Solomon Daren [Validé]

Nom : Daren, nom d'une famille de paysans et de chasseurs sans histoires sur les terres de Miradelphia.

Prénom : Solomon, prénom qui devait, d'après ses parents, le destiner à demeurer pacifique tout au long de sa vie...

Âge : Bien que son apparence ne le montre pas tellement, il vient de dépasser le cap des trente ans, si peu d'années pour certains et pourtant une si longue vie pour lui... [30ans]

Sexe : Comme le souhaitaient ses parents, un nourrisson de sexe masculin pour pouvoir reprendre l'exploitation familiale. [Masculin]

Race : Comme son âge de raison passé depuis plusieurs années maintenant l'indique, il appartient au peuple éphémère de ces contrées, les Hommes. [Humain]

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Particularité : Les connaissances que possèdent les érudits sur cette maladie qui lentement le ronge se rapproche sans doute possible de ce que l'on pourrait nommer néant... Une toux irritante qui ne le quitte jamais, parfois ce sont de véritables crises qui débutent, se finissant par un goût de sang dans la bouche, une irritation de sa pauvre gorge qui subit inflammation sur inflammation depuis quinze longues années maintenant.

Alignement : La clarté du bien illumine légèrement la neutralité que les personnes comme lui éprouvent à cause de leur position dans la société. [neutre/bon]

Métier : Même s'il était prédestiné à suivre la même voie que son père en travaillant ardemment dans les champs, la liberté qu'il éprouvait en se promenant dans ces vastes espaces sauvages le conduire très rapidement à choisir une nouvelle direction : celle que le vent lui dictait... Un voyageur au multiple volonté... Un rêveur en quelque sorte, surtout qu'il a toujours eu comme un talent, de faibles pour nombre de son clan : l'écriture, un artiste caché sous les traits d'un voyageur aguerri. [Voyageur/écrivain]

Classe d'arme : Bien qu'il excelle par sa précision à l'arc, hérité des talents de chasseurs de sa famille, il apprit rapidement que voyager seul ne lui permettrait que trop rarement de pouvoir surprendre un ennemi déclaré... Ainsi un bouclier orna rapidement sa panoplie de voyageur pour contrer quelques offensives...[A distance/ Défensif]

Équipement : L'arc et le carquois sont les accessoires que l'on remarque les premiers lorsque l'on croisait cet humain. Tous deux accrochés dans son dos de façon à être facilement accessibles en cas de chasse ou même d'attaques anticipées... Bien sur, comme cité un peu plus haut, posséder que cette arme n'est pas une bonne défense et c'est ainsi qu'un bouclier d'un poids raisonnable sans grande décoration se rajouta à son équipement. Mais ce n'est pas là son unique défense, sous sa chemise, un dernier rempart se dresse à toute heure pour empêcher les lames acérées de pénétrer son poitrail. Une armure de cuir plutôt légère dont la manufacture n'est pas de trop mauvaise qualité.

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Description physique : Comme il lui fut souvent reproché par sa famille, sa musculature était loin d'être un atout majeur dans sa physionomie. Les courbes de son corps ne révélaient rien d'une quelconque force. Sa peau, très souvent caché par des vêtements qu'il préférait longs, n'avait pas pris le ton halé de sa famille, gardant ainsi la pureté de la pâleur. Un ton qui contrastait avec sa chevelure d'un noir de jais, tombant en cascade sur ses épaules, glissant ainsi pendant quelques centimètres encore... Ses cheveux ne s'attardaient pas seulement à l'arrière de son crane, de nombreuses mèches descendaient aussi, de façon désordonnées, pour cacher un peu son visage. N'échappant pas à cette punition, ses yeux couleur bleu violacé se dérobaient eux aussi par la présence de cette longue chevelure.

Ajouté à tout cela, sa taille pouvait lui donné une sorte de beauté elfique. Un mètre quatre vingt cinq sans une once de gros muscles ni même de bronzage... Bien sur, c'était relatif puisque que sa maladie l'emporterait sûrement un jour. En plus, les premières rides dues à ses nombreux voyages s'étaient déjà percées aux coins de ses yeux : la malédiction de la mortalité...

Description mentale : Partagé serait le terme exact pour annoncer comment se trouvait son mental. D'un côté, la douceur émanant de son style artistique, où chaque imperfection lui est insupportable. De l'autre, une sorte de folie meurtrière s'éveillant en lui lors d'un affrontement ou d'une chasse durant laquelle il cherchera son dîner. Une sorte de schizophrénie très peu développée entraînant parfois un comportement lunatique, pouvant passé rapidement de la fureur aux regrets presque maladifs de son énervement. Instable et pourtant d'une intelligence assez développée si l'on comparait à ceux qui l'entouraient chaque jour, il voua bientôt une sorte d'adoration à la grâce des elfes. Ce nouveau paramètre lui permettant de garder le plus souvent possible sa partie artistique au premier plan, délaissant ses sautes d'humeurs.

