Nombre de messages : 38 Âge : 34 Date d'inscription : 14/10/2020
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 406 ans Taille : 2 mètres Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Radwëdh Daiëril (terminée) Mer 14 Oct 2020 - 20:04
Possessions & Equipements :
Radwëdh possède un arc et des flèches ainsi qu’une tige de roseau qu’elle a adapté en sifflet pour tirer des dards. Elle utilise beaucoup cet « arme » dont les dards sont enduit d’un poison qui endort, particulièrement lorsqu’elle est en mission et que sa couverture est menacée.
Apparence :
Taille : 2 mètres
Couleur des yeux : Vert
Radwëdh est d’apparence plutôt banale pour une elfe des cités, ce qui l’aide énormément en tant qu’agente de l’ombre. En effet, malgré le sang Noss qui coule dans ses veines, elle a majoritairement hérité des caractéristiques physiques de son parent de pierre, d’où sa totale ignorance quant à ses réelles origines et à sa plus grande facilité à se mouvoir dans une foule de citadins et ce, sans trop se faire remarquer. De nature discrète, mais joviale, cela se sent dans ce que l’elfe porte soit des habits très simples, mais souvent colorés et de bons goûts; Radwëdh a une faiblesse pour les belles choses et la beauté en général. Il est aussi extrêmement rare de voir son regard vert émeraude pétiller d’autre chose que de gaîté ou de curiosité. Celui-ci est d’ailleurs extrêmement perçant aussi. En effet, même si vous entendez rarement sa voix calme teinté lors d’une discussion, ses orbes observent toujours. Malgré son apparence banale, sa fine taille, sa démarche gracile et son visage aux traits délicats la rendent tout de même jolie selon les standards elfiques. Féminine, mais secrète, elle a donc cet aura de mystère qui peut parfois piquer la curiosité autant chez la gente masculine que féminine lorsqu’on la rencontre pour la première fois. Le mystère peut séduire, mais l’elfe ne semble pas abuser de cette arme, même s’il lui arrive parfois de prendre plaisir à charmer, traitant la chose un peu comme un jeu.
Personnalité :
Si Radwëdh évite de s’exprimer plus fort que d’autres et parle très peu d’elle et de sa vie privée, l’elfe est tout de même loin d’être froide. Au contraire, il y a quelque chose d’extrêmement solaire dans sa personnalité, spécialement lorsque les gens parviennent à se rapprocher de l’elfe habituellement plutôt solitaire. Artiste dans l’âme, sa tête bouillonne d’œuvres musicales ou d’écrits, œuvres en perpétuelle construction qu’elle garde malheureusement bien souvent pour elle-même; selon elle, elles ne sont jamais assez parfaite pour les partager. Peu peuvent se targuer de l’avoir entendu chanter ou d’avoir eut la chance de lire ses récits et pourtant, certains ont réussi à lui faire pousser quelques notes ou à lui faire réciter quelques lignes. Toujours en quête de perfection quant à son art, Radwëdh semble donc souvent rêveuse et plutôt inaccessible, comme si elle était prisonnière de son propre monde. Si l’on peut appeler cela une prison, car pour elle, ce n’est point le cas. Son imagination débordante est son repère de paix. Et un outil formidable qu’elle n’hésite pas à utiliser durant ses missions. En effet, elle sait comment se tirer d’affaire en usant de ses talents d’improvisation lorsque la situation devient délicate. Observatrice, elle s’attarde souvent sur les détails et est très sensible aux émotions des autres et à son environnement. Si elle n’est pas la meilleure pour donner des conseils, l’elfe sait écouter et est extrêmement loyal envers les gens qu’elle respecte et qu’elle apprécie. Sensible à la symphonie, l’elfe regarde donc souvent la forêt, sans tout à fait en comprendre le langage. Comme elle voue une fascination particulière pour la nature, il lui arrive donc souvent de se réfugier dans les jardins pour y composer de la musique ou un récit.
Capacités magiques :Aucune
Histoire
Nuls ne connaissent les origines de l’elfe si ce n’est qu’elle a bel et bien un père citadin, mort d’un chagrin dont personne ne connaît la source véritable, alors qu’elle n’était encore qu’un bébé. Ce sont deux femmes qui ont accueilli la pouponne et élevé comme la leur. Radwëdh a toujours été considéré comme leur cadeau des dieux et couvé d’amour, la petite elfe ne s’est jamais posé de questions sur sa provenance. Pour elle, ses mères sont ses véritables parents, même si elles lui ont bel et bien avouées qu’elle est le fruit d’une union entre un elfe et une inconnue. Déjà une enfant pleine d’imagination, il n’était pas rare de voir la petite elfe se balader dans les rues et jouer en solitaire, s’inventant un monde bien à elle. Ayant très peu d’amis, cela à quelque peu inquiété ses mères, mais elles ont tout de même respecté son espace. Il leur est arrivé aussi de surprendre leur fille regarder la forêt, l’air pensive et absente. Tant que Radwëdh était heureuse et ne faisait pas de mal à ses pairs, elles ne se sentaient pas dans l’obligation de demander conseils aux prêtres et prêtresses de Tari. Bien que solitaire, leur fille s’intégrait dans la société citadine sans trop de difficultés.
