Archipel des Frimas & Norvardawi

L’Archipel des Frimas & les Norvardawi
~ Communauté des Nains des Îles ou Frimiens ~

Sommaire :

1. Histoire de l’Archipel des Frimas
   
2. Généralités.
   
3. Géographie.
   
4. Religion.
   
5. Religion.
   
6. Puissance militaire.
   
7. Lieux d’intérêt.

I. Histoire de L'Archipel des Frimas.

Quand les Pères des leurs s’extirpèrent de leurs gangues de pierre,
Respirèrent pour la première fois l’étendue des grandes aires,
Ils en devinrent fou de joie et décidèrent de ne plus  jamais faire marche arrière.
Pour cela ils furent traqués par ceux des montagnes, sans nul par ou aller.
Les Pères décidèrent de droit filer, bravant  froid,  pluie et  dangers,
Ils survécurent à force de courage et d’opiniâtreté.
La déesse Ourse vint alors en aide, elle les trouva dans la détresse,
Mais fut impressionné par leurs ténacités.
Elle fit des  Pères ses oursons adoptés, puis désigna au lointain,
Îles naissante dans la brume comme phares dressés.
Les nains, barbe au sol, mal à l’aise, rétorquèrent que nager ils ne savaient.
Afin de mettre ses petits  à l’abri des belliqueuses barbes aux haches dressés,
Elle fit appel à ses pouvoirs et convia la nature pour les sauver.
On dit alors que des forêts jaillirent une horde d’ursidé mal léché,
Mais tout à fait prête-t-elle, à se mouiller.
Il en eu un pour chacun, ainsi les Pères prirent le large jusqu'au salut.
C’est à la fin de ce jour, nourris et blottis, que Pères des nains prêtèrent éternel serment,
A celle qui leurs avaient offert nouveau et aimant foyer.

- Premiers vers du Katalhüykron dit le Récit de l'Arrivée, saga orale fondatrice des tribus Frimiennes

Il n’existe aucunes traces écrites de la présence d’habitant sur l’Archipel des Frimas durant les Temps Ancien mais l’histoire naine retient pour premier nom, celui de Volgoran Barbe-d’Os comme fondateur des premières tribus Frimiennes. Chaman d’un clan de forestiers vivant dans les forêts épineuses de la Basse-Virnée au 3ème cycle, il est dit que Brissea lui apparue dans un songe avec un avertissement : celui de fuir au loin afin de le préserver lui et les siens de la destruction imminente de d’Ankorong, la Première Cité. Véritable prophète de malheur à son époque, le chaman parcourt alors le Zagazorn afin de délivrer son message et fait face au mieux, à de nombreuses moqueries, au pis, à un déchainement de violence. Traité de fou par ses contemporains, il réussit néanmoins à rallier à sa cause six clans provenant de différents endroits et partageant sa conviction et ses croyances en Brissea.  Le mythe fondateur Frimien raconte que la déesse envoya à ses élus, des ours qui aidèrent les nains à traverser la mer jusqu’aux rivages abruptes de l’Archipel.
Ici, les clans firent scission avec les anciennes coutumes et l’autorité du Grand-Roi. Les Thanes prirent le nom de Khan et le peuple prit le nom de Norvardawi.  Ils colonisèrent les îles de Mader, Arion et Jor et s’installèrent principalement sur la plus étendue, Firiuk. Si les débuts furent difficiles, l’opiniâtreté des premiers colons fut sans faille et ils réussirent ainsi à prendre place durablement sur ces morceaux de roches balayés par les vents et les embruns. Volgoran Barbe-d’Os devint le premier Varrkhan de l’Archipel, figure faisant office d’autorité centrale dans la communauté et il établit sa présence dans le village-tribu de Iukt, premier et unique localité physique.

Bien qu’ils aient coupés  toutes communications avec le continent, ils reçurent au 4ème cycle la nouvelle de la Chute d’Ankorong. Si les premiers colons avaient déjà rejoint l’au-delà, cela ne fit qu’affermir la volonté et la foi de générations futures de Norvardawi. A cette époque, l’Archipel accueillit même de nouveaux arrivants qui vinrent grossir leurs rangs.  Reçus avec grande méfiance, les exilés continentaux durent faire preuve de patience, de ferveur et d’une longue abnégation pour être accepté. Ce fut la seule migration massive en direction des Frimas, depuis, il est devenue presque impossible de rejoindre les tribus, tant le fossé entre Norvardawi et continentaux se creusa.
Néanmoins, au fil des cycles, les relations ne furent pas totalement rompues. Aucun Grand-Roi ne prit le risque de rentrer en confrontation direct avec le Varrkhan et ses suivants, et il arriva en de rare occasion que les nains des îles se rendent à Thanor pour échanger quelques denrées. Les relations en restèrent là jusqu’à aujourd’hui, et si les continentaux continuèrent de veiller d’une œillade brève sur la sécurité des côtes de l’Archipel, personne ne chercha à outrepasser le droit du sol.

