Et bien ça alors!

"C'est nous les nains sous la montagne..."Le chant s'arrêta sur les lèvres de son interprète alors qu'il commençait à froncer ses épais sourcils broussailleux er roux qui plus est.Alors qu'il marchait d'un bon pas, il stoppa ne sa progression regardant autour de lui d'un air suspicieux. Il se mit à grommeler à mi-voix. Autant dire que même si ce n'était destiné à personne, lorsqu'un Nain se met à gromeler tout le chemin sur cinquante mètre en est informer.

Hein? Quoi je ne vous ai pas dit qu'il s'agissait d'un Nain? Mais regardez autour de vous que voyez-vous autour de vous? Personne? Attention! Ne dites ps n'importe quoi! Vous pourriez le vexer...Haut comme chevreuil, massif come un sangliern rouquin come un renard, vêtu de vert et de feu admirez Bollow. Enfin quand je dis admirez, dans la présente circonstance, ce n'est pas ce viendrait en premier à l'esprit. Mais écoutons le plutôt.


"Et bien voilà! J'en était sûr. Satané, ***** de ****** de bûcheron, il faut lui apprendre sa droite et sa gauche à ce bougre d'abruti, il doit perdre la moitié des voyageurs du comté à donner de pareilles indication!"


Pour être honnête, c'est notre Bollow qui avait toujourseu des souci avec la droite et la gauche, mais n'attendait pas qu'il l'avoue qu'il soit seul ou pas. d'ailleurs, quelle imortance de savoir quelle main est le droite ou la gauche? Elles servent toutes les deux. Pas besoin de réfléchir à ça lorsqu'on les plonge dans la bour... Mais laissons cela. Bollow était perdu et bel et bien perdu. Lors de sa dernière halte on lui avait indiqué un castel où ses multiples talents auraiet pu s'exercer et tout avait commencé pour le mieux. Une belle journée, quelques compagnons de voyage agréables... Mais au milieu de l'après midi, les compagnons avaient rejoint leurs pénates et le Nain avait poursuivi son chemin seul jusqu'à arrive rà la forêt où le sentier devint ppour le moins étroit. Heureusement, (enfin à ce moment là), il était tombé sur le camp d'un bucheron qui lui avait indiqué le chemin du fameux castel. Et comme vous l'avez compris quelques malentendus et fausses directions plus tard, nous retrouvons Bollow égaré sur un sentier de forêt.Lorsqu'il eut enfin fini de vitupérer contre les bucherons et autres racailles des bois, il avisa ce qu'il convenait de faire. Le sens de l'orientation des Nains n'était pas ce qui les caractérisait la plus au milieu d'une forêt ,et la lumière dorée indiquait qu'il ne restait que peu d'heures de soleil.


"Et bien mon cher Bollow, il va falloir te faire à l'idée d'une nuit à la belle étoile. Bon que nous réserve le coin?"

Et bien pas grand chose en vérité,des arbres encore des arbres et.. Ah oui ceci était bien mieux, quelques rochers semblant forer une sorte de tanière. Et bien voici qui pouvait convenir à un petit gabarit comme le sien...Il s'aprocha donc de l'entrée avec comme projet d'y déposer ses affaires avant d'aller quérir du bois pour la nuit qui s'nnonçai assez longue. Et oui, l'hiver les nuits sont froides et longues rien qu'à cette pensée, Bollow sentit un frisson lui demonter des orteils au sommet du crane. On a beau courir les cemins depuis un petit moment maintenant et être du gentre endurci, cela ne s'annonçait pas comme une partie de plaisir et les réserve de bois se devaient d'être conséquentes pour ne pas laisser le Nain manquer de chaleur. Arrivant à queleques mètres de l'entrée, des glapisements plaintifs arrivèrent à ses oreille.

