Il n’est de plus précieux pour elles que les armes qu’elle a sût faire confectionner au fil des années. Démunie du bon métal des citadins et, de sorte à rivaliser avec l’efficacité de tout acier, elle possède un attirail hors du commun, dont les composantes ont pour elle autant d’importance que leur efficacité.
Planqué derrière le tissu qui drape ses hanches, elle détient un poignard d’ossements, dont le pommeau semble être le crâne d’une gerbille impériale et dont la lame possède les mêmes caractéristiques que les plus saillantes dents d’un Kerkand. C’est d’ailleurs son arme fétiche, car les années ont faite de la dent géante une alliée de premier choix pour les toxines dont elle détient les secrets.
Elle possède également un arc, dont le corps, tirant étrangement sur l’ébène, est composé des ramures perdues de fanuë. Cet arc, qui la suit aussi fidèlement que son ombre, lui sert d’outil principal lors de ses chasses, ou mieux, de ses traques.
Du reste, elle possède une armure de combat, principalement faite de lanières de cuir, tous tannées du célèbre dragon de perrelin. À elles y sont également rattachées en guise de fioriture moult ossements, brillamment agencés à son œil. Elle n’arbore cet affublement que lorsqu’elle y est contrainte, préférant la liberté que lui procure les haillons qu’elle porte au quotidien.
Apparence :
Ayant vu le jour et vivant quotidien dans les profondeurs du berceau de Kyria, l’hostilité de sa demeure ainsi que de sa Noss ont forgés la charpente de Lindorie à la fière image de son clan. Dotée d’une musculature sèche et bien définie, l’Effirië possède les outils nécessaires pour mettre en déroute, ou du moins mettre en grande difficulté les plus adroits bretteurs. Agile, dotée d’une finesse tout autant dans les mouvements que dans la démarche, elle sait, au même titre que ses confrères, se mouvoir avec vélocité et efficacité dans l’Anaeh, telle la fugace ombre d’une journée ensoleillée. Au-delà du bien triste intérêt qu’elle porte à son apparence, on ne peut nier la beauté propre aux elfes qui l’habite. Il existe à son faciès, sous les moult couches de crasses et de sang empoissé, des traits qui sauraient être attirant à l’œil. Hélas, elle est plus souvent qu’autrement peinturée et zébrée par les chairs et la vitalité de ses traques, ce qui d’ailleurs amène à expliquer la profondeur de son regard. On y voit, dans le clair-obscur de ses iris, l’intensité de sa détermination la plus totale, ce qui en maintes occasions, a tendance à arracher des frissons aux âmes qui se retrouvent en joue au-devant de ses flèches.
À son faciès, à ses hanches, en maints endroits dans les contrées de son grand dorsal, aux bras et aux cuisses, se retrouvent les récits de ses rixes les plus farouches. Les années en ont guéri les plaies et estompées la douleur, mais sur son derme persiste tant de cicatrices, qu’on en viendrait à se demander si elle ne s’était pas elle-même tailladé la peau. Pourtant il n’en est rien ; c’est qu’il n’est dans la Noss pas plus téméraire et intrépide sentinelle que Lindorìe. Sa plus hideuse stigmate cependant, restera toujours la géhenne que lui offrit un fairä, là où la pointe de son oreille dextre manque à l’appel. Mâchouillé et arraché d’un claquement de mâchoire, la blessure n’étant pas nette, une boursoufflure en orne désormais le sommet.
Bien que répugnante, sa blessure ne semble pas l’accabler de trop, puisqu’elle orne autant ses esgourdes que le restant de ses affublements d’ossements ou de petits crânes.
Taille : 1 mètre 90
Couleur des yeux : Un pair très discret, qui tire beaucoup plus sur le noir.
Couleur des cheveux/pilosité : Un naturel blond, qui désormais rarement ne diffère du rouge écarlate.
Personnalité :
Née aux bras d’une mère plus douce qu’à l’habituelle, Lindorìe possédait un tempérament moins intrépide que ses autres jeunes semblables. Plus réservée, d’une maturité plus précoce que la moyenne, elle se montra vite consciente des dangers que lui réservaient autant l’Anaeh que le clan dans lequel elle vit jour. Tout cela ne fût pourtant qu’un chapitre éphémère de sa longue vie, puisque la mort trouva sa mère plus rapidement qu’escompté. Son souffle lui fût brutalement arraché et laissa dans le deuil sa très jeune fille, dont la tutelle fût revendiquée par Gwendaëlle, la chamane du clan.
