Présentation de Light Aarÿandil [Assassin rôdeur]

Nom/Prénom : Light Aarÿandil

Âge : 110 printemps

Sexe : Homme

Race : Demi-elfe

Particularité : De fines lames accrochées à sa peau, qui se rétractent selon sa volonté et qui retourne sous sa peau fine lorsqu'elles sont inutiles. Chacune des griffes est marqué d'un sceau à peine visible, signe de l'ancien clan de sa mère.

Alignement : Neutre

Métier : Assassin / Rôdeur

Classe d'arme : Corps à corps / A distance

Équipement : L'acier et le bois, les deux matériaux indispensable à tout bon guerrier... Les lames, la seule chose véritablement utile dans ce monde de brutes... Les flèches, l'ultime projectile, pouvant fendre l'air à vive allure...

Light est un guerrier accompli, aussi lui faut-il le matériel adéquat pour combattre et se défendre. Le pannel d'arme du jeune demi-elfe lui a été légué par ses parents. Cet héritage cependant, est enfoui six pieds sous terre, attendant d'être détérré par la seule et unique personne ayant la clé du coffre dans lequel il est renfermé.

La première pièce constituant son attirail, c'est un dague d'assassin, courte et fine, dont le manche est orné dun seul et unique rubis flamboyant, coincé entre les crocs d'un serpent à deux têtes, symbole du clan Haun. La lame, décorées par de légères entailles s'entremélant et ayant étés gravées lors de la création ce la lame. La dague mesure environ 60 centimètres et est connue pour être indestructible, bien que cela reste à prouver. L'arme blanche est accompagnée d'une épée courte, tout ce qu'il y a de plus normal. Cependant les deux armes sont d'une légèreté et d'une finesse digne des plus grands forgerons de cette terre.

La seconde chose qui se trouve dans la mystérieuse boîte est un arc, taillé dans un bois très ancien et très résistant. Des décorations entourent l'arc et la corde de l'arme est presque invisible, tellement elle est fine. Les flèches situés dans le carquois sont faites de plumes d'oie, qui permettent une meilleure perforation dans l'air.

La dernière des armes du jeune Light ne se trouve pas dans une boîte, mais en lui! En effet, selon la tradition du clan Haun, l'homme s'est vu greffé quatres lames de métal dans le bras qui, par un procédé complexe, sortent et se rétractent sous la peau de l'assassin quand il veut. Les lames sortant près de ses phalanges, Light met des gants afin de dissimuler ces implants, faisant croire que les lames viennent du gant.


Description physique : Light est un demi-elfe tout ce qu'il y a de plus normal. Il est certes taillé comme un cure-dent mais il ne considère pas cela comme un défaut. Les humains de son village se moquaint de lui et même s'il était plus habile que les autre, il était traité de moins que rien, de fillette. Son père lui avait expliqué que c'était comme ça qu'était les elfes, et d'un côté, il lui en voulait quand il était petit. Il n'a pas de graisse? Où est le problème? Light est fait d'os et de muscles et ce n'est pas plus mal comme ça! Il a compris au fil des années qu'il ne serait pas comme les humains, mais qu'il serait toujours plus musclé que les autres elfes. Après tout il a une taille a peu près normale et même s'il est un peu maigre, il est bien dans son corps et c'est le plus important.

Au niveau du visage, Light est le portrait craché de sa mère mais au masculin ( et sans la poitrine ). Il a tout d'abord un visage bien ovalé, recouvert par une peau blanche fine et nette, marquée seulement par une cicatrice encore rouge malgré son ancienneté. Ce visage angélique possède de fines lèvres, parfaites pour le murmures et les phrases soufflées lentement et doucement. Le jeune homme a aussi les yeux bleus foncés que possédaient sa mère. Ces yeux, magnifiques et envoûtant, donnent à Light ce regard si profond et si perçant, digne des hauts aigles survolant les hauts plateaux et les immenses montagnes... Les deux globes occulaires peuvent cacher les émotions de l'adolescent et ainsi, aucune peur ni aucune tristesse ne peut se lire sur son visage. Grâce à ces yeux, son visage reste impassible et insondable.

