Unae Rhya de Serramire [Grand Prêtre d'Arcamenel]

Nom : De Serramire.
Prénom : Unae Rhya. Bien souvent abrégé en Unae.
Âge : Vingt-neuf ans.
Sexe : Masculin.
Race : Humain.
Particularité : Unae est atteint de narcolepsie. Pour faire simple, il existe pour lui un risque permanent de somnoler quelques instants et en toute situation, cependant réduit par l'effort ou une intense concentration. Il existe en outre chez lui deux symptômes secondaires caractéristiques de cette affection neurologique: la cataplexie, sorte de brève paralysie d'un ou plusieurs membres, pendant laquelle Unae reste tout à fait conscient; et les hallucinations hypnopompiques, apparaissant en général lors d'une cataplexie, lui faisant avoir toutes sortes de visions en réalité sorties droit de son esprit, comme en un rêve tout éveillé. Si un point reste flou, sachez que cette particularité sera développée dans l'Histoire d'Unae.
Alignement : Communauté de la Lumière.
Métier : Noble [Duc], Grand Prêtre d'Arcamenel.
Classe d'arme : Corps à corps / Magie.



Unae possède depuis ses dix-huit ans une superbe rapière de duel faite d'argent, irréprochablement entretenue. Son pommeau comporte des gravures représentant un héron, volatile emblématique de la maison Serramire, prenant son envol, et on peut deviner le tracé d'un rosier parcourant délicatement la fine lame, de sa base à son extrémité. Lorsqu'il ne l'utilise pas, le noble la place au côté, dans un fourreau fait de la même matière que la lame qu'il abrite, et sur lequel sont représentées des plumes au contour en relief.
Il ne porte pas d'armure. Cela gênerait ses mouvements, et il ne ressent de toute manière pas le besoin de posséder une telle protection; il se contente de sa robe de prêtre immaculée. Sous celle-ci se trouve néanmoins un plastron de cuir, très résistant, prévenant en permanence toute blessure directe au coeur s'il venait à se trouver en une situation délicate. Il ne s'agit que d'une simple précaution, qui n'a pour l'instant jamais servi.



Unae est un bel homme, il n'y a rien à contester dans cette affirmation; peut-être l'un des plus agréables à l'oeil selon les critères Humains. Il mesure un mètre quatre-vingt-cinq, et domine généralement par sa taille la plupart des autres représentants masculins de sa race. Son physique est très fin et élancé, et sa musculature tout juste suffisante pour permettre le maniement des armes de duel. Son visage, aux traits fins et délicats, si purs qu'ils en deviennent presque féminins, est entouré d'une cascade de cheveux couleur corbeau, raides et toujours parfaitement coiffés, s'arrêtant au niveau de ses reins, contrastant fort avec son teint assez pâle. Plaçons également sur sa figure deux yeux gris, purs, au regard franc mais jamais dur, semblant observer l'esprit plus que l'enveloppe, surplombant un nez fin et droit qui forme une très légère pointe; complétons avec une bouche aux lèvres tout aussi fines, souvent légèrement étirées en un sourire rassurant et chaleureux, lui seyant d'autant plus que, face à la rareté de la chose, il marque infiniment plus lorsqu'il est absent que lorsqu'il est présent. Voici le réel charme d'Unae: équilibre et délicatesse.
Ce qui frappe également chez lui est relatif à la noblesse de son maintien. Il a pour principe de toujours rester droit; sa démarche, fluide et élégante bien que décidée, donne l'étrange impression qu'il glisse sur le sol. Il a bien souvent les mains jointes lorsqu'il est à l'arrêt, s'exprime avec le geste et le regard tout autant que la parole.
Unae porte en permanence une robe de prêtre. Celle-ci, d'un blanc immaculé, est rehaussée d'un col couleur d'or, d'une pièce de tissu violet partant au niveau de l'épaule et flottant à son côté, ainsi que d'une ceinture possédant la même teinte. Le vêtement se termine au niveau de ses pieds, effleurant le sol à chacun des pas de son possesseur. En outre, les longues manches d'Unae laissent paraître une doublure pourpre, et un triangle de tissu violet qui y est cousu joint le majeur de chacune de ses fines mains, grâce à deux anneaux d'or passés à ses doigts. Enfin, le Grand Prêtre est chaussé de légères bottes de voyage blanches, d'excellente facture, comportant à l'extérieur de chacune le dessin du héron si familier à son clan.