Lorsque ces deux facettes de sa personnalités étaient comme éteintes, le sentiment principal que l'on pouvait alors observé était sa tristesse. Pourquoi exactement, c'était une chose que lui même ignorait. Le découvrir un jour, peut être était ce là le but de son périple, mais rien n'était moins sur...

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Comment trouves-tu le forum ? : Bonne activité, Design sympathique, Membres aux RP plutôt agréables à lire... Que demander de plus!

Comment as-tu connu le forum ? : Au détour d'un Top Site, en recherchant de nouveaux horizons...

Histoire :

Au commencement d'une vie

Dans une contrée humaine, à plusieurs jours de marche de Diantra, un petit village s'était improvisé. Un espace restreint qui leur permettait de vivre de l'agriculture et de la chasse, loin de l'agitation des grosses agglomérations. Un faible nombre d'habitants, descendant pour la plupart d'une grande famille de paysans qui avait élu domicile ici bien des années auparavant. Un cadre qui pouvait paraître précaire, mais il n'y manquait rien, à part peut être des hommes... Cela faisait un certain temps déjà que les naissances de nourrisson de sexe masculin avait reculé. A qui en était la faute, personne ne le savait exactement, mais c'était un fait avéré que même le chef du village, un mage peu puissant qui était tout de même parvenu à prévoir certains évènements, n'arrivait à comprendre. Pourtant la fécondité des femmes ne pouvaient être mise en cause, pas plus qu'une stérilité masculine puisque chaque année, on pouvait tout de même assisté à plusieurs naissances, de filles...

Dans ce contexte, la nouvelle grossesse de Abigael était comme un don du ciel. Elle atteignait bientôt l'âge où ses menstruations allaient disparaître et son mari, Anaël, espérait toujours avoir un garçon pour reprendre sa ferme et l'aider dans toutes les tâches qu'il ne pourrait plus faire dans quelques années. Bien sur ils avaient déjà huit filles, mais pour eux, un héritier était comme un rêve qu'ils voulaient voir se réaliser. D'ailleurs, ils pourraient bientôt découvrir si leur voeu avait été exaucé, le neuvième cycle de la lune était en train de commencer. Tout le monde s'affairait autour de leur ferme, impatient de constater par eux même si enfin les Daren allaient avoir un fils. Le médecin était déjà à l'intérieur et l'accouchement avait commencé. La femme d'un âge maintenant avancée avait déjà perdu les eaux et les contractions devenaient de plus en plus pressantes. La tête de l'enfant ne tarda pas à trouver la lumière du jour et bientôt, ce fut au tour du reste de son corps, au grand soulagement de Abigael.

Rapidement, le cordon ombilical fut coupé et l'enfant enveloppé dans une couverture douce. Personne ne savait encore quel était le sexe du nourrisson et une tension commença à s'installer. Le vieil homme gardant toujours l'enfant dans ses bras finit par venir près de sa mère pour lui remettre, un sourire sincère sur ses lèvres.

Désormais, vous l'avez votre héritier...

Des paroles simples et pourtant merveilleuses pour le couple qui continuait d'espérer malgré les échecs précédents. La nouvelle fut alors transmise avec fierté par le père à tout le village qui se mit alors à vibrer pour cet heureux événement. Un nouveau garçon allait s'ajouter au village, un nouvel homme était né pour le défendre et le nourrir. Venu au monde le quatrième jour du mois de Bàrkios, Solomon Daren, fils de Anël et Abigael, n'était peut être pas celui que tous espéraient. Sa naissance un Tariho ne lui prédestinait pas un avenir des plus clairs, d'après les paroles du chef de village qui n'aimait pourtant guère s'adonner à ce genre de prédiction...

Malédiction

Le temps passa et personne ne voyait en Solomon la moindre trace de ce que l'on pourrait interpréter comme une preuve des dires du mage du village. Un soulagement pour les parents, mais aussi une déception, leur chef était peut être en train de s'affaiblir. C'était ce qui traversait d'ailleurs tous les esprits à présent, déjà cinq années qu'il était né sans donner la moindre trace d'une quelconque malédiction. La seule chose que l'on pouvait constater c'était peut être son manque d'endurance par rapport aux autres enfants, pourtant pour la plupart de sexe féminin. Tout le monde pensait que ce n'était que passager, le temps que le jeune garçon acquière assez d'expérience pour parvenir à augmenter les capacités de son corps.