"C'est bien ma veine, c'est occupé! Voyons ce qui se cache ici"

La pauvre créature qui se trouvait là pouvait compter des abattis. Notre voyageur n'était pas du genre à faire de quartier lorsque son confort et sa vie étaient en péril. Il sortit sa dague du foureau qui pendait à sa ceinture et s'accroupit pour voir ce qu'il en était.Deux grands yeux d'opales implorant le regardait dans l'oscurité de la tanière

"Regardez moi ça... Un renardeau. Pas bien épais à ce que je vois. Abandonné par ta mère? Hum je suis sur que tu ne vas pas me disputer beaucoup de place toi"

Petit à petit, l'humeur du voyageur se radoucisait et la mine craquante du petit rebard faisait le reste. Le Nain poussa son paquetage en avant vers l'intérieur de l'abri convoité, obligeant l'anmal à reculer à l'intérieur.

"Allez, fais moi une petite place. Et bie p'tit père, tu vas mourir de faim comme tu es là..."[/b

]Pour seule réponse il reçut un glapissement déchirant. Les deux rouquins étaient maintenant à l'intérieur du terrier. Des odeurs animales l'occupaient, mais il était tapissé de feuille et de poils que la mère avait du s'arracher du toitrail comme souvent le mères le font pour aménager un nid à leur progéniture. Pas de quoi faire une couche de Nain. Oui oui, je vous voyais venir: "Qu'est-ce qu'il nous raconte avec ses poils de renarde! Comme s'il allait pouvoir dormir dessus". Ce n'est qu'une description rien de plus."Bon voyons ce quenous avons là"Bollow avait entrepris de fouiller dans ses provisions. Un Nain na part jamais en risquant de se trouver lez ventre vide

[b]"De la viande séchée... Tu manges de la viande séchée"

Joignant le gestz à la parole il tendit une languette de viande au petit abandonné qui ne fit que se tasser davantage au fond de son abriqu'il était maintenant obligé de partagé.

"Ah! Mais non... Si je te le do... Allez attrappe!"

Il jeta la viande vers le renardeau. Qui fit mine de ne pas la voir. Peut être le petit n'était-il pas encore en âge de manger de la viande mais cette éventualité n'éfleura mêm pas la tête duNain
De son côté, celui-ci qui n'était pas non plus un modèle de tendresse s'extirpa de la tannière et se mit en devoir de faire une réserve de bois sec ( en tout cas le plus possible) afin de pouvoir alimenter son feu la nuit durant. Vous me concéderez que dans une forêt c'est assez facile et au bout de quelques dizaines de minute un bon monceau de bois se dressait à l'entrée de la tannière de sorte que Bolow n'ariait qu'à tendre la main pour saisir le combustible et le poser sur les braise du feu qu'il avait l'intention d'alumer à l'entrée de la tannière. a l'entrée pour ne pas être enfumé profiter de la chaleur et pour abriter les flammes des regards indiscrets et pas forcément bienveillants.Lorsqu'il passa la tête à l'entrée de l'abri du jour une surprise l'attendait. non seulement la viande offerte avait disparu mais encore le renardeau avait la tête dans le sac du voyageur qui se précipita pour l'en chasser

"Eh! Voleur! Tu ne vas ma laisser à ce rythme!"

Heureusement, il n'avait pas eu le temps de trop festoyer et les dégats étaient minimes, ce qui oulagea grandement l'envahisseur.

"Elle était bonne hein? Tu en veux encore?... Allez juste un morceau alors... On dirait que tu as repris du poil de la bête... Bon ce briquet... Ah! Voilà..."

Bientot l'amadou rejoignit la grosse main du Nain et quelques minutes plus tard, de gentille flammes dansaient à l'entrée de la tanière. Elles semblaient fasciner le renardeau qui n'osait s'en approcher, mais ne pouvait en détourner le regard.Après un rapide repas Bolow s'enveloppa dans son manteau de voyage, la nuit était tombée de puis longtems maintenant et le peu de compagnie n'incitait pas à veiller. Ilk se calla le do contre la paroi de la tannière et ne tarda pas sombrer dans un demi sommeil mais sommeil tout de même, tout juste interrompu par la nécessité d'alimenter le feu.