Unae, d'ordinaire, reste calme et réfléchi en toute situation. Dans son esprit se mêlent diverses pensées, généralement relativement complexes, qu'il ne partage que trop peu souvent avec son entourage. Tantôt renfermé, tantôt extraverti, les variations de ses humeurs restent difficiles à capter.
Il apprécie grandement la compagnie de ceux qui l'acceptent. Il en est même parfois dépendant, notamment lors de ses brusques accès de sommeil. Même s'il se confie difficilement aux autres sur les sujets les plus intimes, il n'en reste pas moins un partenaire apprécié de tous: vif d'esprit, doté d'un humour subtil et ayant toujours une histoire ou une anecdote intéressante à raconter.
Cependant, bien qu'il ne le laisse pas paraître, il a peu à peu perdu foi en l'humanité, ayant vu se dérouler trop de guerres et de conflits; si bien qu'il a fini par penser qu'il appartenait à une race maudite. Son idéal, selon ses principes, serait un monde de paix, sans inégalités, sans races rejetées. Mais un monde de ce type n'est que pure utopie. Il a donc accepté la guerre comme l'issue fatale du processus engagé par la société, et a choisi le camp qu'il espère vainqueur. A la différence de certains nobles ne vivant que pour leur richesse et leur pouvoir, lui les renie de tout son coeur, même s'il est forcé de les conserver, plus par besoin que par plaisir. C'est pourquoi il se fait assez discret à ce sujet.
Il aime particulièrement le chant. Entraînant sa voix tout autant que ses capacités d'escrimeur, les airs qu'il entonne peuvent atteindre les plus difficiles des aigus comme les tons extrêmement graves. Les mélodies religieuses qu'il a apprises, il leur a donné des paroles de sa composition, dans un langage qu'il a créé par pur plaisir.
Son handicap l'affecte particulièrement. Il est considéré par tous, à cause des hallucinations passagères qu'il lui envoie, comme un cas exceptionnel, pouvant déceler un signe des Dieux lui étant spécifiquement adressé; Unae, en revanche, bien qu'il partage en apparence l'opinion des autres, se doute depuis toujours de la vérité. Et sous l'angle duquel il voit les choses, il réalise que sa vie, sa carrière, tout cela est bâti sur un gigantesque mensonge, une erreur monumentale lui prêtant des capacités qui ne sont pas les siennes.

L'héritier naquit un beau jour d'été.
Cet enfant, longtemps attendu par ses parents, fit la joie du vieux Duc de Serramire et de son épouse. Il faut préciser que le couple crut pendant des années qu'il ne pouvait avoir d'enfant, donc que la lignée ne pourrait perdurer. Mais l'enfant était là, en excellente santé même. Les terres de la maison Serramire, bien que situées relativement loin de Diantra, représentaient la récompense de toute une vie de loyaux services. Le prochain qui les posséderait venait de voir le jour. Et il fut baptisé Unae Rhya.
Le jeune noble reçut une éducation exemplaire, choyé par ses parents, qui se rendaient évidemment compte qu'un telle chance ne leur serait probablement donnée qu'une seule et unique fois. Il vécut entouré de l'amour de sa famille, jusqu'à l'incident qui changea sa destinée.
Lorsqu'il eut dix ans, on jugea bon de lui inculquer les rudiments de l'escrime. Il s'avéra que le jeune Unae apprenait vite, tout autant sur le plan technique que le plan spirituel. Un simple fleuret d'acier lui fut confié, qu'il utilisa plusieurs heures par semaine avec un maître d'armes. Et puis un jour, lame à la main, en pleine passe d'armes, il s'endormit. Simplement. Quelques instants qui lui valurent une entaille profonde dans le bras, son professeur étant persuadé qu'il allait effectuer une parade, l'en voyant esquisser le mouvement.
Unae fut par la suite examiné par un médecin. Il ne souffrait d'aucune carence alimentaire, d'aucun manque de sommeil, et le spécialiste décréta que ce symptôme n'était pas de son ressort. Alors tout le monde crut à un malaise passager, et ses parents ne s'en inquiétèrent pas outre mesure.
Cependant, durant les mois, les années qui suivirent, Unae s'endormit de plus en plus souvent, généralement pendant quelques secondes, lors de ses leçons ou de dîners, et même, mais plus rarement, pendant ses entraînements.
Et les visions commencèrent. Parfois, il sentait qu'il ne pouvait plus se mouvoir; chaque muscle était pour lui tétanisé et, alors, devant lui, apparaissaient les Dieux, ou les pires créatures qui s'affrontaient, plus vraies que nature, dans de sanglantes guerres, l'espace d'un instant qui pour le jeune garçon durait des siècles. Il était parfaitement sain d'esprit, à n'en point douter; ainsi, suite à l'échec de la médecine, fut-ce un religieux qui vint examiner son cas, ayant eu le loisir d'observer l'une de ces crises. "Il est certain que votre fils a développé une sorte de don lui permettant de recevoir des visions des Dieux", avait-il alors dit au vieux Duc de Serramire. Celui-ci, particulièrement fier, envoya son fils, à ses douze ans, comme Adepte au sein de l'Ordre d'Arcamenel, où il concilia religion et apprentissage de l'escrime lors de son temps libre.

