comme tu dis on peut pas lui enlever son sourire ravageur de charmeur, pourtant c’est une femme mais même moi je craque quand elle sourit comme ça a pleine dents. Sa musculature ? Je la trouve pas spécialement musclé moi, enfin y a du muscle mais y a pas que ça, elle a un peu de réserve sur les cuisses et le ventre. Pas grand-chose mais c’pas comme la belle Morgane qui fait baver tout les males.
Description mentale :
Oui je vois ce que tu veux dire Lula, Elle est plutôt spécial cette donzelle. T’as déjà vu comment elle regarde le Capitaine ? C’est vraiment ce qui m’a marquée moi personnellement. Elle le regarde comme si il était tout pour elle, alors que tout le monde sais qu’il y a rien entre elle et lui. Ils sont deux amis inséparables et il la considère comme son meilleur ami. Il voit pas la femme en elle, ‘fin c’est ce que je pense. Mais pour lui, elle est confidente, amie, conseillère et même stratège. Faut dire que c’est pas une grosse brute cette nana, elle en a sacrément dans la caboche c’est presque pas normale. D’habitude les femmes comme elle se délacent sur un lit, les jambes écartées en buvant du rhum. Mais non, elle est l’aide première sur le fossoyeur, son second. Par contre c’est une vrai malade quand elle s’y met, tu te souviens du concours de picole entre elle et Triss ?! Ils ont finis tout les deux totalement bourrés, ils ont fait des bras de fer et on chanté comme deux malades toute la soirée. C’était grave… ils ont du se porter mutuellement ou presque pour retourner dans leurs deux chambres. Bref, cette Femme c’est pas n’importe qui, elle a un sacré caractère bien trempé et bien carré. Puis faut pas lui enlever qu’elle est très fidèle au Capitaine, elle a été jusqu’as massacré son vieux pour aider Triss à s’enfuir.
Histoire :
Elle était a moitié bourrée… non pourquoi a moitié, elle l’était totalement. Se levant elle se déplaça pour s’allonger sur son lit, elle en pouvait plus. C’était allongée elle soupira, regardant la bouteille de rhum vide dans sa main et la déposant sur le sol. Pourquoi n’avait’ elle pas laissé Triss partir sans elle hein ? Pourquoi ? Sa pensée s’égara alors qu’elle parlait par l’esprit à la bouteille de rhum, lui confiant son histoire. Avec elle au moins peu de chance pour qu’elle se retrouve avec le moindre ragot ou qu’elle ne se confie à qui que se soit.
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Je suis pourtant plus forte que ça pas vrai mon ami ? Tu sais, je suis née d’une mère un quart d'elfe et d’un père humain. Je n’avais rien pour finir comme ça, franchement. J’étais une petite fille à papa, comme ma mère était malade bah je le suivais partout, même au bagne. Tu sais que je n’ai jamais été douée pour la magie, je sais faire qu’enflammer un truc tant que je le touche, après bah ça s’éteint et ça sert plus rien. Tu sais, petit, j’avais onze ou douze ans, j’ai rencontrée un homme qui à changée ma vie. Exactement, toute ma vie a dépendu d’un seul homme et il ne sait pas grand-chose de moi.
Petite, pendant que Triss était enfermé au bagne je l’ai rencontré, il était dans sa cage à oiseau et de temps en temps, la nuit, je me faufilais dans les couloirs et je venais prés de lui. Il me racontait plein d’histoire, de fée, de voyage, de bateau, de nouveau monde et de justes. Il était mignon a cette époque tu sais. J’étais totalement folle de lui et je buvais ses paroles comme je bois aujourd’hui mon rhum. Faut croire qu’à cette époque je le voyais comme mon prince charmant, c’est navrant je sais et même moi ça me fait pitié de m’imaginer petite comme tout, le regardant de mes yeux bleus, la tête contre les barreaux et ses mains dans mes cheveux, son épaule m’offrant un semblant de confort. Je me mettais à rêver les yeux ouvert, me laissant porter par le son de sa voix avec la crainte au ventre qu’on ne découvre un jour mon idylle à sens unique. Mon père n’aurait pas apprécié cette histoire et ma mère malade en aurait surement crevée sur l’heure. Aujourd’hui je me demande si elle vie encore, cette jolie femme brisée au boucles d’or. On dit que c'était la fille d'une demi elfe et d'un humain...