[heuuu... si je dérange dis le moi hin! Tu n'as mi ni "libre" ni "PV" alors... ]

Vois-tu ce ciel bleu virer au noir? Par quelles couleurs dirais-tu qu’il passe alors ?
Et bien le bleu devient de plus en plus foncer et il devient noir.
Non, fils, regarde mieux. La nature est bien plus belle que cela. Une peinture et une danse qu’est le soir qui s’installe. D’abords, ce ton légèrement orangé qui coloris les nuages de cotons blancs. Vois comme ils sont doux ? Puis le rose. Cela dépend des soirs. Car la nature a ses humeurs. Il peut y avoir du violet, du rouge… Vois-tu cela ?
Non papa, je ne vois rien de tout cela. Les nuages sont gris et ils recouvrent le ciel. Ils étouffent la nature qui ne peut pas s’exprimer. C’est moche !
Erreur, Zeïn. C’est magnifique. Il suffit de fermer les yeux. Le soleil descend à l’horizon, allant se coucher derrière la mer calme. Les couleurs chatoyantes emplissent le ciel. Le monde sourit d’une si belle journée. Les nuages rougissent en voyant le soleil se coucher. Vois-tu enfin les couleurs ?
Lorsque je ferme les yeux, tout est noir.
Tout est noir si tu ne regardes pas. Regarde donc le ciel qui s’obscurcit. Il n’est pas noir, mais d’un bleu juste assez sombre pour que les étoiles apparaissent. Vois-tu alors ces millions de pépites qui vacillent et crépites ?
Je les vois, père ! Je les vois ! Elles sont parsemées autour de la Lune et dansent au rythme du vent…
Bien. Décris-moi cette Lune.
Elle est belle.
Mais encore ?
Grise… Blême…
Erreur, Zeïn. Elle est d’un pâle argenté. D’un argent qui va vers le doré, car c’est le Soleil qui l’éclaire ainsi.
Comment ? Elle ne brille pas toute seule ? Mais attend voir, le Soleil est couché !
Oui. Il dort pour nous. Mais est tout de même éveillé. Ses rayons font briller la Lune.
Mais elle ne brille pas ! Ce n’est qu’une impression alors ?!
Regarde mieux et dit moi : peux-tu affirmer que la Lune ne brille pas ?
Pas toute seule !
Et alors ? Ne peut-elle pas être aidée pour briller, si elle ne peut pas le faire toute seule ?
…
Je vois que tu comprends. Décris-moi encore cette Lune.
Elle est haute et fière dans son halo d’argent. Mais elle semble triste.
Triste ? Et pourquoi donc ?
Je ne sais pas. La nuit et froide. Ses rayons ne réchauffent pas.
Très juste. Et autour ?
Les étoiles.
Mais encore ?
Je ne vois rien d’autre.
As-tu bien fermé les yeux ?
Oui, père.
Alors regarde. Tu la vois ?
Heu… Non. Qu’est ce que je suis censé voir ?
Je ne peux le décrire. Tu es sûr de ne pas la voir ? Elle m’aveugle presque tant elle est belle.
Quoi donc père? Qui donc ?
Ta mère. Elle est là. Elle rayonne.
Toute seule ?
Non.
Le Soleil ?
Non plus.
Quel astre alors ?
C’est toi qui l’illumines.
… oh.
…
Papa ?
Oui, fils ?
On rentre ? J’ai froid…
Ah, oui bien sûr.