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La dernière syllabe du chant du jeune homme avait longuement résonné entre les murs de la chapelle. Fragile, éphémère, le son s'était finalement tu, mettant ainsi fin au dernier des chants religieux repris par le Prêtre. La langue utilisée, aux sons harmonieux, semblait être de sa composition; étrangement, cela fascinait les esprits plus que toute autre chose, et certaines personnes parmi les fidèles venaient en réalité pour l'entendre entonner ces hymnes, de sa voix douce, pure et mélodieuse.
Tandis que la chapelle se vidait, le jeune homme emprunta une petite porte de bois, un peu en retrait, et flâna un moment dans le jardin. Sa robe blanche faisait frémir les brins d'herbe qu'elle balayait. Alors qu'il se penchait au-dessus d'une fleur, le visage masqué par de longs cheveux noirs, pour en humer le parfum, il entendit des pas s'approcher tranquillement de l'endroit où il se trouvait. Il se retourna, sans animosité aucune.

- Unae.
- Grande Prêtresse, répondit-il en posant un genou à terre.
- Laissez, mon jeune ami. Un homme de votre rang n'a à s'incliner que devant les souverains.

Il s'exécuta. Il était vrai que, depuis la mort de son père, son titre de Duc lui avait été directement transmis. A présent, il était le Duc Unae Rhya de Serramire, portait l'épée au côté, le plastron au torse sous son habit de religieux, et devrait s'y habituer. Il était assez rare de voir un Prêtre ainsi armé, mais la protection de son enfant chéri avait été l'une des dernières volontés de son cher père. Il comptait bien la respecter, même s'il n'en voyait pas vraiment l'utilité.

- J'avais une bonne nouvelle à vous annoncer, Unae, continua son interlocutrice.

Elle ne souriait pas vraiment, malgré cette annonce. L'elfe Delówiel, Grande Prêtresse d'Arcamenel à Alëandir, et d'un âge relativement avancé en dépit de son apparence, avait pris Unae sous son aile dès son arrivée. Cet enfant le fascinait. Ses dons, bien qu'étranges, ne pouvaient selon lui que servir l'Ordre. C'est pourquoi, très tôt, elle l'avait tout naturellement appelé par son prénom. Et le jeune noble trouvait cela parfaitement normal.

- Vraiment? Et quelle est-elle?
- Je me retire de l'Ordre et abandonne mon titre. Je suis lasse. C'était mon dernier jour ici; nous avons décidé que mon ancien rôle vous reviendrait. Vous êtes le nouveau Grand Prêtre d'Arcamenel à Alëandir.

Cette nouvelle causa un vif chaos émotionnel dans l'esprit d'Unae, mêlant joie et tristesse, mais également lassitude... et crainte. Cette tutrice qu'il respectait tant, elle allait partir, et lui, après seulement dix-sept ans de foi, allait hériter d'un titre égal au sien? C'était insensé. Certains avaient attendu toute une vie une pareille occasion, qui ne s'était généralement jamais présentée.
Sur ces réflexions, il s'endormit brusquement.

- Mon garçon - je veux dire, Grand Prêtre, reprenez-vous.

Le jeune homme se redressa. Cette fois-ci, il n'était pas tombé. Il était habitué à ces étranges symptômes, que son entourage qualifiait de divins, mais qu'il savait tout autres; dans la crainte de décevoir, il allait de l'avant, et advienne que pourra.

- Mais... Je veux dire, vous ne pouvez pas partir de cette manière. Nous avons encore besoin de vous.
- Ne vous méprenez pas. Ce sont vos qualités qui font défaut à l'Ordre d'Arcam. Votre charisme sera largement suffisant pour pouvoir parfaitement assumer ce poste.
- Dois-je considérer cela comme un ordre?
- Si vous y tenez.
- En ce cas, je serais honoré d'assumer ce rôle que vous avez tant apprécié, conclut Unae avec un sourire.