II.Généralités.

• II.1 Physique et apparence
  
  Il est à noter une particularité principale chez les Norvardawi : la taille. Ayant évolué longtemps au grand air et loin des souterrains sous la montagne, les Frimiens sont des nains particulièrement grand pouvant atteindre prêt d’un mètre soixante. Bien qu’ils restent trapus et disposent d’une ossature physique résistante, ils sont généralement plus longilignes et plus agile que les nains continentaux. On ne peut donc les confondre avec des humains, leurs pilosités et leurs faciès étant trop marqués, mais ils diffèrent grandement du reste des habitants du Zagazorn.
  Aussi, ils se vêtissent principalement de peaux, de laines et de vêtements en cuir. Le métal étant peu travaillé et usité principalement pour l’armement ou l’orfèvrerie, ils privilégient la souplesse de mouvement à la résistance de leurs armures. Il est à noter aussi l’utilisation de tartan bariolé qui servent à différencier les tribus entre-elles et la forte proportion de tatouage runique qu’affectionnent les nains des îles.
  
  
  
• II.2 Organisation Tribal
  
  Il existe aujourd’hui plusieurs tribus sur l’Archipel des Frimas. Ces tribus se revendiquent toutes descendantes des premiers Pères et vivent de manière semi-nomade sur un territoire attribué. Ils ne disposent en général pas de localité précise, mais des hameaux éphémères qu’ils  occupent plus ou moins longtemps en fonction des saisons. Au fil du temps, chacune développa  un mode de vie et des savoirs propres. Bien que semblable sous certains aspects aux clans des continentaux, la hiérarchie et le fonctionnement y ait bien moins stricte et pyramidale ; par soucis de survie, les compétences y sont aussi bien plus éclectiques. Chaque tribu pourvoit elle-même à sa propre sécurité et s’il existe des exceptions, tout Norvardawi apprend à manier la lance et l’arc.
  
  Le Khan fait office de figure dirigeante au sein de la tribu, il est celui qui guide ses ouailles à travers les saisons. Nain et naine accède à se poste par acclamation, épreuve ou désignation, il n’existe pas de réel recette propre à tous.  On accorde aussi un grand respect au plus âgées mais on ne retrouve sur l’Archipel, pas de réel conseil des anciens faisant preuve d’autorité. Enfin, le Varrkhan est nommé durant le Varrthing des Khans, une assemblée annuelle qui réunit toutes les tribus dans le village de Iukt. Durant ce conseil, les Khans accordent leurs confiances à leur Varrkhan pour une année supplémentaire ou choisissent d’élire un nouveau représentant. La tribu du Varrkhan en exercice s’installe alors dans le village côtier le temps du mandat. La tribu Barbe-d’Os est réputée pour avoir tenue ce poste prêt de 3 cycles d’affilé.
  
  Les Norvardawi ont une réputation belliqueuse, même entre eux et il n'est pas rare que certaines tribus s'affrontent durant des duels judiciaires voir des vendettas plus sanglantes ; s'ils optent généralement pour la tempérance, le manque de ressource et les quiproquo peuvent parfois avoir raison des bonnes intentions. Les Khans, aidés des Prêtres de Brissea, se charge alors de rétablir l'ordre en effaçant réglants les litiges avant que les rancunes ne s'installent.
  
  
• II.3 Mode de vie & Artisanat
  
  Sur l’Archipel, la  survie y est difficile, le climat terrible et les conditions de vie plus qu’inconfortable. Les Norvardawi sont ainsi les seuls à s’adapter à cette existence rude ; vivant de la chasse, de la cueillette et même de la pêche, ils durent abandonner presque tout leurs anciens acquis pour en fonder de nouveau. S’ils brillent toujours dans l’artisanat, celui-ci leur ait propre : travaillant principalement le bois, le cuir et les os et la pierre. L’art de la forge relégué complètement au second plan et tout à fait sommaire selon les standards nains ; sans parler de l’architecture et de l’ingénierie qui sont des domaines devenues complètements étrangers aux nains des îles. Certaines tribus vivent de l’élevage et font paitre leurs troupeaux dans les lieux les plus fertiles de Firiuk, mais elles restent plutôt rare.  Il n’existe pas de notion d’or et d’argent, entre elles, les Norvardawi usent du troc et n’accordent donc que très peu d’importance à la richesse matérielle. Aussi, ils ne tiennent quasiment aucuns registres écrits et préfèrent de loin la tradition oral qui se transmet par les récits des Anciens ou les chansons des Skaldar, les bardes locaux.
  Ils affectionnent l'art brut, et particulièrement l’édification de totem, qu’on peut retrouver presque partout sur l’Archipel et les sculpteurs de ces œuvres aussi bien artistique que mystico-religieuse, sont de véritable sommité parmi les tribus.  Enfin, le savoir ésotérique des runes ne c’est pas tout à fait perdu chez les Frimiens : dans leurs rangs, les chamans prennent le nom de Volgir et appartiennent tous à la caste des Prêtres de Brissea.
  