Zeïn ouvrit un œil. Il était allongé dans l’herbe fraîche. Au-dessus de lui, les abysses infinis des cieux étaient parsemés de millions d’étoiles. Il se redressa en grimaçant : tout son corps était engourdis. La nuit était humide et bien déjà avancée. Il soupira. Un renâclement lui rappela ce qu’il faisait dans la forêt en plein milieu de la nuit, situation assez dangereuse, soi dit en passant… Holvac de l’Ordre du Dragon, qui avait encore trouvé le moyen de s’accrocher avec un noble elfe, l’avait envoyé dans un petit village elfique pour régler ses comptes. Etonnement, il n’avait pas demandé un combat à mort, et c’était tant mieux : se battre contre un elfe était vraiment épuisant, et il aurait très bien pu perdre vu leur agilité et leur vitesse. A vrai dire, s’il avait gagné, c’est qu’il était tombé sur un jeune expérimenté qui, en âge humain, devait avoir son âge. Mais si Holvac avait demandé un duel simple, ce n’était sûrement pas par peur pour son meilleur duelliste, mais peut-être pour éviter qu’une guerre éclate entre les humains et les elfes… Il était donc parti la veille sur l’étalon baie que son employeur lui avait confié. Il avait l’impression que Briséis lui appartenait, tant il avait l’habitude de voyager avec lui ! Après le duel, il était directement reparti. Mauvaise pioche. Avec l’hiver qui revenait, il avait été surpris par la nuit, cette nuit sans Lune où il n’y voyait plus rien. Il avait du s’improviser un campement dans une petit clairière éloignée du chemin principal. Si seulement la Lune avait rayonné, il aurait pu rentrer à Diantra à la lueur de ses pâles rayons…

« - Mais surtout, quoi qu’il arrive, continue de rayonner. Souris, ris, fait le bonheur autour de toi. Bats toi aussi pour cela. »

Les dernières paroles de sa mère remontèrent à la surface de sa mémoire et ses souvenirs le submergèrent. Il gémit un instant, horrifié par ses images. Il resta un moment ainsi, prostré dans sa douleur. Lorsque son esprit était occupé par les duels, il arrivait à oublier. Mais seul dans la forêt, en tête à tête avec lui-même, il n’arrivait pas à refouler les souvenirs des plus terribles instants de sa vie… Il bondit brusquement sur ses pieds, faisant peur à Briséis qui fit un petit écart surpris.
- T’inquiètes Brisou, c’est rien.
Il flatta l’encolure de l’étalon qu’il avait attaché non loin, à une branche basse et solide d’un arbre. Le surnom idiot qu’il avait sorti le fit sourire. Bah.

Soudain, une odeur lui fit lever la tête. Il huma un instant l’air. Pas de doute, quelqu’un avait fait du feu. L’odeur de bois calciné tranchait avec la senteur des sous-bois. Sa monture aussi l’avait senti. Elle ronfla des naseaux plusieurs fois, inquiète. Zeïn lui gratouilla derrière les oreilles :
- Viens, on va voir ce que c’est.
Idiot de parler à un cheval. Mais d’une certaine manière, cela le rassurait. Il n’était pas seul sous cet océan de feuilles. Briséis était là. Et… Quelqu’un d’autre.

Il s’aventura dans les profondeurs de la forêt en tenant l’étalon par la bride. Celui-ci, à nouveau sellé, avait les naseaux dilatés, de plus en plus nerveux à mesure qu’ils approchaient. Zeïn lui parla doucement pour ne pas qu’il s’affole. Mais il avait du sentir autre chose parce qu’il eut un hennissement retentissent et agressif, comme s’il défiait un ennemi invisible. Le jeune duelliste sourcilla. C’est alors qu’il vit un frêle renardeau qui les fixait d’un air apeuré. Il rit :
- Ne me dit pas que c’est de ça que tu as peur !
Briséis baissa la tête pour renifler l’animal, intrigué. Le petit roux étaient si terrorisé par cette immense créature qu’il était figé.

