Nombre de messages : 40 Âge : 30 Date d'inscription : 26/11/2023
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 38 ans Taille : 1m90 Niveau Magique : Non-Initié.
Sujet: Eylohr - La liberté sur les flots. Lun 27 Nov 2023 - 17:18
Possessions & Equipements :
Armure de cuir : simple à mettre en place, à utiliser et à réparer, l’armure de cuir est l’armure de préférence des marins de combat.
Nécessaire de navigation : Boussole, sextant, astrolabe, cartes et compas… Eylohr, en bon marin et bon pirate, aura pu voler tout cela avec grande facilité lors de ses maintes années à piller les mers.
Armes : excellent combattant, Eylohr possède toute une panoplie d’armes. Il porte constamment sur lui deux épées courtes sur ses hanches, une épée longue qu’il porte majoritairement à terre, et plusieurs dagues qu’il garde dans des fourreaux de cuir sur sa poitrine, ses hanches et même ses chevilles.
L’abyssale : une caraque capturée à des marins Missédois il y a plusieurs années. Faite de voiles rouge carmin et d’un bois sombre, peint régulièrement en noir, le navire est grand : 28 mètres de longueur pour 8 mètres de large ; d’un tonnage de 200 tonneaux ; capable de transporter 150 hommes, combattant ou d’équipages ; c’est son joyau. Il l’aime comme quelqu’un aimerait une épouse, et ne tolèrent aucune forme de dissension, de sédition ou de manque de respect à son autorité à bord.
Equipage : si le navire qu’il possède peut emporter une petite armée, ce n’est malheureusement point réellement cas, dans les effectif. Eylohr a la réputation d’être violent et implacable dans ses décisions. Ceux qui désirent voguer sous les ordres d’un capitaine plus compréhensif l’évitent donc scrupuleusement. Toutefois, s’il est autoritaire, Eylohr comprends aussi l’importance du respect des règles basiques d’équipage. Cette légère balance lui permet de garder un effectif courant de 80 à 90 hommes d’équipage. Ceux-ci se font appeler les « requins ».
Apparence :
Taille : 1m90.
Couleur des yeux : gris.
Couleur des cheveux/pilosité : aussi chauve qu’un cailloux ! Mais une belle barbe fournie, touffue, de couleur poivre.
Personnalité : Eylohr est un personnage égoïste. Il ne pense donc qu’à lui : sa liberté, sa richesse, son autorité, son pouvoir. Pour pouvoir garder tout cela, il est tout simplement prêt à tout, y compris les pires bassesses : voler, mentir, détruire et tuer ; rien de tout cela ne l’effraie et s’il exécute cela avec facilité et froideur, il n’en tire heureusement aucun véritable plaisir.
De par ses expériences et sa vie, il n’apprécie point les codes Péninsulaires. Il exècre la noblesse, déteste les codes nobiliaires et de strates sociétales. Il se sent lui-même dans les entrailles sombres de ce monde, notamment, le monde des flibustiers et autres corsaires que d’aucun nomme « pirates ». Si, là aussi, un code demeure, il l’accepte plus facilement : il ne le rendra pas meilleur, mais au moins, il ne l’entravera pas non plus. A leur manière, les pirates permettent à un homme comme lui d’aller aussi loin et aussi haut que le permettent ses talents personnels. Alors… Pour l’instant, cela lui convient.
S’il ne recherche pas nécessairement la puissance, il refuse que l’on conteste son autorité. Aussi mène-t-il son équipage et quiconque se retrouve sous sa coupe avec une main de fer. Mais, ses longues années dans la marine marchande puis dans la piraterie lui apprirent qu’un équipage reposé, respecté et félicité – par des festivités, des raids faciles ou des richesses redistribuées – est un équipage encore plus efficace au combat, plus fidèle face aux difficultés et prompt à répondre à l’appel d’un chef reconnu.