Rattachée à la plus juste fidèle voix de la Noss Baar’Ane, Lindorie fût portée à surmonter autant ses peurs que ses appréhensions. Poussée quotidiennement sans les plus profonds de ses retranchements, la chamane forgeât le caractère nouveau de sa fille adoptive : intrépide, respectueuses des us et coutumes, mais surtout, dotée d’une détermination intarissable. Vouant désormais autant sa vie que l’entièreté de son âme à la protection et la préservation de la statue de l’Hydre, rien ni personne ne pourrait la faire détourner de ses engagements les plus fondamentaux. Engoncée dans ces préceptes qui lui furent si durement enfoncés dans la gorge, elle n’a crainte d’user autant de brutalité que de la plus choquante des violences. Sans foi ni loi autre que celles qui régissent sa Noss, elle ne saurait hésiter à faire l’utilisation des plus virulente toxine ou même des stratagèmes les plus immoraux. Bornée, oui, comme bon nombre de ses semblables, seules les plus augustes voix pourraient lui faire changer d’avis une fois que s’est nichée entre ses deux oreilles une idée qu’elle souhaite mener à terme.
En connaissance de son tempérament sanguin, elle se sait vulnérable à la coruscation de ses émotions. De sorte à endiguer des gestes qui pourraient porter préjudice à la prime mission de sa Noss, elle s’entoure et porte un intérêt particulier aux voix les plus sagaces. À cet effet, et compte tenu de la proximité qu’elle entretient avec les voix chamaniques, ces figures occultes aiment à passer par son entremise pour transmettre leurs préceptes. Non pauvre de charisme, Lindorìe n’a de mal à haranguer ses semblables et inhiber tout doute qui pourrait planer sur sa Noss. Elle n’arbore certes pas le titre de cheffe, mais en son absence, ses membres ont tendance à se retourner naturellement vers elle.
Elle honnie et exècre -bien qu’à différentes échelles- tout ce qui n’est pas né sous l’égide Baar’Ane. Les péninsulaires, ces fumiers de Vaanis, ces nabots d’enfançons barbus, ces simulacres d’elfes noirs ; nul plaisir ne lui serait plus délectable que de leur nicher près du cœur une flèche, afin de pouvoir croquer leur tambour de chair. À moindre animosité, elle crache sur ces traîtres de citadins, dont le cœur fût perverti par la somptuosité de leurs pénates. Il n’en faudrait guère de trop pour qu’elle élève son aversion pour eux au même titre que les autres races de Miradelphia.
Quant à son entourage, elle n’a ni ne désire de réelles amitiés. Ardentes à souhait, les émotions qui régissent son comportement l’auront brûlée si sauvagement au décès de son premier amour, qu’elle s’est depuis recroquevillée à jamais. Vivant seule autant ses désappointements que ses frustrations les plus intimes, rien n’est à son arc qui pourrait gérer et amener paix à son cœur.
Elle ne vit désormais que pour le bien et la mission de sa Noss, c’est-à-dire, la protection ainsi que la préservation de l’esprit et du corps de la toute puissante hydre Baar’ane. Quoi qu’il lui en coûte.
Capacités magiques : Nulles
Histoire
De maturité et de réserves
Enfançonne, Lindorìe se révéla être une Noss dont la douceur et la prudence caractérisait les gestes. Bercée par une mère aimante et au tempérament similaire, elle hérita d’une maturité que la chamane du clan qualifia de trop précoce, lui faisant comprendre les risques et dangers du quotidien. Démunie de la naïveté infantile requise aux guerrières et autres intrépides métiers, on lui promit une vie éloignée des torrents que peuvent causer le tumulte des sentinelles ou du corps guerrier. Le maniement de l’arc et des flèches, du combat au corps-à-corps ou de tout ce qui entourait de près ou de loin ce genre d’art, n’avait jamais sût piquer au vif l’intérêt de la jeune Noss. Pour autant, obligée de s’y soumettre tel que le voulait la tradition, elle souleva malgré elle chez ses confrères et consœurs une jalousie certaine. Son habileté pour la chasse, son adresse et son agilité étaient telles, qu’elle trouvait moyen de tirer son épingle du jeu sans y mettre les efforts. Mais ce temps ouaté, passé dans le confort de ses profondes pénates, ne perdura guère. Arriva le jour fatidique, où chaque membre de la Baar’Ane se devait d’être soumit au rituel de passage. Cette liturgie avait pour but l’intronisation de ses membres dans la mission prime de la Noss ; celle de préserver et d’assurer la protection de l’Hydre pétrifiée.