Mais toutes ces pensées plutôt positives sur l'avenir de l'unique fils des Daren s'envolèrent rapidement quand il eut l'âge de quinze ans. Contrairement à ce que tout le monde pensait, il ne gagna pas vraiment de puissance physique, à part au niveau de sa taille, le seul critère où il les surpassait. Ajouté à ça le fait qu'il ne pouvait désormais plus vraiment faire un effort long sans être pris d'une quinte de toux qui ne s'arrêtait qu'après cinq bonnes minutes. Avant même que le médecin du village ne l'ai vu, tout le monde savait déjà ce qui lui arrivait : la prédiction du mage venait de se vérifier... La confirmation de l'érudit du village ne brisa qu'un peu plus les deux parents qui avaient été tellement fier de ce fils que le ciel leur avait donné.

- Je ne peux vous donner le nom de cette maladie, elle m'est complètement inconnue. Tout ce que je peux faire, c'est lui donner de quoi se faire des infusions pour calmer sa gorge irritée. Je vous conseillerais d'éviter de lui apprendre le métier de paysans, il pourrait en mourir avant même sa majorité. Les bases qu'il possède dans sa maîtrise de l'arc pourront au moins nous servir pour la chasse, il ne sera pas inutile au village, ne vous en faites pas...

Il n'eut aucune réponse à sa réplique. Pour Abigael, c'était comme un pieu qu'on lui plantait en plein coeur. Elle, si heureuse de pouvoir donner un fils à son mari, lui avait offert un garçon maudit, condamné à mourir dans l'effort. Le vieil homme n'arrivait même pas à la rassurer tant il se sentait coupable d'avoir tant désirer un homme pour lui transmettre son domaine, c'était un peu de sa faute aussi. Bientôt leur deux corps s'enlacèrent tandis que le médecin sortait de la pièce pour rejoindre le malade assis juste de l'autre côté du mur. Si annoncer cette nouvelle aux parents lui était déjà difficile, que dire du moment où il se retrouva face au garçon pour lui apprendre à son tour ce qu'il avait... Ce qu'il croyait au départ, avant que ce ne soit Solomon qui prenne la parole...

- Ces toux ne s'arrêteront jamais, n'est ce pas?

La lucidité dont faisait preuve son jeune patient le choqua presque, mais elle lui rendit les choses beaucoup plus facile. Même s'il ne savait pas quoi dire exactement pour rester neutre, il commença à acquiescer avant d'ouvrir lentement la bouche pour débuter ses explications.

- Je ne connais même pas le mal dont tu es atteint. Je sais simplement que tu devras éviter les efforts physiques violents. Ensuite je pourrais te donner des herbes pour te faire des tisanes mais ce sera tout. Je...

Il ne put finir sa phrase, le regard de l'enfant n'avait même pas changé, c'était comme s'il attendait cette évidence depuis tellement longtemps que le diagnostic ne pouvait l'atteindre. C'était même plus que ça, on pouvait presque percer un soulagement dans son regard. Comment pouvait on avoir de tels sentiments alors que si jeune, notre vie était déjà définie par une durée qui serait diminuée? La mine déconfite du médecin finit par arracher d'autres mots de la bouche du garçon, des phrases qui surprirent le savant, entendre ça de la bouche d'un garçon pas encore devenu adulte, c'était quelque chose qu'il ne s'était jamais attendu à voir.

- Vous savez, je suis plutôt soulagé. Je n'avais aucune envie de travailler dans la ferme. L'arc me plaît bien, c'est vrai, mais être chasseur pour le village ne m'intéressait pas plus. Maintenant je sais que je n'aurais plus à faire semblant pour satisfaire mes parents, vous m'avez donné le droit de continuer dans ma voie, celle que je veux suivre depuis que j'ai commencer à lire certains ouvrages entreposés dans la bibliothèque.

Il marqua une courte pause comme pour laisser le temps au médecin de se remettre des paroles qu'il venait de percevoir. C'était presque insensé! Comment pouvait il oser proférer de telles paroles? Ses parents l'avaient tant désirer, il avait juste voulu les combler tant qu'il le pouvait, mais maintenant qu'il connaissait la nature de ses crises, il allait les abandonner. Et tout ça était un peu de sa faute...

- Je veux trouver les elfes, apprendre d'eux un art plus poussé de l'écriture. J'ai envie de voir de mes propres yeux leur grâce infinie, je veux partir et voyager. C'est tout ce à quoi j'aspire réellement. Les enseignements de défense que j'ai reçu, la maîtrise du sabre allié à mon talent pour l'arc, je les ai assimilés dans ce but.