La nuit était paisible et une nouvelle fois la petite princesse aux cheveux de feu se glissa dans les couloirs, évitant comme toujours patrouilles et gardes. Cette nuit là pourtant tout était différent, quand elle vint voir Triss, il lui déposa un baiser sur le front et lui dit de ne pas rester là, que ce soir tout serait dangereux. Je ne comprenais pas pourquoi il me disait ça jusqu’à ce qu’une explosion eue lieu, puis une autre et encore une. Peu a peu des bruits de combat et puis on m’attrapa au vol, m’éloignant de mon protecteur. Qui était cet homme a l’allure patibulaire ? Que me voulait’ il avec ses grosses mains boudinées et son visage porcin. Triss, ho Triss, comment j’avais peur à ce moment là. Je ne saurais jamais comment tu es sortie de ta cellule, comment tu a trouvé un sabre. Non ça je l’ignore encore, mais ce que je sais c’est que tu m’as sauvée. Mon prince charmant n’avait rien d’un beau prince, mais c’était lui et personne d’autre qui faisait vibrer mon cœur.
Tu t’es retourné une seconde, après voir entendu un bruit et quand je t’ai rejoins, avec le sabre que tu m’avais confiée, je t’ai vue a terre, l’épée sous la gorge et mon père le dos tourné par rapport a moi. Là, dans la poussière et l’odeur de la poudre a canon, je l’ai tué. J’ai tué mon propre père qui m’a lui-même embrochée en se retournant. J’avais sa rapière dans l’épaule, prés du cœur, mais il m’avait ratée. Il ne c’était certainement pas attendu a une enfant.
Toi, c’est le cœur gros que tu m’as prise dans tes bras, tu m’as rassurée, moi ta petite princesse en larme et blessée, tu m’as emportée loin de ce chaos. Tu m’as emmène et nous avons ensemble rejoins Cyl. Mais Cyl ne fit pas long feu et sa mort ne fut pas longue non plus à attendre. Ça a été compliqué et enfant je n’avais pas tout compris, mais Triss devint le chef de notre groupe. Il commandait à tous et s’occupait de moi comme il pouvait. Je me sentais l’âme d’un boulet et je comprenais ce qu’être inutile voulait dire.
Une fois l’armée chassée de notre ile tout changea. Triss avait 20 ans et moi a peine 15. Nous avons vécu tout les deux dans une petite maison, c’était un peu une fausse vie de couple. On se partageait les corvées, il m’entrainait dans le jardin et en échange je préparais à manger. Ça je savais bien le faire d’ailleurs ! Toi de ton coté tu m’as entrainée au maniement du sabre. Tu m’as tout appris peu a peu et une fois, dans un élan de peur après que tu m’ai faite tombée a terre, tu a faillit finir brulée. C’est la que nous avons découvert mon don pour le feu… Je me souvient de la vitesse a laquelle tu avais enlevé ta chemise en feu. Tu avais l’air tellement ridicule…
------------------------- Une larme se mit à couler sur sa joue avec une certaine nostalgie et elle laissa tomber sa bouteille vide, regardant le plafond.
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A cette époque je me souviens je ne sais pourquoi d’une anecdote. J’étais en train de m’admirer dans le miroir, regardant mes formes naissantes qui me semblaient bien légère par rapport aux femmes que je voyais a Meca. Et tu es entré dans ma chambre, tu m’as vue a demi nue et je crois que tu n’as jamais autant rit qu’en me voyant m’emporter et t’envoyer tout ce qui se trouvait a porté de ma main. Tu es sorti en te tenant le ventre sous une pluie d’objets divers et variés. Ensuite il t’est arrivé une ou deux fois de passer dans mon dos discrètement pour poser tes mains sur ma poitrine menue et te rire de moi en me disant que j’étais toujours aussi plate. Tu as subit mon courroux a chaque fois en riant comme un bien heureux. Mais après avec le temps tu n’as plus eu la possibilité de rire de ce détail idiot.
La marine marchande est née, j’étais ton bras droit, toujours la pour t’aider, te conseiller et te soutenir. J’étais la plus proche de toi et je le suis toujours… Il n’y a aucune femme qui peut se vanter de sa proximité avec toi, contrairement a moi. Au début tu as eu du mal à me faire accepter par les hommes, les marins et les pirates sont croyants et on dit qu’une femme a bord porte malheur. Mais tu répétais sans cesse que c’était tout le contraire, que j’étais ton porte-bonheur et que me laisser à terre serait de la folie pure. Tu m’appris tout de la navigation, j’étais attentive et appris assez vite. Pour mes vingt ans tu me fis la surprise la plus grande qui soit, me nommer ta seconde. J’ai réussit à force de temps, de savoir faire et de volonté inflexible à me faire respecter de tous. Sur le bateau je suis une femme forte, de caractère, je gueule mes ordres et personne ne me contredis. Sur terre c’est autre chose, je m’efface, reste une observatrice, loin de toi… toujours dans ton ombre. Oui… je suis ton ombre, me mouvant dans le sillage que tu laisses derrière toi.