Enfin, suivre un code ne le dérange pas. Il suit d’ailleurs le sien : demeurer libre, riche et sur les eaux, qu’importe ce qu’il faut faire pour y arriver. Toutefois, il s’empêchera de faire quoi que ce soit de négatif à l’encontre de Méca. Car, après tout, n’est-ce point grâce à Méca et à ses secrets qu’il peut jouir de tous ces plaisirs et demeurer libre ?
Capacités magiques : Aucune.
Histoire
Eylohr vit le jour durant l’hiver de l’an 981 du Xème cycle, dans une famille de marins de commerce de Thaar. Entrepreneurs et chefs d’une entreprise de transport maritime, les deux parents d’Eylohr mirent leur fils sur un navire dès qu’ils en eurent la chance ! Leur petite entreprise n’était florissante que grâce à l’engagement total et inépuisable des deux parents : chacun leur tour, ils commandaient eux-mêmes leur plus gros navire, ou la cargaison la plus importante, en gage de qualité pour leurs clients. Constamment en mer, Eylohr vit donc ses premières années avec l’un puis l’autre de ses parents, avant de rapidement partir en mer avec l’un puis l’autre, en fonction des cargaisons et des voyages.
Jusqu’au milieu de son adolescence, Eylohr passe plus de temps en mer qu’à terre, apprenant les ficelles du métier de marin. Protégé durant ses premières années sur les navires, il devint rapidement une aide pour les principaux artisans et autres professionnels des navires. Auprès du timonier, il apprit l’analyse des vents, l’anticipation de leurs changements de vitesses et de direction et l’apprentissage des principaux vents que seule une intervention divine pourrait faire changer.
Auprès des matelots, il apprit à prendre soin d’un navire, alternant les corvées de ponts, la surveillance des bois, vitres et des cordages. Lorsqu’il entra dans l’adolescence, et qu’il se montra alors de plus en plus intrépide, il apprit le rôle du gabier. Très dangereux, grimper un mât pour pouvoir surveiller en environs depuis le nid de pie, vérifier l’intégrité des voiles et grimper par vents et marées, était aussi effrayant que satisfaisant.
L’adolescence s’éloignant et l’âge adulte avançant, son paternel voulut qu’il apprenne d’autres rôles, notamment, celui du commandement. Quartiers-maîtres et lieutenants devinrent alors des tuteurs pour lui, et puis, alors qu’il obtint l’âge de la majorité, passa du côté du capitaine, formé par son père lui-même, et sa mère, lorsqu’elle prenait le commandement. Ainsi formé, ainsi expérimenté, Eylohr se dirigea tout naturellement vers le métier de marin marchand en rejoignant l’entreprise familiale. Et c’est là que les changements advinrent… Lorsqu’advint le Voile.
Durant le Voile, Eylohr vécut les effets de cette magie divine que d’aucun imputerait plus tard à Arcam. Peu à peu, ce qui était autrefois une attitude intrépide en mer – grimper en haut des mâts ; pêcher en plongée ; nager parmi les prédateurs pour se faire peur – devint une propension à se battre, et à rechercher la moindre dose d’adrénaline. Des petites bagarres de ponts, Eylohr passa aux bagarres dans les quartiers sombres, aux coups fourrés… Et aux meurtres. Grand et fort, il était facile pour lui de prendre le dessus sur ses victimes, bien qu’il manque de technique. Cette sensation de liberté, ces émotions fortes, puissantes, qui lui tordaient les entrailles, le poussait à aller toujours plus loin… Jusqu’au retour du soleil.
Les premiers temps difficiles, car Eylohr savait que ses actions étaient mauvaises, répréhensibles et honteuses… Mais les sensations éprouvées étaient comme une véritable drogue pour lui : cette liberté d’aller et d’agir ; de penser et de faire ; étaient si intenses, qu’il lui fallait revivre cela. Revenir alors dans le carcan familial, et dans l’ordre de l’entreprise familiale fut impossible. Si ses crimes furent amnistiés à Thaar, l’influence d’Arcam étant reconnue, il était devenu un criminel dans l’esprit de ses parents et de leurs marins.