- Mais... Tes parents, tu comptes les laisser tomber? Et le village?

- Arrêtez de jouer, vous savez très bien qu'une maladie dont on ne connaît rien et considérer comme le signe d'une malédiction. Tout le village connaîtra ce dont je suis atteint, tout le monde aura peur de moi, j'attirerais la malchance sur tous, voilà ce que tous penseront. Et vous croyez franchement que mon départ leur feront de la peine?

Le médecin ne répondit rien, il savait la place que prenait la religion en ces lieux. Tout ce qu'il pouvait faire à présent, c'était d'aider le jeune garçon à faire ce qu'il recherchait tant. Acheter ce dont il aurait besoin, l'aider à trouver dans la nature de quoi calmer sa gorge après ses quintes de toux, développer son potentiel intellectuel déjà impressionnant pour un paysan. Ce ne serait qu'après ça qu'il pourrait lui même le laisser quitter le village... Il eut un nouveau regard sur son patient et ils se comprirent tous deux.

- Dans deux ans maximum je quitterais le village.

Ce sera suffisant pour vous inculquer une partie de ce que je sais, et de ce qui pourra t'être utile...

Départ pour un voyage sans fin

Après cette discussion, ils décidèrent de ne pas parler de leur projet. Seule la nouvelle de la maladie incurable de Solomon parcourut le village, laissant derrière elle une tension palpable. La plupart souhaitait son départ, les plus superstitieux espéraient jusqu'à sa mort. Une nouvelle ère, qui ne durerait que quelques mois, commença alors, chacun tentant d'éviter le jeune garçon qui continuait sa vie comme si rien n'avait été déclaré. Bien sur tout ce qu'aurait du lui enseigner son père sur l'art de gérer sa ferme ne fut qu'un lointain souvenir, et tout ceci fut remplacé par de longues heures à assister l'érudit qui allait l'aider à partir.

De longues heures à chercher parmi les différentes herbes et mousses poussant un peu partout dans la forêt, apprendre leurs effets pour savoir laquelle prendre suivant les douleur. Avec surprise, le médecin découvrit que celui qui était désormais comme un apprenti, assimilait avec une vitesse incroyable tout ce qu'il lui disait. Bientôt ils passèrent tellement de temps ensemble que le temps que passait chez lui celui que l'on nommait maintenant le maudit se résumait aux heures de sommeil réparateur dont il avait toujours besoin. Ses parents tentaient comme il pouvait de l'aimer, sans grande réussite, comme tous, ils voulaient le voir partir. Pour eux leur fils était celui qui avait vécu avec eux durant les premières années de sa vie, le jeune enfant en parfaite santé malgré ses problèmes physiques...

Ainsi, ce Calimehtarus quatre Bàrkios, jour des dix sept ans du maudit, lorsque tout le monde vit le cheval sellé près de la maison du médecin, des sacs pendant sur ses flancs, une once de joie parcourut le village. Le moment était enfin venu, il allait partir, quitter leur cité, arrêter de porter malchance sur les paysans qui ne parvenaient plus à avoir de bonnes récoltes depuis plus de deux ans maintenant... Pour eux, tout allait changé, et pour lui aussi. La liberté, un regard nouveau des autres sur sa personne, voilà ce qu'il espérait trouver en quittant ces lieux où il avait grandi et tout appris.

A l'intérieur, l'heure était aux adieux. Le médecin l'enlaçait tel un père abandonnant son fils à l'armée, des larmes coulant le long de ses joues, même de leurs joues. Les mots n'étaient pas suffisant pour parvenir à se quitter alors que depuis deux ans maintenant ils vivaient ensemble. D'ailleurs, ils ne parlèrent pas plus et sortirent rapidement dehors devant la foule impressionnante qui s'était réunie pour le voir partir. Tous deux s'approchèrent de la monture, le jeune homme mit aussitôt son pied dans l'étrier avant de se hisser, avec aisance, sur l'animal. Il jeta un dernier regard sur celui qui l'avait tant aidé, et, ne regardant plus derrière lui, il frappa doucement les flancs de son destrier qui partit dans un trot serein. Les larmes coulaient le long des joues de ses géniteurs, tout comme sur celles de son professeurs, mais aucun bruit ne semblait pouvoir être produit devant cette scène tant attendue...

Un départ dans un silence absolu, rompu simplement par une quinte de toux, celle du cavalier parti tel un voyageur sur les routes de Miradelphia... Tous le prirent comme un dernier adieu, un dernier souvenir de la maladie qui tentait à chaque instant de l'emmener dans les ténèbres de la mort...