Et puis tu es le seul à savoir pour ma plus grande honte, mes oreilles pointues, mes racines elfes… Il n’y a que toi qui connais cette partie de moi. Aux autres, je le cache par mon bandeau sur mon front, ils n’ont pas besoin de savoir ça. Parmi une majorité d’humain une femme comme moi serait mal vue finalement. Je crois que finalement j’ai fais le bon choix de cacher ça a tout le monde. Ça m’a permis de voir les mers, de voyager avec toi, les cheveux au vent et de pouvoir me régaler de l’odeur de la mer. Je m’en suis tant imprégnée que ma peau a ce gout de sel si caractéristique de ceux qui voit tous les jours la mer. Pourquoi donc m’as-tu laissée derrière toi cette fois ?!
La raison je m’en doute trop bien… On a bu, encore une fois un de nos duels de boisson pour savoir lequel des deux tiendrait le plus longtemps. A la fin on était si éméchés qu’on a du remonter les marches a deux. On avait du mal à tenir debout et pourtant… au moment de m’abandonner dans ma chambre, tu m’as embrassée, et je n’ai pas rechigné à y mettre du mien. On a fermé la porte et les effets de l’alcool se son légèrement évaporé, assez pour que je me souvienne de ce que nous avons fait et trop peu pour nous rendre la raison. Tu as joué avec mes tatouages, les explorant comme s’ils étaient une carte pour trouver un certain trésor… tu l’as trouvé… Mais tu ne m’as pas fait tienne, c’est moi qui t’ai dominée. Je n’étais plus vierge depuis longtemps, j’avais déjà eu quelques relations, la curiosité d’une femme… Mais contrairement à toi j’ai oubliée leurs prénoms et leurs visages. Tu fut le seul a enlever ce bandeau et a dévoiler mon lourd secret et même a te jouer de ce détail si sensible.
Je crois qu’aucun homme ne m’avait jamais aimée comme ça… Par contre le lendemain fut douloureux. Je m’étais endormit dans tes bras, c’est seule que je me suis réveillée. Sale enflure de pirate ! Tu es parti et tu as pris la mer comme un voleur sans moi. Pour ça je te haie et te déteste autant que je t’aime Triss… Puis j’ai appris que tu t’étais fait prendre, et me voila, je me saoule en attendant que tu reviennes. S’il t’arrive quoi que se soit je viens et je t’arrache le cœur de mes propres mains…Bien sur de cette histoire je me fais une raison. Si je deviens une amante, je risque de perdre à la fois mon titre de second, de confidente et d’ami. Alors je pense que je vais tirer un trait sur se passage et faire comme si de rien était…
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Comment trouves-tu le forum ? : Magnifique et attirant Comment as-tu connu le forum ? : par un top... eu parce que je l'ai connue avant...
Dernière édition par Isabaut le Jeu 10 Avr 2008 - 10:38, édité 1 fois |
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Eldis Gil-Assan
Ancien
Nombre de messages : 2317 Âge : 39 Date d'inscription : 05/02/2008
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| Sujet: Re: Isabaut Garosa Jeu 10 Avr 2008 - 9:16 | |
| Salute et bienvenue jeune pirate! ^^ Bon, j'ai tout lu, et je trouve ta fiche superbe! Attention à vous les marins d'eaux douces, vous allez souffrir! Isabaut débarque! Au plaisir de te lire, et peut-être de rp avec toi! (si tu me tues pas!) A très vite sur Mira! P.S: Si quelqu'un peut relire et la valider! Pour moi tout est bon mais j'ai ptet rater des trucs! |
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Isabaut Garosa
Humain
Nombre de messages : 79 Âge : 38 Date d'inscription : 09/04/2008
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| Sujet: Re: Isabaut Garosa Jeu 10 Avr 2008 - 19:01 | |
| - Capitaine Triss Amras a écrit:
Je vous vois venir toutes les deux !
Point de discussion dans mon dos
:drunken:
t'inquiete pas Triss, on vas comploté uniquement dans ton dos... |
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