Le reste de la conversation se résuma à un échange de banalités, puis l'Elfe et l'Humain se quittèrent, se promettant de garder malgré tout le contact. Finalement, la vieille Delówiel partie, Unae s'allongea dans l'herbe, tira sa rapière de son fourreau et l'examina comme il le faisait si souvent. Aussi belle qu'au premier jour. Son défunt père la lui avait léguée, alors qu'il avait dix-huit ans; cela faisait onze ans maintenant, et jamais l'arme n'avait été tachée de sang, jamais une lame ennemie n'avait osé y créer une quelconque rayure. Et pour être franc, la vie d'Unae commençait à l'ennuyer profondément. Mais sa promotion lui ouvrirait de nouveaux horizons, et cela ne pourrait être mauvais. Tout d'abord, il pourrait apprendre de nouveaux chants, qu'il adapterait dans sa langue spéciale...
Et tandis qu'il pensait à son avenir, il se releva d'un geste souple. Il devait commencer aussi tôt que possible.

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...
Un paon. Bleu. Il le fixait étrangement, comme animé d'une soudaine volonté de lui dévorer le visage.
Puis l'arrivée du chien noir. Un chien énorme, semblant sorti droit des Enfers, aux crocs luisants. Il sautait sur le paon, tentait de le saisir à la gorge; les plumes volaient, formant dans l'air des mots sans sens; puis le chien l'avalait et se tournait vers le spectateur, dans son immobilité forcée, maintenant habitué à son étrange présence, tout en sachant qu'il ne pourrait jamais réprimer ce sentiment d'angoisse qu'il éprouvait lorsque leurs deux regards se croisaient. Et la bête enflait, enflait à l'infini.
Il retrouva l'usage de ses jambes et en profita pour se redresser. Les quelques adeptes chargés des corvées du jour l'entouraient, d'un air inquiet; après tout, il n'avait pu rester assis sur une vulgaire chaise et en était tombé dans un bruit mou, les yeux rivés vers une chose que personne ne pouvait voir.

- Je vais bien, vraiment, répondit Unae à ceux qui osaient s'enquérir de son état. Juste les visions habituelles. Peut-être relatives à la guerre qui se prépare.
- C'est que, Monseigneur, vous êtes si pâle. Vous nous donnez l'impression que le simple fait de crier trop fort pourrait vous tuer sur le coup...
- Tout va parfaitement bien, répéta le Grand Prêtre avec un faible sourire destiné à les rassurer.

Un prêtre, attiré dans la salle où le jeune Duc était occupé à écrire, congédia durement les curieux d'un air agacé et s'approcha de lui.

- Qu'était-ce?
- La même chose que d'ordinaire. L'histoire du paon et du chien.
- Vous croyez que...?
- Ce que je crois n'a ni importance, ni impact ultérieur. Vous me connaissez. Bien que ma raison me convainque de ne point interpréter, mon imagination prévaudra. C'est là toute la subtilité de la capacité de réflexion humaine, mon cher.

Laissant là son camarade et ses questions, cela dit probablement fort intéressantes, Unae sortit à nouveau de la petite chapelle, la même que d'ordinaire, pour s'allonger à son endroit favori du jardin, entre les rosiers. Le parfum des fleurs était relaxant, l'aidait à se détendre et à penser.
A défaut de manifestation divine, il était persuadé que ces visions étaient une sorte de rêve éveillé, une représentation de ses craintes concernant la guerre future. Le paon représenterait donc les Humains et l'alliance de la Lumière en général. Fiers, orgueilleux, mais stupides; se pavanant en s'arrogeant un droit de décision suprême par rapport au sort des races croisées, décisions d'ailleurs empreintes de préjugés. Quant au chien, eh bien, il ne pourrait être que le peuple des Drows. Sa puissance et sa cruauté en étaient la preuve.
Peut-être était-il temps pour lui de choisir son camp. Les Drows, s'ils sortaient victorieux de la guerre, n'hésiteraient pas à dominer tout le continent. Et si la Communaté de la Lumière sortait victorieuse du conflit, la même chose se produirait vis-à-vis des Drows. Cependant, il ne pouvait aller avec un peuple visant en résumé la destruction. Et en tant qu'Humain, il pourrait influer sur le jugement porté par sa race sur les êtres différents. Au fond, tous les Drows, tous les Hybrides ne pouvaient être mauvais; ceux qui prenaient le risque de trahir les leurs pour se rallier à la cause qu'ils pensaient être juste en étaient la garantie.
Son chemin était tout tracé: il aiderait la Communauté de la Lumière à vaincre. Des vies gâchées pour des vies sauvées; par la volonté des Dieux, qu'ils aillent en paix, et caetera.
Un nouvel accès de sommeil interrompit ses réflexions. Mais ce n'était pas si grave; maintenant, Unae savait ce qu'il avait à faire.