La crise trouva son épilogue peu de temps après le retour à la vie normale : en manque de ce qu’il nommait « liberté », la confrontation avec les devoirs d’un chef d’entreprise de navires marchands et de batelier fut la goutte d’eau qui allait faire déborder le frêle vase de son esprit égoïste. Taxes, impôts, obligations… Tant de choses que lui et ses parents devaient gérer, anticiper et qui étaient autant de freins à sa liberté… S’en était trop.
Sous une autre identité, il s’enrôla dans l’équipage d’une caraque Missédoise en tant que gabier, justement. Constamment en haut des mâts, son rôle était d’aider à hisser les voiles, mais surtout, d’alerte en cas d’attaques de pirates. Son ambition ? Rencontrer ces pirates, justement, dont les récits vantaient l’ardeur, la témérité, la violence… Et la liberté. Tout cela, et plus encore ! Et ses souhaits furent exaucés ! Car, alors qu’ils dépassèrent Eofel et que le navire prenait plus large pour dépasser Naélis et rallier Missède, un navire apparut à l’horizon. Il arborait un pavillon Missédois, qu’Eylohr avait vu naître en haut du mât, remplacé par un pavillon Naélisien juste avant cela. Tactique propre aux pirates que de se travestir, il comprit bien qu’ils allaient être attaqués. Alors, il ne donna point l’alerte. Et lorsque le navire changea son pavillon à nouveau pour celui des corsaires, il était déjà trop tard ! La caraque était attaquée, et l’abordage, sur le point de se faire.
L’équipage ne tarda pas à se rendre face à la tornade Mécane. Oh, il y eut quelques morts, bien-sûr… Et Eylohr, descendant du nid-de-pie, s’assura de ne point être vu comme une menace pour ne pas être passé au fil de l’épée. Le capitaine pirate se présenta : on l’appelait « Rage ».Un vieux loup de mer qui sillonnait les lieux depuis si longtemps que son surnom dominait davantage toute forme d’identité le concernant. Puisque la caraque était bien plus grande que son boutre, il décida d’en faire son navire amiral et laissa le choix aux marins : rejoindre l’équipage, ou sauter par-dessus bord et prier pour rejoindre les côtes avant d’être ciblé par un requin chanceux. Ni une, ni deux, Eylohr s’enrôla dans l’équipage.
Les années qui suivirent furent alors prompt au développement des capacités martiales d’Eylohr. Sa jeunesse n’était tempérée que par le cadre imposé par les pirates, et par les sensations fortes vécues au quotidien. On lui apprit alors le combat dans les ponts inférieurs, l’abordage, l’arraisonnage, l’éperonnage… Bref, à conduire un assaut en mer comme seuls les pirates savent le faire. Et il apprenait vite ! Ses apprentissages étant très souvent suivis d’abordages sanglants, de pillages côtiers et d’actions d’éclats ! Cela l’aida à assouvir son envie de liberté, et, en plus de connaître les fonctionnements de Méca et des pirates, l’aida à trouver un but dans sa vie : s’élever aussi haut que possible et être aussi riche que possible à l’aide de la piraterie.
Seulement voilà, « Rage » n’était pas dupe. Et alors qu’Eylohr demandait plus de combats, plus de responsabilités et plus de rémunérations, « Rage » sentit que son contrôle sur Eylohr lui échappait. Son physique impressionnant le rendait effrayant et charismatique ; sa violence lors des combats n’avait d’égale que ses capacités martiales et sa témérité ayant déjà servi à l’équipage à de nombreuses reprises, nombreux furent les hommes d’équipage à voir en lui un digne successeur à « Rage » dont l’âge n’allait point en rajeunissant. Sentant petit à petit le vent tourner, le capitaine tenta d’amadouer Eylohr en le nommant comme son second… Mais ce n’était pas suffisant. Eylohr avait goûté à tout ce qui lui faisait tant envie, et ses soutiens avançant au sein de l’équipage – et l’âge déclinant de leur capitaine – couplés à une ambition renouvelée de richesse et d’aventure, le poussèrent à agir.