C’est plutôt à l’adolescence que ses mères ont eue du mal avec Radwëdh, qui comme beaucoup d’autres à cet âge, semblait avoir du mal à se comprendre elle-même. S’isolant encore plus dans son monde imaginaire, l’elfe s’est même risqué au vol plusieurs fois, comme si elle voulait tester les limites de son entourage. Calme, studieuse et discrète lors de ses classes, son mentor, qui devait gérer l’éducation de d’autres elfes aussi, ne portait pas exactement attention au comportement de Radwëdh, qui lui semblait tout à fait normal. C’est dans son dos qu’elle commença à voler ce qui lui appartenait. Au début, ce fût de l’encre et bientôt, ce fût des choses plus risquées, comme des livres rares de sa bibliothèque personnelle. Bien sûr, le mentor finit par le découvrir. Pas sans avoir accusé certains autres jeunes elfes au comportement plus explosif. C’est en poussant les investigations qu’il a compri que c’était la jeune Radwëdh. Trop surpris, il ne l’a pas vraiment corrigé, mais a tenté de comprendre ce qui l’avait poussé à commettre ce léger crime. À vrai dire, Radwëdh ne le savait pas tout à fait. Seulement pour l’adrénaline peut-être et le challenge de savoir que son invisibilité pouvait être brisée à tout instant? Sans tout à fait savoir exactement comment cet évènement a pu se savoir chez les Éperviers, c’est après un de ses cours qu’un homme vint s'adresser à elle et lui proposer quelque chose, alors qu'elle lisait toute seule dans les jardins public. Portant une cotte de maille et un tabard avec les emblèmes des elfes ainsi qu'un joli épervier, toutes ailes déployées, Radwëdh a compris que sa vie venait de changer.
Dès l’âge adulte, l’elfe vit donc une double vie: agente de l’ombre au sein des Éperviers et peintre, ce qui lui permet de tendre l'oreille subtilement lorsqu'elle travaille dans les différentes Cités et ce, sans devoir trop interagir avec les gens. En effet, si Radwëdh ne savait pas exactement ce à quoi ressemblerait son futur, elle se sent maintenant à sa place ; elle aide à garder la paix entre les Cités tout en jouissant d’une vie paisible et secrète. Enfin, une partie d’elle se questionne et entends toujours la forêt lui chanter une chanson qu’elle n’arrive pas à déchiffrer malgré les années. Depuis le Voile, l’elfe l’entends davantage sans toutefois en comprendre encore les notes. Il n’est donc pas rare de la voir prier Kÿria, espérant que la déesse l’éclaire un peu plus sur cet appel de la forêt qui se fait plus criant. C’est pourquoi le passage des bûcherons humains qui vinrent détruire des arbres et le grand feu de la forêt lors du conflit avec les drows affectèrent beaucoup Radwëdh et ce, sans qu’elle ne puisse mettre exactement le doigt sur cette tristesse qui s’était emparé d’elle, tout ceci pendant que le Corps des Éperviers lui donnaient de plus en plus de missions. Distante, mais se noyant dans le travail, l’elfe se montrait fort efficace, mais la lumière d’avant qui brillait dans son regard semblait s’atténuer de plus en plus. Voyant les autres elfes violemment atteint mentalement par les conflits qui gangrenaient déjà les Cités, ses mères demandèrent finalement l’aide des prêtres et prêtresse de Tari et Radwëdh dû mettre un frein à ses activités d’agente pour se rétablir mentalement.
Maintenant, le soleil semble briller sur une Anaëh un peu plus unie et l’elfe a reprit son rôle d’agente, avec une paix intérieure et une énergie à nouveau positive. Elle participe beaucoup plus à la vie politique et des Cités et accepte de voyager dès qu’on lui demande d’être les yeux et les oreilles de l’armée. Si ses tourments lui semblent loin derrière, sa toute nouvelle curiosité pour les Noss pourrait bien lui faire déterrer une partie de son passé qu’elle n’a jusque là pas exploré.
HRP:
T'sisra Do'ath
Modérateur
Nombre de messages : 1516 Âge : 129 Date d'inscription : 13/08/2016
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 124 ans Taille : 171 cm Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Re: Radwëdh Daiëril (terminée) Dim 25 Oct 2020 - 1:05
Tabarnac... Une peintre avec un accent de la belle province d'Anaeh !
Code:
[Métier] : Peintre (Corps des Éperviers)
[Sexe] : Féminin
[Classe d'arme] : Distance
[Alignement] : Neutre Bon
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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T'sisra en bikini :
Radwëdh Daiëril (terminée)
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