La particularité du jeune demi-elfe, se sont ses cheveux! En effet, la chevelure du jeune homme est d'un bleu clair époustoufflant. Le fins fils dréssés sur la tête du jeune homme sont d'une couleur bleu ciel, mélange des cheveux bleus de sa mère et de ceux blanc de son père, tels des fils de soie colorés flottant dans les airs et se mouvant lentement au gré du vent. Ils ne sont jamais coiffés, lui donnant un air particulier, et cachant un peu le bout de ses oreilles. En parlant d'oreilles, Light, étant un demi-elfe, a des pointes légèrement arrondies au niveau de ses oreilles. C'est d'ailleurs à cause de cela qu'il s'est démarqué des autres, et qu'il a toujours été le « petit batard aux oreilles pointues ».

Afin de terminer cette description en beauté, parlons du "look" de notre petit semi-elfe ! Le jeune homme s'habille souvent avec des habits sans manches, afin d'avoir une certaine liberté de mouvement. Cet habit, habituel chez les autres, met en avant les bras fins de l'ado et le tourne peut-être un peu au ridicule. Cependant, il ne faut pas se fier aux apparences car même s'il n'est pas réputé pour ses bras robustes et puissants, il est capable de grimper des facades entières à la seule force de ses mains, il est d'ailleurs très adroit et souple. Il est également réputé pou ses talents de voltigeurs et d'escaladeurs. Light s'est crée des jambes d'acier, capables de briser le bois et permettant de courir à une allure folle. Il porte d'ailleurs des pantalons lui permettant d'être à l'aise et de se mouvoir facilement afin de mieux pouvoir se déplacer. Il a également une cape avec une capuche afin de se fondre dans le décor et de passer inapercus. Il a aussi ces gants en cuir qui recouvrent ses mains et qui lui permettent de dissimuler les griffes métalliques se trouvant sous l'épiderme de sa main. Son arc attaché dans le dos ne le quitte jamais et son poignard est toujours habilement dissimulé et personne ne peut savoir avec quoi il va tuer.


Description mentale : Light est quelqu'un d'extrèmement compliqué. A cause de ce qu'il a vécu dans le passé il est tourmenté intérieurement ce qui le rend quelques fois instable. La première chose qui choque la plupart des gens qui le rencontre, c'est son calme incroyable! Le jeune homme est une personne d'un calme rare et d'une patience qui fut souvent mise à rude épreuve. C'est encore des traits de caractère qu'il tient de sa mère et il en est fier. Il est très réservé et garde tout pour lui, espérant chaque jour que tout ce qu'il garde n'explose pas en lui. Il n'a aucunement envie de se retrouver un beau jour à déballer devant tout le monde sa tristesse et sa rancoeur, surtout devant un humain, être qui la toujours méprisé. Par le passé, il a toujours été exclu car il était différent alors maintenant, il est plutôt solitaire. Il sourit rarement et a le visage impassible. On ne peut donc jamais savoir à quoi il pense sauf quand il l'exprime avec ses phrases sarcastiques et moqueuses. En effet, le gros défaut de Light, c'est qu'il se moque tout le temps des autres et qu'il à toujours l'air exaspéré. C'est peut-être pour lui un moyen de se protéger, surtout envers les humains. Il a aussi cet air d'être un peu supérieur qu'il tient naturellement de son père. Il n'aime pas ce côté pesant de sa personnalité mais ne fait rien pour le changer. Le garçon est également quelqu'un de très athlétique et de très courageux. Aussi, lorsqu'on lui demandera de faire quelque chose, il ne choisira jamais la solution la plus simple et cherchera toujours la plus héroïque. Il essaye de se surpasser chaque jour et de repousser les limites que lui fixe son corps. C'est aussi quelqu'un de très rêveur et aime avoir la tête dans les nuages, même s'il est très terre à terre. Il est aussi très protecteur m^me envers les personne dont il n'a pas de sympathie. Il serait prêt à risquer sa vie pour les autres et serait capable de mourrir pour un être proche. Il est très observateur et aucun détail ne lui échappe, surtout pas en matière de nourriture! Le pêché mignon de Light est la bouffe! C'est un véritable cordon bleu et il aime manger ce qu'il cuisine et le top : c'est qu'il ne grossit pas d'un poil.

Si l'on fait une analyse plus poussée de son caractère, l'on découvre que les traits du jeune demi-elfe sont contradictoires et qu'il est difficile le suivre psychologiquement. Il a été persécuté par toutes les races et donc n'est pas très aimé et il n'aime pas beaucoup de gens. Alors il faut le comprendre le pauvre ....