III. Géographie

Comme son nom l’indique, l’Archipel des Frimas est composé d’une succession de plusieurs îles de tailles différentes, exposés pleinement aux caprices de l’Océan d’Eris. Le climat y est humide, rude, venteux et inhospitalité. Une seule voie maritime connue  relie Thanor au bourg portuaire de Firiuk et se nomme le Normarvar. Dangereux car constamment balayé par une houle cherchant à vous propulser contre les falaises, elle n’est que rarement empruntée par les navires de Thanor et les esquifs des Frimiens. Voici une description des quatre îles en partant de la gauche.

• Mader : Cailloux rocailleux le plus septentrionale de l’Archipel, Mader est un lieu ou il ne fait ni bon vivre, ni bien habiter. Ici, la nature est seule maitresse. Surnommé l’Iles des Vents, la végétation y est brute et rabougri. Très peu peuplé, les nains de Mader ont la réputation d’être pugnace et de nourrir le plus fort des ressentis vis-à-vis des continentaux. On trouve au centre de cette île, un énorme pique rocheux granitique qui surplombe le paysage et d’on la face sud fut entièrement taillé dans une succession de bas reliefs narrant les récits du Katalhüykron. Les Novardawi nomment cet endroit Grontigrimaz, qu’on pourrait traduire par Le Géant Sévère. Considéré comme sacré, il n’est pas rare que des grands évènements y soient célébrés et toute atteinte à son intégrité y est sévèrement puni.
  
  
• Firiuk: Véritable noyaux des tribus Frimiennes, elle est la plus grande et la plus accueillante des îles de l’Archipel, toutes notions gardées. Sur ses côtes aux plages de galets noirs, évoluent les tribus ayant le plus de liens avec l’océan, vivant de la pêche et des ressources liés ; en son centre, dans un décor alternant forêts d’épineux et homoncule pierreux, les tribus s’y partagent le territoire.  Au Sud-Est, s’étend le Village-tribu d’Iukt, seul réel lieu que l’on pourrait considérer comme une bourgade. Ceinturé d’une muraille en pierre et en bois, les maisons y disposent d’un socle de grés et de mur en rondin. Chef lieu de l’Archipel, il sert aussi de lieu de pouvoir vis-à-vis des standards Frimiens. Iukt dispose d’un port assez conséquent pour accueillir un navire en provenance de Thanor et il est le seul endroit autorisé à la visite pour les nains venus du continent sans l’accord du Varrkhan.
  
  
• Arion : Rocher plat entièrement recouvert de forêt, Arion est la seconde île des Frimas en termes de population. Ici les tribus sont réputées pour leurs savoirs-faires maritimes et les chasses en haute-mer. Activité au combien dangereuse qui fait pourtant la célébrité des Novardawi y habitant. Le climat bien que rude, est le moins hostile de toutes les îles, coincé entre Firiuk et Jor, Arion bénéficie d’une situation particulière. S’il est impossible de débarquer sur son flanc droit, son flanc gauche lui et parsemé d’une myriade de plage et de rade naturel permettant aux esquifs de prendre la route des flots.
  
  
• Jor :: L’Ile Sacré de Jor est aussi bien le phare de l’Archipel des  Frimas que l’endroit le plus sacré de la communauté Norvardawi. En son centre, le Temple de Brissea accueille le culte de la Déesse Mère. Véritable lieu de foi, de mysticisme et d’ésotérisme, seul les nains rejoignant la caste des prêtres y sont autorisés à séjourner.  Les grandes cérémonies religieuses y ont aussi lieu et implique que les nains prennent la mer pour rejoindre ses côtes. Sur Jor, aucuns sangs ne peut être versé et les différents entre tribus se règlent souvent sous la houlette des prêtres qui veillent au bon respect des règles.
  

IV. Religion.

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V.---.

XXX

VI. Puissance militaire.

XXX

VII. Lieux d'intérêt.

• X : X
  
  
• X :
  
  
• X :
  
  

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