Kami Gacku
Humain
Nombre de messages : 11 Âge : 31 Date d'inscription : 10/10/2008
Personnage :.: MANUSCRIT :.: Âge : Taille : Niveau Magique : Non-Initié
| Sujet: Kami Gacku [Assassin] Sam 11 Oct 2008 - 13:27 | |
| Nom/Prénom : Kami Gacku Âge : 20 ans Sexe : Masculin Race : Humain Particularité : Sans grande particularité, mis à part quelques cicatrices dans le dos. Alignement : Neutre - Mauvais Métier : Assassin (je viens de voir que la classe est restreinte, mais qui ne tente rien n'a rien) Classe d'arme : Corps à corps Équipement : Kami est un peu différent des assassins fréquentable, il porte dans son dos une longue épée comme pourrait en avoir les défenseurs du bien, caché dans ses bottes en cuir il possède une petite dague qui peut parfois l'aider à sortir des situations périlleuses. Son pantalon ne cache rien de spéciale mais un niveau de sa ceinture, en cuir elle aussi, se trouve une fiole de la taille d'une petite balle contenant un liquide avec une odeur désagréable, une fiole de poison. Au niveau du torse il possède une tunique rouge sang, au début elle était plutôt noir, mais au fil du temps sa rougit... Description physique : Il n'est pas très grand et d'une discrétion pas tout le temps de haut niveau, ses cheveux sont longs et noirs, comme ceux de son père. Il à une vitesse plutôt excellent et une résistance hors du commun, l'entrainement de son père à forgé son corps. Son visage parait être celui d'un enfant, il est composé d'un nez (non ?!) et d'un regard pétrifiant qui à parfois fait fuir des ennemis ou en faire supplier d'autre. Ses jambes, malgré sa petite taille, lui permette de faire des sauts assez haut. Il permette aussi de fuir dans des situations délicates. Sa vision, assez développé, lui permet de voir les détails important, une longue expérience lui à permis de développé un excellent sens de la vision. Quand à l'ouïe, il est plutôt dur de l'oreille et comprend souvent l'inverse des choses... Description mentale : Combattif, assoiffés de sangs, il n'a qu'une envie, c'est d'être le meilleur, il ne se bat pas pour l'argent ni pour la réputation, mais juste pour devenir le meilleur. Il pense beaucoup au futur, et voyant dans la guerre qui se déroule actuellement, une grosse opportunité de pouvoir montrer ses talents aux plus offrants, il n'a pas de préférence pour les deux armées, les coups bas sont autorisés... Mais il ne faut pas dire que c'est un traitre, il à un code de l'honneur et pour aucune raison il viendrait à le bafouer. Enfin, à cette heure-ci il ne doit pas l'avoir bafouer, surement... Il est courageux, et même dans des situations dont il n'a pas le contrôle il arrive à se faire une place pour servir à quelque chose, il n'est pas non plus dieu et il ne gagne pas tout le temps, il préfère fuir que mourir. Histoire :Chapitre 1 : La naissance du diable
Mes parents mon fait naitre un 13, jour maudit comme certain peuvent le penser, moi je n'ai aucune croyance en ces choses là, j'ai même un malin plaisir à voir les jeunes paysans de mon village refuser parfois de ma dire bonjour gentillement, ils sont plus du genre à me lancer un regard noir et à continuer leur route en veillant bien à se retourner pour voir si je ne m'amusais pas à les regarder. Mes parents m'avais donné le nom de Kami, qui voulait dire dieu dans une langue dont je ne connais même pas l'existence. J'étais l'espoir de la famille, un homme tout d'abord, mais dès ma naissance je vagabondais déjà à ma naissance, bien que je voyais rarement ma famille car leur travail les empêchaient de me voir, j'appréciais la personne qui me gardais quotidiennement, qui me nettoyais tout les matins dans le petit bain, prenant soin de ne pas me faire tomber. C'était une jeune fille, maintenant je lui aurais bien donné une quinzaine d'année, mais ce n'était que du passé, une enfance gentille ? Huhu...