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Comment trouves-tu le forum ? : Toujours aussi bien qu'à mon arrivée...
Comment as-tu connu le forum ? : Par un site de référencement.

Merci de bien vouloir excuser ce double post. Ma fiche ne tenait sur un seul. =)

Validée huhu (sauf si un de nos adepte du dieu des caramels a un soucis et te le dira surement moi je ne vois rien a changer )

Foire au RP ~ Pour tout ce qui est recherche de compagnons RP. En bref, que du bonheur !
Inventaire ~ Pour suivre ton évolution {obligatoire}.
Le comptoir ~ Pour créer ton compte en banque et gérer l'argent que tu gagnes / que tu dépenses^^
Et enfin, si tu as des question, n'hésites surtout pas à demander de l'aide à un parrain, ou à tout simplement poser tes questions dans la partie créée à cet effet.

Heureusement que je t'avais demandé d'attendre un peu pour le double compte...

Tout d'abord, rebienvenue^^ Ca m'a l'air d'être une belle fiche mais je n'ai pas encore eu le temps de la lire. Et puis mince, tu viens juste de céer l'autre ! xd

(je ne suis pas trop dispo ce week-end, si quelqu'un pouvait s'en charger...)

Juste un truc...

Grand-prêtre d'Arcamenel... Il y en a déjà un à Diantra (Méréwyn). Pour l'instant il n'y en a pas à Alëandir (et la dernière était une femme ! Dans mes rps avec ma prêtresse ok mais j'aime la cohérence ). Il n'y en a pas à Kirgan non plus.

Où voulais-tu être grand-prêtre ?

et bien... bienvenue a nouveau^^

Galborix, on ne souhaite pas la bienvenue tant que la fiche n'a pas été validée !

Elle a été validée Ambre

lol il y a eu un édit ! abusé !

Non sérieux, tu ne peux pas être grand-prêtre de Diantra hein !

Hum; eh bien, on dirait que j'ai bien fait d'omettre de donner des indications précises concernant les lieux ou le temps... Je dois avouer avoir eu un petit peu de mal à comprendre l'organisation hiérarchique au sein des Ordres religieux.^^
Disons que je suis disposé à pourvoir ce poste là où il y en a besoin. Casez-moi donc sans hésiter à n'importe quel endroit libre, si je peux espérer un peu d'activité là où je débuterai. ;p

Lilianna => Je suis désolé^^ Entre-temps, Aurore avait demandé à Dragan, qui lui, même a accepté, donc... J'espère que tu ne m'en voudras pas. ^^

xd il reste Alëandir et Kirgan pour un "gentil".

Si tu vas à Alëandir, serait-il possible que tu modifies ta fiche pour que l'ancien grand-prêtre soit une femme ? please....

Et ma tite prêtresse viendra certainement te poser des soucis... fufufu.

Je m'y attèle. Y a-t-il des critères physiques bien spéciaux, et dois-je lui donner un nom à sonorités elfiques? =)

C'est une elfe stricte, c'est tout^^

Le reste tu fais comme tu veux.

Merci beaucoup ! Ca mettra plus de cohérence.... xd

Modifications effectuées. L'ancienne tutrice d'Unae se nomme Delówiel, et j'ai légèrement changé le dialogue. Est-ce que cela conviendra? ^^

xd moi ça me va !

Bienvenu grand-prêtre !

Il faudra faire une réunion avec les membres de l'ordre d'Arcamenel... Aerandir, Méré, Naessa et toi... fufufu . Pourquoi ya que moi en petite prêtresse d'abord ? Vais passer haute-prêtresse pour la peine ! (pas gagné ! )

Merci bien =)
J'en déduis donc que je peux dorénavant aller ouvrir mon inventaire et mon compte?

Vi sans problème ! (tu pouvais le faire dès le moment où tu étais validé)

Je préférai juste prévenir...