D’aucuns ne pourraient spécifier l’âge exacte pour qu’un Noss tente sa chance à ce rituel ; car les dangers encourus durant la cérémonie différaient d’un membre à l’autre. Ainsi, seul le Noss qui désirait réellement en affronter les risques sait s’il en a les épaules. Le déroulement de la procession allait ainsi : perchés dans les hauts rameaux des arbres anciens, venaient à la rencontre de l’aspirant les plus illustres membres de la Noss. Au chevet de la statue de l’Hydre et en compagnie du chamane du clan, est ingéré une mixture dont l’essence de sa confection procure sur le court terme un état de léthargie, puis l’invocation de certaines visions à l’effigie de l’Hydre. La détresse que provoque chez celui qui en ingère le plat est si vive, qu’aux alentours de la statue, en nombres d’occasions, en profitent les créatures les plus dangereuses pour prendre le pas sur leur faim … Là réside tout le danger du processus, car l’initié connait les dangers qui les entourent et aussi vulnérables, étourdis et souventefois fiévreux, ils ont à se confronter aux plus impétueuses bêtes, qu’ils considèrent comme les envoyés du Baar’Ane. Iceux peuvent manquer à l’appel, laissant les initiés baignés dans la plus opulente des chances, où ils peuvent se manifester, sans pitié, sans que n’intervienne quiconque. De ce rituel, ils en sortent matures et membre à part entière de la Noss, ou ferment les yeux à jamais sur ce monde qui s’est refusé à eux.
La seconde facette du cœur
La flotte se déversant autant contre les hauts rameaux des arbres que sur leurs chefs, ils s’étaient massés non loin de l’auguste statue de Baar’Ane, tapis dans le plus pieux des silences.
À l’unisson, ils épiaient leur nièce à tous, qui, genoux en terre, pleurait le corps désormais bien refroidit de sa mère. Recroquevillée sur sa dépouille, paralysée de chagrin, elle sanglotait sans relâche, la patte crispée contre un poignard d’ossements. Si bouleversée qu’elle était, elle en perdit la voix, car bien qu’elle s’était affranchie de la dure épreuve du passage, elle avait faillit et sa faiblesse lui coûta. Quelques heures plus tôt, tandis qu’enivrée par la concoction et luttant contre ses plus infâmes fantasmes, s’était dressée contre elle un fairä d’âge moyen. Bien qu’encore à quelques années de la maturité, l’animal n’en restait pas moins imposant et, face à une proie fiévreuse, elle s’en pourlécha d’ores et déjà les babines … Effectivement, la bonne fortune était en défaveur de la jeune Sith’Ael, car l’adversaire n’en était pas dès moindres. Inégal, l’affrontement promettait une fin concise et brutale … Et tous le désapprouva, sans dresser le moindre petit doigt. Tous sauf une, dont l’elfe refusa d’en voir les tenants et aboutissements de cette macabre représentation. Brisant la coutume, sa mère empoigna arc et flèche et vint se mesurer au féroce prédateur. Enhardie à outrance par l’arrivée impromptue de sa mère, l’échine secouée par l’émotion, Lindorìe retrouva ses ardeurs, mais trop peu trop tard ; sa mère, bien que forte de bonne volonté, ne parvint pas même à écorcher le vilain animal.
À la fin, les cris de réjouissances secouèrent les hautes feuilles des arbres par leur intensité, car en contre-bas, leur nièce avait carminé autant les herbes que ses affublements du sang de son adversaire. Pour autant, nul fierté, ni sourire n’illuminait sa bouille empoissée de sueur et de chairs. À ses pieds gisait le cadavre d’un féroce animal, mais aussi, d’une femme aimante, dont le cœur n’avait désiré, au fond, couvrir les faiblesses de sa progéniture …
Dans l’interminable attente que se commette l’orpheline, la chamane du clan prit les devants et brisa la triste litanie de l’elfe en prenant parole.
« De peine et de colère, tu peux laisser ton cœur s’assombrir et se laisser dévorer par ces chimères, mais aujourd’hui! En mémoire de cette Noss qui t’a vu grandir, qui t’a élevé et transmis son amour, ainsi que celui de nos plus illustres coutumes: prends-lui le sien sans plus tarder, Lindorìe! »
Sitôt dit, nombres d’oiseaux prirent leur envol dans un même battement d’aile, tant la plainte fût hurlée violemment par l’orpheline. Accompagné de sa lamentation, son couteau vint s’insérer en toute sauvagerie dans le poitrail de sa mère, de sorte à pouvoir y faire une entaille assez profonde pour y plonger la patte et ainsi, y dérober le cœur inanimé. Dans le plus lugubre des spectacle, Lindorìe boulotta sans plus amples ambages l’organe de sa génitrice, telle que le désirait la tradition, cela sous le regard approbateur de la chamane et de la vaste audience. Certains, après avoir reluqué ce qu’ils désirèrent ( c’est-à-dire la détermination de la jeune Noss ) quittèrent sans demander leur reste. Le visage aussi empoissé qu’un Kerkand, chaque croquée passée sous le rasoir de sa dentition, chaque bouchée ingérée, semblait chaque fois lui priver un peu plus de sa douce jeunesse. Elle s'était certes acquittée du rite de passage, mais en avait payé le prix fort : celui de sa mère qui, malencontreusement, s'était retrouvée au mauvais endroit, au mauvais moment.