Chapitre 2 : Tu ne m'as jamais vu ?
C'était ma première année, mes parents avec de l'argent dont je n'avais jamais perçu le bruit de la bourse pleine, avait malgré tout réussi à employer un jeune prêtre qui m'apprenais quelques leçons, la lecture, l'écriture et un peu de maths. C'était ma première année d'enseignement. Je ne me passionnais pas pour ces matières et je ne voyais de l'importance que dans l'art de lire et d'écrire. Un soir mon père, qui avait fini son travail me paru alors que j'étais dans la corps aidant la femme qui me gardait. Le dos courbé, je me figea surpris par son arrivé, il se rapprocha de moi et espérant un quelconque bonjour ou un baiser venant de sa part, je le suivis du regard passant à côté de moi sans même poser son regard sur moi. J'étais intérieurement malade et rouge de colère. Je le laissa filer le poursuivant avec mon regard, d'un geste vif il se retourna et me lança d'une voix dure et puissante.
Tu ne m'as jamais vu ?!
Je sursauta de peur, et me retourna n'osant pas le regarder, il avait cessé sa marche, le premier pied sur l'escalier de bois qui menait à l'entrée de la maison. Même le dos tourné, je sentais ce regard pesant et rempli de haine. Depuis se jour mon père revenait plus souvent, tard le soir, les mains remplies de sang.
Chapitre 3 : Combat contre le diable
Plus les jours passaient et plus souvent je sentais mon dos souffrir, mon père me rouais de coup, il affirma que cela me rendait plus fort, les jours où il revenait plus tôt, il me tirait de mon activité et il m'amenait dans le jardin, il me disait de prendre un bout de bâton et de cogner, cogner, cogner ! Après quelques minutes ou je ne tapais que le vent, mon père attrapa lui aussi un bout de bois, taillé en forme d'un sabre, lourd mais puissant. Il me disait d'approcher, cessant mon activité je me rapprocha. Étrangement, quand je faisais mes exercices, je n'avais pas peur, quand mon père m'appelait pour cogner, je sautais de mon lit ou je pratiquais la lecture et j'allais dans le jardin pour m'entrainer. Pour en revenir à ce que mon père allait faire avec ce bout de bois, c'était simple. Quand je fus en face de lui, il me cogna. Sur le coup je n'avais pas compris, et me relevant de ma chute je constatais l'ampleur des dégâts, surement une côte de brisée... Je me contenta de riposter, la haine dans les dents, je frappais, je frappais mon père avec le ridicule bout de bois que j'avais, même avec la plus grande haine je ne faisais rien, il contrait tout et me cognais une nouvelle fois. Quotidiennement...
Chapitre 4 : La fin d'une longue souffrance
Bien que j'avais à affronter souvent mon père et que le voyais maintenant tout les matins et tout les soirs, je posais des questions sur ma mère, il ne me répondait pas, soit il n'osait pas en parler, soit il voulait garder l'autorité qu'il avait, celle d'un père tyran qui n'aime pas ses mômes. Je penchais pour la première idée, maintenant c'est plutôt la 2éme. Peu à peu, au fil du temps et surtout grâce au conseil de la dame qui me gardait, j'appris plus de chose sur mon père, il affirmait qu'il travaillait pour un boss, et qu'il pourrait être appeler n'importe quand, n'importe où et pour une durée indéterminée. Mais je gardais toujours en moi l'envie de voir ma mère, celle qui m'avais donné la vie, celle qui m'avait peut-être chérie quelques mois et ensuite me laissé dans une jungle inconnue. Mon père ne voulait rien me dire, mais j'ai quand même un jour réussi à le faire parler. Lors d'un entrainement, alors que je combattais toujours aussi mal et que mon dos était lacérer par le bois de mon père, je m'obstinais, comme une tête de mule je demanda à mon père où était ma mère. Il cesse tout mouvement, une fine brise parcouru la cour et je ressentais en moi une honte, je me sentais honteux d'avoir demandé sa, j'allais mérité des coups de bâtons comme un chien encore. Mais le surprise fût que mon père me susurra quelques mots, il dit :
- Ta mère ? Elle est chez les obscurs...