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Histoire :

Prologue

Citation :

« Reste qui tu es, et vit, vit pour ceux qui ont péri sous la lame de ces sales Drow... Venge-nous, et vis bien, mon fils... »

Je marchais lentement, les bras reliés d'une épaisse chaîne de fer. Près deux moi, un pauvre homme bien batî, dans la même situation que moi et devant moi, deux vieillards tremblant, compagnon de route attaché à moi par de solides menottes entourant mes frêles poignets, devenus quasiment squelettiques à cause du peu de nourriture que l'on nous donnait. Je tirais un des lourd chariot de chasse des Drow, ces êtres malveillant ne voulant que le sang et la mort. J'étais leur esclave depuis plusieurs années déjà, me demandant comment j'avais tenu jusque là, mais je pouvais m'échapper quand bon me semblait, lors de sorties comme celles là. La plupart de ces êtres abjects étaient en train de courir dans les plaines, à chasser des bestioles sauvages et ils nous avaient laissés là seuls, avec comme seul surveillance un Drow endormi et un enfant demi-Drow, qui accompagnait toujours le cortège de chasseur quand l'occasion se présentait. Cette fois-ci, j'avais décidé de m'enfuir. Nous étions loin des chasseurs et aucun renfort n'aurait pu débarquer pour m'arrêter. Cependant, avant de m'enfuir, j'allais encore repenser à mon passé... Juste une fois...

Le début d'une vie.

Tout commença une matinée de printemps, il y a une éternité de cela, du moins j'en avais l'impression. Je marchais déjà et étais capable de parler longuement avec des adultes alors que les autres gamins de mon âge n'arrivaient même pas à faire leur besoins seul, chose que j'avais appris à faire depuis plusieurs mois déjà. Je dis qu'ils avaient le même âge que moi mais je n'en suis pas vraiment sûr, après tout, je suis différent... Ma mère se trouvait dans la cuisine, coupant les légumes afin de préparer la salade. C'était une femme élégante, fine et toujours souriante. Les cheveux longs ondulaient dans son dos et le tablier qui entourait ses hanches laissait entrevoir ses belles jambes, ainsi que le poignard familial, dont elle avait hérité. Une mèche bleue tombait sur son visage, masquant un peu son oeil droit. Comme d'habitude, je montai sur le tabouret, afin de paraître plus grand, ce qui fit rire ma mère et moi par la même occasion. Son sourire angelique avait un effet magique sur moi, et quand je le voyais, je ne pouvais m'empêcher d'être rempli de joie. La regardant couper les légumes, je ne pus m'empêcher de poser mes petits yeux sur sa main. Quelque chose me frappa alors. Quelque chose que je n'avais encore jamais remarqué : la jeune femme coupait les légumes non pas avec un couteau, mais avec une lame qui sortait de sa main, directement de sa peau! Les yeux grands ouverts, je la questionnai:

« Maman? Pou'koi t'a des turcs qui sortent de ta main? Hein dis maman? »

- Hm! Je pense que tu es en âge de savoir, à présent, dit-elle, toujours le même sourire aux lèvres. Assieds-toi d'abord mon chéri, tu vas tomber. Eh bien quand j'étais petite, on m'a mis ça sous ma peau, car d'après mes parents je devais en avoir besoin pour plus tard.

« Mais elles ten servent à quoi? »

-Ca, c'est une autre histoire, et tu n'es pas encore assez grand pour comprendre! Mais je ne suis pas la seule dans la maison à en avoir : toi aussi tu es doté de ces lames, même si nu ne les utilisent pas, tu comprendras bientôt comment t'en servir!

« Et pourquoi j'ai les oreilles pointus maman? Les gens du village ils disent que je suis un batard! C'est quoi un batard? »

Ma mère se raidit, et son visage se crispa. Je me souvenais des lames qui sortirent d'un coup et se plantèrent dans la table en bois, et de sa démarche déterminée et energique qu'elle eût en sortant de la maison. Claquant la porte derrière moi.

Le lendemain, alors que je sortais de chez moi pour jouer dans le jardin, plus personne ne parlais de moi, alors qu'habituellement, j'étais le sujet de toutes les discussion. La vie continua alors, dans le petit coin de campagne où je vivais.


Ma vie de demi-elfe.

Bien des années après cette discussion enrichissante avec ma mère, je comprenais mieux la vie et les origines de ma famille. Ma mère et mon père avions eû une discussion longue où ils m'expliquèrent tout, du début à la fin. J'avais attendu cette discussion depuis celle que j'avais eû avec ma jeune mère, ravissante femme qui avait vieilli mais qui avait gardé sa beauté naturelle. Nous nous étions assis autour de la table. A ma gauche, la seule femme que j'aimerais toujours : ma mère. Elle se tenait droite, bien habillée bien que nous vivions dans la campagne, et toujours aussi ravissante. A droite, mon père, un homme maigre et aux traits fins, qui avaient des oreilles plus pointues que les miennes, et le visage bien carré. Il portait son arc fétiche dans le dos, arme de jet qu'il ne laissait jamais à plus de cinq mètres de lui.