Puis il couina et fila entre les arbres. L’étalon sembla amusé et, prenant Zeïn par surprise, bondit en avant à la poursuite de son nouvel ami =). Le jeune homme dû lui courir après, horrifié à l’idée de perdre la monture que son meilleur client lui avait prêté.
- Hééé ! Reviennns !
Encore des paroles qui ne servirent absolument à rien u_u. Ils coururent un moment à la suite du renard, Zeïn se prenant quelques fois dans branches dans la tête mais il ne pouvait tout simplement pas se permettre de perdre l’équidé de vue. Il se prit une racine dans le pieds et dévala une pente raide en roulé-boulé. Elle prit finalement fin devant une colline rocheuse et sa victime la termina assis et couvert de terre, l’air misérable. Briséis se tenait là, tranquille, fixant une fissure dans la colline avec intérêt.

Zeïn bondit sur ses rênes : ouf ! Le voilà à nouveau sous sa garde ! Quelle nuit mouvementée…
- Bon, il faut retrouver la clairière maintenant…
Il allait faire demi tour quand des restes de feu de camp, devant la grotte, attira son attention. C’était donc par là que devait dormir le mystérieux inconnu. Effectivement, un grommellement résonna de l’intérieur de la grotte. Hein ? Quelqu’un était arrivé à se glisser là-dedans ? Ce devait être un enfant ou… Un nain roux sortit de la tanière, un jeune renard tremblant collé à lui. Zeïn ne connaissait rien aux nains mais il savait que certains étaient très irascibles… Il eut un sourire d’excuse et posa LA question qui ne devait pas être posée :
- Heuuu… Je vous ai réveillé ?

HRP: Ce n'était pas prévu, mais ta venue est bien agréable. Pour le joueur s'entend. Pour le Nain, j'attends devoir

DJ

"Allez frappe plus fort!
__ Mais maman, cette enclume est bie trop haute et cette masse bien trop lourde.
__ Ah Oui! Et les tours de to père ils ne sont pas lourds peutr être?!
__ Mais ce n'est pas par...
__ Cesse de te plaindre! A-t-on d"jà vu u Nain faireautre chose que cogner?! Sur la tête d'u Drow, sur une enclume ou sur un rocher, mais ça cogne!
__ Mais puisque...
__ Ah! Non! Silence tu me mets les nerfs en pelote. Pour la peine, prends ça!

Il se réveilla en sursaut. Même en rêve une gifle de sa vieille aurait réveiller un Troll de pierre. Et là il se frottait l'oreille. quelque chose... Oui bien sur, même encore à moitié endormi, pas beoi de lumière pour comprendre ce qu s'était passé... Le rouquin lui avait mordu l'oreille

"Eh! Gourmand!"

Pendant un instant Bollow se dit que le petit carnivore avait eu envie de se nourrir sur son dos ou plus exactement sur son oreille, lorsque les bruits venant de l'extérieur attirèrent son attention.

"Et bien voilà aute chose maintenant. Qu'est-ce que c'est que ça encore.?!"

Il s'extirpa tant bien que mal du terrier tout en s'épussetant pour faitre tomber de ses vêtments les poils de renard et les feuille séches qui s'y étaient accrochés et grommelant tout le bien qu'il pensait des empêcheurs de dormir en rond.

"Non d'un ** de **** Comme si ce satané froid ne suffisait pas. Il faut qu'un ***** se prenne pour un veilleur de nuit et..."

La première chose qu'il vit furent les pieds d'un cheval, bête prétentieuse s'il en était, la preuve c'est que sa tête était au dessus de la sienne. Si cela continuait il allait se prendre d'amitié pour les renardeau affamés.
La deuxième chose qu'il vit fut le grand échalat. Grand par la taille, mais grand aussi par la stupidité. Il suffisait d'entendre la jolie question perspicace qu'il venait de poser.
S'il l'avait réveillé? Non! Pensez donc... Chacun sait qu'au milieu des nuits d'hiver, les Nains courent les bois à la recherche de champignons et qu'on les trouve de préférence dans les terriers de renard (les champignons, pas les Nains).
Au moins cela eut le don de sorir définitivement Bollow des brumes du sommeil. Rencontrer un humain dans la même nuit d'hiver, dans des sous bois égarés (et oui, encore une façon de se dire qu'il n'était pas responsable de sa situation) ne présageait rien de bon quant-aux intentions du dit grand échallat.
Comme par réflexe, Bollow sortit d'un geste vif sa dague du foureau.