Stupéfait je ne dis rien, je n'avais aucune connaissance de la terre de Miradelphia, encore moins de ces contrées, je savais juste que j'habitais dans un petit village, à l'ouest de la grande ville, Diantra. Je devais maintenant savoir ce qu'il venait de dire. Le combat cessa dans la minute, mon père s'éclipsa pour ne revenir que 2 jours plus tard en piteux état. Pendant ce temps j'avais pu mener mes recherches dans la piètre bibliothèque de mon village, toujours sous le regard inquiet de la bibliothécaire elfe qui passait souvent derrière moi pour vérifier que je ne faisais aucune bêtise. Je n'avais rien trouvé concernant les obscurs, rouge de colère j'avais lancé le livre sur la première personne qui était à mes côtés, un vieillard qui n'avait rien demandé.
Le soir des mes 13 ans, une semaine après le fastidieux évènement de mon père, je passa encore une soirée, toujours la même, même si c'était un jour de fête je subissais les mêmes châtiments de mon père. Il avait mis plus de cœur aujourd'hui...
Cette nuit la marqua un pas important dans ma vie, un bouleversement, un changement, quelque chose que je ne peux changer.
Alors que j'étais sur mon "lit" depuis quelques heures et que je n'arrivais pas à trouver le sommeil, mon père débarqua comme une furie dans ma chambre, surpris je sursauta de mon lit essayant de comprendre la situation. Mon père m'extirpa d'un geste vif et me traina hors de mon lit, je passa devant la jeune femme qui éclata en sanglot à mon passage. Mon père me traina dans sa chambre, une pièce noire dont lui seul avait l'autorisation de pénétrer. D'une voix sèche il entama la discussion.
- Prend le sabre à ta droite
Ne comprenant pas mon père je ne fis rien, il attrapa lui-même le sabre et le dirigea vers mon cou, il avait ce regard vide, se regard que j'avais étant petit.
- Tu n'es qu'un bon à rien, depuis le temps que je t'entraine à l'épée tu n'as fais aucun progrès, même si tu ressens un sentiment de joie, quand je t'appelle pour te battre, tu n'y mets pas ton cœur. Tu n'es pas digne de porté mon sang.
Je fûs blesser, touché mais je n'osais rien dire, mon père leva son sabre et me coupa au niveau de l'estomac, j'ai juste eu le réflexe de faire un bond en arrière pour éviter de me faire trancher net. Tandis qu'il se rapprochait, je reculais, mais comme toujours on se retrouve coincé, la chambre n'est pas immense et je toucha rapidement le mur. Mon père cogna à nouveau, au niveau de la jambe, je glissa et me retrouva au sol, tremblant de peur, je venais de me pisser dessus... Mon père éclata de rire, d'une voix euphorique il hurla.
- C'est comme se jour, quelques années après ta naissance, elle à eu le même réflexe, se pisser dessus, elle avait peur ! Elle avait honte, notre clan l'avait rejeté elle nous avait trahit, j'étais chargé de l'exécuter ! Hahahaha ! Elle baignait dans son sang, j'ai tué ta mère !!! Mouahahaha !
J'étais figée, droit comme un bâton et le regard vide, comme lorsqu'on vous apprend le décès d'un membre de votre famille, comme si une flèche vient juste de perforer votre cœur et que pendant quelques secondes vous vous sentez mort. Mon père riait, il était fier, fier d'avoir tué, moi, sur le sol, je ne disais rien. Dans un effort démoniaque je me relevais, doucement, prenant soin d'abimer aucun de mes os, de n'ouvrir aucune plaie. Mon père me regarda, et dans la noirceur de la nuit, parmi les quelques lumières présentes, mon regard était posé sur lui, comme un démon, mon regard brillait dans la nuit. Mon père avait peur, il recula de trois pas et je me rapprochais de lui, détournant mon regard, le je posa sur les sabres à ma gauche. Je fis un bond, j'en attrapa un, mon père eût à peine le temps de lever son sabre qu'il le retrouva par terre en compagnie de sa tendre main et de son bras. Par la suite ce fût la tête.