Un jour que l’ennui accablait l’équipage, un soupçon de colère envahit l’équipage. Voilà des ennéades, des mois même, que « Rage » n’était plus que l’ombre de sa réputation des temps jadis : trouvant toujours l’endroit trop dangereux, la cargaison trop petite, il repoussait les abordages et les combats, frustrant l’équipage et entravant Eylohr, qui n’en finissait plus de militer pour une attaque, aussi petite soit-elle. Des voix s’élevèrent alors ce jour-là, mais le capitaine, soucieux de conserver son autorité, tenta de faire plier les séditieux par la force en leur infligeant une amende pécuniaire et un rôle ingrat jusqu’à la prochaine escale. Profitant alors du climat général, Eylohr se rebella et, sans laisser le temps au capitaine de se défendre, le massacra devant les hommes. Il revendiqua alors le navire, l’équipage, les richesses et le titre de capitaine, promettant aux hommes et aux femmes quantités d’or, de pierres précieuses et de soieries prises aux navires marchands ; bien des aventures et ô combien de combats à l’avenir ! Dans les hourras, la décision fut prise par la majorité de l’équipage : Eylohr devenait le nouveau capitaine de cette caraque Missédoise, qu’il s’empressa de modifier, peignant le navire en noir et ajoutant des voiles couleur de sang. Eylohr venait à peine de fêter son 30ème anniversaire, en l’an XIII du cycle XI.
Les années qui suivirent lui permirent d’asseoir son autorité, et sa réputation. Pirate intrépide, combattant efficace et féroce, ses rangs gonflèrent de pirates en quête de gloire, d’aventure et de richesses. Sa spécialité : l’attaque de navire dans la zone reliant la Péninsule à Naélis, et le raid de petites localités Vaanies. On le surnomma alors « Le requin », surnom que prit son équipage ; puis « L’abysse » ou encore « Le Rouge », en référence au sang, à ses voiles couleur carmin et au sang qu’il laisse derrière lui. C’est également à cette période qu’il trouva sa place dans le paysage Mécan. Être capitaine lui plaisait bien, mais il avait sans cesse cette envie de vivre plus fort, de connaître plus d’aventures… Et, alors que la seconde décennie de ce cycle arrivait, un être semblait rassembler en lui toutes les promesses qu’Eylohr désirait tant : Caleb, dit le Rokvenha.
D’aucun disait de lui qu’il avait vu et même pactiser avec le Wagyl ; d’autres, qu’il s’était arrogé les pouvoirs et l’amitié de la Médée ; d’autres encore qu’il devisait avec des forces obscures et puissantes, après avoir pactiser avec elles. Capturer une baronne n’était donc point l’acte épique de sa vie… Et Eylohr, toujours en quête d’aventures et de richesses, comprit que naviguer aux côtés d’un tel pirate serait du meilleur effet pour ses affaires. Aussi allait-il se mettre en quête du fameux pirate.
HRP:
T'sisra Do'ath
Modérateur
Nombre de messages : 1516 Âge : 129 Date d'inscription : 13/08/2016
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 124 ans Taille : 171 cm Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Re: Eylohr - La liberté sur les flots. Jeu 7 Déc 2023 - 19:18
Qu'on le jette à l'eau !
Code:
[Métier] : Capitaine de navire
[Sexe] : Masculin & Humain
[Classe d'arme] : Corps-à-corps
[Alignement] : Loyal mauvais
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
_________________
T'sisra en bikini :
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Lun 27 Nov 2023 - 17:18