Aujourd'hui

Un jour de plus passé sur les routes sauvages qui parcouraient les plaines du continent. Cependant, ce n'était pas un jour ordinaire pour lui. Un anniversaire, ou plutôt deux anniversaire pour un même moment, celui de son départ comme celui de ces trente ans. Treize ans déjà... Treize ans qu'il chevauchait sans relâche à la recherche de connaissances que seuls les elfes pourraient lui apporter. Il les avait déjà aperçus au coin d'une forêt, mais jamais encore il n'avait pu leur parler, leur demander de l'aider, d'écouter les paroles qu'il écrivait chaque soir, lorsque devant un feu, il cherchait le sommeil.

Ce jour là, ses pensées ne se dirigèrent pas vers ces textes qu'il aimait à écrire. C'était une soirée tranquille, un temps dégagé et un ciel étoilé. Les souvenirs de ses dernières années au village avec le médecin revinrent à lui. En y repensant, depuis le jour de son départ, il n'avait pas vraiment progressé. Quelques rides avaient commencé à attaquer ses yeux, plusieurs cicatrices s'étaient ajoutées à ses traits plutôt fins, signe des rencontres peu amicales auxquelles il avait dû faire face. Un léger moment de nostalgie qui s'imposait à lui chaque année, en ce même jour. Rien de plus qu'un coup de déprime, qui serait très vite oubliée le lendemain, lorsque ses cheveux voleraient à nouveau au vent, quand seul le son des sabots frappant le sol perturbait un silence entrecoupé de toux...

Ce furent ses dernières pensées avant que le sommeil n'ait raison de lui, pour une nuit de plus...

Histoire finie, je m'en remet aux arbitres Wink

Très belle fiche !!! Franchement ^^'

Seulement elle n'est pas toujours très claire Wink

Je récapitule et tu me dit là ou je me trompe. Après es ce que tu voudra bien mettre dans les différentes parties en rouge et entre crochet pour une lecture un peu plus claire ? Merci !

Age: 30 ans
Sexe: Masculin
Race: Humain

Alignement: Neutre-Bon
Métier: Voyageur & Ecrivain
Classe d'arme: corps à corps et défensif

Wouala tout ce qui a besoin d'être mis en valeur Razz

C'est très agréable à lire quand c'est manuscrit, mais simplement pour économiser un temps précieux aux admins qui vont remplir ta fiche de personnage Wink

Tout est bon ?

Bonjour et bienvenue x)

Alors juste quelques petites questions avant de te valider : tu pourrais préciser l'âge ( c'est toujours mieux pour un joueur de connaître l'âge Wink

) ? Pareil pour la classe d'arme. Corps à corps ? A distance ?

Voilà , c'est tout x)

Edit : Put*** Sol' XD

Je t'aime aussi Morgane xDDD

Je suis la meilleure et la plus rapide Razz

Pas ma faute :dehors:

C'est Adistance et defensif mais csinon c'est ça oui.
Désolé j'avais pas fait attention à la clarté =/

Je vais tout de suite préciser à côté de chaque partie.

Le sabre c'est corps à corps Suspect

Donc A distance et corps à corps Razz

Bon bah , validé ! ( oui Sol' , encore la flemme de changer de compte )

Like a Star @ heaven

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Like a Star @ heaven

Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Like a Star @ heaven

Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Hum hum Lilianna.

Donc bon on va rien dire... Tu édite siouplait ?
Donc Corps à corps et A distance Wink

Merci !

Dès fois Lilianna j'ai envie de te tuer... Tu es tellement attentive xD
Sinon Bienvenu et bon Rp !

Ben je sais pas, quand j'ai lu dans le registre, il y a écrit que épée c'est dans défensif, donc sinon je peux mettre épée à la place de sabre si c'est le terme qui dérange ^^

Parce que corps à corps ça le fait pas pour quelqu'un qui supporte très mal les efforts =/

Bah désolé mais Sabre c'est corps à corps...

Mon deuxième perso est une femme ne possédant pas énormément de force physique miais privilégiant l'agilité. Mais elle a un sabre et on ma mise en corps à corps...

Normalement c'est corps à corps ^^'

D'accord ^^

Dans ce cas, je vais éditer pour remplacer le sabre par un bouclier ^^

D'accord... Bon bah j'ai terminé alors... M'enfin à mon avis un arc ne sert qu'a distance... Un sabre t'aurais été bien utile... 'Fin smon avis Rolling Eyes

Euh par contre, je peux commencer tout de suite ou il faut que j'attende que l'on me mette ma couleur?

Bienvenue!

Tout est en ordre, tu peux commencer maintenant, désolée de l'attente Embarassed

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