Une seconde mère
Au même titre qu’un oisillon qui fût poussé trop tôt de son nid, face à la perte de sa mère, Lindorìe se noya dans les tourments du deuil qui, malgré le support de ses pairs, ne parvint à estomper sa meurtrissure. Face à l’évidence, que seule la plus auguste des voix saurait remettre sur pied cet oisel aux ailes cassées, Gwendaëlle déclara comme sa propre fille l’orpheline et la prit donc sous sa tutelle. Assurant une plus nette proximité avec l’enfançonne, la chamane sût trouver les mots pour raviver la flamme de sa motivation. Elle modela et forgeât de l’enfant l’image modèle de ce que devait être toute Noss des Baar’Ane : une absolue dévotion envers leur prime mission. Sur ces francs enseignements, Lindorìe se découvrit naturellement une nouvelle personnalité : plus intrépide, directe et compétitive. Poussée au quotidien à l’excellence par le héraut des augures, la jeune Sith’Ael mit à bon escient son talent naturel dans l’art de la guerre et, une fois fait, se retrouva parmi les siens à briller de mille feux. Plus elle prenait en âge et plus elle prenait en assurance et gagna en confiance, que se fût en elle-même ou de par ses pairs. Les années s’écoulèrent tels les grains de sable dans un sablier, jusqu’au jour où elle put enfin se considérer comme une guerrière accomplie, n’attendant plus juste l’occasion d’en faire la démonstration …
Guerre et voile, puis re-guerre
Haranguée par le chef de sa Noss, Lindorìe devint avec l’âge, le parfait soldat dont les Baar’Ane pouvaient escompter. Sans se questionner, à savoir si elle pourrait retrouver le confort de sa bien modeste hutte, ou encore si elle serait promise à la plus lente des agonie, la Sith’Ael fît acte de présence dans tous les conflits armés dont la Noss fût invitée ( ou s’était invitée elle-même ). Les affrontements, tous aussi belliqueux les uns que les autres, enhardirent la guerrière et l’engonça chaque fois un peu plus profondément dans le mépris de tout ce qui n’était pas Baar’Ane. Elle en fît d’ailleurs la vive démonstration lorsque le Voile s’était manifesté en Anaeh. Se refusant à l’exode des citadins dans les tréfonds de la forêt sacrée, elle combattit bec et ongle avec ses pairs pour les convaincre de l’erreur qu’ils commettraient s’ils venaient à ouvrir les portes à leur venue. Trop sanguine pour s’apercevoir que derrière cet exode il ne s’y cachait pas plus d’égoïsme que d’opportunisme, elle ne sut offrir son acceptation à ceux et celles qui cherchèrent à renouer avec Kyria ce lien qui depuis si longtemps, s’était fragilisé au profit du luxe de leur vie de citadin.
Les années s’écoulèrent, encore et inexorablement, et dans la Noss des Baar’Ane, une guerre intestine s’était déclenchée aussi vivement que l’aurait fait une braise incandescente à du foin séché à outrance. Sitodalk, leur chef à tous, manquait à l’appel et avait avec lui emporté de ses meilleurs bras armés. On le disait sous l’emprise quasi-totale du Baar’Ane, ce qui eut pour conséquence de déchirer la Noss et d’en scinder les allégeances. Tandis que certains restèrent tapis dans les bois, dont la fidélité ne pouvait défaillir, d’autres, tels que Lindorìe, s’assurèrent que d’avenir pour la Noss il y ait. Et pour y parvenir, elle se devait de capturer leur chef, quitta à lui déposséder la tête de sur les épaules et d’en extraire par la force l’esprit belliqueux de la toute puissante Hydre.
HRP:
Dernière édition par Lindorie Sith'Ael le Mer 26 Juin 2024 - 5:21, édité 1 fois
Lindorie Sith'Ael
Elfe
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Sujet: Re: Lìndorìe Sith’Aël, l'écarlate Effirië Mar 25 Juin 2024 - 20:13
Je PENSE avoir terminé ...
Eiriztraena Deäl'Honn
Modérateur
Nombre de messages : 128 Âge : 913 Date d'inscription : 15/04/2021
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : 533 ans Taille : 1m86 Niveau Magique : Arcaniste.
Sujet: Re: Lìndorìe Sith’Aël, l'écarlate Effirië Mer 26 Juin 2024 - 14:14
Code:
[Métier] : Première Sentinelle des Baar'Ane.
[Sexe] : Féminin.
[Classe d'arme] : Corps-à-corps & à distance.
[Alignement] : Neutre mauvais.
Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur ! Journal de bord ~ Pour archiver tes liens de RP qui content l'histoire de ton personnage {Vivement conseillé}. Et enfin, si tu as des question, n'hésite surtout pas à demander l'aide d'un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.
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“Une lame bien placée peut faire plus de dégâts que cent milles hommes.”