Ma mère prit la parole, afin de m'expliquer ses origines. Sa famille était une redoutable famille d'assassin, où le métier de tueur était pratiqué par tout les membres de la famille. Elle m'expliqua que le poignard qu'elle avait lui avait été offert par sa mère, avant que cette dernière ne meurre, tuée par son propre mari. Maman l'avait tué lui un peu avant ma naissance. Elle m'expliqua alors que les griffes dans la peau étaient une sorte de symbole de la famille et que c'était l'arme qu'elle utilisait quand elle était assassin. Elle étaient en moi depuis naissance, greffé alors que je n'avais que quelques jours. Elle m'appris comment faire quelques années plus tard, mais c'est une tout autre histoire. Elle avait rencontré mon père lors de l'attaque d'un village, et lui avait sauvé la vie. Depuis, ils avaient amménagés ici, se faisant oublié du monde, ma mère tuant une fois de temps en temps contre une forte somme d'argent.

Mon père avait une toute autre histoire : c'était un des elfes dont tout le monde parlait, ancien capitaine d'une troupe d'elfe indépendants, et qui chassait les Drow à travers le pays. Il n'avait pas voulu me raconter tout son passé, car il aurait été trop long d'aborder tout les détail de sa vie. Il me raconta seulement que lors de la défense d'un village il avait rencontré ma mère. Le reste, je le connaissais. Il me parlèrent alors tout les deux, l'un du métier d'assassin, l'autre des elfes, de leurs coutumes, de leur vie.

Le lendemain, toutes ces découvertes bouillonnaient dans ma tête, surtout au sujet de mes origines car maintenant, tout s'expliquait : j'étais différent, j'étais un demi-elfe! C'était donc pour ça que j'étais si différent de tous ces jeunes qui étaient gros, robuste et fier, ces humains, paysan se moquant sans arrêt de moi car j'étais frêle et maigre, mais pour le moins agile et plus fort qu'eux. Cependant, je rejet des autres fit entrer dans ma tête une sorte de haine envers mon père, je pensais que c'était sa faute si je n'étais pas aimé, si je n'avais personne, et surtout si la plus belle fille du village, Karine, m'ignorait et m'évitait. L'amour que j'éprouvais pour elle était impossible à cause des origines elfiques de mon père... Le « beau peuple » comme il se faisait appelé, n'était pas assez beau pour les humains, du moins c'est ce que je pensais....


La fin d'une période

J'avais encore grandi, devenu presque adulte. Alors que la plupart des humains travaillaient déjà et avait prit même quelques rides, je n'avais guère changé, du moins physiquement et je passais mon temps à manier l'épée avec ma mère et à chasser à l'arc avec mon père. Rapidement, je pus me rendre compte que j'avais des parents extraordinaire, loin de tout ces pères taverniers et de ces mères coutirières. Ma mère se servait de son poignard comme si s'était une autre partie de son corps. Ses gestes étaient fluides et son habileté digne des plus grands tueurs. Elle m'avait appris à me servir de mes lames et je prenais un malin plaisir à les utiliser pour toute sortes de tâches, ce qui la faisait sourire. Mon père, lui, était un chasseur hors-pair, il m'avais enseigné l'art du tir à l'arc et j'étais capable de toucher des cibles difficiles à atteindre. Il m'apprit à aimer la nature, à communiquer avec les animaux et à respecter l'environnement. Cependant, il ne pus m'empêcher d'aimer la chasse, lui qui détestait tuer les animaux. Il me dit un jour

«-Je ne peux t'empêcher d'aimer la viande, après tout, je n'ai pas réussi à convaincre ta mère de devenir végétarienne, et pourtant j'ai insisté!

Ma rancune envers mon père s'était apaisée, car il m'avait enseigné tellement de chose que je compris que c'était les humains qui avaient tord, et que les elfes étaient bien plus fort et dignes que je ne me l'était immaginé.

C'est aussi à cette periode de ma vie que je connus le grand amour. Karine, la jeune femme que j'admirais depuis tant d'années, était ma fiancée, et nous devions nous marier quelques mois plus tard, ses parents étant les seuls qui m'aimaient bien. Nous avions vécus des jours fantastiques ensembles, et ma bien-aimée était même enceinte, pour la plus grande joie des deux familles.