"Pour m'avoir réveillé? Dans le mille! Mais si vous avez d'autres mauvaises intentions, je vous conseille de passer votre chemin si vous ne voulez pas tater de ma dague"

Il n'était pas sur que ses fanfaronnades soient très convaincantes, il savait pertinemment qu'il n'était que piètre bretteur. On ne peut pas tout savoir faire. En outre, la longue lame qui pendait au côté de l'intrus ne laissait rien présager de bon sur l'issue d'un combat

HRPDésolé, Zeïn Etten'Orû, j'ai l'impression que tu m'as oublié alors je continue

RP
Le cavalier ut un mouvement de recul posant sa main sur la garde de son épée prèt à riposter à toute attaque puis eut un sourire amusé devant la dague du Nain. Vivsiblement cela ne l'impressionnait pas le moins du monde et Bollow commença à se sentir en mauvaise posture et tel le porc épic fase au loup il se gonffla pour patraitre plus impressionnant.

"Allez approchez si vous l'osez!"

Bollow était bien conscient que ce bluff pouvait se retourner contre lui, mais pris à son propre jeu, il ne pouvaitr plus faire arche arrière. Il sentait la sueur perler entre ses cheveux roux, prêt à défendre du mieux qu'il pourrait sa vie face à l'intrus.La surprise fut plutôt bonne. L'éttranger était soit moins effrayant qu'il n'en avait l'air ou il avait d'autre chat à fouetter car il haussa les épaules avant de remonter en selle dans le toubillon sombre de sa cape.

"Tout doux, la forêt est assez grande pour deux il me semble.."

Il flatta l'encolure de sa monture avant de lancer un clin d'oeil moqueur au Nain et de piquer des deux en lançant un salut de la main. Tout étourdi par sa victoire... Comment ça il a eu de la chance? Oui un peu .. Mais non cela avait été psychologiquement bien joué en tout cas de son point vue. Donc étourdi par sa victoire il eut un mome t l'envie de lancer quelques défis bien sentis en direction du mystérieux cavalier qui l'avait réveillé. Cependant il était tout de même assez lucide pour savourer ce succés sans risquer de le retourner en fiasco. Il se contenta de sauter sur place en agitant la main en direction des fourrés dans lesquels son visiteur avait disparu en signe de victoire et de défi silencieux.Le froid de la nuit le dégrisa bientôt et il sentit quelque chose se faufiler entre ses molets.Baiussant la tête, il reconnut son ami rouquin  qui n'avait plus l'air effrayé par le rase-fougère.Bollow eut une moue embarassée. Il était plus facile de réagir face au danger que de continuer à se montrer bourru avec une créature avaec qui on avait partagé lez gîte et le couvert. Non!Non! Ce n'&tait pas le genre nain de se laisser émouvoir et notre ménestrel haussa le épaules avant de s'accroupir pour regagner son abri de fortune tout en bougonnant.

"Et bien voilà tu vois ce qui arrive de courir les bois en pleine nuit,!!! Mais qu'est-ce que t'a appris ta mère?!!! Satanée engence rouquine!
Bon essayons de finir la nuit le mieux possible. Raaah! Prrsque plus de bois..Tant pis! On verra bien."

Bien vite il se s'enroula de nouveau dans sa cape de voyage et se lova dans la place qu'il avait eu tant de mal à réchauffer et qui était froide comme un cercueil à présent

"pfff! Pas possible ça!..."

Peut êttre pas possible cependant il remarqua à peine le renardeau qui le rejoignait dans le terrier avant de s'endormir.