Je venais de tuer mon père et j'étais heureux.
Chapitre 5 : La fuite
Alors que j'étais toujours exténuée et sous le choc par l'annonce de mon père, un groupe d'homme entra dans la maison, attrapa la servante et questionna pour savoir ou était mon père. Je sortis de la salle, tenant la tête de mon père comme un trophée, je le lança au pied des 3 hommes qui sur le coup furent surpris et la servant hurla de peur. Les 3 hommes dégainèrent leur sabres voulant m'exterminer, j'assommai le premier puis planta joyeusement mon épée de son dos, le deuxième perdit la vie tout en perdant la tête. Le troisième eût la lame en plein ventre et décéda sur le coup. La servant qui avait assisté à toute la scène se retrouva couverte de sang le regard vide et le corps tremblant. Je m'approcha d'elle.
- Je... je... je n'ai rien vu !
J'enfonçai ma lame dans un cri de souffrance, droit au niveau du cœur, la lame se planta dans le mur. Je quitta la maison le visage ensanglanté, ma langue fit rapidement le tour de mes lèvres et je quitta la province, j'étais libre, j'aiderais les plus offrants. Je suis un démon.
7 ans plus tard, c'est-à-dire aujourd'hui, rien n'a changé, je n'ai toujours pas retrouvé l'emplacement de ma mère, mais j'ai toujours ce regard terrifiant, j'assassine environ dix personnes par moi et je commence à avoir une somme conséquente mais je fuis quotidiennement ma richesse, ce n'est pas ce qui est à mes yeux la chose la plus importante...~~~~~ Comment trouves-tu le forum ? : Histoire très intéressante, j'ai tout de suite eu le coup de foudre :) Comment as-tu connu le forum ? : Tour de jeu
Dernière édition par Kami Gacku le Dim 12 Oct 2008 - 17:31, édité 1 fois |
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Kami Gacku
Humain
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| Sujet: Re: Kami Gacku [Assassin] Dim 12 Oct 2008 - 15:58 | |
| Hey \o (ni voyez aucun jeu de mot ) - Itrhill Fayrae a écrit:
- Hoy o/
J'aime beaucoup l'histoire et la façon dont tu la raconte @___@ Les descriptions sont impeccables mais il y a juste 2 choses qui m'attristent un peu: on ne sait pas à partir de quand la mère à disparu oO En fait j'ai mis du temps à comprendre qu'elle n'était plus là parce que tu parles de la famille en général puis d'un coup l'histoire s'intéresse d'au père Oo
Autre chose: je pense vraiment pas qu'un gamin de 13 ans soit capable de tuer 4 hommes et une femme dans une même soirée O.O et aussi, un enfant qui est battue tous les soirs meurt rapidement de ses coups. Peut-être alléger ce point obscure et préférer quelque chose de plus "soft" peut-être (pour le côté réaliste de la chose).
Enfin bref, juste ça et je valide *ç* (sauf si quelqu'un le fait avant moi ;__ C'est vrai qu'il y a une période de flou dans mon histoire, j'ai peut-être fait le début un peu trop à la va vite ^^
Oui et non, un enfant entrainé peu combattre des hommes, mais tu n'as pas tort, c'est un peu surréaliste. (Je me suis beaucoup basé sur l'histoire d'un samouraï, à 13 ans il a tué un bretteur expérimenté). Le fait qu'il ne peut pas résister aux coups, je ne pense pas (je n'ai pas relus mon texte) avoir préciser qu'il se prennait des coups de lattes et qu'il saignait comme une fontaine, si je l'ai précisé, je te pris de m'excuser
Merci de m'avoir validée, au passage si quelqu'un souhaite faire un RP avec moi pour débuter dans ce monde, je suis partant Au plaisir |
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