Ce fut un jour d'été, alors que je préparais mon arc afin de partir chasser et que ma mère coupait la viande, que la mère à Karine entra en hurlant dans la maison, de chaudes larmes coulant de ses yeux.

-Ils ont tués Karine et mon mari!!!!!! Les Drow, ils sont ici!

A peine eut-elle le temps de finir sa phrase qu'une lame d'acier transperça sa gorge, pendant qu'un rire aigü se faisait entendre nous loin. Un Drow se tenait dans l'encolure de la porte, droit et menaçant. Il tenait avec la main gauche le crâne d'un den os voisin, et cela me fit trassaillir. Je n'avias pas encore bien compris ce que venait de dire la mère de Karine. On aurait dit que mon cerveau ne comprenait pas ce qu'avait dit la jeune femme, comme si elle avait parlé une langue étrangère. Mais lorsque je compris le sens de la phrase, un hurlement sortis de ma bouche. Sans même laisser le temps au Drow de faire un pas, je fonçais dessu lui et le tranchait avec les lames de mon bras, son corps coupé en deux. Dehors, une lutte avait lieu. Les paysans courraient en hurlant, poursuivis par les horribles monstres à la peau foncée. Sur les toits, mon père tuaient les monstres un par un, aidé de trois hommes, des elfes. Je n'avais pas le temps de réfléchir et bandait mon arc. Je tirais à mon tour sur les Dorw, nombreux et assoiffés de sang. Deux tombèrent près de moi, morts. Ma mère, son arme à la main, venait d'égorger l'un des nombreux assaillant. Je me dirigeait alors vers les elfes, accomagné de ma maman. En haut, j'entendis mon père me crier de mettre ma mère en sécurité, mais bien sûr, cette dernière sauta sur le toit avec l'agilité d'un chat et rejoind mon père. Ces derniers combattirent avec une telle fougue que mon coeur fut rempli d'une admiration telle que je semblais hypnotisé par les deux guerriers. Soudain, le cri d'un elfe me fit sortir de mes songes.

« Le gamin ne sert à rien ici! Envoi-le se cacher! »

Mon père se tourna alors vers moi et me fit signe de venir. Ma mère se tourna vers moi et me tendit sa dague, une larme à l'oeil, comme si elle savait ce qui allait se passer après mon départ. Mon père prit mon arc et me donna le sien ainsi que son carquois.

- Met ça à l'abri fils! Enterre-çà près de l'arbre, derrière le village! Creuse et tu trouveras un coffre, il y a également une épée. Met tout ça dedans et enfoui le six pieds sous-terre, mais tâche de ne pas oublier qui tu es...

« Reste qui tu es, et vit, vit pour ceux qui ont péri sous la lame de ces sales Drow... Venge-nous, et vis bien, mon fils... »

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De nos jours...

Ce fut les dernières paroles de ma défunte mère. Elle m'avait embrassé sur le front et je m'étais éloigné afin d'executer les dernières volontés de mon père. Je me suis enfui, j'ai enterré les armes et quand je suis revenu au village, j'ai trouvé mes parents, morts, enlacés tout les deux mais le corps déchiquetté par les lames Drow. Je fus assomé et quand je me suis réveillé, j'étais sur la route, direction les camps Drow. Après, je n'ai pas besoin de me rappeler, car je sais que ce fut un enfer...Mais aujourd'hui, ça va changer! Aujourd'hui, je suis resté comme je suis, et je vais vous venger, papa, maman, Karine...

Bienvenue sur Mira !

... Oo Ca c'est de la fiche ! J'ai pratiquement rien à dire !

Juste que pour pouvoir être validée , tu dois envoyer un RP de 20 lignes minimum à un Admin [ Galen , Ultuant ou Bromar ] pour pouvoir être validée !

Et moi qui suis curieuse , j'aimerais savoir comment sont posées ces lames x)

Voilà ! C'est tout bon ( enfin presque pour toi XD )

Fiche validée provisoirement.

Le comptoir (ouvre ton compte)
Parlons RP ~ au cas ou tu ne saurais pas par ou commencer !

Une fois ton premier post fait (celui avec les lignes requisent) tu nous donne le lien ici et se sera bon et tu sera totalement des notres.

C'est bon !
Je te met chez les Demi-Elfes

Bon jeu !